Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, ..., 58, 59, 60, ..., 84, 85, 86   >   >>

[RP CULTE] La Cathédrale de Toul

pnj
Vêtu de ses plus beaux atouts, le jeune Henri entra dans la cathédrale de Nancy. Il regarda autour de lui, personne n’était encore arrivé et c’était tant mieux ! Il se dirigea rapidement vers le premier rang pour s’asseoir. Le large sourire qu’il affichait commença à s’effacer au fur et à mesure que le temps passé. Au bout d’une heure à attendre, il finit par se lever et se dirigea vers la sortie en trainant les pieds ….
Peut-être était ce encore trop tôt pour la messe de demain …
Mrpicole
Mrpicole était entré dans la cathédrale,il avait mis son plus bel habit fait cirer ses chausses,bien coiffé et tout,il jetait des regars partout mais il ne trouvait pas la personne qu'il cherchait.

-Un prêtre , je cherche un prêtre.....

Personne n'était la visiblement a part un citadin un peu plus loin,déçu mais pas désapointé pour autant Mrpicole resta a atendre encore un peu.
_________________
je n'achète pas de credit sur un jeu qui se moque des joueurs qui le font vivre,faites en autant.
heureusement que se jeux est gratuit pasque sinon......
pnj
Mayella revenait de sa retraite d'une semaine. Durant ce temps, elle avait pu se recueillir. Elle vit du monde dans la cathédrale. Mrpicole était là. Que lui voulait-il donc? La erni§r entrevue qu'elle avait eu avec lui ne lui avait présenté qu'un homme rustre. Mais il était un de ses paroissiens. Elle s'approcha donc.

Bonjour Mon Enfant.
Puis-je vous être utile en quelque chose?
Mrpicole
Mrpicole apercu Mayella et pris un temps de pause avant de parler ,puis commenca.

bonjour je voudrais me faire baptiser et connaitre se que je ne sais pas que puis-je faire pour cela?

Mrpicole avait pris beaucoup de temps avant de répondre et avait a cause de cela une mine un peu désolée.
_________________
je n'achète pas de credit sur un jeu qui se moque des joueurs qui le font vivre,faites en autant.
heureusement que se jeux est gratuit pasque sinon......
Mun
Voilà plus d’un mois qu’ils étaient parti de Trèves traversant Duchés et Comtés leur chemin les menant jusqu’en Bretagne.
Traquants brigands détrousseur de chemin et hérétiques .
S’arrêtant dans les églises et cathédrales afin d’y retrouver le Très haut et prêter aide et assistance ou il étaient appelés.
Puis se profila devant eux la ville de Blois, voilà plusieurs jours que le porte Gonfanon de la Province était fiévreux crachant glaire au sol accompagné de fine traînée de sang.
Le Vidame prit lé décision de le laisser au bon soins du curé de Blois lui promettant de venir le rechercher dés son retour alors qu’il aurait repris force.

La journée passée le détachement reprit la route vers Fougères ne s’arrêtant que pour ce nourrir, le froid glaçait les mains et les chevaux souffraient des conditions, le peu de nourriture qu’ils pouvaient manger fessait apparaître les os sous leur peau.

De grande muraille de couleur ocre s’élevèrent au petit matin devant eux Fougères était là, serrant les flancs de leur monture rapidement ils furent accueilli par les villageois qui les attendaient leur apportant nourriture et de quoi se changer.
Plus d’une semaine se passa observant et patrouillant, continuant leurs exercices de maniement d’armes prêt à intervenir sur la capitale si cela avait été nécessaire.
Les chevaux avaient enfin reprit leur panse généreuse après que bon nombre de bléiculteur avait apporté leur réserve pour les nourrir.

Alors que le soleil se levait sur la neige qui durant la nuit avait recouvert toute la région, un pigeon de Lorraine arriva avec des nouvelles alarmantes.

