Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, ..., 6, 7, 8, ..., 10, 11, 12   >   >>

Secret de famille

Clodeweck
CHAPELLE DE MONTFORT ABBAYE SAINTE BOULASSE

Nous connaissons tous l'histoire du brave paysan qui trouva sur sa route un pauvre petit oiseau tombé du nid...Pour le réchauffer il le mit dans une bouse et le petit oiseau reprit très vite la vie...piou piou piou etc....
Le cardinal avait cette histoire en tête quand il se rendit à la chapelle...Bref quand on est dans "l'amour" on ne va pas le crier sur les toits...
Donc, avec discrétion le chapelain avait fait tinter trois fois, pas plus la cloche, appelant à la cérémonie tous ceux qui...il l'espérait ne l'entendraient pas et ne viendraient pas.
C'est donc dans la plus grande intimité, nous dirons cela comme ça, que le père attendit la noce.
Il avait quand même accepté un enfant de chœur, ayant pris soin de le choisir moitié sourd, bigleux et incapable du moindre raisonnement de surcroit.
C'est donc dans le plus grand silence qu'il monta à l'autel.
Là, il fit les prières de circonstance et alla s'assoir dans une stalle attendant les invités.

_________________
Lemerco
[Pendant ce temps, sortie d'un bar, entrée dans une chambre d'hôtel, dans les environs de l'abbaye]

Momo!!!!!!!

Quoi???????

Momo!!!!!!

Mais quoi?!?

Je me marie aujourd'hui

Bah oui c'est pour ca qu'on a fêté ta désintégration de vie de célibataire... une seconde fois certes...

Momo!!!!!

Quoi??????

Je suis bourré...

Tiens, je t'ai préparé ta recette miracle! Une gourde pleine... Bois, et prends toi un bain... tu empestes l'alcool...

Toi aussi

Hum oui mais je vais prendre un bain, et surtout je me marie pas.

(et hop, on repasse en mode narration)

Lemerco entre dans la chambre d'hôtel. Son ami avait préalablement demandé au patron de préparer un bain, chose faite, et c'est avec réticence mais néanmoins bonne conscience qu'il s'y engouffre après avoir retiré les frusques qu'il portait. Sur le lit, les vêtements qu'avait fait livrer Azilliz pour le mariage étaient posés, bien pliés, et n'attendaient plus qu'à être mis.

"Quelle bonne femme ce Momo!", se dit Lem en les regardant, propres et bien disposés. Sa potion secrète anti gueule de bois commençait à faire effet. Son efficacité ne demandait plus à être prouvée. Il se dit intérieurement qu'il devrait entreprendre la commercialisation de cette mixture. Mais chaque chose en son temps, aujourd'hui il devait se marier. Un pincement au cœur, il déglutit difficilement en imaginant le déroulement de cette journée. Son sérieux lui donnait une étrange sensation. Lui, d'habitude si insouciant et débordant de bonne humeur, se révélait là, à ce moment précis, empli d'appréhensions et de doutes.

Il plongea la tête sous l'eau et resta en apnée aussi longtemps qu'il put. Puis sortit du bain d'un coup tout en se frottant le visage. Il se sécha et entreprit de mettre ses habits. Il grogna rien qu'à leur vue. Lâchant un grand soupire, il ne mit que la moitié. Au pire il rajoutera l'autre si il en est forcé.

Momo toqua à sa porte et entra.


Mon ami, si tu ne veux pas être en retard, on doit y aller.
Oui maman!

Ils sortirent et se mirent en route, sur des canassons de fortune qui n'avaient que la chair sur les os... En chemin Lem retrouva quelque peu sa bonne humeur en vidant tranquillement un bouteille de Whiskey irlandais piquée à l'hôtel et entonna avec panache un chant dont il a le secret... et Momo d'accompagner ce chant d'un sifflement gai, le visage éclairé d'un soleil levant.

Mourir pour mourir, que ce soit d'ivreeeeesse
Le coeur appuyé, sur les amis de toujours.
Mourir pour mourir je veux mourir sous tendresse
Car mourir d'amour ce n'est mourir qu'à moitié
Je veux mourir ma vie, avant qu'elle ne soit vieille
Entre le cul des filles, et le cuuuuul des bouteilles


Oui, visiblement ca allait mieux!
_________________
Azilliz
-Hiiiiiiiiiii ! Je n'ai rien à me mettre !

