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[RP ouvert à tous] Enseigne Watelse - Orfèvrerie renommée

Watelse
Georges L. Watelse releva le menton devant la question qu'il n'avait męme pas imaginé. Lui vendre ce bracelet? Le reproduire, oui. Le vendre, n... Refus obstiné.

Et pourquoi pas, après tout? Un męme bracelet pour deux garces sans âme? L'une avait brisé son coeur, l'autre sa canne. Décidément ce bijou était prédestiné pour ce type de fléau femelle.

D'un autre point de vue, il se devait, et le devait à sa future épouse, aussi peu estimée était-elle, ainsi qu'à sa potentielle progéniture, de tourner la page de ce passé.

Il prit la mesure de son ton. Un ton qui ne trahissait aucune fébrilité intérieure:


Soit... Ce bijou a plus de trente ans, voyez-vous. C'est presque une relique. Plus que votre âge, n'est-ce-pas? Moins vieux cependant que la canne de mes aïeux... Vous me ferez le plaisir de prendre plus soin de ce bracelet que de ma défunte canne?

Sourire moqueur au coin des lčvres, il décrocha le bracelet et le reposa dans sa boite.

Oui, ce bijou est une relique... Et chaque relique a son histoire. Et le détenteur de cette relique se doit de connaitre son secret. Vous ne pensez pas?

Il prit un mètre à mesurer et prit le tour du poignet toujours ganté.

Et chaque secret a son prix... Mon prix sera celui-ci. Trouvez le nom de celle qui fut la destinataire de cette oeuvre, et celle-ci sera vôtre... pour rien.

Sans quitter la blonde du regard, Watelse ferma la boite:

D'ici là, le bracelet restera ici.

D'une certaine maničre, Watelse prenait goût à ce nouveau jeu, et cela lui faisait presque plaisir de voir la Volvent mariner devant ce casse-tête.
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Della
Blanche...

Le nom avait glissé sur ses lèvres, sans même qu'elle y pense. Et elle les pinça comme si elle pouvait encore empêcher ce nom d'être dit.
Mais c'était trop tard...

Della se sentit mal à l'aise. Les confidences de Mathusin avaient porté leur fruit mais n'avait-elle pas rouvert une vieille blessure encore bien souffrante ? Si tel était le cas, elle s'en voudrait, à coup sûr, même s'il s'agissait du Paon...

Elle soutint son regard, les secondes devinrent des heures.
Elle craignait sa réaction, bien plus que lorsqu'elle avait brisé la fameuse cane. Cette fois, on touchait à des sentiments pas à une vieillerie - c'est ainsi que Della voyait la cane.

Mais après tout, c'était lui qui avait voulu qu'elle dise ce nom !
Alors, il n'avait qu'à s'en prendre à lui-même s'il n'aimait pas la réponse.

La Blonde releva légèrement le menton, sans quitter le regard du Paon, elle se redressa sensiblement, voulant montrer par là qu'elle ne regrettait pas d'avoir donné la réponse à la question. Et par là, d'avoir le droit d'obtenir le bracelet.
Mais en baume, elle ajouta :

J'en prendrai soin.
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--Mathusin.
Mathusin sentit ses oreilles chauffer. Peu attentionné avec la folle qui ne pipait mot, il écoutait sans retenue la discussion entre son Maitre et sa nouvelle pourvoyeuse de fonds, qui prenait une drôle de tournure.

Lorsque le Maitre posa la question ultime, lui si peu croyant, se mit à prier que la Dame de Railly ne prononçât pas le prénom qu'il lui avait confié.

Ce dieu n'exhauça pas sa prière, ce qui le conforta sur son opinion : le divin n'existait pas.

Blanche.. Le nom fut prononcé, et la salle s'enlourdit d'une présence presque fantômatique. Une lourdeur dans l'air. Un frisson dans le dos.

Il croisa le regard de son Maitre qui le fusillait de ses yeux sombres. Il savait. Il savait que Mathusin l'avait trahi.

Et pour la première fois de son existence, Mathusin eut peur.


