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[RP CULTE] La Cathédrale de Toul

pnj
Quelle chance que de devoir se rendre à ce mariage, outre les mondanités distrayantes Eiddin pourrait enfin s'occuper de son second fief, celui de Lutzelbourg dont il portait aujourd'hui fièrement le blason.
Pour sa défense l'enfant pourrait expliquer qu'il avait bien plus de responsabilités de que son aîné, que la gestion exceptionnelle de son fief comtois, de l'armée de son père, et des mines de Franche-Comté, lui prenaient la plus grande part de son temps. Enfin avant de penser à ce qu'il pourrait dire il faudrait peut-être déjà qu'il aille saluer son suzerain, ce que son père n'oublia pas de lui faire remarquer.
Laissant Gawen faire l'étalage de son savoir, Eiddin s'avança alors d'un pas assuré vers l'homme puis s'arrêta net pour faire une courbette dans les règles, la manœuvre tant répétée en devenait presque militaire.


Eragon mon suzerain mes hommages.

Une fois courbette faite le seigneur de douze ans repris la parole de son plus beau sourire.

C'est à une magnifique union que nous avons la chance d'assister ne trouvez-vous pas ?

Bien sûr le mariage d'un ancien Duc était toujours d'une relative importance, mais de là à ce que cela soit quelque chose de magnifique il y avait tout de même une marge. Mais de ce qu'il en avait compris le marié et son suzerain étaient en de bons termes.
pnj
La cérémonie terminée. Le monde quitte la Cathédrale pestit à pestit.
Les parents de Sybille se lèvent, je fais de mêsme et remet bien en place mes effets d'un geste élégant.

Alors que nous nous rendons tous ensemble vers l'extérieur, j'accélère le pas pour me retrouver aux côtés d'Enorig et de Flam.


Messire Duc, Duchesse, si vous n'y voyez point d'inconvénients, et si bien entendu il vous est possible de m'accorder quelques minutes de vostre temps, je souhaiterais m'entretenir avec vos personnes..


Je détourne quelques secondes mon regard vers Sybille et lui adresse un sourire, bien qu'un peu intimidé.

Mais je pense qu'il serait plus propice de discuter une fois au Château de l'heureux marié.

Je les regarde tout deux, léger sourire aux lèvres, puis raccompagne la famille Von Frayner d'Azayes jusqu'à leur carrosse.

Je vous dis donc à plus tard, au Château du Duc Yanahor.

J'incline la têste puis fais signe à mon coche d'avancer.

Suivez le carrosse nous précédent. Dis-je au cochet en grimpant le marche-pied.
Ecaterina
Ecaterina se tenait devant la cathédrale de Nancy afin de saluer les fidèles qui arrivaient. Les cloches annoncèrent dix heures.

Ecaterina entra et se plaça devant l’autel sous le vitrail central.


La chorale entonnait le chant d'entrée.[/color]

Bienvenue à tous, chers frères et sœurs,
Bienvenue en ce temps d'échange et de partage, en ce temps d'écoute et de paix.

Avant de commencer prions ensemble



mettons nous en condition et récitons le Crédo mes enfants.





Entendait la parole du Seigneur:

Citation:
Son espèce se tenait debout. Mais quel avantage cela lui donnait ? “Aucun”, répondirent de concert tous les membres du groupe. Leurs mains leur servaient à construire des outils, mais c’était pour compenser le manque de griffes ou d’autres organes. Ainsi, leur estomac était si faible qu’il leur fallait cuire la viande pour la manger. Et leurs yeux étaient si peu perçants, contrairement aux chats ou aux hiboux, qu’il leur fallait s’éclairer dans le noir. Leur fourrure était si peu épaisse qu’ils devaient s’abriter lorsque la pluie, la neige ou la grêle tombaient ou lorsque le vent soufflait trop fort.

Faisant ce sinistre constat, les créatures du petit groupe se mirent à pleurer. Ils étaient persuadés que leur espèce était le moins aimée de Dieu, qu’Il les méprisait, qu’ils étaient la lie de Sa création. Un silence pesant s’était installé, alors que tous se regardaient mutuellement, chacun cherchant dans les regards des autres une réponse à ses questions. Mais ces regards ne portaient aucune réponse. Ils étaient juste dégoulinants de larmes.