[Très tôt à l'aube. Mal de tête matinal du personnel de la Vicomtesse.]

-Hier encore, vous vouliez y aller en robe de chambre !
-Peuh ! C'était une boutade, un trait d'esprit ! Je ne vais pas aller en robe de chambre à mon mariage !
-Sauf vot' respect, je vous ai connue plus brillante pour ce qui est du trait d'esprit.
-Sombre sotte, je me moque de ton avis ! Mets y de la volonté un peu, je rentrerais dans cette robe !
-Ca ne veut pas rentrer ! Quelle idée de faire confectionner des toilettes si ceintrées ! Un léger embonpoint et ça ne rentre plus...
-Je ne suis pas embonpointrée ! Force donc, elle se fermera !

Margod force alors, pendant qu'Azilliz retient sa respiration et tente de rentrer ses côtes.

-Gniiiiiiiiiii.......Aaaaaaaah ! Voilà !
-Hhhhhh !
-Sacrebleu, j'ai les mains lacérées...j'y ait mis toute ma force, ne reste qu'à espérer que ça tiendra.
-Hhhhhhhhhhhh !
-La prochaine fois prévoyez une cure de salades quelques semaines avant, nous gagnerons du temps et bien des peines.
-Hhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh !
-Ca alors, votre Grasce, vous êtes bleue !

Souffle coupé, Azilliz s'écroule sous les hurlements de Margod. Tudal déboule à grandes enjambées.

-Mordiou, elle a encore voulu rentrer dans sa robe !

Un coup de poignard bien placé, et il détache les lacets du trépas. Azilliz suffoque.

-Maladroite ! Tu as voulu me tuer !

Margod fond en larme et balbutie des "mais c'est vous qui m'avez dit que", Tudal lève les yeux au ciel, en aidant la Montfort à se relever.

-Pourquoi vous buter à ne vouloir porter les robes de feue votre soeur ?
-Parce que je ne rentre plus dedans non plus !
-Et celles de feue votre mère ? Goven n'est qu'à quelques lieues...
-Tu as raison Tudal, de toute façon je n'ai guère le choix...Qu'on me les ramène et pour l'amour du Très Haut, pressez vous !
Envoyez moi deux chambrières supplémentaires, elles me coifferont pendant ce temps...Quelqu'un a vu ma couronne ? Et mes jolies chaussures brodées ? Celles qui font "tac tac" quand je marche ? Ne faites pas cette tête, j'arriverais à marcher avec cette fois...!
Elle va cesser de pleurer la fontaine, ou il faut que je la fasse décapiter pour avoir du calme ?!
_________________
Chikaka10
A peine revenu en Bretagne que le couple de Malnoë reprit la route. Nul n'aurait pu les reconnaitre. Ils étaient tout de noir vêtus, une cape avec capuche les dissimulant. Ils profitèrent de la faible lueur de l'aube naissante pour arriver au château où les gardes étaient à leur poste.

Ouvrez ! et veuillez annoncer la baronne de Malnoë et son mari. Nous sommes attendus.

Rapidement les portes s'ouvrirent et une fois à l'intérieur, Chika défit sa cape, laissant apparaitre une somptueuse robe bleue. Puis elle se rendit à la chapelle Montfort.

Où est ma belle cousine adorée ?

Chika n'attendit pas de réponse. Elle se mit à avancer dans l'abbaye à la recherche de sa "sœur".

Aziiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! où es tu ma poule ? Tu pensais pas que j'allais rater ton mariage...

Aucune réponse de la future mariée. Une forme se tenait devant l'autel.

Parrain ?

Elle s'avança et lui sourit.

Devine qui est là ? Et oui je suis rentrée à temps apparemment.

Elle s'inclina et baisa sa belle bague que Chika avait toujours enviée. Puis elle l'embrassa plus affectueusement. Au diable le protocole.

Je suis contente de te revoir. Nous sommes les premiers arrivés ?
_________________
margot_wolback
Folle, elle devait être complètement folle!! Ou inconsciente, l'idée est la même.
Lui avoir promis une telle chose, à lui, alors qu'elle n'aurait du n'avoir de cesse de le voir souffrir milles morts, comme il l'avait fait souffrir elle!
En même temps, vu la situation, pas garanti que sa vie devienne un paradis.

