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[RP CULTE] La Cathédrale de Toul

pnj
Décidément, il était impossible de se reposer dans votre vieille ville qu’est Nancy sans que les cloches de la cathédrale vous réveillent ! Lyssander, curieux par nature décida d’aller voir ce qu’il se passait du côté du parvis, histoire de tuer le temps … C’est avec mi-stupeur et mi-surprise qu’il pu constater que la place était pleine !

Des calèches, des chevaux, des carrosses arborant milles et uns blasons étaient passaient et repassaient en déposant à chaque fois plus de monde.

Le jeune vagabond faisait un peu tache au milieu de ces gens si bien habillés mais tandis que tous se dirigeaient vers la cathédrale, Lyssander s’assit sur rebord de la fontaine. L’air amusait, il regardait les allers et venus. Une fois tout le monde à l’intérieur, une période relativement longue s’écoula au bout de laquelle les premières personnes commencèrent à sortir.

L’orphelin des ponts de Nancy entendait bien voir qui se mariait !
Josephine
Ce sera un plaisir de faire plus ample connaissance avec vous et de discuter autour d'un verre.

Et d'un bon jus de fruit frais pour vous. La grossesse vous va à ravir. De combien de mois êtes vous enceinte?

C'est une merveilleuse petite fille. Peut-être qu'un jour aurai-je la joie de vous montrer un ventre rond moi aussi


Josephine vit qu'elle regardait son ventre...

Le plaisir sera partagé, et un jus de fruit me siera parfaitement

Je vais bientôt entamer le septième mois


Elle sourit à son mari et était de son avis...
pnj
Oui, ce sera plaisant que de vous rencontré tout les deux dans un endroit convivial. Saint Claude est rempli de gens charmants, vous verrez, l'ambiance y est excellente. C'est aussi dû à la meilleure tavernière du monde.

Lub fit un sourire à sa douce
---fromFRFeathez
Avoir un enfant est des plus merveilleux mon épouse et moi même vous le souhaitons. Sachez que votre bonheur fait plaisir à voir...

Je vous en remercie Aldrahn. Un bonheur que certains ont déjà essayé d'entacher, profitant d'un court séjour de Lub à Annecy. Ils ont essayé et échoués. Leurs tentatives resteront vaines, car amour comme le notre est indestructible.

Elle sourit à Lub et lui fit un chaste baiser sur les lèvres.

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Fifounijoli
Fifou aperçue le vieux grincheux de Zamday ce bougre ici elle ne pu s'empêcher de faire faux bon à ses hôtes un instant pour le saluer. Ne sachant pourquoi aussi colérique qu'il fut et ne pouvant pas dire qu'il s'aimait particulièrement un certain lien les unissait malgré tout restait à savoir lequel...

toussotant en arrivant devant ce personnage non chaland la jolie comtesse lui demanda de se redresser un peu.


Bonjour messire je voix que les années passent et pèsent sur certaines personnes plus que sur d'autres je peux vous proposer mon bras si vous le désirez mais ce n'est que parce que je suis de bonne humeur ni voyez rien de personnel bien évidement.
J'espère que vous avez fait bon voyage quand meme si j'avais su que vous veniez ici nous aurions pu partagé mon carrosse, suis je en train de devenir senille moi aussi pensez vous suis je en train d'être aimable et sympathique à votre égard?

Fifou sourit à son ami en se disant qu'elle était contente de revoir le comte Zamday .

Je dois retourné voir un jeune homme un instant vous ne m'en voudrez pas il vous rappellera votre jeunesse je ne le connais pas tres bien mais il m'a l'air charmant vous verrez.

Prenant le comte par le bras elle retourna vers Oedipe et Eragon.


Fifou se retient mais pensa que parfois les miracles arrivaient vraiment....Oedipe et Eragon semblaient toujours tout les deux en vie pour son plus grand plaisir elle allait pouvoir faire connaissance avec les amis de son freres paisiblement.



Veuillez excusez mon émotion mais je viens à peine de retrouver mon frere et je crains que que je sois un peu trop émotive Pour ce qui est de boire un verre sachez que je n'accepte pas si facilement de boire avec un inconnu dans une taverne messire mime si cela aurait surement été avec plaisir puisque vous êtes un ami de mon frère apparemment mais le mariage est loin d'être terminé ...


Merci Oedipe je n'ai pas encore réfléchie à l'endroit ou j'allais loger mais je note l'invitation je vais voir avec Yanahor.