Mais l’un d’eux était resté à l’écart du groupe. Il regardait vers les étoiles. Tous les membres du groupe le négligeaient, le considérant comme un faible d’esprit. Il leur répondait souvent “Heureux les pauvres en esprit...”, mais ne savait que rajouter à cette réplique. Pourtant, de tous, il était le seul à se demander ce que Dieu désirait, au lieu de se plaindre de son sort. Cet homme s’appelait Oane.


[b]Que veulent dire ses paroles.
Nous voyons avec cet extrait, ce que tout homme ou toute femme a connu au moins une fois dans sa vie; le doute.
Souvent en confession où lors de discussion avec des paroissiens j'entends des gens me dire " pourquoi Dieu m'a abandonné?"
En effet, dasn ces temps troublé, où la guerre nous encercle, où ma morale se fait de moins en moins présente, où les persécutions et les atteintes à l'âme et au corps sont de plus nombreuses, certains doutes en se demandant "pourquoi".
Faut-il les blâmer, non, bien sûr que non. Notre rôle est de les aider, de répondre à leur questionnement.
N'ayez crainte et comme Oane tournez vous vers le Seigneur et demandant vous plutôt ce qu'il vous a donné.
Croyez vous que Dieu abandonne ses enfants? Non bien sûr que non, mais l'inverse est souvent le cas.
La vie est loin d'être un long fleuve tranquille, je vous l'accorde, mais est-ce là l'œuvre de Dieu ou de ses Enfants.
Demandez vous ce que Dieu souhaite pour nous.
C'est en suivant ses règles et ses lois que le monde changera, non en se plaignant de celui-ci, car n'oubliez pas que c'est l'homme qui façonne le monde qui lui fut offert par Dieu, non Dieu. Je veux dire par là que l'homme a reçu un cadeau, le monde, mais que c'est lui qui a transformé ce cadeau en quelque chose de dur et froid, non Dieu.
N'oubliez pas mes enfants; "l'homme ne marche jamais seul. Dieu est toujours là". Il faut juste que l'homme accepte de marcher à ses côtés, alors à ce moment le doute partira et les choses changeront.


La chorale entonna alors un chant de supplication et de demande de pardon au Très-Haut. La foule reprenait avec ferveur les refrains.


Ecaterina se rendit à l'autel pour préparer la communion pendant que la foule constituait deux files dans l'allée centrale.





Allez en paix, mes enfants ! Que le Très-Haut nous garde et nous guide sur les chemins des vertus et de l'amitié aristotélicienne.

Sur ces paroles, Ecaterina remonta l'allée centrale et resta sous le porche afin de saluer les fidèles lorsqu'ils passeraient devant elle pour sortir.












Mun
Voilà plusieurs jours que la Garde Episcopale avait rejoint la Lorraine ayant ouvrée au non du Très Haut.
De passage à Nancy entendant les cloches appeler les serviteurs, Mun se dirigea vers les marches de la Cathédrale, saluant sa marraine Ecaterina, il prit place sur un des bancs devant l’autel.

La fraîcheur des lieux contrastait toujours avec la chaleur étouffante qu’il régnait dehors, il est vrai aussi que l’uniforme de Garde Episcopale en noir ne rendait pas la chose facile par cette chaleur.

Se signât, puis écouta Monseigneur.


Se répétant intérieurement le credo
Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.
Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
Envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.
Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.
Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.
Amen


Ecoutant les textes et les paroles une l’interpella plus que les autres
« Je veux dire par là que l'homme a reçu un cadeau, le monde, mais que c'est lui qui a transformé ce cadeau en quelque chose de dur et froid »
Il est vrai que les guerres grondaient de plus en plus a l’extérieur du Duché certain assoiffé de pouvoir ne voyant que pour eux même et leurs ambitions.

Mun prit place dans la fille de droite et suivi les fidèles pour communier reprenant sa place
Une fois de plus la messe dominicale avait été parfaite.
Remontant l’allée centrale à la fin de celle si, il rejoignit sa marraine pour la saluer

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Ecaterina
Citation:
la Cathédrale de Nancy est fermée pour cause de rénovation.
Les grandes messes se feront en attendant à Toul.