La menace sur la Bretagne étant tombée grâce aux actions des gardes Episcopaux Bretons et du Capitaine Kildragon, le détachement de Trèves se prépara à rejoindre sa terre natale.
Lors d’une cérémonie en la cathédrale ou les deux détachements de Gardes firent honneur à leur réputations, uniformes et armures soignées pour cet occasion face à face sur les marches de la cathédrale ils se saluèrent pas comme militaire mais comme frère d’arme regrettant de ne pas avoir eu plus de temps pour ce connaître mais que si Aristote un jour leur permettrait de se rencontrer une nouvelle fois.

Le campement était levé et les chevaux prêt, l’âme en peine mais la Lorraine les appelaient ils reprirent la route celle si était recouverte de neiges cette fois, l’avance difficile et freinée pars les chemins qui avaient disparus.
Ne s’arrêtant que à Blois une journée partant rechercher leur frère d’arme espérant qu’il avait repris force et que sa maladie l’ai quitté.
Le Curé de la ville les accueillis, son air été grave ses mains jointes comme si il priait.
Les gardes cherchèrent du regard leur frère Lord_Vador nul présence de lui .
Un Diacre arriva après un geste du curé apportant épée et armure de la Garde Episcopale, l’uniforme gris avait été nettoyé et plié.
Le vidame de Trèves prit le paquet qui lui était tendu comprenant que son frère avait succombé à la maladie.

Alors qu’ils se fessaient une joie de récupérer le porte Gonfanon de la Province, cette journée fut consacrée à la prière et ils montèrent de garde devant la tombe recouverte de cette neige blanche, le vent froid transperçant l’uniforme Mun se mit à genou devant la tombe et pria pour le Garde qu’il avait bien connu.
Chaque Garde se plaça devant la tombe et à son tour pria.
Le détachement venait d’avoir sa première perte le premier garde de Trèves venait de mourir en service.
Mun prit l’épée que Lord_Vador avait et la déposa sur le petit monticule .
Tu n’en auras pas besoin ou tu vas
certain que le Très haut à une place auprès de lui.Cette épée sera le témoignage pour tous ceux qui passeront devant ta tombe se souviendront que un jour tu as été un défendeur de la foi.

Le détachement se remit en route le silence les accompagnaient cette fois aucunes haltes ne fut prévues juste quelque passage sur des marchés ou le peu de nourriture témoignait des rigueurs de la saison.
Plusieurs jours se suivirent ou le froid s’intensifia de plus, les arbres s’emblaient figés, la nature comme morte des Loups en bande parcouraient les villages.
Impossible de dormir restant éveillé sur leur monture ils avançaient vers la Lorraine.

S’arrêter s’était mourir de froid ou dévoré.
Le pain avait durci comme de la pierre et le peu d’eau qui restait ne servait plus à rien.
Ils ne pouvaient abandonner maintenant ont les attendaient.
Marchant aux côtés de leur monture la plus part du temps l’épée à la main prêt à transpercer qui que se soit arriverait devant eux .

Puis comme si ils avaient été entendus dans leur prière le soleil ce leva sur cette glace.
Il était là, illuminant le nuit dont ils sortaient, le soleil ces rayons dardant la terre telle le Très Haut fondateur écartant ses mains accueillant ses enfants.
Les yeux plissés par la lumière ils ressentirent rapidement cette chaleur qui sur leur visage semblait comme une douce caresse, réchauffant aussi leur cœur, ne voulant succomber à la nuit .
Nul question de s’arrêter, les gardes l’avaient très bien compris, seul en mémoire, mais personne n’en parlait, leur frère si loin d’eux déjà.
Le pain avait dégelé après deux jours, première nourriture que les Gardes pouvaient enfin manger, la partageant avec leur monture.
Le froid avait marqué leur visage malgré leur longue cape noire brodée aux insignes de la garde. Les yeux enfoncés dans leur crâne, les lèvres coupées comme si dague y avait fait son office et les mains dont certains doigts ne bougeaient plus.
Seul la flamme dans leurs yeux si on avait pu y regarder brillait cette flamme témoin de leur serment et de leur force à le défendre.

