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Joutes maritales de Vergy - Von Frayner - Eliminatoires

Maccornell
Guidel a écrit:
Joute maritales de Elianor de Vergy et de Chlodwig Von Frayner d'Azayes
Tour préliminaire, opposant Max de Mazière à Romuald Mac Cornell


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Un pair du Saint-Empire Germanique, comte de Belfort, affrontera au cour de cette joute le seigneur des lances d'Embrun, le Dauphinois Mac Cornell.



Première Lance :
Les deux jouteurs ne laissent aucune place à l'hésitation. Ils s'élancent, lance baissée et pointée sur leur adversaire respectif. Les deux lances se croisent avant de venir frapper les écus des deux cavaliers.
Dans une pluie d'éclats de bois, les deux lances se brisent et les deux jouteurs perdent équilibre avant de tomber au sol.
Vraissemblablement, tous deux sont indemnes et se relèvent sans mal.


Apportez-leur leurs épées, la joute va une fois encore s'achever au sol.

Les deux combattants se placent l'un face à l'autre. Mac Cornell a habilement manoeuvré en réalité, car il se sait fine lame, tout rompu qu'il est au maniement de l'épée au sein de son ost.
Le Dauphinois prend l'initiative, il frappe et touche son adversaire sans le blesser, une première fois.
Le Germain ne se laisse néanmoins pas démonter pour si peu, il frappe à son tour, mais son coup est rapidement paré.
Les deux jouteurs frappent à nouveau mais sans toucher quoi que ce soit, coup pour rien.
Mac Cornell s'avance alors un peu plus et tente un long enchaînement, frappant frénétiquement à la recherche d'une faille dans la défense du comte.
Par trois fois, son coup est paré avant qu'il ne parvienne à toucher une seconde fois son adversaire. Un nouveau coup porté par Mac Cornell est paré avant qu'il ne touche encore deux fois supplémentaires son adversaire.
Mac Cornell en est donc à 4 touches contre 0 et les deux bretteurs sont indemnes. L'arbitre met fin au duel.


Romuald Mac Cornell, seigneur de Cornillon-en-Trièves est déclaré vainqueur de cette joute par victoire au duel à l'épée.



En ce début d'année, les occasions de sortie ne manquaient pas. À peine les joutes d'Auvergne terminées, c'était maintenant en Guyenne que des rencontres chevaleresques se tenaient. Cette fois, un mariage en était la cause. Ne connaissant pas personnellement les futurs époux, le Seigneur de Cornillon-en-Trièves ne ratait pour aucun prétexte ce genre de rencontre, surtout après les déboires qu'il avait connu en décembre dernier. Cette fois-ci, rien de tel ne pouvait lui arriver tout était en ordre. Tout ? Vraiment tout ? ... Enfin, lorsque l'on dit tout, on se réfère à la partie administrative, parce qu'aux joutes d'Auvergne, MacCornell avait été blessé à deux reprises. Mais heureusement pour lui cela n'avait été que légèrement, ce qui ne devrait pas trop l'handicaper lors de ces rencontres.

Cette fois-ci, il affrontera le Comte de Belfort, un pair du Saint-Empire. C'était la première fois qu'il rencontrait pareil adversaire. Assurément cela n'était pas n'importe qui et l'embrunais devrait à n'en pas douter être bien concentré pour ne pas s'être déplacé en vain.

Les trompettes résonnent, le tournoi commence. Juché sur son destrier, MacCornell attend que l'on annonce son combat éliminatoire. Pendant ce temps, il revoit mentalement les conseils que lui ont donné ses instructeurs: la position sur la selle, la tenue de l'écu et de la lance,.... L'arbitre annonce son combat. Il se présente sur la lice et sans aucune hésitation lance Bouillon de son côté de la palissade. Déterminé, il l'est et l'expérience aidant, il écrase sa lance sur l'écu adverse. Le pair du Saint Empire fait de même. Les deux lances volent en éclats et les deux jouteurs par terre.

Ils se relèvent tous les deux, tandis que le chevalier errant de la licorne qui arbitre donne l'ordre que l'on apporte les épées. Sous son heaume, les traits du soldat se détendent. Il n'en n'est pas à son premier duel à l'épée. Au contraire, cela en deviendrait même une habitude... Mais, le seigneur des lances d'Embrun sait que la partie n'est pas gagnée d'avance. Au contraire, tant que le combat n'est pas terminé, tout est à faire.