Merci de votre compréhension

Mgr Ecaterina de Sevillano
Louaneesperance
Louane entra dans la cathédrale qui semblait etre bien silencieuse. Elle prit place dans un banc devant l'hotel. Elle avait besoin de cela, de rester en communion avec elle même. Elle se mis à prier a voix basse.
Mun
Voilà plusieurs jours que la Garde Episcopale de Trèves était rentrée en Lorraine.
Leur missions avaient reprises patrouillant dans la ville surveillant les lieux de cultes .
Après les pluies des derniers jours, il fessait bon de revoir leur Duché de sentir à nouveau la terre et de voir arriver les premiers moments de l’automne.
La patrouille s’arrêta devant la cathédrale de Nancy et Mun le Premier Maréchal de la Garde y entra afin d’y goûter la quiétude des lieux..
Il y avait quelques temps que la messe y avait été donnée.
Mais avec notre nouvel Evêque la vie et le culte allaient reprendre en Lorraine.
dans quelques jours lui et Elou se retrouveraient icelieu majestueux, afin de témoigner devant le Très haut leur amour.

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Mun
La nuit était claire depuis quelques jours la rondeur de la lune et la couleur invitait à la promenade.. Regardant par la fenêtre de la forge Mun se mit à la contempler pensant à l’heureux événements qui venait de se produire sur ses terres.
Le sourire aux lèvres prenant son mantel le passant sur ses habits de forgerons.

Regardant la lune toujours sentant la fraîcheur de la nuit son regard fut attiré par une petite lueur qui venait de la cathédrale de Nancy.
Avançant lentement sur la place vide à cette heure, oubliant la lune Mun se dirigea vers les marches comme attiré.
Seul quelques chiens ramassant os et rats qui s’enfuyaient tournaient autour des étales.
Arrivé près de la porte après avoir monté les marches qui y menaient Mun abaissa son col et poussa la porte.

Il n’avait prit aucunes armes avec lui ce soir, voyant la chaleureuse lumière danser il s’avança vers elle la présence du très haut était toujours le témoin de la foi.
Cherchant un cierge qu’il trouva rapidement connaissant les lieux, il l’alluma à la flamme qui venait d’arrêter de sautiller dans toutes les directions.
Mun regarda vers les différents apôtres qui étaient immortalisés puis se dirigea vers une des nefs ou l'apôtre Kyrène se trouvait
Se souvenant de sa vie et des lectures qu’il avait faite retenant un des passages alors que l'hagiographie était plus complexe que cela.


Le choix de la raison, au moment de prendre une décision, est ce qui conduit vers le Très Haut, car la raison entraîne la compréhension, la compréhension conduit à l’amitié désintéressée, l’amitié conduit à l’Amour parfait, et l’Amour élève vers Dieu. La violence mène immanquablement vers l’exclusion et la rancœur, nous éloignant ainsi du Très Haut. Ainsi, l’élimination progressive de la violence est, en même temps, le secret des morales et le critère même de toute action politique qui se veut morale

Mun ne savait pas encore comment tout celà était arrivé comment il se trouvait dans une nef pour le moment, laissant son mantel sur un des dossiers gardant le cierge allumé en main, il versa quelques gouttes de cire sur le sol les regardants tomber comme des larmes, délicatement posa le fond du cierge sur la cire l efessant coller au sol.

S’assit sur une des chaises repliant sa jambe droite sous lui.
La lumière oscillait lentement comme si elle l’invitait à penser ou parler.
Mun ferma les yeux et comme si les mots vinrent sans les penser


Merci Aristote merci de m’avoir fait rencontrer celle qui m’a permit de revivre et de vivre.
Depuis la première fois et cela remonte déjà à Epinal si je me souviens bien.
Je n’ai eu de cesse à penser à elle.
Et demain

Levant les yeux vers le haut de la nef nous serons là tous les deux devant toi affirmant notre amour. Je l’ai fait souffrir quelques fois Baissant les yeux et ne peut être pardonné pour cela seul peut être ma jeunesse est ma faute.
Mais est ce vraiment une raison


Regardant vers la flamme alors que le cierge diminuait lentement laissant la cire s’écouler sur le sol comme la crème du lait débordant du chaudron.
Je sais une seule chose posant ses mains sur ses genoux comme pour affirmer ses paroles.
Je l’aime et elle est tout pour moi, jamais elle n’a peur affrontant les difficultés pas à pas regardant toujours devant elle et se souciant de son prochain.