Mais bon, tout de même, traverser la Bretagne au galop de nuit, quitter Ouessant sans prévenir personne pour assister à ce mariage ci. Même pas certain qu'il lui en sache gré. Mais elle s'en fout, elle sera là.
Et puis, revoir Azi.
Cette cousine qu'elle n'a découvert que trop rapidement, pas franchement pris le temps de s'épancher et de laisser l'amitié débutante se renforcer.

Donc voilà, multiples raisons et raisonnements pour se justifier de sa présence.
Pas simple non plus pour trouver l'endroit, il n'a pas été capable de lui donner amples détails, elle a perdu du temps à chercher, demander...
Margot essaye de se faire discrète, pas évident alors qu'elle est une illustre inconnue pour beaucoup, entourée de personnes qui vont toutes se reconnaitre.
Elle suit les deux ombres qui arrivent, une ombre de plus.

Un petit sourire lorsqu'elle reconnait Chika, la laissant crier dans l'abbaye. Un banc discret lui tend les bras, la blonde va s'y poser, gardant la capuche de son mantel sur ses cheveux emmêlés.

_________________
Azilliz
-Enfin ! La quatrième, c'est la bonne !
-Elle est parfaite celle ci...! J'arrive même à respirer !

-Ma dame, les invités arrivent, on les place dans la chapelle.
-Très bien, merci veillez à ce qu'ils aient ce qu'il faut.
-Votre promis aussi est arrivé, il vous attend.
-Déjà !

Branle bas de combat. L'aprêtement de dernière minute est écourté. Suis belle ? Oui oui votre Grasce, dépêchez vous.
Azilliz dévale l'escalier faisant voler l'étoffe violette de sa robe. Elle arrive essoufflée devant la porte, s'arrête un instant. Mais pourquoi je cours ? Pour ne pas faire attendre les invités. Voilà, très bien ça.
Elle frappe à la porte et entre dans la pièce ou Lemerco l'attend.

_________________
Auria
Un mouvement derrière un pilier ... dans un coin sombre près d'un confessionnal ... endroit jamais visité d'ailleurs ... mais qu'importe, et Auria appuie son dos au mur tout froid derrière elle.

Elle a laissé Ael en garde chez une voisine, elle est fatiguée, mais qu'importe aussi, elle n'aurait loupé le "spectacle" pour rien au monde. Et puis après lui avoir crié dessus la veille, il fallait bien qu'elle voit comment il allait se comporter le "nounours" en cette journée resplendissante pour lui. Elle pouffe et met sa main devant sa bouche, un peu effrayée par son petit rire qui rebondit sur les murs.

Pas question qu'on la voit .... d'ailleurs elle ne connait personne sûrement , à part le marié pas encore arrivé.

Mazette ... c'est long ... pense t-elle en jetant un coup d'oeil au confessionnal où elle aurait bien envie d'aller s'asseoir .... il commence quand le spectacle .
_________________
Clodeweck
Ha ! ma Chika ! J'avais eu peur de devoir Quitter la Bretagne avant que tu ne la rejoignes.

Béni et embrasse sa filleule.

Oui, ta cousine a souhaité un mariage discret, elle ne voulait pas de la pompe des grands mariages...
Elle est comme ça et je n'avais aucune raison de le lui refuser.
La chapelle est petite personne ne remarquera son état...
C'est parfait.
Son état, j'ai dit son état ?
Oui bien sur, son état d'énervement, tu la connais émotive en diable.
D'ailleurs elle ne devrait pas tarder à arriver. Enfin je crois...Enfin c'est du à son état d'énervement.

_________________
Chikaka10
Chika fronça les sourcils. Elle avait rarement vu son parrain dans cet état de bredouillements...

Parrain ? Mais que ce passe-t-il ? Pourquoi un petit mariage ? Pourtant Azi est une personne publique qui aime bien s'habiller. Et au fait qui sera son époux ? Je ne le sais même pas. Pourquoi tant de secrets...

Inquiète, la baronne passa une main sur son petit ventre où la vie commençait à se faire sentir par de petits coups.

