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[RP CULTE] La Cathédrale de Toul

Mun
[Auberge de la Garde]

Mun s’était levé afin d’expliquer la raison pour laquelle il avait appelé la garde à l’auberge. Le petit rouquin avait bien fait son travail et mériterait les écus et le morceau de viande promis.
Souriant en voyant Ambre dévoré les plats qui se présentaient devant elle.
Regardant les gardes un à un il remarqua que Uriel était absent, sa pensée a peine terminée que la porte s’ouvrit en grand manquant au passage de bousculer l’aubergiste qui parti en grommelant vers son comptoir.
Un vent froid entra et un homme. Quelques instant d’observation, Mun reconnu Uriel, débraillé cheveux en bataille, gesticulant et parlant fort, le malin s’était il attaqué son filleul.
Ne disant rien Mun l’écouta, il n’aurait servi à rien de l’arrêter, les yeux perdu l’inquiétude sur le visage.
Puis le Vidame compris que l’Evêque de Toul se sentait mal voir même plus car Elou devait les accompagner.
Rapidement les Gardes prirent les dispositions nécessaires Mun, Elou et Uriel partirent vers le bureau de Monseigneur Mayella.
Uriel courait au devant eux ayant déjà prit une bonne distance, Mun restant aux côtés de son aimée, il est vrai qu’elle marchait moins vite mais cela était bien normal la rondeur de son ventre ne la facilitait pas dans les déplacements.


[Bureau de Monseigneur Mayella]

Lorsqu’ils arrivèrent dans le bureau Uriel avait repris place auprès de Mayella.
Elou ne se fit plus attendre, directement retrouvant les gestes qu’elles avait appris et enseignés si souvent
Le Vidame resta légèrement de côté écoutant le diagnostic que Elou présentait à Uriel et les laissant parler entre eux
Une fois que Elou eu terminé Mun appela Uriel de la main est s’écarta un peu avec lui laissant Elou un tissus à la main mouillé rafraîchir le visage de l’Evêque
.
Major personne ne doit être au courant pour l’instant du malaise de noter Evêque, il n’est pas nécessaire d’alerter la population inutilement.
Comment se malaise s’est il produit .

Le regard interrogatif
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Uriel
[Bureau de Monseigneur Mayella]

Uriel observait Elou écouter le coeur de Mayella, puis lui essuyer le front avec le morceau de sa chemise précédemment arraché.
Mun l'appela alors, il s'approcha de lui.


A vos ordres, Maréchal ; il est en effet inutile de notifier cet événement aux braves gens du peuple.
Quant au malaise ...
Et bien j'étais en train de discuter avec Monseigneur Mayella ; se levant pour se rendre à un autre endroit, elle s'arrêta et défailli littéralement sur place.
N'ayant aucune culture de la science médicale, mais vous sachant, vous et Elou, proches d'ici, j'ai préféré aller vous chercher.

J'espère qu'elle va reprendre connaissance sous peu ...

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Elou
Elou écouta les paroles du Major, regardant l'Evèque qui se tenait immobile. Elle réfléchit. Uriel avait sans doute bien fait, cela rendrait un peu de force à la jeune femme. C'est alors que le jeune homme la regarda dans les yeux.

- Elou, croyez-vous qu'il ne s'agisse que de fatigue ?
Pour l'avoir soulevée, elle m'a paru si légère ... et son teint est si diaphane ...


- Sans doute. Aucuns autres symptômes n'est présent. Je ne peux que conclure cela.
La fatigue peut avoir des nombreux effets sur l'apparence physique. La paleure est normal. Je pense qu'elle a épuisé ses dernières forces. Il faut lui trouver une couche, l'allongée, la couvrir chaudement et la laisser se reposer pendant un moment.
Pour l'instant, si elle couvre quelque chose d'autre, on ne peut le savoir qu'à son réveil.