Sortant de la foret leur regard fut attiré pars les première fumées qui montaient l’horizon.
Une ville enfin s’écria le Vidames.
Reprenant les rennes de leur monture, ils partirent au trot vers les remparts qui se dressaient devant eux.
Reconnurent la milice qu’ils avaient croisées il y a bien longtemps les saluant au passage, le Gonfanon de la ville fut déployé par le Vidame et ils entrèrent Verdun.

_________________
Choupinette73
Choupinette qui était à l'arrière de la lance vit s'élever vers le ciel le Gonfanon de la Vidame après sur le premier maréchal les est informé qu'ils arrivaient en vue d'une ville ;
Elle sourit ,elle espéra au plus profond de son cœur bien que le maréchal l'est tenue informer des événements ,mais enfin elle y était et c'est pour rester cette fois .
Depuis combien de jours étaient ils en attente de cette vision ,des jours pour sa part et la mort de l'élève Lord Vador avait été un coup dur pour tous ,surtout de le laisser reposer loin de la terre de sa famille ,a cette pensée Choupinette eut un frisson ,comme il était fier de porter les couleurs de Trêves la première fois qu'elle l'avait vu et quel élève appliqué avait il été à ses cotés ?
Elle secoua doucement la tête ,leur mission avait été longue ,le froid ,la neige et les longues nuits d'attente n'avait à aucun moment ébranlé le moral de chacun .
Elle était assez fière de cette mission et le premier maréchal aussi puisque au cours de celle ci ,elle avait pris du grade .

Elle s'aperçut que les montures du premier maréchal ,Uriel et Domi avaient pressées le pas et même cherchaient à se mettre au trot ,mais Safran lui ne rentrait pas chez lui ,il ne devait pas se souvenir de leur visite à Verdun ,alors elle lui donna doucement un coup dans les flancs pour le faire suivre au rythme des autres .
Enfin devant elle les remparts furent là et ils firent leur entrée dans la ville ,heureux et fier ,mais poussiéreux et fatigués.

Ils prirent la direction de la vidamie et Choupinette donna ses derniers ordres afin d'être prête en cas ou ils devraient repartir rapidement .
Hobb


Le Bruder Teutonique Hobb Siegfried VonKorwald entra dans la cathédrale de Nancy. Il s'agenouilla se signa et se releva.
Il s'avançait dans l'allée centrale. Il était tout de blanc vêtu sa cape était frappé de la croix noire.
Sur sa botte droite un filet doré montrait l'emplacement de son couteau à lancer. Ses armes il les avait laissé sur sa monture Tapfer.
Il tenait sous le bras gauche son heaume à tête de molosse anglois, avec sept plumes de paon marque de son appartenance aux Manteaux blancs et Haut Dignitaire.
Humblement il se tenait face à l'autel et pria pour ses Soeurs et Frères des Sanctes Armées. Et ceux Teutoniques plus spécialement qui l'accompagnaient en belle terre de Lorraine.
Le Seneschall récita les paroles du chant Teutonique :


Rendons grâce au Très-Haut!

Nous sommes Tes humbles serviteurs spirituels.
Nous sommes Ton bras armé et intransigeant.
Ô Toi notre Juge et notre Créateur,
En Toi nous croyons et à Toi nous nous soumettons.

Nous nous en remettons à Ta sainte volonté,
Pour la Paix et la Justice, la Vérité et le Bien,
Pour la Foi et l'Espérance, la Vertu et la Tempérance,
Par le verbe ou par le fer, accordes-nous la victoire!

Déploies Ton bras divin au-dessus de nous,
Rends-nous forts et valeureux d'esprit et de corps,
Permets-nous d'éclairer les ténèbres du sans nom,
Sois le témoin de notre loyauté à Ton service.

Pour notre sacrifice acceptes-nous en Ton sein,
Ne détournes pas le regard de nos âmes fidèles,
Et le jour venu délivres-nous de notre enveloppe sur Terre
Pour que de là-haut nous T'aidions dans Ta lourde tâche
Ainsi que nous le faisons de notre vivant.