Face à face les deux jouteurs se jaugent. MacCornell prend l'initiative et frappe son adversaire par un coup d'estoc. Son adversaire encaisse le coup et contre-attaque mais l'embrunais pare. Le combat est lancé, les deux hommes bougent et attaquent en même temps. Leurs épées fendent l'air sans toucher l'adversaire. Le dauphinois se rapproche et frappe à coups répétés espérant prendre à défaut la garde du Comte. Mais ce dernier sait se défendre, il pare tous les coups. Changeant de type d'attaque, le militaire finit par toucher son adversaire. Sentant son adversaire faiblir, il repart à l'assaut du Pair. Ce dernier pare une dernière fois avant que le Seigneur de Cornillon ne le touche deux fois et que l'arbitre n'arrête le combat.


Comte de Belfort, ce fût une joute très disputée. Soyez remercié pour cet échange. Nous espérons vous revoir à d'autres occasions pour disputer la revanche.
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Althiof
Citation:
Joute maritales de Elianor de Vergy et de Chlodwig Von Frayner d'Azayes
Tour préliminaire, opposant Althiof de Marigny à Monseigneur Elia von Strass d'Acoma


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Vainqueur du récent tournoi de Saint-Nectaire, qui s'est tenu en Auvergne, le Grand Prévôt de France ne compte pas s'arrêter dès les éliminatoires de ce tournoi. Souhaitons bonne chance à Dame Elia, qui risque d'en avoir besoin au vu de la grande expérience de son adversaire!

Première Lance :

La vicomtesse semble manquer d'assurance, elle part à une allure modérée tandis qu'Althiof déjà pousse sa monture avec force et détermination.
La lance d'Elia rate Althiof, tandis que le Grand Prévôt fait voler sa lance en éclats sur le bouclier de la Dame, la projetant au sol dans la foulée.
Elia se relève sans mal ni blessure.


Althiof de Marigny est déclaré vainqueur de cette joute par chute de son adversaire.



Althiof était en pleine confiance après un dernier tournoi qu'il avait dominé de bout en bout. Une bouffée d'air frais après de nombreux tournois complètement ratés. L'expérience aidait mais était loin de suffir quand les fondamentaux n'étaient plus là. Il s'était entraîné avec Pégase et avait retrouvé cette tenue en selle qui lui avait tant fait défaut. Il n'était pas le plus fort, pas le plus précis, mais il était l'un des plus habiles en selle, trait qu'il avait hérité dans sa jeunesse là bas si loin dans les paturages de Thessalie. Cela ne faisait pas gagner les tounoirs mais à coup sûr cela évitait bien des déconvenues et irritait bien des adversaires.

Il avait été meurtri au plus profond de lui d'être tombé si souvent et si rapidement face à des adversaires à sa portée, comme si quelque part il se sentait indigne de l'enseignement thessalien, dans ce pays où tout le monde se tourne vers la mer mais où les Thessaliens sont passés maître dans l'art de monter à cheval et l'armée la plus crainte et respectée du monde grec.

Et pourtant il était anxieux ce jour malgré ce plein de confiance. Il avait appris que chaque tournoi était particulier et il n'allait pas tarder à en faire la dure expérience.

Son premier adversaire Elia von Strass d'Acoma, un nom qui ne lui était pas inconnu mais qu'il n'arrivait plus à situer précisemment. Qu'importe. Il était venu avec son épouse et fit appel à un écuyez sur place pour l'aider dans sa préparation. Ce n'était pas du tout pareil que lorsqu'il le faisait avec son épouse mais cela irait pour le moment. Il ne craignait personne mais se méfiait de tout le monde dans cet art parfois imprévisible.

Une fois encore on l'aida à monter sur son beau Pégase, nom qu'il tirait de la blancheur éclatante de sa robe, sur laquelle avait été posée des tissus aux couleurs rouge sang de Cournon. Il mit son heaume et ajusta ses gants avant de saisir l'écu puis la lance. Il était prêt. En une dizaine de jours il n'avait rien perdu de sa détermination. Aucune lance ne lui avait résisté à Saint-Nectaire et il avait bien l'intention que cela perdure.