Watelse
Son coeur sursauta au nom tellement haï prononcé par une non moins agaçante femelle. Blanche...

Il fixa un long instant son Valet, ce traitre, ce malveillant, ce gueux... Toute sa haine se déversa dans un regard. Pour lui cet homme était déjà mort.

Puis il reprit une certaine contenance et reporta son attention vers la Briseuse de Canne qui déjà s'appropriait non sans déférence le bracelet. Il rapprocha légèrement la boite qui renfermait de nouveau le bracelet contre lui. D'une voix éteinte:


Laissez-moi apporter les modifications nécessaire, et .... vous en prendrez soin. Mon valet vous l'apportera où bon vous semble. Il suffit de me laisser l'adresse.

Essayant en vain de feindre le détachement, il continua son monologue de vendeur de parures:

Souhaitez-vous d'autres fantaisies, gravures,... sur cet ouvrage?

Puis abruptement, il laissa transparaitre dans ses yeux toute la fureur contenue de son coeur et d'une voix aigre la questionna:

Combien vous a t'il demandé contre une telle information? A combien est fixé le déshonneur et la tristesse des autres de nos jours?
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Della
Watelse...Le nom était dit avec douceur, pour apaiser la fureur qui glaçait son regard...Je suis désolée...Elle baissa les yeux un instant, portant son regard sur la boîte...Vraiment. Ce même regard qu'elle leva à nouveau sur le Paon, regard chargé de compassion.
Si on lui avait dit qu'un jour, elle regretterait d'avoir pu faire mal à George Watelse, elle se serait sans doute moquée de la personne qui disait ces mots. Mais pourtant, à cet instant précis, elle n'était pas fière.
Oh, elle n'était pas tout à fait responsable de la situation, il l'avait bien aidée et même l'avait guidée sur cette voie mais il n'en demeurait pas moins qu'elle éprouva pour lui, un élan de sympathie.

Et bien qu'elle crevait d'envie de posséder ce bracelet - pour sa beauté ou pour ce qu'il représentait ? Allez savoir ! - elle lui proposa :
Si vous préférez le garder...je comprendrais...tout à fait.
Pour elle, c'était un geste de paix, passagère très certainement, mais de paix quand même...
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Watelse
La femelle aurait elle un peu plus de poils sur le menton qu'il paraissait? La voici presque pourvu d'un cerveau et de sentiments!

Non, Dame, gardez le bien précieusement: parole de Watelse est parole d'or. Nulle excuse à me fournir pour avoir répondu à une simple question. Le bijou sera agrémenté selon vos désir, et puissiez vous lui redonner une vie plus honorable qu'à sa première destinataire.

Il fixa Mathusin d'un oeil noir et demanda de nouveau durement à la Volvent:

Combien vous a coûté cette information? C'est la seule chose que je vous demanderai avant de prendre congé de vous.

Il était convaincu que le fieffé valet s'était enrichi sur le dos de sa souffrance, et comptait bien le lui faire payer. Le soir même, Mathusin mourrut des mains de son Maitre.
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Della
Le regard du Paon la fit frémir. C'était un regard qui promettait une rude explication entre Mathusin et Watelse. Et là, la Blonde s'en voulut encore plus d'avoir glissé ce prénom de Blanche...Mais ainsi allait la vie et le Très Haut nous guidait...C'est ce que pensa la Volvent pour se rassurer.

Elle se força à prendre une voix apaisante pour parler à Watelse mais...le trouble s'y entendait.

Il ne m'a rien demandé, il aimait me parler de vous, il est fier de travailler pour vous et aimait que je vous connaisse mieux. Sans doute pour que je vous apprécie davantage.
Je vous en prie, Maître Watelse, n'en veuillez pas à Mathusin.

Son regard à elle était suppliant, presque implorant, elle aurait été capable de beaucoup pour que la colère du Paon ne s'abatte pas sur le malheureux serviteur...pour éloigner d'elle, ce sentiment de culpabilité.

Elle jugea opportun de détourner l'attention de l'orfèvre.

Je ne manquerais pas de faire votre publicité, Maître Watelse.
Tout ce que je vois ici est vraiment magnifique.

