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[RP CULTE] La Cathédrale de Toul

Uriel
- Près de la Cathédrale, Bureau de Monseigneur Mayella -

Uriel fut ennuyé d'avoir fait sursauter Mayella.

Désolé Monseigneur, je ne voulais pas vous effrayer.
Il faut dire que j'ai une tête à faire peur, le vent qui souffle a du envoyer mes cheveux dans tous les sens.


dit-il en riant comme tenter de remettre un peu de gaité dans le coeur de l'évêque.
Il se rappelait encore des ocurs de pastorale qu'elle lui avait patiemment donné ...

Il posa son épée et bouclier près de la porte et prit donc place.

A l'évocation de la liqueur, il hocha la tête.


Bien volontiers Monseigneur, un peu de mirabelle me réchauffera un peu le corps.
Ne vous dérangez pas, souhaitez-vous que je la serve ?

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pnj
Mayella sourit.

Il faut dire qu'il y a pas mal de vent dehors... Je suis bien contente d'être protégée en travaillant ici.

Uriel proposa de servir la liqueur.

Avec plaisir.

Au moins, Mayella n'aurait pas à se concentrer pour servir la boisson sans en renverser. La fatigue l'avait rendue faible. Au point où de nombreux mouvements devenaient durs pour elle. Elle prit le verre que lui tendait Uriel et le posa sur son bureau. Elle attendit qu'il s'assit pour reprendre la parole.

Comme vous savez peut-être, je suis resposable de la Caisse de Solidarité de l'Eglise.
Uriel
Uriel se leva et servit la liqueur ; le parfum vint lui titiller les narines.
Il se remémora le premier entretien avec Mun qui lui avait proposé le même breuvage dans son bureau de Trèves.

Il connaissait lui-même quelques procédés artisanaux pour fabriquer de telles boissons.

Le Diacre de Verdun déposa lentement le verre sur le bureau de Mayella et s'assit à nouveau.


A votre santé Monseigneur.

Il écouta alors l'évêque du diocèse de Toul

En vérité je l'ignorais, Monseigneur.
Ce doit être un travail très prenant et qui demande beaucoup d'attention.

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Henriderubempre
La messe … Ce mot semblait sonner creux en Lorraine.
Depuis le peu de temps qu’il y résidait, aucune n’avait été célébré à la Cathédrale. Peu importait, il n’était pas là pour se plaindre … Cela n’aurait servit à rien de toute façon.
Il venait pour une raison. Un baptême. Le sien.
Pour un lieu saint déserté, il y régnait une certaine agitation. Des chevaux était accrochés à l’extérieur. L’adolescent poussa la lourde porte et pénétra dans la nef qu’il traversa d’un pas lent.
Au milieu du cœur il s’arrêta. Des boucliers posés à la base d’un escalier avaient retenu son attention. Il venait de trouver les propriétaires des chevaux … la garde épiscopale. Tout cela le laissait indifférent, il n’était pas de nature curieuse et se contentait des informations qu’on voulait bien lui donner.
Mais maintenant qu’il était là, il aurait bien aimé trouver un curé ou l’évêque.
Quelqu’un finirait pas descendre …
Mun
[Auberge de la Garde]

La Garde Episcopale de Trèves commentait à arriver quand l’aubergiste arriva avec de grandes écuelles fumantes. Un fumet de viande grillée l’accompagnant. Les déposant sur la grande table devant le Vidames, il se pencha vers lui murmura quelques mots Mun se retourna et d’un signe de tête pour dire oui.
Les gardes rentraient dans l’auberge Mun se pencha contre le dossier de la chaise et sans mots dire les invita à prendre place.
Soufflant et rouge de grosse gouttes de sueur sur le front, l’aubergiste revint avec un tonneau qu’il avait percé et l’installa sur le bout de la table.

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pnj
[Dans le bureau de Monseigneur Mayella]

Mayella sourit à la remarque d'Uriel.

