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[RP CULTE] La Cathédrale de Toul

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Jour de fête pour son ami Yanahor. Sa future femme, le Comte ne la connaissait que peu, juste aperçue de temps à autre dans les bureaux de la Hérauderie où elle était venue passer commande pour des oriflammes. Sirius avait donc prévu de s'accorder un peu de temps afin d'assister au moins à la cérémonie d'épousailles. Avec lui, ses fils, Gawen et Eiddin, qui comptaient bien se faire connaître toujours un peu plus de la haute noblesse. Les trois Margny s'étaient assis sur un des bancs du fond, à l'écart comme à l'accoutumée, assistant en silence au mariage. Malgré que toutes ces cérémonies rappelaient au Franc-Comte toujours un peu plus que le sort de son propre mariage était entre les mains d'un autre, en l'occurrence son père, il ne pouvait que se réjouir pour les nouveaux époux.

Dès la fin, il se leva en silence, imité par sa progéniture, pour chercher du regard certaines connaissances. Le Duc et la nouvelle Duchesse étaient bien trop encerclés par la famille ou les proches pour que Sirius puisse s'approcher afin de leur adresser ses félicitations. Il s'en irait le faire plus tard. Le Baron Eragon était bien plus proche, mais presque tout aussi occupé à en voir les personnes, et surtout la Dame, qui l'accaparaient. Tant pis, il ne lui reprocherait certainement pas de venir le saluer tout de même. Dans un sourire, le Comte poussa de la main son fils cadet, jeune Seigneur, afin qu'il s'approche en premier.


Allez donc saluer votre suzerain, mon fils.
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Trempé jusqu’os, Lyssander écartait les cheveux mouillaient qui le barraient la vue avec la manche de sa chemise alourdit par le poids de l’eau. Décidément il avait tout gagné. Il avait une vilaine envie de pleurer et l’aide que la jeune femme tentait de lui apporter le rendait encore plus malheureux. Comment au bout de neuf années dans la rue a-t-il pu se retrouver au milieu d’une fontaine, ou plutôt dans une fontaine.
Tout seul comme un grand, il en sortit et resta là, planté devant la dame qu’il ne connaît pas mais qui le regardait avec tendresse. Il fit un pas en arrière pour fuir, elle prit la parole :


- Attend ne t'en vas pas, il faut que je te parle petit, tu n'as rien à craindre de moi bien au contraire

Il en fit un second puis regarda autour de lui d’un air apeuré, guettant quelqu’un ou quelque chose puis fixe l’inconnue de ses yeux verts pétillants.

- Moi c’est Lyssander … Lyssander tout court … Merci de vous être porté à mon secours gente dame …
Pourquoi voulez vous me parler ? Je ne vous ai jamais rien volé, je vous le promets …


Il jeta un regard furtif tout autour de lui puis voyant quelque chose qui arrivait en courant dit précipitamment :

- Je dois vous laisser. La maréchaussée. Elle arrive. Elle va me punir pour avoir fait baignade dans le bassin. Je dois y aller. Je vous retrouverais.

Alors qu’il était prêt à détaler en courant, il se stoppe dans son élan et s’approche de cette dame qui avait l’air si charmante. Il avança sa tête pour lui déposer un baiser sur sa joue puis au dernier mot se ravisa avant de s’enfuir en courant. Au bout de quelques mètres, il s’arrêta, lui fit un signe de la main et disparu dans les ruelles de Nancy.
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Le mariage allait débuter dans quelques minutes...
Les deux époux, ensemble, avançaient en direction de la Cathédrale de Nancy, où se rassemblait déjà bon nombre de personnes..

Il y a quelques jours, ils avaient eu l'agréable surprise de recevoir l'invitation au mariage de leur ami, le baron Yanahor avec dame Victorine, qu'ils ne connaissaient hélas point.
Ayant répondu favorablement, ils s'étaient donc libérés le plus tôt possible de leurs occupations pour se rendre à ce grand événement.
Oui... Après le malheureux décès de Kik, ils étaient heureux de revoir leur ami reprendre gout à la vie et à ses plaisirs.
Leur dernière "querelle" datant de quelques mois à peine, elle, avait été définitivement effacée.

Après avoir salué les quelques personnes qu'il reconnaissait, la petite famille Von Frayner entra dans la Cathédrale.

