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[RP CULTE] La Cathédrale de Toul

Victorinne
La jeune fut également soulager d'entendre qu'il voulait toujours l'épouser, craignant jusqu'à maintenant un refus de sa part.

Moi, Victorine, je te reçois comme époux et je serais ton épouse. Je promets de t'aimer fidèlement dans le bonheur et dans les épreuves tout au long de notre vie.
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N'a pas le droit de prendre des jours de repos va également interdire aux autres joueurs de l'hérauderie impériale de prendre des vacances en même temps sinon ça gueule.

Vive les RR ...
Afta
Afta, qui était resté discrètement dans son coin, leva les yeux au ciel quand il entendit ces paroles, le romantisme intense n'était pas son fort....
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Afta le Val de Rubempré D'Omaxiphallus, Prince de Commercy
Seigneur de Thiaucourt et de Châtas.
pnj
fifounijoli a écrit:
La jeune comtesse du Grand Lucé arriva un peu en retard et surtout très intimidé à la cérémonie. Elle ne connaissait que très peu de monde et pour couronné le tout s’était perdue arrivait donc en retard. Elle pénétra discrètement dans l’église et s’installa discrètement. Elle vit les jeunes maries magnifique et écouta la cérémonie avec émotion. [/i]


Visage inconnu.
Ni politique célèbre en France, ni intriguant de couloir impérial...
Intriguant justement, et le chevalier déchu ne résiste pas aux mystères, surtout si séduisants que celui-ci.
Il se lève donc, moins pour éclaircir l'ombre que pour courir le jupon, n'est-il pas cadet de Gascogne après tout ?
Il s'incline, non pas le salut outrancier adressé à ce calomnieux abruti borné de Lub, mais un signe de tête tout ce qu'il y a de plus sérieux et respectueux.


Madame - ou mademoiselle ? -.Votre visage m'est inconnu, moi qui pensait pourtant avoir déjà aperçu tous les proches de ce cher Yanahor... ou alors êtes vous une connaissance de la ravissante mariée ?
Ce mystère me pousse à me présenter, votre sublime air égaré aussi...


Sourire, le militaire n'a pas l'habitude de sourire.
La quarantaine, cheveux longs bruns cascadant sur ses épaules, des reflets des gris. Une barbe de quelques jours, des yeux bleus comme les glaces du nord.


Derrière eux la cérémonie continue, le guerrier n'en a que faire, ces élucubrations de culs-bénis de l'intéresse guère, la religion mène au pouvoir, mais il n'aspire plus qu'à la liberté.

Je me lance donc, la vie est trop courte après tout. *surtout dans ma position !*
Eragon de Roncevaux, Capitaine des Cadets de Gascogne et accessoirement Baron de Danne et Quatre Vent... la splendide créature que je contemple a-t-elle un nom ?

Nouveaux arrivants, manquait plus qu'elle tiens... Joséphine. Belle brochette d'Impériaux du dimanche !
Sthoreal
Sthoreal sorti de l'ombre de Yanahor. Il sorti de sa poche un petit coffret et l'ouvrit. A l'intérieur se trouvait sa bague.



Voila mon ami, mon cousin, mon frère. Fais en bonne usage. Qu'aristote te bénisse toi et ta femme.
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---fromFRlilynight
Voilà que la Guyenne parlait d'elle et que la vicomtesse avait rendu la couronne afin de déléguer le pouvoir ducale à la nouvelle duchesse. C'est en ce jour anniversaire de son propre mariage que Lily se présente pour la première fois en Lorraine. Un goût d'amertume et de mélancolie enveloppe la dame. Elle est habillée sobrement, vêtue d'une longuerobe noire et grise, signe de deuil pour ceux morts aux combats en bretagne, ceux qui ont défendu Agen et qui ont laissés de leur vie à cause d'un pair de France verreux, pourri par la soif d'étendre son pouvoir. Mais viendra le jour où ce traitre paiera le prix oui Lily jure qu'elle ne laisserait pas cette homme s'en sortir indemne. Un pair de france oser bafouer les règles, oser contester les ordres même du Roy et de la GMF ne pouvait qu'être un traitre et bientôt tous les Royaumes sauront qui Fauville ! Pour l'heure, Lily se rendait à la cathédrale de Lorraine, en l'honneur du mariage de son amie Victorinne. Elle était leur témoin et fut ravie que ces derniers la désigne comme tel. Elle eut une pensée pour Kazert parti en Bretagne pour répondre à l'appel du Roy. Triste et étrangement heureux jour pour cette Montferrat. Elle resta près d'elle dans la nef quand on lui fait signe que la cérémonie commencait, derrière la mariéerespondlissante, elle s'avança vers l'autel.