En fait, non, pas tant que ça, puisqu'on ne l'a jamais utilisé. Elle est en dormance depuis que Monseigneur Ecaterina l'a créé.

Elle prit son verre. Sa main tremblait légérement. Elle but une gorgée.

Et je souhaiterais que quelqu'un s'en occupe. Quelqu'un d'autre que moi.

Elle reposa son verre, n'arrivant presque plus à le garder dans sa main.

Et je souhaiterais que ce soit vous.
Domi2309
Domi avait galopé toute la journée et la nuit, il n'aurait raté, l'événement pour rien au monde.
Il fonçait sans s'arrêter car le temps était compté.
Il arriva à la mi-journée à Nancy, quelques ennuis l'avait retardé en route.
Il stoppa à la première auberge, il pénétra et demanda au tavernier.
"holà, l'aubergiste, sert moi, un encas, une bonne pinte de bière et fais-moi préparer un bon bain que je me décrasse.
Après, une bnne heure, il fut prêt à se présenter à la Cathédrale pour la messe.

Il trotta jusqu'à l'endroit et pénétra dans le Saint-lieu.
Hiiiinnnnkkk, la porte grinçait et tous se retournèrent.
En silence, l'Aspirant sergent, se dirigea vers une place vide en ayant pris soin de laisser ses armes à l'entrée.
Il put enfin, se recueillir, heureusement la messe n'avait point débuté.
Il récita son credo tout en regardant le Très-haut.

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pnj



Je vis notre Lieutenant invité les gardes de l'Episcopale qui venait d' entrés
je suivais le plus gros de la troupe et pris place a un bout de table, regardant le fumer qui se dégageait de la table l'appétit me vint rien que le faite de regarder les plats appétissants poser avec plusieurs chopes.

-Merci Mon Lieutenant de m'invites a votre table !...
dit je en me servant copieusement un morceau de lard fumer avec du choux et une bonne chope une miche de pain bien fraiche et croustillant.
Je mangeais tranquille sans levé le nez de mon assiette j'avais trop faim
après moi la fin du monde, quand jus fini de regardais les Gardes qui se régalaient sans mot dire, tout le monde avaient faim et soif, gourmande je cherchais le dessert, le cuistot était a tablé aussi avec nous et nous regardait ravi de nous voir honoré ça pitance.

-Sir vous avez du dessert comme une tarte ou une crème.
-Vous avez encore faim vous avez de l'appétit ma'selle avec tout ce que vous avez avaler.
-Oui Sir je mange beaucoup surtout quand j'ai faim mais là j'ai envie
d'un dessert vous auriez ça dans votre cuisine.
-Je vais voir ma'selle si je vous trouve un petit qu'el que chose en plus sucré.

Il dégoulinait de sueur, il était gros et gras, son tablier qui était passablement vieux de plusieurs jour gras et pas très propre, mais gentils et serviable comme pas deux, aimant a faire plaisir.
-Tenez regardez de la tarte au pomme flambée, vous m'en dirai des nouvelles.
-Merci!... je vais lui faire honneur il n'en restera pas une miette.

Elle est gourmande celle là elle va me vider ma cuisine.


Je mangeais la délicieuse tarte au pomme et me régalai.
Puis levant la tête je vis tout le monde qui me regardait étonné.
Je rougis de honte d'avoir manger autant, une rasade de bière et le hoquet vint je hoquetais sans pourvoir m'arrêter ce qui me faisais soulever de ma chaise, je respirai un grand coup plusieurs fois pour le faire partir puis un grand verre d'eau, repus je regardais tout le monde avec un grand sourire et me mis a rire au éclat.
-Oh j'ai bien manger moi c'était bon je me suis régaler il y avait longtemps que j'ai pas fait un repas comme ça.



Ambre Aspirant Sergent De La Garde Épiscopale Romain






Uriel
- Près de la Cathédrale, Bureau de Monseigneur Mayella -

Uriel eut un léger sursaut de surprise.

Comment ça ?
Moi, Monseigneur ?
Oui bien sûr, ... mais ... c'est trop d'honneur que vous me faites ; en suis-je vraiment digne ?