C'est à ce moment précis qu'ils croisèrent leur fille Sybille, accompagnée d'un jeune homme...
Le Duc fronça les sourcils et regarda son épouse avant d'esquisser un léger sourire. Oui... Un jeune homme...
Lors de sa dernière rencontre avec sa fille, elle lui avait bien parlé d'un jeune seigneur qu'elle avait croisée chez sa tante, à Paris.
Mais de là, à venir accompagnée lors d'un mariage, devant le tout-Nancy avec un jeune homme alors qu'il n'était pas même au courant...

Il préféra se retenir de tout commentaire...
De toute façon, les voix résonnant dans tout l'édifice l'aurait certainnement étouffé.
Il étreignit donc sa fille dans ce "silence" et salua son cavalier, avec sa courtoisie habituelle.


- Père, je vous présente Mathieu Deldor de Plantagenest...
- Mes respects Messire Duc. Enfin, j'ai l'honneur de vous rencontrer. J'ai beaucoup entendu parler de vous...
- Mes respects Messire... Sachez que le plaisir est également partagé...

C'est alors que la cérémonie débuta, empêchant le Chancelier de terminer sa phrase.
Le petit groupe se sépara, et les deux époux se rapprochèrent le plus possible du Choeur pour ne perdre miette de l'évènement.
La mariée entra, majestueusement vétue, resplendissante dans sa robe de mariée.
Le Duc de la connaissait pas personnellement, mais son ami Yanahor lui en avait beaucoup parlé.
Il tourna la tête vers son ami qui semblait ravi de cette union et charmé par sa future épouse...
C'était le principal et il était heureux pour lui.

La messe se déroula rapidement et après quelques minutes, les nouveaux époux firent leurs voeurs et s'échangèrent leurs anneaux, se liant à jamais devant Aristote.

Les cloches se mirent à retentir dans toute la Capitale.
Les nouveaux époux sortirent de la Cathédrale.

Le Duc et la Duchesse de l'Aigle se faufilèrent parmis la foule pour aller saluer leur ami Yanahor et le féliciter de mariage, ma foy, fort réussi.
Le cérémonie était certes terminée mais le "mariage", lui, venait à peine de commencer et celui-ci allait certainement être fêté toute la soirée.
Guise
[Avant le début de la cérémonie]

Un bruit sourd se fit entendre au loin... bruit sourd caractéristique, connu et reconnu de tous à Nancy... vacarme assourdissant de plus en plus proche jusqu'à voir débouler le carrosse aux couleurs de la Maison de Guise, arrivant tout droit de Boulay, s'arrêtant près du parvis de la Cathédrale.

Puis un bref silence.

Sa garde qui suivait prit place. Les commis et le personnel vint ouvrir la porte au Duc.
Celui-ci, en sortit avec ce pas habile et majestueux des grandes occasions en Lorraine.

Costume sombre d'apparat, regard toujours fier et posture droite, il jeta un œil à son environnement, point de nuage sombre apparemment.... ..

Puis invita celle qui l'accompagnait à le rejoindre, lui tendant la main pour l'aider.

On vit sortir la Baronne de Fontoy, Rochelle Von Frayner, magnifiquement apprêtée, brillant de milles feux...

Non ce n'était pas relation charnelle dévoilée que voilà, ils étaient depuis toujours bien au dessus de ça, c'était simplement sa cousine, son indéfectible amie, que dis-je sa louloute comme il aimait à l'appeler affectueusement ainsi depuis des lustres, qui l'accompagnait car l'un et l'autre était de "redoutables" célibataires... et se sont donc joint pour l'occasion. (quoi qu'il faut bien l'avouer, ils ne sont jamais bien loin l'un de l'autre, accompagné ou pas ^^)

Dès lors lui tendant son bras, souriant, firent quelques pas et passèrent le pas de l'immense porte, tout en se signant et regardant les présents et les arrivants, encore fort peu.


Allèrent saluer leurs cousins et amis Les ducs de l'Aigle Flamininien et Enorig... puis Guise fit signe de la tête et sourire amical envers Sthoreal et Yanahor ...
Il était tôt. La Noblesse qu'il savait viendrait de toute part arriverait seulement un peu plus tard.

S'installèrent au premier rang à droite auprès de leurs cousins et VF, la partie gauche étant comme de juste réservée aux Rubempré et apparentés...