Azi est elle souffrante ? tu parles de son état d'énervement sans arrêt... Est-ce lié ?

Elle sondait son parrain, essayant de lire dans ses pensées. Pourquoi ce mariage précipité, dans la discrétion, loin de tout, sans grande pompe...

Chika, tout à coup comprit...

Non ! ne me dit pas que... Si ? mais avec qui ? Euh ! je veux dire avec qui se marie-t-elle ?

Et voilà qu'à son tour la baronne bredouillait comme son parrain. Là ! Chika était époustouflée. Son Azi... toujours sage et innocente... non ça ne pouvait être ça... Mais pourtant, vu comment était son parrain ça pourrait... Elle continua à regarder le cardinal, guettant une réponse à ses questions.
_________________
Lemerco
Lem était arrivé à l'heure... une première dans son histoire. Il faut dire qu'il était bien encadré le bonhomme. Sa marâtre Momo avait tout organisé au milli biniou près. Il se tenait droit comme un piquet à l'entrée dans une pièce, attendant sa promise forcée. Lemerco était d'une rare élégance. Des dessous DIM (Dessous Incroyablement Moches), et une chemise blanche taillée sur mesure... d'ailleurs comment s'était-elle procurée ces mesures? Enfin de magnifiques bottes marron apportaient une pointe de rusticité qui n'était pas pour lui déplaire. Y a pas à dire, il avait vraiment la classe... Bon certes, il n’avait pas enfilé les braies, ni le pantalon, encore moins la cape. Les premières lui grattaient les fesses, le second le serrer aux hanche, la dernière… il n’a toujours pas compris comment on la fixait. Faut dire qu’il était quelque peu allergique à la technologie.



La Montfort pénétra dans la salle, visiblement surprise de le voir à l'heure. Elle était essoufflée... avait-elle couru pour le rejoindre? Serait-il possible, que finalement, malgré toutes les différences et différents aussi qui habitent leur relation, elle aurait de l'affection, et même une once d'amour pour lui? Il avait cherché une vacherie à lui sortir, mais finalement il se ravisa. Même s'il la trouvait habillée comme un sac, il sourit et s'avança vers elle. Gêné, il dit spontanément :

Vous êtes très en beauté.

Encore un peu et il aurait osé approcher son visage près du sien pour lui déposer un baiser sur la joue.
_________________
Clodeweck
Voyant arriver le futur, le duc de Montfort n'eut qu'une parole.

- Tu as une chance de t'en sortir bien et de faire un mariage inespéré, alors ne la gâches pas...Va chercher des braies et reviens...Avant que je ne change d'avis !
_________________
Blanche_
Blanche arrivait un peu en retard ; mais elle avait une très bonne excuse : Ken était malade. Le pauvre chou avait vomi son déjeuner sur les bottes de Bourgogne. Quoique les bottes avaient été le déjeuner, en fait. Donc un cabot avait vomi son déjeuner sur les restes du déjeuner, participé à la biodégradation de résidus de cuir, et économisé de la pâté à sa maitresse.
Qui avait failli dégueuler en voyant le résultat mâché des dites bottes. Ravie, donc, elle avait jailli hors de sa chambre, légèrement verte, pour crier un :

Je suis nauséeuse ! Je suis nauséeuse !

En direction de Griet. La médicastre attitrée de la maison, mais qui n'y connaissait rien en anatomie, encore moins en ce qui concernait la création d'une descendance. Bourgogne allait se heurter à une muraille d'indifférence et de romantisme lorsqu'il serait question de peupler Rohan de rires et de sergents miniatures.

Je suis enceinte, tu crois ? Encore ce matin, je me sentais bizarre. Et puis je me suis dit que ça devait être les bigorneaux d'hier. Toute la question est de savoir s'ils avaient ou non un opercule.
Tu m'écoutes ?


Les sourcils gris se dressent, se rejoignent dans une vallée sévère. Et tandis que les rides s'affirment, le sourire disparait, la voix se fait rauque.