Mun se retourna comme sil avait crié trop fort Mais personne à cette heure si tardive ne pouvait être dans les lieux.
Resserrant le col de sa chemise comme si le froid venait de le toucher.
Merci de nous avoir permis que nos chemins se rencontrent


Mun se leva regardant le cierge décliner de plus en plus puis lentement parti vers les deux grandes portes oubliant son mantel.
Sur les marches le sourire aux lèvres comme une joie qui naissait en lui posa la main sur l’immense porte en bois qu’il venait de refermer, pour en ressentir la chaleur.
Demain nous ressortirons unis devant le très haut tout en pensant à Elou.
Puis lentement se dirigea vers sa forge .

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Marjolainne
marjolainne n etais pas venue depuis un bout de temps .Elle rentra et vit sortir son neveu ,elle ne dit rien ,elle avait besoin d etre seule ,besoin de se ressourcer

elle se mis à genox et commenca à prier

aristote je voulais vous remercier d avoir fait que ma fille me soit revenue
je vous remercie pour le bonheur que j ai lu dans les yeux de ma niece
je vous remet l ame de mon fils flam,

marjolainne pleura ici car personne ne pouvait la voir, elle était fatiguée et se sentait seule,mais pour la Lorraine ,elle devait continuer

elle pria encore un peu ,puis se releva et marcha vers la porte,elle vit le mantel de son neveu et decida de le prendre . elle lui rendrait un jour ... peux etre quand il voudrait lui reparler..
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pnj
Mayella avait passé une partie de la nuit dans la cathédrale, prêt des deux fiancés au cas où ils aient besoin d'elle. Ils s'étaient remis en question toute la nuit, avait réfléchi sur leur engagement. Ils s'étaient mis chacun dans une nef, à bonne distance l'un de l'autre pour ne pas être tentés. Et Mayella avait surveillé ses deux amis qu'elle allait maintenant unir pour la vie. Elle commença à penser à son mariage, mais sentant son coeur se serrer, elle préféra se changer les idées en pensant à celui de ses amis.

Durant la journée, elle avait préparé la cathédrale. Ses amis étaient repartis chacun de leur coté pour se préparer. La mariée devait être la plus belle et le marié celui qui avait le plus d'atout. Dans la cathédrale, on pouvait y voir de magnifiques bouquets de fleurs. Tout avait été fait pour que la cathédrale soit à son meilleur jour. Dans l'air, on pouvait sentir les encens qui avaient et allaient servir à la cérémonie.

L'heure était presque arrivée. Mun l'avait rejoint. Elle l'avait enlacé comme une amie et non comme aurait dû le faire un évêque. Mais ils étaient encore seuls tous les deux et elle en profitait. Puis les deux témoins les rejoinrent. Malgré le différent qui opposait Torpedo et elle, elle ne fit comme si de rien n'était. Elou était toujours sa petite sœur et elle ne voulait pas lui gâcher ce moment.

Puis la lumière du soleil passa derrière les toits des maisons. L'heure était venu. Elle quitta son ami et alla sonner les cloches de la cathédrale.

Une fois les cloches sonnées, elle alla les rejoindre à nouveau, attendant que les fidèles arrivent pour partager un moment si important pour ces deux jeunes gens.
Elou
[Le 24 septembre... Le soir...]

Elou commencait à s'ennuyer, seule, chez elle. A peine quelques minutes plus tôt, elle avait reçu la visite de son aimé pour lui souhaiter la bonne nuitée mais aussi prendre de ses nouvelles face à l'évènement qui allait arrivé le lendemain. Maintenant, il était surement rentré dans sa forge. Elle s'était assise dans l'un de ses fauteuils, ayant allumé un feu dans son antre de cheminée, pour réchauffer la pièce. En effet, bientôt l'automne... les températures commencaient à descendre...
Ses yeux se perdaient dans les flammes du feu. Elle essayait de réfléchir à la journée qu'elle aura hier. C'était la première fois qu'elle allait se marier vraiment. Bien sur, elle avait déjà eu plusieurs demandes en mariage, mais c'était la première fois qu'elle s'investissait vraiment dans une relation.
Ne voyant pas les minutes passés, tant les flammes étaient prenantes. Finalement, elle décida de se réveiller un peu. Elle était sûre de son amour envers Mun, mais doutait encore de s'engager réellement. Elle regarda par sa fenêtre et se dit que seul le Seigneur pouvait répondre à son doute. Elle mit un vetêment chaud et sortit de chez elle. Elle ne ferma pas les lumières, histoire de dire qu'il y avait quelqu'un dans la maison. De plus, elle ne comptait pas s'absenter longtemps. Elle ferma la porte, puis se dirigea vers la sortie de Verdun.

