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[RP CULTE] La Cathédrale de Toul

Mcchipie
Mcchipie écouta avec ferveur le texte sélectionné par son Parrain. Elle en saisit le sens et comprit combien elle était heureuse d'entrer dans cette famille du baptême. Elle sourit à Guise et à son amie Ellebasi.
Tophe69
Tophe était entré seul dans la cathédrale, s'installant au fond
Il cherchait du regard des personnes connues et surtout son amour qu'il savait présente.Un sourire vint illuminer son visage quand son regard croisa Atalantia.

Puis Tophe jetta un regard complice à ses amis présent, rassurer de voir tout ses visages connus.

il écouta la fin cérémonie
pnj
Mayella remercia Guise pour sa lecture du texte sur la vie de Chritos. Puis elle demanda à Mun de lire à son tour un texte.
Mun
Mun s’avança lorsque Monseigneur Mayella l’appela
Prenant la place que son Frère venait de libérer après l’avoir écouté, lui aussi avait choisi ce texte comme quoi les grands esprit se rencontre, lui adressant un coup d’oeil en le croissant Mun se tourna vers l’assemblée réunie la regarda puis tournant son regard vers son filleul Uriel lui adressant un sourire.
Ce texte lui plaisait il était un des premiers qu’il avait lu lors de ses formations le dialogue sur l'ame
S’éclaircissant la voix


Citation:
Depuis quelques mois déja Aristote et sa famille habitaient à Pélas, la ville capitale de la Macédoine. Nicomaque, son père, venait en effet d'être nommé médecin personnel du roi de Macédoine, Amyntas II. Aristote grandissait en sagesse sous la direction éclairé de son precepteur. Un jour, alors qu'Aristote revenait de la palestre, il s'assit sur une fontaine de la cour intérieur de la maison paternelle, et demanda à son precepteur:

Aristote: "Maitre, par quelle merveille l'homme peut-il penser, alors que les animaux ne le peuvent point?".

Son precepteur, Epimanos, lui répondit:

Epimanos: "Qui peut prétendre lire le livre de la nature et en tirer les secrets des dieux? Aristote je te le dis: nous ne savons pas si les animaux ne pensent pas. l'homme pense, cela est certain. Mais les animaux? Sommes nous dans leur esprit?".

Aristote: "N'êtes vous pas d'accord noble maitre, que l'homme est sans cesse en quête de nouveauté?".

Epimanos: "Oui, certes, il est rare de voir l'homme tenir en place, et se contenter de ce qu'il possède et de ce qu'il sait. "

Aristote: "Hélas oui, c'est bien rare, et souvent je me dis qu'il vaudrait mieux pour l'homme d'être heureux dans la vie simple des anciens. Toujours est il que cette recherche incessante se retrouve sans cesse chez l'homme. Mais dis moi Noble Epimanos, cette quête de l'homme, n'est elle pas la preuve la plus évidente de son esprit et de son intelligence? "

Epimanos: "Je vois ce que tu veux dire: si l'homme ne cherchait pas sans cesse, alors cela voudrait dire qu'il se contente de ce qu'il a reçu, qu'il n'innove pas, qu'il ne pense pas même. En fait seul cette curiosité de l'homme nous garantie l'existence de son esprit."

Aristote: "Effectivement, c'est ce que je voulais dire. Je vois bien que je n'ai rien a t'apprendre. Mais continuons un peu. Tu possèdes un beau chien je crois? Un lévrier?"

Epimanos: " Oui, un cadeau de notre roi pour mon comportement à ses cotés lors de la dernière guerre contre les envahisseurs celtes. J'y suis très attaché."

Aristote: "Je te comprend. Quand tu élèves ton chien, comment fait tu?"

Epimanos: "C'est bien simple: je lui impose de faire quelque chose, et quand il le fait correctement je lui offre une récompense. Et s'il le fait mal je le puni légèrement."

Aristote: "Parfait! Une fois dressé, il fera toujours bien ce que tu lui as appris à faire n'est ce pas? Il a compris que s'il ne fait pas ce que tu lui demande il ne sera pas récompensé."

Epimanos: " En effet. Mais je ne vois pas où tu veux en venir. "

Aristote: " A ceci mon maitre: ce chien si noble et si bien dressé ne fait ce qu'il fait qu'en vertu de ce que tu lui as appris. Il ne le fait pas de sa propre initiative et une fois dressé il n'est plus en mesure de changer. N'êtes vous pas d'accord?"

Epimanos: " Il est vrai que pour le faire changer il faudrait le dresser à nouveau, et le punir alors qu'on le récompensais jadis. Et le pauvre deviendrai fou. Ce serait scandaleux."

Aristote: " Oui. Mais n'avons nous pas dit tout à l'heure que c'était la curiosité de l'homme et sa capacité à inventer de nouvelles choses qui montraient que l'homme avait un esprit?"

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Uriel
Le regard que le Maréchal Mun posa sur Uriel l'invita à écouter attentivement sa lecture.
Il s'imprégna des paroles et analysa la lecture tout en acquiesçant les sages propos d'Aristote et de son maître Epimanos.

La lecture semblait avoir été choisie à dessein, car elle lui correspondait bien.
Une phrase en particulier le fit sourire lorsque Mun la prononça : "... alors cela voudrait dire qu'il se contente de ce qu'il a reçu, qu'il n'innove pas, qu'il ne pense pas même ...".