Bien évidemment, si je puis vous décharger d'une responsabilité ou d'un tâche, c'est avec plaisir que je vous rendrais ce service, à vous et à Notre Clergé.


puis il vit Mayella poser son verre et fronça les sourcils

Monseigneur Mayella, votre état de santé m'inquiète réellement.

Uriel pestait contre lui-même car il n'avait aucune connaissance en médecine capable de diagnostiquer ce mal.
Certes, il connaissait bien quelques remèdes à base de plantes et racines, mais il fallait connaître la source du problème.

En attendant, il ouvrit un petit sac et en sortit une petite bourse.
Il se leva, et alla chercher une tasse dans laquelle il plaça quelques écorces, les écrasa au moyen d'un petit pilon et y mit de l'eau bouillante.


Prenez cette tisane, Monseigneur, elle vous soulagera un peu.

L'inquiétude pouvait se lire sur le visage du garde épiscopal
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Choupinette73
[A l'auberge,table du premier marechal]


Choupi prit place à a table de Mun et avant de toucher à un plat ,elle remercie le très haut pour ce repas qui sentait si bon .

Elle eut un sourire lorsque le tavernier rouge et suant leur apporta un tonneau et le mit en bout de table .
Mais le fumet de la viande lui rappela combien elle avait faim,elle très lentement ,elle mit une bouchée entre ses lèvres et laissa fondre la viande dans sa bouche .

La jeune Aspirant Sergent Ambre prit à son tour place à la table et Choupi fut étonnée de la voir dévorer un si grand nombreux de plats.
Mais son regard se reporta sur le premier maréchal attendant de lui qu'il donne la raison de ce rassemblement autour ma foi d'un si bon repas.

Le tavernier apporta une tarte aux pommes et après l'avoir découpé la posa ,choupi surprit l'œil gourmand d'Ambre sur le dessert et se dit que la jeune fille avait un drôle d'appetit .

Choupi laissa son regard se promener sur la pièce ,cherchant quelqu'un peut être mais elle secoua la tête .Mais non il ne pouvait être là ,bientôt ils seraient réunis ,il lui fallait être encore un peu patiente .
Mais lorsqu'elle croisa le regard de Mun ,elle put y lire la même attente .
pnj
[Bureau de Monseigneur Mayella]

Uriel paru surpris.

Je suis sur que vous saurez très bien gérer cette caisse. Il faudra d'ailleurs que je vous la donne.

Mayella devait avoir le tein qui avait dû palir un peu plus. En tout cas, cela inquiétait Uriel qui alla lui préparer une tisane. Il arriva avec.

Merci Uriel, mais ne vous en faites pas, il s'agit juste de la fatigue.

Elle lui sourit pour le rassurer. Mais elle savait que ce n'était pas uniquement de la fatigue. Qu'il y avait plus. Et que tant qu'elle aurait des charges, elle ne pourrait se reposer correctement... Et que plus elle attendait, plus sa vie était en danger. Mais elle servait Dieu alors à quoi servait-il de s'inquiéter pour le futur?

Elle but une gorgée du liquide. Puis elle décida de se lever pour montrer quelque chose à Uriel. Mais c'est à ce moment qu'un voile noir s'abattit sur ses yeux. Et elle se sentit tomber... Elle gisait inconciante sur le sol de son propre bureau.
Uriel
[Bureau de Monseigneur Mayella]

Uriel avait fort peu de connaissances médicales, mais se doutait que Mayella voulait le rassurer en lui disant que ce n'était que de la fatigue.

L'Evêque de Toul se leva alors, imité par Uriel ; il allait la suivre pour voir ce qu'il en était lorsqu'elle commença à donner des signes de faiblesse, s'appuyant sur un meuble et défaillit littéralement.
Fort heureusement, ses entraînements aux armes à la garde avaient aiguisé ses réflexes.