Quelques minutes plus tard, elle était sur les chemins menant à Nancy. Elle avait prit raccourci pour y aller plus rapidement.
Une fois arrivée dans la ville de Nancy, qui par chance n'était pas encore fermée, elle se dirigea directement vers la cathédrale.
Elle ouvrit la porte, laissant passer une dame. A cause de l'obscurité du lieu, elle ne pu voir son visage. Enfin, elle rentra dans la magnifique cathédrale. Elle se signa et se dirigea vers l'une des nefs. Elle prit une bougie et l'alluma à l'aide d'une autre. Puis s'assit à une chaise. Elle croisa les mains, la bougie entre elles. Elle fixa la petite flamme, puis soupira.
Elle pensa dans sa tête, bien qu'elle était seule, elle n'aimait pas être entendue dans ce calme.

Seigneur... Je vous demande pardon en premier pour ne pas vous rendre visite souvent. Mais je sais que vous suivez chacun de nous malgré tout.
En fait, si je viens vers vous aujourd'hui, c'est que j'ai besoin de vous parler un peu... En effet, demain je me marie. Avec un homme formidable.


Elle ne se doutait que celui-ci était passé quelques temps plus tôt.

Seigneur... Est-ce un bon choix ? J'ai eu droit à plusieurs fois la demande, mais celles-ci, ont toutes échouées... Cela se répétera-t-il ?

Elle laissa passer un silence dans sa tête avant de reprendre. En fait, elle avait réfléchit à ses questions.

Je crois que Mun ne me fera pas souffrir comme cela. Du moins, je ne le connais pas sous cette face. Je lui fait entièrement confiance et laisse mon bonheur entre ses mains. Toutefois, son bonheur sera-t-il en sureté avec une femme comme moi ?

Elle soupira légerement, la flamme se mit à vasciller violemment. Elle leva les yeux vers l'une des statues. Puis, reporta son attention sur la bougie.

Je vous promets que je ferai de mon mieux. Je ne veux pas du mal à votre fils, qui est mon futur époux. J'espère que tout se passera bien et que je puisse lui apporter ce qu'il attends de moi.


Elle regarda à nouveau la statue, puis leva les yeux vers la plafond de la Cathédrale. Maintenant, elle était certaine de son choix. Elle laissa passer un sourire sur son visage.

Merci Mon Seigneur d'être là pour nous. Merci de m'avoir écoutée. Votre maison m'a aidé à réfléchir à tout cela.

Elle se leva et deposa la bougie à sa place précédente. Elle récita une petite prière en elle-même puis, s'avanca vers la sortie.
Avant d'ouvrir la porte elle se retourna vers le choeur de la cathédrale.

A demain Mon Seigneur.

Elle ouvrit la porte, se signa et sortit enfin. Puis, elle rentra chez elle, le coeur léger et heureuse d'avoir finalement fait son choix complet
.
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Mun
Malgré la fatigue Mun ne trouva le sommeil, l’énervement et l’excitation du jour ainsi que cette boule au creux de l’estomac.
Regardant la pièce au dessus de sa forge, la voyant bien petite cette fois, il se dirigea vers un meuble encastré dans le mur, ouvrant les portes, il en sorti son uniforme d’Aspirant Vidame
Celui si était tiré à quatre épingle
Mun le passa puis accrochant son épée serrant la boucle dorée. Regarda les insignes de son grade, les couleurs dorées et chatoyantes le fit sourire.
Contrastant avec celle de l’uniformeau couleur blanche liseré de jaune et d’or.