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Comtesse Lisa-Marie de La Croix de Bramafan de Penthièvre dicte Fifounijoli
( bannière en travaux)
Victorinne
Son frère ne lui prêtait guère d'attention alors qu'elle lui parlait, bien trop occupé à faire le joli coeur devant une femme. Tournant la tête en direction des portes elle apperçut le petit garçon de l'autre jour auquel elle pensait beaucoup en ce moment. Le regard de la duchesse se remplit de tendresse, elle n'osait pas aller à sa rencontre de peur qu'il s'en aille en courant. Elle prit une profonde respiration avant de se diriger vers lui.
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N'a pas le droit de prendre des jours de repos va également interdire aux autres joueurs de l'hérauderie impériale de prendre des vacances en même temps sinon ça gueule.

Vive les RR ...
Sybille_von_frayner
C'est au bras de Mathieu que Sybille entra dans la Cathédrale de Nancy. Pour la toute première fois depuis leur rencontre, ils se rendaient seuls à une sortie "officielle". La jeune demoiselle était morte de trac. Comment la confrontation entre Mathieu et son père se passerait-elle ?

Alors qu'il la complimenta sur sa tenue, elle ne put réprimer un sourire. Entre eux une grande complicité avait vu le jour. Ensemble, ils étaient intarissables. Sagesse, bienséance, honneur et éducation exemplaire... Les deux jeunes gens avaient toujours eu à coeur de respecter le protocole. Point d'embrassades ou de familiarités sans l'accord paternel ! Et malgré leur attachement grandissant et leur tendresse réciproque, ils avaient toujours tenu leurs promesses. Sybille voulait une relation pure. Elle tenait aussi à prouver à son père qu'elle était digne de sa confiance. Mathieu, noble de coeur, était le complice de ses souhaits.

C'est doublement heureuse qu'elle pénétra dans le lieu saint. Heureuse de retrouver ses proches et sa terre natale mais aussi heureuse et fière d'être au bras du Lion.

Il s'approchèrent des ducs de l'Aigle. S'en suivit une étreinte chaleureuse entre la jeune fille et ses parents. Elle exultait. Ses yeux pétillaient.

- Père, je vous présente Mathieu Deldor de Plantagenest...

C'est alors que la cérémonie débuta. Ils n'eurent pas le temps d'entamer plus avant la conversation.

Yanahor était splendide dans sa tenue d'apparat et force était de constater que sa future épouse était une très belle femme.

Le temps fila... Parfois Sybille adressait un sourire à Mathieu mais elle ne prononça pas un seul mot durant toute la messe. Son recueillement était intact et cette union la ramenait à elle-même. Elle avait l'espoir que bientôt, peut-être, ce serait elle qui s'unirait à l'homme qu'elle aime.

Elle pria pour les nouveaux mariés et déjà les consentements furent échangés. L'émotion était intense. Peut-être simplement parce que les circonstances étaient particulières pour la jeune fille.

L'Evêque prononça l'union. Sybille avait hâte de rencontrer le couple pour le féliciter et pour faire connaissance avec la mariée. Elle tourna les yeux vers son père. Il n'avait encore rien dit... Elle lança alors un regard à Mathieu... regard emprunt d'espoir et d'affection...
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Jeune mariée au comble du bonheur

Duchesse d'Herbéviller, Baronne de Dombasle, Dame de Bauley et de Beynac
Bambou57
Bambou accompagné d'un ami arriva dans la cathédrale de Nancy, elle regarda autour d'elle et vit quelques personnes qu'elle connaissait, elle irait les saluer plus tard.

Dem si on s'asseyait ici

Ils s'assirent dans le fond de la cathédrale.
Puis elle écouta la messe et les voeux des mariés.

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pnj
Pour un mariage, l’ambiance est fort bonne, encore meilleur qu’au dernier enterrement fêté ! Alors que le jeune duc de Vittel s’apprêtait à partir ne connaissant personne, le capitaine de sa garde, qui l’accompagnait, lui chuchota à l’oreille :

- Votre Grâce, ne serait ce point le Vicomte de Thonon là bas ?


Une bouffée de chaleur envahit le corps d’Aodren. La dernière fois qu’il avait entendu parler de lui, c’était à l’enterrement de sa femme : Morwen. Alors qu’il s’apprêtait à s’avancer vers lui pour lui présenter ses sincères condoléances et lui dire la chance qu’il avait eut de l’avoir connu, Aodren vit une ravissante dame tourner autour de lui. Il s’arrêta dans son élan et se rendit compte qu’il devait s’agir de sa nouvelle compagne … Il eut un rictus puis un rire nerveux qui se firent retourner quelques personnes.