Comme à son habitude il répéta les trois dernières phrases :
Et le jour venu délivres-nous de notre enveloppe sur Terre
Pour que de là-haut nous T'aidions dans Ta lourde tâche
Ainsi que nous le faisons de notre vivant.


Hobb se recueillit encore un instant puis quitta le lieu Saint et rejoignit seine Schwester et seine Brüder.

_______________________
_________________
Frederic*guillaume
Nancy

La garde épiscopale, depuis quelques jours à Nancy patrouillaient quotidiennement autour des lieux saints.
Les habitants les connaissaient bien car ils étaient présents à toutes les grandes cérémonies qui avaient lieu en la cathédrale.
Certains ne manquaient pas de les interpeller lors de leur patrouille dans les rues ou aux abords du parvis. Ils demandaient de leurs nouvelles, parlaient de leurs préoccupations quotidiennes et des derniers évênements.

Il arrivait même que le capitaine ferme les yeux, souriant sans le faire voir, lorsqu'un enfant était pris à cheval entre les bras d'un garde, fier de faire quelques pas à cheval parmi la garde épiscopale.
Peut être ferait il une nouvelle recrue plus grand ?

Quotidiennement, les gardes mettaient pied à terre et laissant sous bonne garde leurs chevaux à un groupe de gosses qui les guettait chaque jour, ils allaient assister à un office ou tout simplement se recueillir et prier.

_________________
Frédéric-Guillaume* von Frayner d'Azayes
Baron de Dounoux et d'Ancerville

(IG : frederic*guillaume)
Bannière en cours de réfection
Mun
Les bras sur une charrette aidant un des meuniers qui ramenaient sa farine à sa demeure Mun s’arrêta les galops de chevaux résonnant sur les pavés de la place du marche.
Un détachement de l’Ost Lorrain arriva les couleurs de La lorraine sur la droite et l’étendard de L’ost sur la gauche.
La foule était toujours rassemblée depuis plusieurs jours devant le conseil marquant son inquiétude les regards interrogatifs et ne voulant que défendre ce qu’il avait de plus chère leur terre et la Loraine.
Mun tourna son regard vers le cavalier qui venait de s’arrêter devant lui, tendant un parchemin.
Le Vidame le prit, la fatigue marquant son visage.
A peine la missive délivrée que le détachement reparti au galop bannières flottantes au vent.


Mun reconnu le sceau de la Duchesse, pressé décacheta le parchemin puis le lu.
Surpris un instant, mais vite passé, respectant les décisions qui étaient prisent.
Mun se redressa s’excusant au meunier de ne pouvoir l’aider plus, se dirigea vers une des auberges de la ville voyant un détachement passer reconnaissant ses frères de l’ordre Teutonique leur fier allure le regard froid cette lueur dans leurs yeux la même que celle qu’il voyait dans la Garde de Trèves.


A peine la porte poussée qu’un rouquin traînant derrière lui une cuisse de jambon essaya de le bousculer.
Les cris du tavernier

AU VOLEUUUUUUUUUURRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRR
L’attrapant par le col le souleva du sol les jambes du jeunot essayant de le frapper défendant son vol comme il le pouvait.
Soufflant comme un boeuf le tavernier arriva balançant les bras vers le plafond
Remerciant par mille fois tous les saints
Mun pointa un doigt vers le tavernier le fessant taire
Puis regarda le rouquin qui s’était calmé se entant prit et le déposa sur le sol tout en le retenant
.

Regarde mon uniforme il est celui de la Grade Episcopale de Trêves
Le gamin d’un regard admirateur fixa les yeux de Mun qui souriait intérieurement. Voyant qu’il avait compris.

De cette viandaille tu pourras en manger mais,…. .
Secoua le col du petit voleur
Les yeux du rouquin s’illuminèrent comme si le feu venait de s’embrasser en lui pensant à écus et autres choses.
Retrouve en cette ville tous mes frères qui portent même habits
Mun regarda le morceau de viande hochant un peu la tête.
Nul besoin d’explication supplémentairelâchant le col du jeunot qui s’ enfuit en courant vers la place bousculant au passage quelques maréchaux.