Il était prêt, son témoin avait les alliances.
La joie qu’il avait était vraiment intérieure cette fois tellement de sentiments d’amour envers Elou.
Mun sorti de sa forge et s’avança vers la place.
Entrant dans la cathédrale et rejoignit l’Evêque qui était plus qu’un Evêque pour lui la connaissant depuis longue date s’étant éloigné quelques temps mais heureux de maintenant se retrouver.
La serrant contre son coeur


La cathédrale était décorée de façon merveilleuse les senteurs des fleures comme si le printemps arrivait.
Tout cela est superbe

Regardant Mayella s’éloigner vers les cloches appelant pour cet événement les fidèles à assister à l’union de Elou et de Mun devant le Très haut.
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Frederic*guillaume
Frédéric était arrivé la veille au domaine de Mun. Il y avait retrouvé Choupinette et en était plus que ravi.
En ce merveilleux jour qui compterait pour Elou et Mun, Fedy se retrouvait dans un des carosses mis à la disposition des invités du domaine pour rejoindre la cathédrale de Nancy.
Et en face de lui, se trouvait celle pour qui son coeur battait de plus en plus vite.

Le mariage ! ce sacrement qui unit deux personnes, deux âmes pour la vie et même au delà.... pour l'éternité.....
Fedy tout en dévisageant Choupi pensait à Elou et Mun. Ils étaient fait l'un pour l'autre !
Ses pensées revinrent sur son sujet d'observation et sur les instants avant leur départ sur Nancy.
Quand elle apparut dans le vestibule du chateau, il fut ébloui et son coeur manqua éclater débordant de sentiments tendres et am......
Rien à faire ! Toujours cette éducation pleine de rigueur et de retenue, en toutes circonstances ! On exposait jamais ses sentiments !

Cette robe qu'elle portait, d'un vert pale, lui allait à ravir.
Fedy aimait le vert, couleur de l'espoir. Elle ne pouvait pas lui faire plus plaisir. Elle était délicieuse et si jolie et si charmante et si......
Tout les qualificatifs y seraient passés si le carosse ne venait pas de s'arrêter.
Le portillon s'ouvrit et Frédéric-Guillaume en descendit. Tirant sur ses manches, il regarda autour de lui, voyant d'autres carosses s'arrêter et les invités et amis en descendre. Puis il se tourna et tendit son poing vers l'intérieur du carosse.
Sa cavalière y prit appui et sortit avec grâce du carosse.
Puis ils montèrent les marches du parvis de la cathédrale et y pénétrèrent.
Torpedo8
Torpedo pressait le pas en direction de la Cathédrale de Nancy. Cela faisait presque une semaine qu'il attendait ce moment avec la plus grande impatience. Sa petite soeur allait enfin pouvoir vivre heureuse au côté de Mun von Frayner. Et le jeune lorrain en était véritablement ravis. Il ne cessait de mettre sa main dans sa poche pour vérifier qu'il ait le plus important. A chaque fois il sentait la même petite boite douce qui enfermait les précieux symboles.

Il ralentit le pas quand il vit enfin l'édifice religieux. Il se dégoudit le cou et réajusta son uniforme d'apparat, vêtement qu'il ne sortait qu'en d rares occasions. Même mieux que cela, il était parvenu à avoir une dérogation de la part du monastère pour venir icelieu. Enfin, disons que cette dérogation avait été un peu forcée mais qu'importe.

Il monta doucement les marches... La main dans la poche une dernière fois... Il poussa un soupire de soulagement. Il pénétra dans la nef centrale, avançant à grands pas silencieux à travers l'édifice. Il vit la silhouette de Mun dans un impeccable uniforme. Ces galons resplendissaient et Torpedo sourit. A ses côtés se tenait le nouvel Evèque en la personne de Mayella. Arrivant aux côtés de Mun, le jeune homme lui posa une main rassurante sur l'épaule. Il avait réussi à ne pas être trop en retard...
Kevindesflandres
kevin arriva en marchant lentement dans la cathédrale. Il sourit en pensant à ce jour heureux pour son ami tout en repensant au jour de son mariage qui changea sa vie. Il admira l'architecture de ce lieu saint tout en cherchant une place dans un coin de la cathédrale. Une fois la place trouvée il s'assit attendant le début de la cérémonie.
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