Le Diacre de Verdun se précipita et il rattrapa Mayella dans sa chute.
Dieu qu'elle était légère, comme une plume ; il la porta et la coucha sur un fauteuil.
Il arracha un morceau de sa chemise et plongea le linge propre dans l'eau qui venait de bouillir, le pressa et posa le linge humide sur le front de l'évèque.

Son esprit se remplissait de diverses possibilités qui s'offraient à lui : il n'était pas médecin mais ... savait où on pouvait en trouver un très rapidement ...
Il se précipta dehors


Mon Dieu, que cela ne soit qu'un malaise passager.



[Auberge de la Garde]

La porte s'ouvrit dans un fracas épouvantable, laissant entrer une bourrasque d'air glacé.
Uriel se tenait en travers de la porte, sans cape, sans manteau, la chemise un peu déchirée et l'air grave.

Il balaya la salle du regard, et apperçu bien vite la table de la Garde.

Il se dirigea vers ladite table, bouscoulant au passage plusieurs personne.

Parlant fort, vite, laissant transparaître son inquiétude, il dit :


Garde Elou, j'ai besoin de vos compétences de médecin, accompagnez-moi.

Monseigneur Mun, venez avec moi au bureau de Monseigneur Mayella.

Capitaine Frédéric, venez sécuriser l'entrée du bureau.

Lieutenant Choupinette, allez quérir le secrétaire personnel de Mayella.

Sergent Domi, Sergent Ambre, Sergent Arhgun, vous irez avec le capitaine Frédéric.


Il se rendit compte trop tard d'avoir agit dans l'urgence et avait donné des ordres à tout le monde, même à ses supérieurs.
Tant pis, la situation était trop grave pour revenir là-dessus maintenant, si il devait y avoir des sanctions, il les assumerait.


Euh ... excusez-moi, ... sans vouloir vous commander bien sûr ...

J'agis dans l'urgence, car la situation est péoccupante : Monseigneur Mayella vient juste de se trouver mal en son bureau.


Sans attendre de réponse, il se précipita dehors, telle une bourrasque et courru vers le bureau qu'il venait de quitter.


[Bureau de Monseigneur Mayella]

Uriel rentra dans le bureau, laissant la porte entrouverte pour laisser entrer l'air et attendit Mun et Elou.
remplaçant le tissus humide et tenant les mains de l'évêque pour tenter de les réchauffer ...

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Choupinette73
[A l'auberge ]

Uriel entra dans un courant d'air froid et se précipita à leur table ,il semblait agité et d'une voix que Choupi ne lui connaissait pas, donna des ordres à tous le monde .Choupi sentant que la situation est plutôt urgente et grave se leva et écouta sa demande.

Garde Elou, j'ai besoin de vos compétences de médecin, accompagnez-moi.

Monseigneur Mun, venez avec moi au bureau de Monseigneur Mayella.

Capitaine Frédéric, venez sécuriser l'entrée du bureau.

Lieutenant Choupinette, allez quérir le secrétaire personnel de Mayella.

Sergent Domi, Sergent Ambre, Sergent Arhgun, vous irez avec le capitaine Frédéric.



Choupi n'écouta pas les excuses d'Uriel et partit en courant bousculant au passage le gros tavernier qui se demandait qu'elle était cette agitation soudaine .


[Bureau du secrétaire de Monseigneur Mayella]


Mon père ,venez vite ,monseigneur Mayella a eut un malaise et le Major Uriel n'envoie vous chercher .

Venez ,je vous accompagne .
Elou
[A l'auberge]

Enfin, elle était arrivée après avoir rencontré un petit rouquin qui cherchait tous les gardes. Elle regarda l'enseigne de l'établissement, puis rentra à l'intérieur. Rien que d'ouvrir la porte une vague de chaleur et de festivité se fit sentir et entendre. Elou fit irruption doucement, un sourire aux lèvres et vit déjà de nombreux gardes, dont notamment le Premier Maréchal qui les avait demandé. Elle s'assit à la table, commandant un lait de chèvre se disait que cela changerait son enfant des tisanes. Pendant que sa commande se préparait, Elou fut intriguée par l'appétit d'Ambre. Il y a encore quelques jours, elle souffrait un peu du froid.