Elou continua de rafraichir une dernière fois le visage de l'Eveque et déposa le linge sur le bureau, tandis que le Major Uriel alla s'entretenir avec le Premier Maréchal. Elle s'assit sur le bord du bureau, s'y appuyant d'une main. L'autre se trouva sur son ventre. Hé oui, une nouvelle fois, le petit se faisait sentir. Elou ferma les yeux et lui parla intérieurement, comme elle pensait qu'il comprendrait, qu'il arrêterait de faire ces coups douloureux pour elle. Beaucoup de chose se passe entre un enfant et sa mère, en particulier pendant la grossesse... Et pourtant, l'enfant n'en gardera aucun souvenir. Quelle tristesse... Mais la vie est ainsi faite.
L'idée était peut-être idiote, mais efficace. La jeune femme ne sentit plus de maux, son petit être intérieur avait finit de faire son cinema. Hasard ou compréhension ? C'est l'un des grands mystères...
Elle se redressa, et se tourna vers les deux hommes. Cette fois, elle ne parlait à ceux-ci comme si ils étaient ses supérieurs, mais en étant dans ses fonctions de médecin...


- Mérachal, Major... J'aimerai que l'on transporte Notre Evèque dans un endroit plus confortable où elle puisse se reposer.

Elle regarda vers Mayella, se mordant la lèvre inférieur.

- Aussi, je me pose une question... Je crois qu'il serait raisonnable de surveiller l'éveil de Notre Evèque. Au cas où aurait-elle besoin de quelque chose... Maréchal, puis-je me proposer ? A moins que vous ne préfériez qu'on mette un garde devant la porte ?
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pnj
Mayella avait conscience qu'elle était entourée. On s'agitait, on parlait autour d'elle. Mais on parlait surtout d'elle. Elle qui n'avait voulu inquiéter personne. Elle qui s'était tue sur ses malaises. Car ce n'était pas le premier qu'elle faisait. Mais c'était le premier en présence d'une personne autre que de ses servantes.

Uriel était là. Elle percevait de l'inquiétude dans sa voix. Pourquoi est-ce que les gens s'inqiétaient de son sort? Pourquoi? N'allait-elle pas finir par rejoindre le Très-Haut, Aristote et Christos? En tant que femme d'Eglise, elle le devait, normalement...

Elle entendit la voix d'Elou aussi. Et sa présence juste à coté d'elle. Son ancienne belle-soeur, qu'elle considérait toujours ainsi, ne semblait n'y avoir vu que de la fatigue. Il faut dire que comme cela, les autres symptomes n'étaient pas visibles.

Et n'était-ce pas la voix de Mun qu'elle entendait dans le fond? Si loin d'elle?

On voulait la déposer dans un endroit pour qu'elle puisse se reposer. Mais, elle, elle voulait retourner à Coussey. Dans sa demeure. Près de sa famille... Et de lui surtout.

Depuis qu'ils étaient arrivés, elle n'avait pas réussi à reprendre de force pour pourvoir leur signifier qu'elle était éveillée. Mais elle puisa dans ses dernières forces en espérant qu'ils la comprendraient.


Coussey... Selee...

Voix presque inodible mais qui en disaient tellement long. Elle voulait retourner dans son chateau et être à ses cotés.

Mais ces quelques mots, si petits, lui demandèrent trop d'effort pour elle et elle se rendormit. Elle rêva pendant longtemps...
Uriel
[Bureau de Monseigneur Mayella]

Tout en parlant à Mun, Uriel gardait un oeil sur l'évêque, espérant un signe.
Elou se retourna et évoqua le fait de transporter Mayella dans un endroit plus confortable.
Effectivement, c'était la chose à faire.
Elle se déplaça jusqu'au bureau et s'assit, montrant quelques signes de fatigue.


Je vous ai fait courir, Dame Elou, j'en suis désolé.
J'espère que votre enfant ne m'en voudra pas plus tard et ne se vengera pas sur moi.


lui dit-il en souriant.
Ses yeux se portèrent à nouveau sur Mayella ...
Où son esprit voguait-il en cet instant ?
Apercevant quelque chose, il fronça les sourcils et leva la main pour imposer le silence dans la pièce.
Les lèvres de l'évêque remuaient mais aucun son n'en sortait.
Il s'approcha et à peine inaudibles, saisit deux mots :


Mayella a écrit:
Coussey... Selee...