Léger soupir du Vidame puis regardant vers le tavernier qui n’avait bougé

Et bien alors ta viandaille s’est comme cela que tu me la prépare .
Mun ramassa le jambon et le donna au tavernier qui disparu dans le fond de l’auberge.
_________________
Choupinette73
Choupi sortait de la foret après sa rencontre avec une louve affamée à qui elle avait donné un lapin,lorsqu'un jeune garçon se précipita vers elle en criant :

D'me,D'me vous êtes de la ......heu .....Garde....enfin vous portez un uniforme bien joli et un monseigneur m'a dit de vous retrouver ,mais il ne m'a pas parlé de d'me .

Choupi l'attrapa par les épaules et se mit à sa hauteur de façon à voir ses yeux en souriant:

Calme toi ,mon gars et si j'ai bien compris ,mon supérieur t'a demandé de retrouver les gardes épiscopaux ,c'est ça ?

Oui,D'me, les autres gens en uniforme comme lui ,mais vous, vous êtes une femme.

Tres bien,ne t'inquiètes pas je suis aussi un garde ,mais seulement peux tu me dire ou je peux le trouver .

La bas ,l'enfant lui indiqua une auberge un peu plus loin ,a l'auberge .

Alors file vite chercher les autres gardes va voir près des écuries ,allez file !!!

L'enfant reprit sa course et Choupi après avoir siffler Rapide se dirigea vers l'auberge .

Lorsqu'elle entra ,il lui fallut un instant pour reprendre son souffle et trouver la table ou le premier maréchal avait pris place.

Mes respects ,Monseigneur, vous m'avez fait demander?
Uriel
Uriel revenait des champs où il avait travaillé ce jour.
Il avait préféré travailler dans son champ car le labeur était particulièrement grand.
Un gamin vint à sa rencontre.


Hé vous, là ; vous portez l'insigne de la garde, non ?

Oui, mon garçon ?

Heu ... il y a un type qui vous cherche, il a pas l'air commode ...

Le jeune décrivit la personne, exagérant certains traits ; Uriel sourit, et rit même intérieurement, le garçon devait parler du Maréchal.

Et ... ?

Faut que vous alliez à l'auberge.

Ah bon ? Pourquoi ?

Je sais pas, c'est tout ce qu'il m'a dit ...
Et je dois trouver les autres comme vous.


l'enfant ne tenait pas en place, si pressé qu'il était ; il regardait toujours derrière lui tellement Mun avait fait forte impression sur lui.

Bon, d'accord, j'y vais - mais ... ne tarde pas à retrouver les autres, sinon ... le Maréchal va t'emmener avec lui à la citadelle.

le garçon écarquila les yeux, pris de panique et s'enfuit vers la forêt.
La plaisanterie de l'aspirant-major avait fait mouche, mais maintenant il avait mauvaise conscient de l'avoir effrayé.
Il le héla :


Gamin ! Gamin ! Allez viens, c'est pour rire, gamin !
Gaaamin ! Tu ne vas pas rester tout seul dans ce bois !


l'enfant reparu au loin et Uriel se dirigea vers l'auberge ...
_________________
pnj




Un enfant venait a moi en haillons sale maigre mal nourri son regard
se projeta sur mes poches si il y avait une bosse ou l'empreinte d'une pièces.

-ta une pièce pour moi j'ai faim ou une miche de pain, je n'es pas manger aujourd'hui regarde dans tes poches, comment tu est habiller t'ai qui toi
un soldat, un marchant de bien, aller donne ce que tu as dans tes poches
pitié.
-Par se temps tu traine dehors, rentre chez toi ou son tes parents tien une pièce ou deux pour t'acheter quel que friandises, non tu vois je fais parti de l'épiscopale tu connais quand tu sera plus grand tu viendra nous rejoindre, ne reste pas comme ça, cherche quel que travaille, pour au moins te payez ta pitance de tout les jours, et tes parents ils sont ou
sais la misère aussi chez toi. Comment tu t'appelle dit moi?..
-Moi comment je m'appelle on m'appelle, kikirasmotte, j'ai treize ans Damoiselle, et toi. Non mes parents je n'en est pas j'ai été abandonner sur les marche de l'église dans un panier, je n'ai pas de père ni de mère je n'ai personne qui m'aime moi!...

d'une main je lui caressai la tête ces cheveux été poisseux il ne sais jamais laver la tête ni brosser ce pauvre enfant.