Les invités s'accumulèrent, pour ce qui s'apparenta à un défilé de titres en exergues, allant d'un petit seigneuret sans dimension aux relents de lèche bottes -qui faisait tout de même très "faute de goût" en Lorraine- à la Haute Noblesse de France comme d' Empire...

-Oui Mon Dieu pardonnez moi ce pêché de colère en votre sainte maison... je ferais pénitence...comme Chlodwig... -

Salua tout ce que pouvait compter de membres sa famille ou presque, les amis et connaissance -content de revoir pour l'occasion un Béarnais en la présence d'œdipe-

Tout le monde installé, la cérémonie se déroula, les échanges de vœux et d'alliances se firent, la mariée qu'il avait appris à connaitre voilà quelques temps, splendide dans sa robe et Yanahor très classe..




[time out! ^^]

La cérémonie s'acheva en triomphe de cloches et de musiciens, et, prenant à nouveau Rochelle à son bras, allèrent féliciter les mariés à la sortie de la Cathédrale... s'en suivrait les fastes au castel de Salm...

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Ingeburge
Comme de coutume, elle était arrivée en retard. Comme de coutume, elle avait pénétré dans l'édifice dans un bruissement de soiries, plongeant dans une génuflexion machinale dans le narthex et prenant place au fond, dans un coin obscur. Comme de coutume elle était vêtue de noir de pied en cap, de son voile de dentelles à ses chausses en cuir de Cordoue, de ses gants en peau, de ses jupes de faille à sa mante doublée de satin écarlate, c'était bien là le seul éclat coloré avec les pierres précieuses ornant chacun de ses doigts. Comme de coutume elle était venue sous bonne escorte et deux soldats se tenaient derrière elle, leurs cuirasses étincelant sous l'éclat des cierges tandis que le reste de la troupe se trouvait près du parvis. Comme de coutume, elle ne suivit que distraitement la cérémonie, non pas par ennui, mais parce qu'elle était trop préoccupée par ailleurs. Comme de coutume, elle était seule, hiératique et froide comme son Danemark natal.

Elle repensa, alors que les futurs époux échangeaient leus vœux, à l'amusement mêlé d'incrédulité qu'elle avait ressenti lorsqu'elle avait pris connaissance de l'invitation. Elle avait accepté, indiquant qu'elle ferait son possible pour se libérer. Et aujourd'hui, elle était à Nancy, l'esprit pourtant encore et toujours à Rome.
Elle repensa à sa rencontre avec Yanahor. Elle venait d'être élue Primat et avait décidé de réserver sa première visite officielle en tant que telle à la Lorraine. Elle était arrivée au moment où Guise von Frayner achevait son mandat. Yanahor avait été désigné Duc de Lorraine et l'avait reçue à la HAL. Elle eut un sourire étrange, bien curieuse audience en vérité, elle en avait été assez déconcertée. Le Duc et elle s'étaient ensuite entretenus à diverses reprises en privé. Et elle l'avait finalement accueilli à Rome, dans le cadre de la médiation organisée parle Concile Episcopal du Saint-Empire... Comme cela lui paraissait loin à présent. Elle n'était revenue en Lorraine qu'en de trop rares occasions. La Croisade, la menace de guerre avec la Provence... trop d'événements imprévus l'avaient empêchée de continuer à faire plus ample connaissance avec les fidèles qui lui avaient été confiés. Pourtant, elle vivait une période de répit malgré...

La cérémonie venait de s'achever. Elle s'éveilla de sa torpeur et regarda autour d'elle. Un peu indécise, elle resta assise sur son banc, ne sachant quel parti prendre.

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Rochelle était déprimée. Le bonheur du à son ennoblissement avait été terni par une dispute récente. Elle avait le cœur brisé.
Fierté et chagrin se mêlaient en la jeune femme qui ne sachant plus que faire se noyait dans le travail comme à son habitude.
Par moment elle lorgnait du côté de l'invitation que lui avait envoyé Yanahor pour ses épousailles, mais aussitôt après elle en chassait l'idée. Tous les prétextes étaient bons pour éviter de s'amuser, elle préférait s'enfermer dans son chagrin et dans ses souvenirs. Elle ne voulait plus que fuir le bonheur, ayant décidé dans son étrange logique qu'elle n'y avait pas droit.