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pnj
Mayella s'approcha des trois futurs baptisés.

Mes Enfants,
Vous avez fait le choix d'entrer dans la communauté aristotélicienne. A partir de ce jour, votre vie ne sera plus la même. Votre âme va être illuminée par la Foi, vous allez être guidé par le Très-Haut. A partir de ce jour, ce qui doit vous importer n'est autre que le salut de votre âme.


Mayella les regarda tous les trois.

Mes Enfants,
Suivez moi.


Elle avança jusqu'au baptistaire.

Veuillez répéter après moi le serment d'allégeance à l'Eglise.



Désolée pour le temps d'attente.
Mcchipie
Mcchipie suivit Mayella et prononca le serment d'allégeance de l'église :

Je reconnais en Dieu le moteur du monde, la pensée suprême et la cause efficient et finale du monde.
Je reconnais l'église Aristotélicienne comme mon guide dans la connaissance de Dieu, et je jure de lui rester fidèle ainsi qu'à son autorité, seule représentante sur terre de l'Etre Divin.
J'accepte tout cela de ma propre volonté pour le salut de mon âme en vue de ma resurrection près de Dieu sans la contemplation éternelle de Sa Beauté.
Je désire que mon nom apparaisse comme baptisé et serviteur de Dieu tout puissant.
pnj
Mayella se tourna vers Mcchipie, première à prononcer son serment. Elle tenait un cierge dans les mains.

Que cette lumière éclair ton âme mais puisse aussi éclairer celle des autres. Soit un exemple et un modèle pour ceux qui souhaitent te suivre. Montre leur le chemin.

Puis elle lui tendit le cierge.



Elle pris une médaille et la lui tendit.



Maintenant qui tu es une fidèle aristotélicienne, prends cette médaille et porte là.
Ellebasi40
Ellebasi suivi Mayella et Mc pour le serment d'allégeance de l'église.

Je reconnais en Dieu le moteur du monde, la pensée suprême et la cause efficient et finale du monde.
Je reconnais l'église Aristotélicienne comme mon guide dans la connaissance de Dieu, et je jure de lui rester fidèle ainsi qu'à son autorité, seule représentante sur terre de l'Etre Divin.
J'accepte tout cela de ma propre volonté pour le salut de mon âme en vue de ma resurrection près de Dieu sans la contemplation éternelle de Sa Beauté.
Je désire que mon nom apparaisse comme baptisé et serviteur de Dieu tout puissant

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Patience ,Miséricorde Aime Soigner de tout son coeur ...
pnj
Ellebasi fut la deuxième. Mayella lui tendit le cierge.



Mon Enfant,
Reçois la lumière du Très-Haut qui te guidera même au travers des doutes et des questions qui pourraient t'envahir. Sois, toi aussi, un exemple pour la communauté aristotélicienne.


Puis elle se tourna et lui tendit un médaillon.



Porte cette médaille, symbole de ta foi.
Uriel
Uriel laissa passer devant Ellebasi et Mcchippie ; il se dirigea ensuite vers le baptistaire.
Il ferma les yeux écoutant les deux autres baptisées prêter leur serment.

Son coeur s'accéléra lorsque ce fut son tour :


Je reconnais en Dieu le moteur du monde, la pensée suprême et la cause efficient et finale du monde.
Je reconnais l'église Aristotélicienne comme mon guide dans la connaissance de Dieu, et je jure de lui rester fidèle ainsi qu'à son autorité, seule représentante sur terre de l'Etre Divin.
J'accepte tout cela de ma propre volonté pour le salut de mon âme en vue de ma resurrection près de Dieu sans la contemplation éternelle de Sa Beauté.
Je désire que mon nom apparaisse comme baptisé et serviteur de Dieu tout puissant.

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pnj
Et voici le dernier futur baptisé qui devenait baptisé. Mayella lui tendit le cierge.



Que cette lumière te guide pour tes choix futurs et dans ta vie. Qu'à travers toi, les autres soient aussi illuminés par Dieu.

Puis elle lui tendit le médaillon.



Prends ceci, le médaillon des fidèles, et porte le pour montrer à tous quel est le chemin à prendre.
Uriel
Uriel prit le cierge et le médaillon.
Il sourit à Mayella en un silencieux remerciement - quelle bonheur de rentrer dans la grande fraternité aristotélicienne !

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Ellebasi40
Ellebasi pris le cierge et le médaillon et sourit a Mayella .
Tellement heureuse d'être baptisée que j'en avais les larme au yeux de bonheur et fière de faire parti de cette grande famille de frère et soeur
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Patience ,Miséricorde Aime Soigner de tout son coeur ...
Frederic*guillaume
La cérémonie s'achevait. C'était toujours des moments émouvants.

Frédéric sortit de la rangée et fit un signe aux gardes d'en faire de même.
Puis passant devant eux, ils partirent vers le fond de la cathédrale et sortirent. Ils les plaça sur les marches du parvis de telle sorte qu'ils fassent une haie d'honneur aux nouveaux baptisés et à leur frère Uriel en particulier.
Puis ils attendirent leur sortie.

Une belle fête aurait lieu à Trêves et plus tard à la citadelle de la Garde.

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Frédéric-Guillaume* von Frayner d'Azayes
Baron de Dounoux et d'Ancerville

(IG : frederic*guillaume)
Bannière en cours de réfection
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