Coussey... Selee...

dit-il se retournant vers Mun et Elou.
Il se rapella bien vite que Mayella, outre sa charge d'évêque de Toul, était également Baronne de Coussey.


Elle veut retourner chez elle, en son domaine.

Puis ce nom ... Selee ... il l'avait déjà entendu ...
Fermant les yeux, il se frappa le crâne du poing, plusieurs fois, pour aider se remémorer et c'est comme un éclair qui le frappa.
Oui bien sûr, Selee, il l'avait vu, lors du baptême de Circa, c'est son parrain !
Il revit les traits de l'homme.


Maréchal, je vais organiser le transport, si vous le permettez.
Et ... si vous me le permettez également, j'accompagnerai Monseigneur Mayella jusque chez elle ; après tout c'est une de nos missions, escorter les prélats de l'église, même si j'eus souhaité l'accompagner dans des circonstances plus heureuses ...


Entretemps, Choupi avait fait appeler le secrétaire de Mayella qui entra tout paniqué dans le bureau.

Uriel le regarda et lui fit un signe de tête, tandis que le secrétaire portait la main à sa bouche en signe d'étonnement.
Il prit un ton de voix autoritaire, bien moins que celle de Mun, de Fedy ou de Choupi, fort peu habitué à donner des ordres.


Inutile de vous inquiéter, elle va bien, nous avons un médecin avec nous.
Faites préparer dès à présent le carrosse de Monseigneur Mayella pour qu'il se rende à Coussey.

Pressément, mon Frère.


Le secrétaire, interloqué, regarda l'évêque, voulut dire quelque chose, mais ne trouva pas les mots.

Oui mais ... euh ... médecin ... sa chambre ici ... archevêque ...
Il faut prévenir ...


Uriel posa la main sur l'épaule du secrétaire et fronça les sourcils tout en refermant ses doigts pour le ramener à la réalité.

Écoutez, mon vieux, faites vite, c'est tout ce qu'on vous demande.
Et il est inutile d'aviser qui que ce soit de ce qui se passe icelieu.
Dites que Monseigneur Mayella rentre chez elle.
Si cela peut vous rassurer, prenez votre paquetage et venez avec nous, de toutes façons, une escorte de gardes vous accompagnera.


Un peu impressionné, le secrétaire recula et s'encourrut dehors, prêt à faire ce qu'on attendait de lui ...

Quant à moi, je m'en vais faire prévenir messire Selee ...

Regardant Mun et Elou un instant, il s'apprêtait à sortir, sauf ordre contraire ou si ils avaient quelque chose à ajouter
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Mun
Uriel avait compris les paroles de Mun lui expliquant ce qui était arrivé à Mayella.
Ne voulant pas montrer d’inquiétude inutile pour le moment, il regarda au dessus de l’épaule de son filleul voyant Elou toujours auprès de Mayella.
Regardant le visage transparent de Mayella Mun serra les lèvres, il n’était pas médecin mais avait déjà si souvent vu telle blancheur que cela ne lui inspirait bonne augure.

Elou se retourna vers les deux gardes qui discutaient.
-Maréchal, Major... J'aimerai que l'on transporte Notre Evêque dans un endroit plus confortable où elle puisse se reposer.
Aussi, je me pose une question... Je crois qu'il serait raisonnable de surveiller l'éveil de Notre Evêque. Au cas où aurait-elle besoin de quelque chose... Maréchal, puis-je me proposer ? A moins que vous ne préfériez qu'on mette un garde devant la porte ?