Au bout deux heures d'une concentration perturbée par son chagrin, Rochelle décida de se rendre au bureau du Duc de Boulay son cousin et confident. Guise la reçu avec sa gentillesse et sa patience habituelle, ne lui boudant ni son temps ni son attention alors qu'il était des plus occupé.

Après son entretien avec le duc, la jeune femme se sentit un peu mieux. Guise avait réussi le tour de force de la convaincre de se rendre au mariage de Yanahor et Victorine afin de se changer les idées. Enthousiaste à l'idée de se rendre au mariage au bras de Guise, la jeune femme retrouva le sourire et s'éclipsa le temps de se faire une beauté. Elle tenait à être à son avantage pour un évènement de pareille importance.

Une fois apprêtée avec goût et élégance, elle retrouva Guise qui en avait fais de même. Elle le complimenta sur sa mise, se sentant fière d'être à sa cavalière.

[...]

Durant le trajet du Castel à la Cathédrale, Rochelle n'eut pas un seul instant l'occasion de songer à la cause de son désespoir, bien au contraire Guise réussi le tour de force de la dérider complètement. Elle se surprit plus d'une fois à sourire et même une fois se laissa aller à rire, si tant est que lorsque le coche arriva, Rochelle n'avait guère envie de descendre et éprouva une pointe de déception à l'idée de sortir du cocon qu'il lui avait créé.

[...]

Rochelle pénétra dans la Cathédrale au bras de Guise. Altière physiquement, voguant entre deux états intérieurement. Elle était sortie de l'enthousiasme serein dans lequel elle se trouvait dans le coche avec Guise, mais n'avait pas encore retrouvé son état de déprime avancé. Elle avait l'impression d'être comme groggy.
Elle se signa, pliant pour se faire légèrement le genoux. Puis elle suivit Guise et telle une automate l'imita en tout. Elle plaqua un sourire sur ses lèvres et salua, prit des nouvelles, en donna, distribua des compliments, et tout cela avec tant de naturel que nul ne pouvait se douter de la réalité de son état d'esprit.

Enfin ils s'installèrent. Quand la cérémonie débuta Rochelle essaya de s'y intéresser, mais la jeune femme avait toujours trouvé les mariages au mieux extrêmement ennuyeux au pire complètement absurdes. Et plus le temps passait et plus elle trouvait que celui là pour original qu'il était mélangeait ennui et absurdité. Elle ne put s'empêcher de penser que Yanahor était complètement fou pour être aller jusqu'au bout du mariage, puis après avoir observé la mariée se demanda comment une personne saine d'esprit pouvait volontairement accepter d'épouser le duc de Salm.
Elle se pencha vers Guise et lui murmura à l'oreille:


- Je crois qu'ils sont fous tous les deux. J'espère que la folie qui les lie saura être suffisante pour préserver leur...euh...union.


Ayant dit cela elle tacha de se concentrer sur la suite de la cérémonie, mais déjà ses pensées la menaient vers sa propre folie. Elle se rembrunit, se sentit lasse, son chagrin refit surface à nouveau.
Elle n'entendit ni ne vit rien de la cérémonie, complètement ailleurs, elle songeait à l'homme qui avait piétiner son coeur. Elle sortit son mouchoir et tamponna discrètement ses yeux tout en se faisant violence pour penser à autre chose. Il y avait bien trop de monde, elle devait faire attention. Elle s'obligea à penser à diverses choses toutes plus futiles les unes que les autres, mais elle n'avait pas le choix si elle voulait le garder loin de ses pensées.
La cérémonie s'acheva sans qu'elle ait pu en voir quoi que ce soit. Rochelle reprit le bras de Guise et le suivi à l'extérieur pour féliciter les mariés.Ce qui lui donna l'occasion de s'interroger sur cette étrange coutume. Après tout, elle quand elle faisait ses bêtises personne ne venait jamais la féliciter. Peut être devait elle passer à l'Église avant pour cela.