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Watelse
Le dernier compliment le sortit brusquement de sa colère noir. Il ne ressentait pas de plaisir à ce qu'elle apprécie ses oeuvres, non, plutôt de la surprise. Cela était bien la première fois qu'elle parlait de lui en bien.

Il la conduisit lentement vers la porte, tout en la guidant fermement par le bras.


Madame, vous devez promettre de ne jamais plus penser ni parler de cette... Blanche.

Le nom lui écorchait la bouche comme un dague qu'on lui enfonçait entre les lèvres.

C'est... c'était une femme indigne et il vaut mieux l'oublier et la laisser avec les vers de terre qui la rongent. Quoique je doute que les vers soient vraiment enclins à manger de la méchanceté en chair et en os... Ils s'en feraient une indigesstion mortelle certainement.

Son esprit restait animé par des envies de meurtres envers son valet. Le traitre.

Il ouvrit la porte:

Madame, je dois fermer poru quelques temps l'enseigne, mais rassurez-vous, votre bracelet vous sera livré dès qu'il sera terminé...
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Della
La jeune femme se laissa raccompagner.
En fin de compte, elle avait obtenu ce qu'elle voulait, l'objet premier de son caprice : un bracelet. Et pas n'importe lequel, celui de la première femme de Watelse...ça valait son pesant de grain de blé.

Clairement, elle le porterait avec fierté et tout aussi sûrement, elle en prendrait soin. Là, c'était un fait acquis.

L'annonce de la fermeture la troubla...
Vous fermez ? Mais pourquoi donc ? Elle ne s'attendait pas à une réponse, connaissant le Paon.

Bien, j'attendrai donc...impatiemment.

Elle se tourna vers Watelse, elle le dévisagea sans gêne, s'attardant sur ses traits, son regard...Oui, il avait du être séduisant...
Enfin, elle lui sourit, d'un sourire poli et lisse.

Au plaisir, Maître Watelse.
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Watelse
Georges Léonard Watelse connaissait la curiosité des femelles. Aussi ne fut il pas surpris de la question de la Volvent concernant la fermeture, définitive ou non, de l'orfèvrerie. Lui-même ne savait pas trop pour quelle raison, alors comment l'expliquer? Il ne répondit rien et lui indiqua le salut d'un mouvement de tête. Il se sentait profondément lasse, trahi, abandonné, ... seul.

Un joli sourire de la part de cette femelle qui avait souvent peuplé ses cauchemards haineux, vint adoucir quelques secondes ce moment sombre. Puis, elle prit congé.

La porte close, Watelse resta un moment à fixer le panneau de bois, les idées confuses et noires. Enfin, il se retourna vers celui dont il haïssait maintenant même le nom. Mathusin. Sa rage transparaissaient dans ses yeux, dans une lueur mauvaise qui annonçait la fin de son valet. Pourtant, il ne fit aucun geste vers lui et se contenta de sortir dans les rues de Paris, sans l'avertir de sa destiantion. Il lui lança juste:


Viens me chercher ce soir aux huit coups de la cloche dans le quartier des bas fonds. Soit à l'heure.
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--Loubadour
Le lendemain, Loubadour revenait de son temps de repos quand il trouva la porte close, un mot accroché sur le bois: "Fermeture momentanée de l'enseigne Watelse. "

Loubadour ouvrit de grands yeux, surpris de ne pas avoir été mis au courant avant. Et son esprit s'embruma de questions: aurait-il tout de même un salaire? Devait-il trouver un autre travail? Où était son maitre? Et pourquoi? Oui pourquoi?

Pour le pauvre et fidèle Loubadour, le coup était rude. Et comme dans tout moment de haute sensation, Loubadour se mit à clamer des vers chantés:

Ô Maitre où êtes vous parti?
Votre art fut-il incompris?
Votre coeur trop durement meurtri?
Mais que faire sans vous ici?
Ceci est la complainte de celui
qui fidèlement vous servit...