Mun regarda Uriel puis Elou
Garde Elou vous resterez aux côtés de Monseigneur Mayella et me tiendrez au courant de l’évolution des symptômes.
Mun posa sa main sur l’épaule de Uriel s’adressant à lui non pas comme un supérieur mais comme à son filleul.
Je te charges de la garde rapprochée de notre Evêque tiens moi au courant, je m’en vais donner le ordres pour que sa calèche soit amenée et qu’elle soit conduite en ces terres.
Le vidame de Trèves regarda Uriel puis parti afin de donner les ordres nécessaires.
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Uriel
Lorsque Mun posa sa main sur l'épaule d'Uriel, celui-ci comprit que ce n'étaient plus des ordres qui étaient donnés.

Merci Mun, mon parrain, de la confiance que tu m'accordes.
Que Dieu fasse que je ne te déçoive pas, je ferai envoyer des pigeons chaque jour pour donner des nouvelles.


puis il sortit.
l'on entendit alors une volée d'ordres se donner, seul comme lui pouvait le faire.

des bruits de sabots, des roues, des hommes d'armes.

Les entendant, il prépara ses affaires et regarda Elou.


Merci Dame Elou pour vos bons soins envers Monseigneur Mayella.

Quelques instants plus tard, la litière de l'évêque était prête.



Dans l'entrefaite, Uriel avait préparé un pigeon à l'attention de Selee, au Castel de Nancy, lui demandant de prendre la route pour Coussey sans plus attendre.

Il sortit du bureau de Mayella et vit que chacun était présent.
Il salua et s'approcha de Domi.


Sergent Domi, mon ami, tu as voyagé avec Monseigneur Mayella pendant pas mal de temps et tu connais ses habitudes.
Puis-je te demander de m'accompagner à Coussey ?

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Mun
[Ecuries de la ville]

Mun revint aux marches du Bureau de l’Evêque de Toul
Regardant les gardes rassemblés montant la Garde, il se dirigea vers les écuries.
Les laquais vêtus de jaune liseré de bleu les braies rouges bouffantes à mis mollets s’amusaient avec un rat qui courait dans tous les sens pour s’échapper.


Voilà à quoi vous passez votre temps
bousculant du pied un des ballots de paille ou le plus jeune des laquais failli en tomber.
Les deux jeunes surpris sorti de leur jeu regarda le seigneur présent.

Bougez vous et faite préparer le carrosse de Monseigneur
Les deux laquais comme de jeunes chiots partirent dans tous les sens aboyant, gesticulant, appelant les palefreniers.

Le Vidame soupira voyant les laquais se démener.
Que la carrosse soit sorti rapidement si non,…
Mun sorti et attendit dehors.
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Uriel
[Dans la cour, près du palais épiscopal]

Le carrosse avait été préparé promptement grâce à l'autorité naturelle du Maréchal Mun qui avait houspillé quelque peu les palefreniers, laissant les menaces en suspens ...

Il s'avança dans la cour.

Elou surveillait Monseigneur Mayella de très près, tandis que les gardes épiscopaux avaient abandonné armes et armure afin de pouvoir transporter la litière de l'évêque jusqu'à son carrosse.
Une couverture avait été placée sur le corps de Mayella pour qu'elle ne se refroidisse pas.
Elle y fut installée délicatement, chacun prenant garde de ne pas faire de geste brusque.

Ils firent vite et le convoi fut bientôt prêt à quitter Nancy.

Uriel avait de son côté discuté avec le secrétaire afin de connaître le meilleur itinéraire pour rejoindre Coussey et avait obtenu ces informations importantes.

Tout était prêt et ils se mirent en route ...

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Uriel
Place de la Cathédrale (plusieurs jours plus tard)

Trois cavaliers arrivèrent sur la place de la Cathédrale.

Reconnaissant l'insigne de la Garde de Trèves, un garde s'avança.
Uriel lui remit les brides de son cheval et attendit que Pierreden et Azalea descendent.

En attendant, il sortit un paquetage et mit sa soutane noire de Diacre de Verdun.

Il monta vers la Cathédrale pour préparer les ustensiles pour le baptême de deux personnes ; de croyants, ils allaient devenir fidèles, et ainsi entrer dans la grande Fraternité Aristotélicienne.