Quelques instant plus tard, la porte de l'auberge s'ouvrit dans un grand brit, coupant les discussions de tout le monde. Elou regarda l'homme qui se tenait dans l'encadrement en bois. Elle reconnu Uriel, quelque peu essouflé. Il s'écrit alors, le premier nom qui sortit de sa gorge fut celui de la garde Elou. Il disait qu'il avait besoin de ses connaissances. Elle se leva subitement. Geste qu'elle n'aurait du pas faire. Elle s'inquièta pour son intérieur, mais celui-ci ne bronchit pas. Elle tira sa chaise, regardant Mun, comme pour lui demander l'autorisation de suivre Uriel, même si au final, il devait venir aussi. Elle s'avanca, écoutant les excuses d'Uriel concernant son petit commandement.
Ensuite, une fois que tout le monde était pret à agir, exceptée le Lieutenant Choupinette qui était déjà en action, Uriel retourna au bureau de Monseigneur Mayella, suivit de tous.


[Bureau de Mayella]

Uriel arriva en avance, ainsi que les autres. Mun et Elou étaient légèrement à la traine, bien qu'il y avait urgence. Elou faisait ce qu'elle pouvait, mais elle ne voulait pas non plus provoquer un autre malaise.
A l'entrée du bureau, se trouvaient le Capitaine Frédéric, ainsi que les trois Sergents Ambre, Arghun et Domi. La garde et médecin de la Garde Episcopale entra dans la pièce, découvrant tout comme le Premier Maréchal, le corps de Mayella dans son fauteuil, les paupières closes. Elou se précipita auprès d'elle, elle mit une main sur le front de son ancienne belle-soeur. Rien d'anormal de ce côté-là... Du moins, pas maintenant. Elle se pencha alors, posant son oreille contre sa poitrine, écoutant le rythme de son coeur. Il battait d'une lègère façon irrégulière, mais rien d'inquètant. Elle regarda la jeune femme, au visage pâle, assise dans son siège, ne bougeant, respirant faiblement, mais tranquillement. Elle se tourna alors vers les deux hommes qui se trouvaient dans la pièce.


- Je pense que je peux vous rassurer. Ce ne sont que des signe de fatigue... Major Uriel, se plaignait-elle de quoique ce soit lorsque vous discutiez ?

Elle prit le tissu humide qui était sur la figure de notre chère Evêque, qu'elle passa le long de celui-ci. Elle remarqua alors qu'il s'agissait du morceau manquant à la chemise du Major.
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Uriel
Uriel fut rassuré de voir arriver Elou ; elle au moins, connaissait et pouvait identifier les maux du corps.

Tenant les mains de l'évêque, il se recula pour laisser Elou officier ; par décence, il se retourna et attendit le verdict.


Elou a écrit:
- Je pense que je peux vous rassurer. Ce ne sont que des signe de fatigue... Major Uriel, se plaignait-elle de quoique ce soit lorsque vous discutiez ?


Son visage se détendit légèrement, mais il était toujours inquiet.

Non, Monseigneur Mayella m'a dit que c'était juste un peu de fatigue.
Mais sa pâleur et sa faiblesse physique m'ont un peu inquiété.

D'ailleurs il me restait un peu d'écorce de saule blanc et je lui en ai fait une tisane.
Cela aurait au moins le mérite d'apaiser d'éventuelles douleurs et fièvres.

Mais quand elle s'est trouvée mal, mes faibles connaissances étaient bien inutiles.
C'est pourquoi j'ai décidé d'aller vous chercher tous, sachant que vous étiez à l'auberge si près d'ici.


Il regarda Elou dans les yeux

Elou, croyez-vous qu'il ne s'agisse que de fatigue ?
Pour l'avoir soulevée, elle m'a paru si légère ... et son teint est si diaphane ...

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