- Pas avant qu'Aristote ait béni ce petit bedon !
- Tu ne savais pas ?! Oh. C'est normal, tu as si peu d'éducation... Cette histoire de cigognes, ou de petit Jésus, de cloches... C'est du pipeau. Je suis désolée de t'apprendre pareille chose.
A propos, la petite souris non plus n'existe pas.
- Blanche. J'ai grandi dans une ferme. On élevait des lapins. J'ai perdu mon innocence à 6 ans. Ne vous inquiétez pas pour moi.
- Oh ? D'accord.


Le carrosse se mit en route. L'une rêvant de langes et de biberons, l'autre d'un bâillon à installer sur la frimousse de celui qui naitrait peut être un jour. A moins qu'Il n'ait la bonté d'en faire un muet. Les actes divins sont impénétrables.
Elles arrivèrent. Et dans une avancée silencieuse, la môme Walsh gagna le lieu discret où l'Ours et la Reine se jureraient un amour éternel. A défaut d'être sincère...

Elle s'inclina respectueusement devant Clode. Souvenir fugace du temps où elle le croisait en taverne, et grimpait sur ses genoux sans trop demander son avis.
Puis sourire réconfortant à Azilliz. Quand faut y aller, faut y aller !

_________________
"Dans mon Monde à Moi, y'a tout plein de poneys, qui mangent des Arcs-en-Ciel et font des cacas Papillons !"
Azilliz
Azilliz le regarda, il est élégant en chemise il devrait en porter plus souvent.

-Lemerco, votre pantalon...Passez le vite, Mamie va venir me chercher d'une minute à l'autre...

Elle aurait aimé lui sortir une réflexion vexante...mais elle était touché qu'il ait fait l'effort de la chemise.

-Ca vous va bien...d'être bien habillé.

[Edit]

Elle prend son bras et ils descendent tous deux vers la Chapelle. Clode confirme la critique d'Azilliz sur le pantalon. Elle abandonne alors le bras de son fiancé et s'approche de Blanche, lui prend les mains, bourrée d'angoisse. Elle n'apercevait pas encore Chika et ne se doutait pas de sa présence.
_________________
Lemerco
Tu as une chance de t'en sortir bien et de faire un mariage inespéré, alors ne la gâches pas...Va chercher des braies et reviens...Avant que je ne change d'avis !

(Le rose convient décidément aux élans d'amour des Montfort pour Lem)

Lemerco se renfrogna et grogna. Puis la vision d'une hache s'abattant sur sa tête le ramena dans le droit chemin.

Oui padre!

Grand sourire narquois, il quitta sa fiancée qui déjà jouait les gamines avec son amie de wesh wesh... Il retourna à l'endroit où il avait abandonné précédemment les vêtements superflus qu'il ne désirait pas porter. Il enfila ses braies et son pantalon, puis revint avec la démarche élégante et remaerquable d'un canard déplumé.

Il se rapprocha du duc de Montfort et lui adressa un regard courroucé qui voulait dire "Tiens, le v'là ton eped... ton pantalon!" Qu'il n'aimait pas porter des vêtements... vivement la fin de cérémonie et de la fête! Au moins durant la nuit de noces, il pourra se débarasser de tout ca!

Puis il se racla la gorge...


Bon euh, on avance?
_________________
Chikaka10
Le silence de son parrain fut éloquent. Remise de ses émotions, Chika se dit que tout compte fait,peu importe si le mariage était consommé avant le mariage ou pas. L'important était que sa cousine allait se marier. Celle-ci entra ainsi qu'un homme assez peu vêtu. La baronne le regarda et sourit. Si c'était lui le futur marié, hum ! et bien on pouvait dire qu'il avait de belles cuisses...

Un regard vers son époux qui la regardait en fronçant les sourcils, désapprobateur apparemment concernant le regard de son épouse sur la partie dénudée du messire.

Elle rit et prit son mari par la main.

Viens ! je veux faire une surprise à Azi ! Allons nous cacher.

Chika entraina Firk derrière une colonne et le plaquant contre la pierre, elle se blottit dans ses bras, se recouvrant à nouveau de sa cape noire et capuche.

Ainsi cachée, la baronne en profita pour embrasser fougueusement l'homme qu'elle aimait chaque jour davantage, l'homme qui la comblait dans tous les domaines.

_________________
See the RP information <<   <   1, 2, 3, ..., 6, 7, 8, ..., 10, 11, 12   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)