-Alors kikirasmotte, tu sais moi aussi je suis orpheline, mais je me suis battu et je suis arrivée
comme tu vois, j'ai travailler dans les champs mais en premier a la mine
j'ai couper du bois j'ai fait toute sorte de travaille, par les gents qui m'employaient j'ai eux des points de confiance a l'église des points de réputation et doucement j'ai fais mon nid, et il ni a pas très longtemps je suis rentré a L'Episcopale et aujourd'hui je suis Aspirant Sergent, alors
fait comme moi va a la mine travaille a l'église suis la messe le Dimanche
et le Mercredi tu verra tu ira mieux rejoins Aristote notre Prophète et
tout c'est Saint lis les Pastorale instruis toi.

-Oui Damoiselle je vais le faire ce que vous me dite je vous le promet
mais j'ai faim je ne peu pas travailler le ventre vide je n'ai pas beaucoup
de force mon estomac gargouille et mes pieds me fond mal.


-je vais m'occuper de toi kikirasmotte, moi je suis Ambre De Saint Denys je viens de Vaudèmon mon père adoptif été le Capitaine de Lorraine, aller viens, je ne te laisse pas comme ça suit moi

Je partis faire Boutique avec lui avant je le lavait a la fontaine du village
il été beau, des grands yeux bleu un beau teint rosée des cheveux blond
frisés on aurai dit un petit Prince, j'aimai cette enfant sans le connaitre
Nous avons ris comme des petits fous, ma solde en poche, je l' habillai du pieds a la tête tout neuf
Manger comme dix et les poches plain de bonbon. Il riait au éclat il était heureux et moi aussi. Je le laisser a l'église pour qu'il travaille aujourd'hui
toujours cinq écus de gagner ça pitance pour demain en lui recommandant de revenir pendant deux jours et après il pourrait aller a la mine et se faire un petit pécule, prendre des forces et par la suite aller au champ.
Les enfant sans toit trainant dans les rues mal lavé en haillons pieds nus
me faisait mal au coeur, ils cherchaient quelque fruits a ramasse sur le marcher qui trainer par terre.

Ambre Aspirant Sergent De La Garde Épiscopale Romain




Elou
Dans une épicerie, se trouvaient toutes sortes d'aliments necessaire à la nutrition de tout individus. des étagères étaient placées à l'exterieur pour attirer l'oeil du client potentiel, sous la surveillance vigilante du patron du commence. Un Garde de la Garde Episcopale étant devant l'une des étagères, le commercant venant à sa rencontre. Elou avait été interessée par quelques légumes dont il manquait dans son patager, ainsi que dans celui de son époux. Le commercant la reconnu.

- Oh, Votre Grasce ! Vous savez mes légumes sont les meilleurs du coin... Ce serait un honneur pour moi que vous acheter un quelque chose. Je vous donnerai un bon arti...

- Suffit. Ne voyez-vous que je portes un uniforme ? Ne m'appelez pas par mon titre de Duchesse. Je suis en fonction, dans la Garde Episcopale de Trèves. Alors si vous continuez à m'appeler ainsi, je prendrai cela pour une insulte.

- Veuillez m'excuser Vot... Dame.

Un petit garçon s'était arrêté quelques minutes plus tôt, non loin de là, ayant tout entendu des échanges fait entre ces deux personnes. Il hésita un instant. Puis finalement, se décida repensant à son morceau de viande que le Maréchal lui avait promis en échange de ce service. Pour lui, Elou avait l'air différente des deux autres femmes qu'il avait vu... Peut-être plus sévère de part ce qu'il venait d'entendre. Il s'approcha doucement, et tira sur l'uniforme du garde féminin.