Uriel disparût dans la Cathédrale et ressortit quelques instants après pour accueillir les futurs baptisés, ainsi que leurs parrains/marraines et leurs éventuels invités.

Un beau jour s'annonçait pour eux, prémices d'une plus belle journée encore ...

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Fihafihafiha
[Château de Nancy]

La pluie battante frappait comme si la mer se renversait du ciel noir de la capitale, l'orage grandait comme si Thor était passé en dessus des terres Nancéennes pour sa balade habituelle, mais ceci n'arrêtait le mouvement dans l'attirante capitale qui se reconstruisait peu à peu, et créait un regrouprement de gens motivés, comme de personnes paresseuses.

Dans une parcelle de cette charmante ville, se dressait un immense château connu de toute la lorraine pour les gens, nobles comme roturiers, les idées, les améliorations, et aussi un source de problèmes pour d'autres. Mais c'était tout à fait normal ! Rien n'est complet !
Un bureau, plus précisèment situé dans le deuxième étage de la Cour-haute Nord du château, était destiné au prévôt, Fiha de Sevillano ...
Ce dernier paraissait trop charmant aujourd'hui avec son manteau de haute couture, le col dressé lui cachant l'intégralité de son cou, son épée favorite accrochée à sa taille, attendait impatiemment quelque chose, ou quelqu'un ... Ou un rien, personne ne savait.

Des moments d'attentes, aussi longues qu'ennuyantes, le soir se montra finalement ce qui traça un léger sourire sur les lèvres du prévôt à la trentainte. Enfilant son manteau marron, il se dirigea vers sa destrière dans les écuries pour la monter, la prenant avec lui dans une petite balade, qui avait pour seule destination la fameuse cathédrale nancéenne.

Cette cathédrale, connu par ses architectures et les dessins sur ses vitres fascinantes, par son charme et l'odeur pur du clergé qui y rôdait, était le lieu des baptêmes de son prochain filleul dans l'union aristotélicienne, son cher Pierreden, c'était pour lui tous ses préparatifs et tout ce soin de le choix de son apparence.

[A la cathédrale ...]

Laissant sa monture rôder seule dans les recoins, se retrouvant un recoin où se cacher du froid, Fiha monta les marches de la cathédrale avant de franchir la porte d'un pas fier, ne laissant montrer aucunement ses sentiments pour le moment, s'approcha de l'eau sacré pour y tremper ses mains doucement, s'en asperger avant de s'agenouiller devant l'autel, notamment la croix aristotélicienne, réciter quelques prières puis se lever, se tenant debout, remarquant que quelques gens étaient déjà présents, dont son prochain filleul, le diacre et Azaléa ...

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Mcchipie
Mcchipie prépara ses deux petites adorables filles. Elle vêtit Léa d'une robe rose et Camille d'une robe blanche et bleue. Elle pris soin de les coiffer de deux tresses avec de jolies noeuds assortis a leurs robes et les chaussa avec leur chaussures blanches bien propres.

Elle les laissa jouer calmement, le temps de se préparer.


Attendez sagement en jouant, Je vais mettre ma tenue.

Elle les regarda en s'eloignant. On eut vraiment dit deux petits anges tellement elles étaient posées et sages.

Elle s'habilla d'une robe bleue foncée, et se coiffant, pensa a sa filleule Azalea qui allait se faire baptiser. Depuis le temps qu'elle en entendait parler...


Elle se hâta de finir de se préparer.

Elle revetit ses filles de capes blanches et sortit de la maison en leur compagnie. Une calèche les attendait pour ce beau jour. Elle fit grimper Lea et Camille et s'installa face à elles.

La calêche avançait à un bon rythme, mais la route cabossée la faisait souffrir au dos. Cette grossesse la fatiguait beaucoup. Elle regarda défiler la route pour ne pas penser a tout cela, et ecouta les discussions de ses filles avec un sourire.