Il s'élança rapidement et remarqua rapidement le manque de rythme de son adversaire. Il toucha son écu et explosa sa lance, réussissant à esquiver son coup. Il n'entendit pas le choc mais il sut qu'il avait gagné. Le mouvement en arrière était impossible à rattraper. Il jeta sa lance au sol puis son écu et s'approcha de la dame pour la saluer.


Vicomtesse Elia ! Ce fut un plaisir de jouter contre vous. J'espère que le choc ne fut pas trop rude et que cette passe d'arme vous donnera envie de revenir sur les lices pour me faire mordre la poussière à mon tour. Tout du moins essayer car je ne me laisserai pas faire.

Il sourit et la salua avant de retourner vers son écuyer et prendre des nouvelles de son épouse.
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Adieu Alice
Korydwen
Pardon

Citation:
Joute maritales de Elianor de Vergy et de Chlodwig Von Frayner d'Azayes
Tour préliminaire, opposant Korydwen de Marigny à Valeria Gambiani de Valrose


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Deux baronnes s'affrontent sur la lice cette fois. Deux jouteuses expérimentées, de Gueules et d'Azur s'affrontent donc pour une place en huitième de finale. Que la meilleure gagne!

Première Lance :
Avec adresse et savoir-faire, les deux dames sont portées à vive allure par leur monture. Sans grande surprise, aucune d'elle ne rate sa cible, mais si Korydwen brise sa lance, Valeria se contente de toucher l'écu adverse. Toutes les deux demeurent bien assises sur leur selle.

Seconde lance:
C'est avec un peu plus d'assurance que Korydwen s'élance cette fois. Elle évite de justesse la lance de Valeria et vient briser la sienne sur l'écu de son opposante. Valeria Gambiani chute, assurant par là la victoire à l'Auvergnate.


Korydwen de Marigny est déclarée vainqueur de cette joute par chute de son adversaire.



La Baronne s'était préparée seule, elle avait besoin de se concentrer et surtout de cesser de penser à la prévôté et aux dossiers qui l'attendaient à son retour, elle avait beau tenté de déléguer... Bref, il fallait donc se concentrer, les bandages, l'armure tout était prêt, il n'y avait plus qu'à... Ouais plu qu'à comme on dit, mais bon c'était sans doute la partie la plus difficile, voilà qu'on la hisse sur sa jument, Thessalie trépigne, elle sent, elle sait ce qui va arriver et cette fois elle n'est pas grosse.

Elle entre en lice, s'incline devant son adversaire, son nom lui dit quelque chose, mais elle ne sait pas si c'est parce qu'elle l'a déjà vu jouter ou bien parce qu'elle a déjà jouté contre elle. Toujours est-il, qu'elle respire un bon coup et se concentre...

Première lance, elle s'élance, garde sa lance bien en place et surtout ne baisse pas le regard, elle fixe son adversaire déterminée comme jamais, faire honneur à ses couleurs, honneur à son époux. Elle touche l'écu et brise sa lance... Son adversaire ne fait que toucher, un peu brutale la Kory... Juste un peu.

Deuxième lance, encore plus motivée ? C'est possible ? Aurait-elle vu son Althiof dans les parages, visiblement pas... Bon et bien, ce n'était pas ça la réponse.... Elle évite la lance de justesse avant de briser la sienne et d'envoyer son adversaire par terre. Elle finit sa course et descend de sa monture pour retrouver son adversaire qui s'était relevée.


Dame je vous remercie pour cette joute et vous souhaite bonne chance pour les tours suivants, je suis ravis d'avoir jouter contre une baronne issue du BA duché de mon cher beau frère.

Je vous remercie vous aussi, vous fûtes adversaire redoutable. J'espère ne pas vous avoir trop blessée...

Et sans pouvoir finir la dame partit en direction de sa tente.


Qui est votre... Beau frère ?

Relève un sourcil, cela l'intriguait grandement, peut-être qu'elle le connaissait... Peut-être pas, peut-être que sa commère d'époux le saurait, d'ailleurs il était temps de le retrouver, il avait fini de jouter... Si elle avait su qu'il serait son prochaine adversaire dès maintenant... Elle l'entraina ensuite vers leur tente...
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Prévôt du Bourbonnais-Auvergne
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