Et là un passant lui lança une pièce. Puis un autre Parisien, un écu. Loubadour leva le sourcil. La richesse venait à lui. Il reprit en ryhtme:

Loubadour te voilà seul et triste
Troubadour, reste tes talents d'artiste...


Un autre écu tomba près de lui. Et il se dit joyeusement que bientôt il pourrait s'acheter une cithare.

HRP: Le topic reste malgré tout ouvert: voleurs voulant dévaliser une enseigne laissée à l'abandon à la va vite, passants, gamins, pyromanes pourquoi pas... .Allez-y sentez-vous libres de tout faire sur ce topic en l'absence du Maitre

Baronsengir
Flasneur de boutique en échoppe, à l'affut des dernières tendances parisiennes ; la cotte de maille, le nouveau cuir d'ici 1459? L'homme découvre le quartier, profitant depuis bien longtemps d'une étape dans la capitale pour visiter avant de repartir par monts et par vaux. Rome, Toulouse, Dijon, Lyon, Paris, ... Paris, justement, il y était, il y ferait plus qu'un passage éclair.

Les Halles... Du marchand à foison, des ventes à la criée, des étoffes précieuses, des volailles caquetant à tue-teste, ... Par la barbe d'Aristote, que de monde! Il était bon se perdre et errer sans but précis, se laissant guider par l'instinct. De bien belles choses, agréables à l'oeil. Mais il n'était pas là pour acheter. L'homme était riche, mesme si sa tenue, quoique de haute qualité, n'affichait rien d'ostentatoire. Et il avait sainte horreur de la dépense.

Quel doux plaisir que le bruit des piécettes qui s'entrechoquent quand sa main en saisissait une poignée et la laissait retomber en pluie dans la cassette... Il se devait avouer également goust immodéré pour vin et liqueurs diverses. A Albi naguère, puis à Dijon désormais, les caves du presbytère étaient renommées regorger de hauts crus et de spiritueux de grande saveur. Si un amas de frusques ou une collection de joaillerie ne l'intéressaient guère, une prune de douze ans d'asge, un calvados parfumé ou un hypocras aux épices délicatement meslées... Il est bon d'avoir les moyens, que cela serve parfois à quelque chose.

Non vraiment, le bel et blond n'avait que peu occasion de vider sa bourse ; d'écus, cela s'entend. Bien mis et d'une prestance naturelle, point n'était besoin d'artifices pour paraistre plus imposant, merveilleux. Non, nulle bague onéreuse à ses doigts, nul collier aux pierres scintillantes. Il sourit. Pour quoi faire? Il était beau, blond et sentait bon. Cela était amplement suffisant. Et encore, cela sans compter l'une des qualités de BaronSengir : une modestie des plus humble...

Son attention se porta sur une officine à la porte close. Orfèvrerie? Non, du superflu... Quoi que... Si l'un jour il grimpait en hiérarchie, dans l'église ou dans la noblesse, peut estre... Il continuerait à brasser des écus d'ici là. Ses terres lui rapportaient, ainsi que les dons à l'église, dont une partie disparaissait subrepticement on ne savait où...

De toute manière, l'échoppe était fermée. Watelse. Il ne semblait pas connaistre le propriétaire, et pourtant, le nom lui disait vaguement quelque chose... Oh, il verrait bien la prochaine fois qu'il serait en visite à Paris. De là, le prestre en villégiature poursuivit son chemin.

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--Durafiot
DuRafiot. Le brave marin de Bayonne qui en avait dans le pantalon. Celui qui avait su apprécier la gigantesque Tolosa.

Le Durafiot, il était heureux, le gars. Il avait envie de chanter des chansons grivoises. Mais elles seraient toujours plus fades que la nuit dernières avec sa grasse mameleuse de Tolosa. A la gueuse, elle lui plaisait. Et il voulait lui montrer. Mais comment?

Depuis qu'il servait dans les docks de Paris, il avait su se mettre au parfum sur les gens d'ici. Et il avait bien noté la présence de Watelse. Watelse? Ce chieur de Bayonne? Ce coq dont on clouerait bien l'bec? Bref, Watelse, l'orfèvre.