La cérémonie commence, Lily regarde de temps en temps les arrivées des retardataires. Lorsque son sourire ce crispe. C'est comme si l'on avait foudroyer sur place. Son regard devient noir. Elle n'a qu'une envie prendre une dague et eventrer non égorger ce charognard. Comment ces personnes osaient-ils venir ici. Une envie de vomir et de hurler "AU TRAITRE".
Mais la batisse lui fait rappeler qu'elle est en la demeure du tout puissant, jour du seigneur qui plus est, le jour de son anniversaire de mariage et du mariage de son amie.

On lui fait gentiment la remarque que c'était son tour de donner l'alliance au la mariée. Ce qu'elle fait rapidement. Puis se met à sa place. Son sang bouillonne en elle mais essaie de se calmer afin que l'on ne remarque point sa colère. Ce jour devait un jour mémorable pour son amie. Elle ne ferait pas d'esclandre...

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Yanahor
Yanahor prit l'alliance que Sthoreal lui avait donné et la donna à Victorine.

Victorine, reçois cette alliance, signe de mon amour et de ma fidelité.
---fromFRFeathez
Jézabel tourna le visage pour voir l'étranger qui venait d'arriver. Elle lui lança un regard méprisant, elle détestait ce genre de personnage.

Elle reprit sa position initiale pour voir l'échange des voeux des époux et les magnifiques alliances qui se dévoilaient devant elle.


Et si nous passions quelques jours à Nancy, pour visiter les environs? Tu m'emmèneras la ou tu as vécu... un pèlerinage en quelque sorte.


Elle prit la main de Lub dans la sienne et entrelaça ses doigts aux siens. Ils danseraient bientôt ensemble, et oublieraient le monde extérieur
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Victorinne
Victorine se fit passer la bague au doigt puis vint son tour de le faire également, Lily s'avança pour lui tendre l'alliance avant de reprendre sa place.

Yanahor, reçois cette alliance, signe de mon amour et de ma fidelité.
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N'a pas le droit de prendre des jours de repos va également interdire aux autres joueurs de l'hérauderie impériale de prendre des vacances en même temps sinon ça gueule.

Vive les RR ...
pnj
[Peu avant la cérémonie]

Un carrosse portant les couleurs de la famille Plantagenest, stoppa devant le les hautes marches de la Cathédrale de Nancy.

Depuis plusieurs jours, le carrosse avoit traversé le Royaume entier depuis le Béarn, et ce afin que ses occupants puissent assister et honorer l'invitation qu'ils avoient reçu pour cet heureux évènement.

Le cocher se dépêche d'aller ouvrir la portière et une silhouette jeune, noble et déterminé apparait au grand jour : le Lion comme on l'appelle.

Ainsi, une fois pied à terre, je pose mon regard sur l'immense édifice religieux et découvre d'un coup d'œil rapide les premiers abords de la capitale Lorraine.

Je remet bien en place ma longue cape puis enfile mes gants blancs et me retourne vers la portière en tendant une main pour aider la seconde personne qui m'a accompagné tout le long du voyage depuis nos terres du Sud : Sybille Von Frayner d'Azayes.

Je la regarde avec mon plus beau sourire et une fois qu'elle est à mes côtés, lui adresse quelques mots :


Vous ai-je jà dit, durant le voyage, que vous estiez magnifique très chère Sybille ? "bien sûr que je lui ai déja dit ! suis-je têste en l'air aujourd'hui !" Ainsi vêtue, vous pourriez rendre la mariée fort jalouse !

Je lance un léger rire puis luy tend mon bras afin de l'inviter à gravir les marches de la Cathédrale.

J'espère êstre tout autant présentable... surtout que je rencontre vostre illustre père dans quelques minutes !

Une légère appréhension se faict sentir dans ma voix. J'inspire et j'expire, puis me redresse et prend un air digne et droit. Aucun faux pas n'est permis.

Juste avant de rentrer pour assister à la cérémonie, j'en profite pour échanger quelques derniers mots avec Sybille :


Je suis extrêmement honoré et ravi de vous accompagner à ce mariage. Vraiment.


[A l'intérieur de la Cathédrale]

Une fois les portes franchies, j'essaie de repérer discrètement des visages familiaux.. chose faiste, j'aperçois la Duchesse de l'Aigle, mère de Sybille, dont j'ai eu grand plaisir à échanger quelques mots il y a des mois de cela lors d'un banquet en l'honneur de mon anoblissement.

Un homme à ses côtés, son mari le Duc Flamininien. Comment va t-il interpréter ma présence ? surtout auprès de sa fille ? Me prêtera t-il attention ? Tellement de questions envahissent mon esprit à cet instant.