La calêche arriva enfin sur le parvis de la cathédrâle, elle en descendit, puis les fis descendre. elle se plaça entre elles deux, leur prit la main et se dirigea vers le porche. Elle aperçut le vicaire, se dirigea vers lui pour le saluer.


Bonjour Monsieur le Vicaire.


Lea et Camille répétèrent ses paroles bien sagement, ce qui la fit sourire.
Isis25
Isis25 arriva en courant sur le parvis de la cathédrale de Nancy.

Elle était essoufflé mais heureuse d'être arrivée avant que la cérémonie ne commence. Elle aperçut Mcchipie avec Camille et Léa.


Elle alla vers elles et leur fit à chacune une bise:


[b]Vous êtes très belles toutes les trois



[i]Puis, Isis salua Uriel et entra dans la cathédrale.

Elle fit son signe de croix et alla chercher une place


Isis avait encore un peu de mal à se retrouver dans un édifice religieux mais elle faisait de gros efforts pour sa famille et ses amis
Pierreden
Après ce voyage pour rejoindre Nancy, Pierreden attacha les chevaux sur le coté de la cathédrale et emmena Azalea à l'auberge de l'autre coté de la place, afin qu'ils puissent se rafraichir et se changer.
Il ne voulait pas arriver mouillé et couvert de boue pour son entrée dans l' Eglise Aristotélienne.

Il avait fait le voyage vers Nancy déjà plusieurs fois, mais jamais par un temps aussi mauvais, l'hiver était là, bien là et le faisait fortement sentir.
Il enleva ses vêtements de voyage, mit sa cape à sécher près de le cheminée , rangea son bouclier, enfila son uniforme d'apparat de soldat de l'Ost et posa sur ses épaules une nouvelle cape.

Il attendit Azaléa, et rejoignit la cathédrale où étaient déjà arrivé son parrain Fiha de Sevillano et la marraine de sa bien aimée avec ses deux adorables filles.
Après s'être signé avec l'eau du bénitier et fait une légère génuflexion en direction de la statue de Christos; il vint les saluer.


Bonjour parrain, je vois que tu te portes bien, tu ressembles à un prince habillé de la sorte, je te remercie de l'honneur que tu me fais de m'accompagner dans ce moment.

Puis vers Mcchipie, à qui il fit le baise main avant de lui faire une accolade.


Bonjour dame Mcchipie, je te remercie aussi de ta présence, tu es plus qu'une marraine pour Azaléa.
Bonjour les enfants.


Puis il aperçut Isis à qui il vint faire la bise et la remercier de sa présence.
Lavania
Lavania avait entendu dire que ses deux amis allaient bientôt se faire baptiser. Il ne fallait surtout pas qu'elle rate ce moment et surtout, surtout il ne fallait pas qu'elle soit en retard.

Elle avait fait la route qui la séparait de Nancy pour pouvoir assister au baptême de Pierreden et d'Azalea.

Ce matin à l'hôtel, car on ne dors pas n'importe où dans la capital de Lorraine, elle avait pris soin de se lever à l'aurore et avait délibérer pendant un bon moment sur la façon de s'habiller.


Ha la la!! Mais on ne m'a jamais dit quoi porter pour un baptême!! J'aurais du demander à Aza!!

Elle opta donc pour une robe simple et se rendit à l'église, espérant être à l'heure.

Arriver aux portes de la cathédrale, elle vit que déjà plusieurs personnes était arrivée, Azalea et Pierreden évidement, Fiha, Mc et Isis. Elle alla donc saluer chacun personnellement.


Tout d'abord elle se dirigea vers Aza, tranquillement, se retenant pour ne pas courir aller la voir.


Salut Aza!!! Tu va enfin te faire baptiser!! Je suis vraiment contente pour toi!! Et après tu va pouvoir être ma marraine?? Je sais que je te l'avais déjà demander mais, juste pour être sure...

Elle alla ensuite saluer Pierreden et lui faire la bise, puis Isis, Mc et Fiha, sans oublier un petit signe de la main aux deux jeunes demoiselles qui accompagnaient leur mère.
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