Et le bougre s'était mis en tête d'offrir un bijou de Bayonne à son aimée, un petit bijou fleurant bon la Gascogne qui leur manquait.

Alors il martella la porte:


EH! TOI, LE COQ! SORS TES PLUMES DU PLUMARD, J'BESOIN D'TOI, MOI. C'EST DURAFIOT, D'BAYONNE!

Le matelot, il savait pas lire. Il ne voyait pas la note sur la porte, ou du moins, il ne la comprenait pas.

Jusqu'à ce qu'un voisin lui envoie un seau sur la tête, en lui gueulant de "se la fermer". Penaud, il commença à s'écarter de l'orfèvrerie.


Watelse
Georges Léonard Watelse mirait toute la splendeur de sa personne dans le reflet d'un écalt de rubis. Ses cheveux maintenant totalement gris étincelait comme l'argent. Et ses yeux avaient plus que jamais l'éclat de l'intelligence.

Un peu de repos lui avait remis les idées au clair. Son valet était désormais mort. Son esprit apaisé. Le fantôme de feue sa femme le hantait de moins en moins.

Maitre Watelse respirait. Il souriait même parfois. Il souriait à l'avenir, à ses descendants à venir, même si sa femelle d'épouse se faisait lente à s'arrondir.

Une lueur matinale perça le rideau : il était temps d'ouvrir l'échoppe si longuement laissée à l'abandon.

L'imposant Watelse se leva. Laissa glisser ses doigts sur la poussière du bureau. Epaisse poussière... La retraite spirituelle n'avait que trop duré.

Un geste à l'un de ses artisans. L'orfèvrerie Watelse ouvrait.

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Chipolata
La Saucisse soupira d'impatience en voyant le rideau de la boutique se lever enfin ! Elle poussa la porte vivement et s'engouffra tel l'ouragan qui s'abat sur le monde, jupons en corolle dans l'élan ! Tournoyant en un sens ou dans l'autre, selon l'hémisphère... qu'elle avait jolis et rebondis !^^ Un phénomène cette Chipo ! (cyclonique ?...ou cyclothymique ! ^^ au choix ! ^^)

La mine renfrognée du maître de séant, ne l'engagea pas à l'amabilité... mais il y avait belle lurette que le vieux briscard ne l'effarouchait plus !


Ah ben il est bien temps !!! Savez-vous que l'avenir appartient aux gens qui se lèvent tôt ??? Je n'en pouvais plus de faire le pied de grue devant votre tripot ! Trois fois j'ai dû repousser des avances malsaines !!! Votre quartier est drôlement mal fréquenté dites-donc !!!

Ah oui... oui oui ! bonjour ! bonjour ! Mon cheeer Wawa !
Se rappelant soudain aux convenances et qu'elle venait lui refourguer quelques verroteries... mais son humeur fracassante la reprit immédiatement, et c'est le nez en l'air, humant l'humidité qu'elle continua :

Dites-donc, ça sent le renfermé ici... Vous pourriez faire le ménage un peu !!! Quelle poussière !!! Keuff ! keufff ! Chipo s'étrangla à moitié, tant l'atmosphère était empuanti... Son sens pratique vint aussitôt à la rescousse du vieillard sénile... mais encore "vieux beau" (caresse dans le sens du poil ^^)

Vous avez de la chance, j'ai ramené ma Tolosa avec moi ! Elle va vous décrasser tout ça en moins de temps qu'il ne faut pour le dire ! Non mais je vous jure ! On n'a pas idée de vivre dans un tel taudis !

Elle ouvrit la porte sur la rue et héla la "monstrueuse" qui contait fleurette à un malandrin, d'une voix autoritaire... Tolosa !!! Arrive ! On a besoin de toi ici !!!

Puis s'en revînt aussitôt harponner le maître des lieux... Bon c'est pas tout ça Wawa, mais je n'ai pas la matinée à perdre moi ! Les affaires, c'est tôt le matin ! Après, on mange, on boit, et on n'a plus l'esprit clair ! ...Tiens au fait... vous ne deviez pas m'inviter à dîner vous ? enchaîna t-elle, sautant du coq à l'âne...


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