- Capitaine, vous devez bien connaître une taverne où l’on peut boire sans qu’on vous voie ?

Le soldat répondit d’un signe affirmatif de la tête et les deux hommes sortirent de la cathédrale.
pnj
Lyssander regardait l’air amusé les premières personnes qui sortaient, toujours assis sur le rebord incliné de la fontaine, balançant ses pieds dans le vide.

Il avait envie de s’approcher de quelqu’un et de lui demander qui célébrait son mariage mais sa peur et sa timidité avait eut raison de sa volonté.
C’est là qu’il la vit, de loin, on ne voyait qu’elle en haut des marches de la cathédrale. Le jeune vagabond avait déjà l’impression de l’avoir déjà vu quelque part. C’est lorsqu’il la vit se rapprocher qu’il la reconnu, il l’avait déjà vu la veille au même endroit.

Se rapprocher ? Quoi ? L’orphelin la vit se rapprocher de lui. Et dans un mouvement de panique il voulu faire un pas en arrière oubliant qu’il était assis sur le rebord d’un bassin. Résultat, le jeune vagabond eut le droit à un lavage forcé. Tout autour de lui, des gens s’étaient retournés et riaient de bon cœur. Il devait vite quitter la place avant de la maréchaussée ne l’intercepte.

C’est avec le plus grand mal du monde qu’il réussit à sortir de la fontaine, les habits complètement trempées, de lourdes menaces planant au dessus de lui.
Zamday
Ne sachant que faire, De Cassel resta immobile, le derrière fixé sur le bois fragile du siège ; il hésitait à participer aux mondanités qui se déroulaient à l'extérieur de la cathédrale, voir même pour certains nobles outrageants à l'intérieur du saint édifice, ou bien de continuer à prier les nombreux hommes tombés pendant la guerre et les multiples assauts infligés aux villes bretonnes, lui qui n'avait pas eu l'occasion de fréquenter un lieu de culte depuis longtemps.
A sa plus grande surprise, ce fut son éternelle amie indésirable qui vint le sauver de son dilemme ; non contente de le déranger, elle osait en plus l'interpeller d'une manière sauvagement personnelle. Il se redressa aussitôt, abhorrant se trouver inférieur à un angevin, « Toujours au-dessus » constituait, à titre d'anecdote, l'une de ses devises.


- Ô aimable vicomtesse, mon étonnement n'a d'égal que le plaisir de vous revoir après votre départ du Maine.

Il grogna à sa proposition qu'il s'appuyât sur bon bras, non pas qu'il se sentait capable de rester debout sans sa canne, mais il détenait encore la compétence de se déplacer seul ! Il effaça finalement sa mauvaise humeur pour exhiber à la place un large sourire.

- La vieillesse nous atteint tous, ma chère amie. Mais je gage que vous conserverez longtemps votre fraicheur innée. Quant à votre sympathie, vous savez exactement où la...

Il n'eut pas le loisir de terminer son attaque gratuite que Fifoun l'entraînait à sa suite vers deux hommes enfarinés non loin de l'entrée. Il reconnut à l'instant son ami Eragon, mais leva un oeil sceptique vers l'inconnu.

- Ravi de te revoir...

L'Angevine coupa encore son élan et le Colérique se contenta de lever les yeux au ciel pour montrer son agacement. Ecoutant le flot de paroles de la noble avec parcimonie, il remarqua une attention assez peu commode à son égard. « Frère », ainsi elle voyait entre eux un lien plus solide encore qu'amical : celui de la fraternité, une chose si pure et si sincère à la fois qu'on la considère parfois comme le plus beau symbole de l'Amour. Partagé entre affection et égarement, le vicomte, bien qu'ayant à l'habitude les pensées les plus chastes & morales se permit une petite plaisanterie à l'oreille de sa voisine.

- Difficile de résister au vice de l'inceste avec une soeur pareille...

Rire grossier, puis se reprend.

- Bien, que faisons nous ensuite ? Boire un verre ? Mais pourquoi pas !
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Zamday de Cassel, dit le Colérique,
pnj
Nous nous approchons des parents de Sybille.
Tout d'abord, une légère révérence à la Duchesse de l'Aigle tout en lui faisant un baise-main.


Duchesse Von Frayner d'Azayes, je me fais une joie de vous revoir.. sur vos terres cette fois-ci !