Vos parents sont dans les premiers rangs à nostre droite.. les voyez-vous ? Demandais-je à Sybille dans un murmure, luy laissant à présent le soin de nous guider.
Ecaterina
L'évêque assista à la scène, une larme de joie et de bonheur roula sur sa joue. Le prélat s'approcha, et plaça ses mains sur celles des mariés, en psalmodiant :

Au nom de Dieu, des prophètes, et de tous les Saints, au nom de l'Eglise Aristotélicienne Romaine, nous vous déclarons unis, par les liens du mariage, jusqu'à ce que l'Eternel vous rappelle à Lui !

Un diacre apporta sur un plateau, des hosties et une coupe de vin. L'évêque s'adressa à tous :

Mes amis, scellons cette union ! Communions ensemble :




Mes amis, j'espère fortement que Victorine et Yanahor nous ferons plein de petits enfants Aristotéliciens !
Que j'espère fortement baptiser, dans quelques années !


Un sourire malicieux se peignit sur le visage de l'Evêque. C'est alors que les cloches se remirent à sonner bruyamment, alors elle cria une dernière parole :

pnj
Comme toujours, le vieil homme prenait son temps, et arrivait en retard. Il faut dire qu'il avait, il y a une poignée de jours encore, eu quelque affaire d'importance en Prouvènço, et que les routes de France & d'Empire par lesquelles il fallait passer pour se rendre en Nancy n'étaient guère aisées d'usage et de passage pour qui était originaire du Comtat mal-aimé. Embrassant rapidement la salle du regard, le vieux baroùn reconnut, de dos, les statures ou les armoiries de quelques personnes connues ou réputées. Un immense gratin ou se côtoyaient sans complexe aucun les féaux et féodaux de France et d'Empire, unis par un Traité que le baroùn de Merindoù ne commençait que trop bien pour être la source de tant de maux et d'iniquités.

Lui, de race franque... lui, Germain... tiens, voilà un blason Savoyard ! Françoise... d'Anjou ? ou du Maine, je ne sais plus. Et voilà même la consort d'Armagnac qui sort d'Armagnac. A croire que nous voici revenu au temps de Charles Ier le Grand, à voir les noblesses de France et d'Empire mêlées et réunies. ne put s'empêcher de remarquer le vieil homme, avant qu'une voix voisine ne lui lance un "Taisez-vous, messer, nous n'entendons rien !".
Aldrahn
Entrant dans l'édifice avec sa merveilleuse épouse et leur fille, ils prirent place et garda Mahaut sur ses genoux. Tenant la main de sa bien-aimée, pendant que l'enfant suivait la cérémonie en ce demandant ce qu'il se passait. Il remarqua la présence de quelques personnes bien connues... Fronçant les sourcils en reconnaissant un amer ex sénéchal bien loin de chez lui...
Victorinne
La cérémonie venait de se terminer, la jeune épouse s'avança vers son mari espérant qu'il n'allait pas la rabrouer pour le geste qu'elle s'apprêtait à faire en public. Victorine posa sa main sur la joue de Yanahor, l'effleurant quelque peu avant de l'embrasser pour sceller leur union. Elle se pencha légèrement pour lui chuchoter quelque chose que seul lui pourrait entendre.

Je t'adore mon loulou

Elle se recula puis se tourna tout en posant son regard sur les personnes présentent qu'elle ne connaissait pas.
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N'a pas le droit de prendre des jours de repos va également interdire aux autres joueurs de l'hérauderie impériale de prendre des vacances en même temps sinon ça gueule.

Vive les RR ...
Grenat
Un carrosse aux armoiries des Chambray arriva devant la Cathédrale. A son bord une jeune femme attendit qu'on lui ouvrit la porte pour en sortir. Elle avait fait une longue route, elle arrivait tout droit d'Orléans.

Elle sortit de son carrosse, et se dirigea vers l'intérieur de la Cathédrale. La jeune femme était en retard et elle le savait, elle entra sans faire de bruit pour ne point pertuber la cérémonie.

Il y avait foule pour se mariage, elle ne voyait personne qu'elle ne connaissait, elle resta dans son coin. Les mariés formaient un jolie couple, ils avaient très heureux lors de cet échange d'anneaux et de voeux, se qui lui arracha une larme.

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pnj
Lub, accompagné de Jézabel, s'approcha du jeune couple.

Yanahor, Victorine, je vous félicite tout deux et vous souhaite beaucoup de bonheur. Victorine, je te vois bientôt en Savoie. Je vais aller faire visiter Nancy à Jézabel.
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