Elle plaqua une nouvelle fois un sourire sur ses lèvres en allant vers les nouveaux époux. Elle en profita pour les détailler à loisir. Ils étaient très beaux dans leur habit de noces et semblaient heureux.
Rochelle espéra alors que la mariée ne vienne pas à regretter son choix, quand à Yanahor elle ne se faisait point de soucis pour lui. Elle fut surprise par cet élan de compassion qu'elle ressentait pour Victorine et l'observa à nouveau.
La jeune femme semblait gentille, bienveillante. Elle avait un excellent maintien et faisait très grande dame. Assurément, elle ferait une excellente duchesse. Rochelle poursuivit son observation et se surprit à regarder les hanches de la jeune femme. Etait-ce là les hanches d'une future mère?
Un sourire naquit sur ses lèvres. Elle se moquait d'elle même, se traitant mentalement d'incorrigible.
Pourtant, le sort se fit son complice et lui montra ce qu'elle voulait voir, la douce bienveillance de la mariée à l'égard d'un jeune vagabond.
Rochelle sourit franchement cette fois, elle ne pensait pas que la jeune femme rentrerait aussi vite dans le rôle qui lui était attribué.
Elle murmura à Guise après avoir attiré son attention sur la scène touchante qui se jouait devant eux:


- Voilà qui s'annonce prometteur. Si en plus d'aimer les enfants elle est féconde, elle sera alors parfaite pour son rôle.

[...]

Quand ils arrivèrent auprès des nouveaux époux, Rochelle les félicita et les complimenta sur la cérémonie, et le pire c'est qu'elle était réellement sincère. Ils semblaient tellement satisfaits de s'être mariés que cela faisait plaisir et paraissait naturel de les féliciter.
Et puis enfin, Guise et elle laissèrent la place aux autres invités qui désiraient également féliciter les mariés.
Mun
Mun et Elou avait suivi la cérémonie avec respect tellement celle si était magnifique ; La cathédrale remplie fessait plaisir a voir. Il y avait longtemps qu’elle n’avait connu autant de monde.

Regardant chaque moment important retenant tout les détails.
Mun se disant que un jour il se retrouverait aussi devant l’autel et qu’il prononcerait les mêmes paroles.
Un regard complice à son aimée comme pour lui faire comprendre ce qu’il pensait.

La famille était là rassemblée pour cette occasion. Et féliciter les nouveaux mariés.


La cérémonie ayant prit fin ils se levèrent et allèrent présenter leur vœux de bonheur et de joie aux nouveaux mariés.

Laissant la place, ils se dirigèrent vers les portes de la Cathédrale, Mun voulant savoir ou en étaient les Gardes et si tout se passait bien.
D’un coup d’œil avisé, il reconnu la présence du primat du SRING le Cardinal Ingeburge .
Se promettant d’aller la saluer le moment venu.


Regardant Elou
m’accompagnes tu, nous saluerons nos amis dés que j’aurais prit quelques renseignements.
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Elou
Mun et Elou rentrèrent dans la salle, un peu en retard, mais heureusement, ils n'étaient pas les seuls. Ils prirent place là où c'était libre et suivirent la scène qui se déroulait devant leur yeux. Elou regarda cela attentivement, pensant aussi au jour où cela lui arrivera, espèrant de tout coeur que ce soit avec son aimé. Un regard complice lui fit sourire, comprenant que lui aussi pensait à celà. Elle posa sa tête sur son épaule, lui prenant la main. Se redressant, elle vit l'echange des alliances, entendit les paroles prononcées,... Emerveillée par le moment que pouvait partagé ces deux êtres.
Quand cette célébration prit fin, quelques personnes alla félicité les mariés. Ce qu'ils firent eux aussi. Puis, ils se dirigèrent vers la sortie de la Cathédrale. Elou fut heureuse de retrouvé le soleil enfin, bien que la cathédrale ne lui deplaisait pas.
Soudain, alors qu'elle respirait l'air du dehors, Mun lui demanda de l'accompagner, elle sourit et aquièsca, le suivant.

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pnj
Voilà Zamday, un signe de tête et un "salut vieux" lancé avec le sourire suffisent.

Il s'en retourne vers la belle inconnue dont il ne connait que le nom, et dont l'arbre généalogique l'intéresse au plus haut point.
Elle a l'air de connaître ce vieux briscard de Zamday, tant mieux.

Boire un verre avec n'importe qui ?!
Auriez vous été homme que je vous aurais défié en combat singulier, mais la galanterie est pour moi aussi importante que l'art de la guerre.
Diable quelle offense ! Pour vous faire pardonner... acceptez mon invitation !