Un sourire amusé se dessine sur mon visage puis je me redresse et faict face au père de Sybille à présent. J'incline la tête en guise de salutations.

Mes respects Messire Duc. Enfin, j'ai l'honneur de vous rencontrer. J'ai beaucoup entendu parler de vous...

Je le regarde, constatant un homme avec beaucoup de prestance, un air plutôt sévère, un homme de poigne et de grande Noblesse. Je ne faiblis point toutefois, malgré son allure impressionnante, voulant lui prouver que j'estois digne de son haut rang et de ses proches.

Hélas point le temps de continuer la discussion, la cérémonie débute et l'évêque parait assez "pressé" d'officier le mariage.

Tout le long de la cérémonie, je me tenais tranquillement assis non loin de Sybille, assistant attentivement au sacrement.

Il m'arrive par moment de tourner légèrement la têste et de croiser le regard ainsi que le magnifique sourire de Sybille. A ces moments-là, je sent comme une sorte de chaleur m'envahir et mon cœur s'accélérer.

Les époux se disent "oui", s'échangent les alliances et les cloches annoncent déjà la fin de la cérémonie. Certainement la plus rapide qui m'est éstoit donné d'assister.

Nilas
A peine descendu du Carosse estampillé de la lettre "K" qu'il avait déjà franchi le parvis de l'église au bras de sa belle...

Se faisant relativement discret, il se contentait de répondre aux salutations des convives par des petits signes de tête aimables...

Entré dans la nef, il alla se signer avec un peu d'eau bénite avant de prendre place dans les travées les plus reculées de l'autel avec elle...

La cérémonie s'était déroulée comme prévu et les promis avaient échangé leur consentements...

Il alla sereinement les féliciter avec sa douce, puis s'en retourna à ses affaires aussi simplement qu'il était venu...
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( très peu dispo, ni msn ni forum externe)
---fromFRDemerzel
Se réajustant quelque peu la tenue afin de ne pas faire trop tâche dans cette foule fort bien présentable et huppée, après avoir quelque peu couru pour rattraper son retard pris à contempler cette ville qu'il ne connaissait pas, et cette cathédrale dans laquelle il n'avait jamais mis les pieds ... d'ailleurs je n'ai jamais mis les pieds ailleurs que dans la modeste église de Toul et encore... deux fois peut-être et tout juste pour goûter au vin de messe ! il sourit à cette pensée.

Il répondit à Bambou en l'invitant à s'assoir, prenant le siège à côté, lui chuchotant :
"tu comptes aller les féliciter au fait? je me demande si je suis vraiment à ma place moi en le faisant..."

C'est vrai que je vais avoir du mal à expliquer que j'ai pris la place laissé par son ami Ange, compagnon de Dame Bambou, et indisponible, pour venir enfin rencontrer le bien nommé Yana dont il avait suivit depuis un moment les péripéties au sein de la Lorraine et sur lequel il se posait tant de questions.
Tout en se posant la question, il regarda autour de lui, repérant quelques têtes connues. Se disant qu'il est bien content de revenir tout juste dans son Duché de coeur, après ce loin voyage qui avait paru interminable...
Ca fait du bien de se sentir à la maison pensa-t-il en suivant l'échange des voeux, ressentant la grandeur des lieux mélée au poids du moment pour ces deux là.

Il sourit à sa voisine en se disant qu'il irait les féliciter quand même finalement, peu importe qu'il les connaisse directement ou non.
Victorinne
La duchesse avait quitté la Cathédrale tout le monde avait sans doute remarqué que quelque chose attirait son attention. Peu lui importait qu'on la remarque ou non en train de courrir en direction d'un petit garçon qui venait de tomber dans la fontaine. S'appuyant contre un carosse situé près des marches, la jeune femme enleva ses souliers qu'elle confia à un cocher pour rattraper plus facilement ce petit être qui avait réussit à la séduire.

Attend ne t'en vas pas, il faut que je te parle petit, tu n'as rien à craindre de moi bien au contraire.

Elle espérait pouvoir le rattraper et lui faire comprendre qu'elle ne lui voulait aucun mal et que personne ne le toucherait. Pauvre petit garçon, il avait sans doute connue bien des difficultés pour être aussi craintif.
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N'a pas le droit de prendre des jours de repos va également interdire aux autres joueurs de l'hérauderie impériale de prendre des vacances en même temps sinon ça gueule.

Vive les RR ...
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