- Alors, finalement je crois que je vais prendre ces fruits... Cela ira très bien av...

Elle se retourna, sentant ses vetements se tirer vers le bas. Elle vit alors une petite tête rouquine, qui la regardait.

- T'es aussi garde ?

- Oui.

- Y'a un monsieur qui t'attends en taverne avec les aut'es.

Il lui expliqua alors comment était le monsieur, et le pourquoi il devait aller chercher tous les gardes. Elou sourit en reconnaissant son époux dans le récit du petit gamin. Elle aquiesca, puis elle prit une petite bourse qui se trouvait au côté de son épée, accrochée à sa ceinture. Elle prit quelques pièces de celle-ci et les tendit au commercant.

- Je prends donc ce que je vous ai dis. Puis-je vous laisser ces aliments ici ? Je viendrai les chercher plus tard.

- Bien, Vot... heu... Dame... J'ai du mal à m'y faire...

- Continuez, vous allez y arriver. Aussi, j'ai rajouté de l'argent afin de payer ce fruit.

Elle prit alors un fruit, tandis que le commercant préparait la demande qu'il allait gardé en attendant le retour de la jeune femme. Elou s'abaissa afin d'être à la hauteur du petit rouquin, lui donnant le fruit en souriant. Elle tourna le visage, regardant au loin, puis reposa ses yeux sur le petit.

- Je sais que ce n'est pas grand chose, mais cela te rendra un peu de force. j'ai cru apercevoir un autre garde plus loin, là-bas.

Elle lui fit un clin d'oeil puis se releva, le voyant partir dans la direction dite, le fruit en main. Il aurait sans doute le manger dans un coin plus loin, à l'abris des regards. Elle sourit en voyant l'enfant courir, posant sa main sur son ventre, se disant que cela ferait tellement plaisir à son époux que ce soit un garçon... Finalement, elle fit signe de la main au commercant, prit le ganfanon posé contre le mur de l'établissement, ayant pour charge de l'amener partout où elle devait se déplacer, les couleurs de la garde pliées, et s'en alla en direction de la taverne annoncée où se trouvait le Premier Maréchal et quelques uns des gardes, déjà rassemblés.
_________________
Uriel
- Près de la Cathédrale, Bureau de Monseigneur Mayella -

Uriel était arrivé à la Cathédrale avec la garde, et attendant tous les garde, il traînait dans les environs, regardant ça et là.
Passant devant le Bureau de l'Evêque du Dioscèse de Toul, il vit alors que la porte était entrouverte ; se demandant pourquoi, il frappa à la porte qui s'ouvrit d'elle même.

Monseigneur Mayella était assise à son bureau, traitant les dossiers, corrigeant les pastorales.

L'Aspirant-Major fut surpris de la pâleur de la Dame, ... elle ne semblait pas en bonne santé ; il l'avait connu dans des jours meilleurs ...
Afin de ne pas lui faire peur, il toussota légèrement :


Ahem ...
Excusez-moi, Monseigneur Mayella, vous allez bien ?
Vous avez l'air ... si ... pâle ?

Souhaitez-vous quelque chose ? Que je fasse quérir quelqu'un ?

_________________
pnj
Mayella était en train de rédiger un courrier quand Uriel lui parla. Elle ne l'avait pas entendu entrer. Elle fut donc surprise et sursauta sur sa chaise. Automatiquement, sa main se posa sur son coeur.

Bonjour Uriel,
Je ne vous avais pas entendu entrer.
Oui je vais bien ne vous inquiétez pas.


Elle balaya la remarque d'un mouvement de la main. Elle le savait bien qu'elle était blanche et avait le visage marqué. Mais elle n'avait pas le droit de se laisser aller. Il lui restait trop de dossiers à traiter avant.

Vous arrivez à point nommé, j'étais en train de vous écrire. Si vous voulez bien prendre une chaise, que nous discutions un petit peu. Un peu de liqueur de mirabelles?
See the RP information <<   <   1, 2, 3, ..., 58, 59, 60, ..., 84, 85, 86   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)