Autant s'amuser.
Dans quelques heures le royaume de France entier jurera sa perte.
Sauf quelques puissants amis.

Voilà d'ailleurs le Franc Comte et ses deux fils.
Melodie871
C'était la première foi que Mélodie entrai dans la cathédrale de Nancy , il faut dire qu elle entrai rarement dans une église mais aujourd'hui était une occasion de le faire le Duc Yanahor convolait en juste noces , elle entre dans le magnifique édifice cherchant sa soeur de yeux elle reste au fond de l église , la cérémonie se termine elle attend la sortie du jeune couple afin de les féliciter et leur souhaiter tout le bonheur possible
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Fifounijoli
La rouquine ou plutot l'angevine comme aimait l'appeler son ami Zamday sourit à la remarque de messire Eragon.

Ne vous offusquez pas Messire, mais je suis timide et viens d'une bonne famille voilà pourquoi pour moi vous êtes un inconnu nous nous connaissons depuis quelques minutes à peine. Mais étant une connaissance de nombreuses personnes ici j'ose espérè qu'il ne m'arrivera rien et que je ne prend guère de risque en acceptant votre invitation. Et puisque vous parler de magner l'épée je dois dire que c'est quelque chose que j'aime particulièrement aussi , voilà une chose dont nous pourrons parler je crois.

Fifou sourit avec espièglerie en regardant le soldat... ne faite pas cette mine voyons , évidement que nous allons aller boire un verre je commence sérieusement à avoir la gorge sèche notre ami Zamday doit bien avoir cacher une fiole de chouchen dans ses poches n'est ce pas ???

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Comtesse Lisa-Marie de La Croix de Bramafan de Penthièvre dicte Fifounijoli
( bannière en travaux)
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Yanahor... Un ancien duc lorrain? Mouais, il en a un peu entendu parler mais la Lorraine ne l'intéresse pas, pas plus que les autres comtés et duchés du SRING. Il se doutait bien que c'était pour faire connaissance avec de nouveaux grands nobles de l'empire et du royaume. Soit, c'était une bonne chose s’il voulait un jour engrosser une femelle pour avoir un héritier mâle. Mais cela lui déplaisait au plus haut point, car trop monotone. Le Gawen aurait préféré rester dans son fief où il avait apprit à gérer son domaine d'une main de maître, du moins c'est ce qu'il pensait.
A ses côtés, son frère, insignifiante créature qui naquit malheureusement pour lui quelques secondes plus tard. Son regard se tourna vers les mariés qui échangeaient leurs alliances. Enfin! La fin de la cérémonie était proche désormais et le temps serait bientôt aux festivités. Banquet et autre amusement était encore ce qu'il préférait dans ces cérémonies. Le jeune seigneur se tourna vers son père plongé dans ses pensées, et un sourire se dessina sur son jeune visage. Une couronne de comte...Symbole de la puissance souveraine de son père et de sa famille sur les terres insignifiantes de la Franche-Comté, terre bien peu intéressante par rapport à la belle principauté de Condé.

Séance close, les Margny se lèvent. L'Gawen regarde les différentes armoiries qui ornent les mantels, robes et autres habits chamarrés des nobles présents. Une façon pour lui de reconnaître les différentes personnes. Son regard s'attarde sur la panse d'un homme. Il porte les armes des Cassel, Gawen connaît ces armes pour les avoirs vus à de nombreuses reprises lors des joutes se déroulant en france. Le rire grossier que pousse l'homme arrive jusqu'a l'oreille de l'enfant. Icelui ne peut s'empêcher de s'exclamer :


- « Pouah ! Laissons donc les porcs dans la fange où ils sont nés ! »

Ricanement du Gawen.Le jeune blond voit ensuite le suzerain de son frère et ricane à nouveau en voyant son père exhorté son frère pour qu'il aille le saluer.
Une main qui ébouriffe rapidement ses cheveux. Il soupire en regardant la plupart des nobliaux se dirigeant vers la sortie. Pour lui il serait grand temps de passer à la suite des activités, et de pouvoir enfin rentrer en la Franche-Comté. Rah !
Zamday
Il l'avait côtoyé pendant plusieurs mandats en Maine, ou pouvait même apprécier sa compagnie au cours d'événements festifs tels qu'aujourd'hui, pourtant la vicomtesse réussissait toujours à le surprendre, et ce fut par deux fois que le Colérique manqua de s'étouffer : de « bonne famille » qu'elle prétendait, rires sous cape, devait il préciser publiquement que sa maison avait pieusement versé le sang mainois en semant chaos et haine derrière leur chemin, au cours de la prise de Mayenne ? Non, inutile de provoquer une polémique un jour censé heureux de mariage. Mais ce mot, « Chouchen », enfer et damnation ! De Cassel ne put réprimer une grimace à son écoute.
La proposition lancée d'aller en taverne fut rapidement acceptée pour sa part, et un généreux coup de coude suffit à convaincre la Dénéré. Alors que le petit groupe s'embarquait vers les rues nancéennes, le gros vicomte remarqua qu'un mioche l'observait d'une façon peu commune, voir se moquer ouvertement de lui !
« Vengeance quand tu nous tiens » se gaussa perversement le Zam, et d'une canne habilement placée dans les jambes du jeune garçon, voir celui-ci s'effondrer maladroitement à ses pieds.


- Oh ! Mille excuses...
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Zamday de Cassel, dit le Colérique,
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Gawen détourne la tête. Le gros Cassel ne l'intéresse plus et il attend de voir son frère aller enfin à la rencontre de son suzerain. Suzerain qui semble être un ami du dit Cassel, mais soit. Alors qu'il s'éloigne quelque peu de son géniteur et de son maudit cadet, détournant la tête quelques secondes, il sent que ses jambes se croisent et, frôlant de quelques centimètres la panse du gras Cassel, l'héritier chute. Peu soucieux de l'endroit où il se trouve et des personnes présentes, le jeune blond lâche dans sa chute une injure qu'un clerc pourrait qualifier de blasphème.

-« Arg! Parl'trou d'sainte soph... ! »

Il s'étale sur le sol dallé de la cathédrale. Légère douleur aux bras qui à vite fait de passer. Sa tête a cogné contre le sol et la douleur y est plus intense. Le Gawen se relève péniblement en grommelant une tonne d'insulte qu'il ne vaudrait mieux pas retranscrire ici. Il entend les excuses hypocrites du Cassel. L'seigneur bouillonne et fulmine contre l'homme. Comment a t’il osé faire cela ? Lui l'héritier des Margny-Riddermark, futur prince de condé ! Essuyant d'un revers de main la bave sur le côté de sa bouche, il est maintenant relevé et apostrophe le Cassel.

- « Ventre-Dieu ! Maudit grassouillet ! »

Il se tait et détournant légèrement le regard, il remarque le visage éberlué de certains nobliaux. Horreur ! Le jeune margny avait complètement oublié qu'il se trouvait dans une église. Or, sa dernière phrase à bien été proféré à très haute voix sur le coup de la colère. Prestement, il se signe plusieurs fois d'affilés pensant que cela pourrait arranger les choses. Puis, son regard croise celui de l'homme Cassel et remarque avec effroi la couronne de vicomte qui ceint le front de Zamday. Balbutiant quelques mots incompréhensibles, le Gawen est là devant le vicomte, gros Jean comme devant, ne sachant que faire dans une situation pareille. Se retourner et aller auprès de son père ? Peut être un peu audacieux… Planter une lame dans le ventre difforme du Vicomte...Hum...Pas sur que son père apprécierait, et puis le faire dans une église lui risquerait la foudre du maudit clergé. S'incliner devant le vicomte? Non... Gawen ne se rabaisserait quand même pas à ça.
Enorig
Sa fille au bras de Mathieu était resplendissante. Elle regardait inquiète son mari et le jeune homme. Elle le savait intransigeant sur les possibles prétendants des femmes de la famille. Souvent elle s'était insurgée en elle-même de le voir si dur. Mais elle n'en avait rien fait paraitre. Elle espérait qu'il aimerait Mathieu. Le cousinage entre leur famille était si éloigné qu'il n'empêcherait pas une union et elle aimait vraiment ce jeune homme.

La cérémonie se finissait et elle suivit Flam. Ils prirent place dans leur carosse. Elle hésita mais elle fit signe à sa fille. Elle devait aller avec eux. Matihieu comprendrait sûrement qu'elle ne veuille pas la laisser seule devant tous aller dans son carosse.
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