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[RP CULTE] La Cathédrale de Toul

Cathaschtroumpf
Catha venait de perdre ses jumeaux. Ils étaient tombé dans un puits après une fugue. La chute avait été mortelle pour les deux enfants. Catha qui vivait des événements tragiques ces derniers temps, n'avait plus la force de continuer à se battre. Elle ne voulait plus continuer à vivre.

Elle se rendit donc à la Cathédrale où elle avait été baptisée et s'agenouilla. Elle fondit en larmes avant même d'avoir pu demander pardon à Aristote pour tous ses péchés. Elle garda la tête baissée, et tentait de se ressaisir. Mais impossible. Le décès de ses enfants l'avait anhéantie pour de bon.

C'était la première fois depuis son baptème qu'elle revenait dans un lieu saint. Elle s'en voulait d'voir délaissé Aristote, bien qu'il a toujours été dans son coeur et dans ses pensées.

Catha ne s'était jamais confessée, et ne savait pas comment s'y prendre. Elle se dit qu'Aristote comprendrait de toute façon. Peu importe la façon dont on se confesse, le principal était de le faire. Elle sécha alors ses larmes et releva la tête doucement, puis elle commenca à se confesser du mieux qu'elle pouvait.



Aristote, pardonne mes péchés. J'ai eu quattre enfants hors mariage, j'ai trahi l'Ost que je voulait deffendre en "insultant" Dame Melodie, j'ai trompé des hommes que j'aimais, j'ai fait souffrire ceux qui m'entouraient. J'ai perdu la confiance de ceux qui étaient des exemples pour moi.

Aujourd'hui je suis en procès contre Dame Melodie pour les propos que j'ai tenu devant les soldats de l'Ost. Tu m'as enlevé mes enfants alors qu'ils étaient à l'aube de leur vie. Tu m'as enlevé l'homme que j'aime le plus au monde. Tu ne devais pas punir ces enfants qui n'ont rien fait de mal. Il fallait me punir moi pas eux. Aristote pardonne moi. Je t'en veux de tout ca, et je ne comprend pas... Tu avais sans doutes de bonne raisons d'agire de la sorte, mais s'en prendre à des enfants...


Catha se remit à pleurer. Elle aurait voulu effacer tout ce passé emplit de péchés et tout recommencer, mais il était bien trop tard. Le mal avait été fait et plus rien ne pouvait etre fait contre cela. Elle se devait de rester forte et ne pas se laisser abattre. Mais comment rester forte quand on vous a enlevé tout ce qui comptait pour vous? Personne ne lui referait confiance à présent. Il était bien trop tard pour elle.


Aristote, je t'en supplie, laisse-moi une chance de me racheter. Jamais plus je ne toucherais un homme en dehors du mariage. Jamais plus je ne tromperais la confiance que l'on me donnera, si on me l'accorde encore... Aristote, aide-moi je te supplie de tout mon coeur. Aide-moi à m'en sortir et retrouver un semblant de vie.


Catha sècha ses larmes et reprit son souffle. Elle se releva et alla s'assoir sur un banc pour repenser à tout le mal qu'elle avait pu faire autour d'elle. Elle avait beau chercher, mais rien ne lui venait à l'esprit. Comment pourrait-elle se racheter auprès de ceux qui l'avaient aidée et ceux qui comptaient sur elle. Elle resta la un long moment, en espèrant voir arriver un homme d'Eglise qui pourrait peut-être l'aider
Zahra.2
Zahra avait apprit que son amie Catha avait perdu ses deux enfants , ses deux petit jumeaux qu'elle avait surveillé une journée à Vaudémont, c'était un peu les enfants du village, elle avait une immense peine pour elle et Gaiia, elle se souvenait les nombreuses disputes concernant ses deux enfants...

Elle arriva à la cathédrale de Nancy, où elle pensait retrouver son amie, elle savait qu'elle était désemparée, puis un peu perdue ces derniers temps.
Zahra avait toujours soutenu la Catha, pour elle c'etait une battante, une femme qui pouvait toucher à tout... sans avoir de peur, elle était devenue Vaudemontoise, et Zahra en était heureuse, d'avoir une jeune maman pleine de vie à Vaudémont...

Elle entra dans la cathédrale, s'approcha de Catha qui était en pleure, la serra dans ses bras...


Toutes mes condoleances ma Catha, sache qu'on est là pour toi...

Elle s'asseya auprès de Catha, et medita, et pria silencieusement pour les enfants , qu'ils reposent en paix , et que Dieu donne du courage à la jeune maman d'Einar...

Courage ma puce, j'sais que c'est dur

Si tu as besoin de quelque chose je suis là...

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Cathaschtroumpf
Catha avait senti une présence. Elle releva doucement la tête et vit son amie Zaza arriver. Elle ne pouvait plus cacher son désespoir qu'elle avait trop longtemps gardé pour elle. Catha détestait être mise à nu et montrer ses faiblesses, mais là elle ne pouvait plus se retenir. Trop longtemps elle avait entendu ses amies pleurer pour tel ou tel homme. Elle ne comptait plus le nombre de personne qu'elle avait réussi a redonner un sourir et redonner l'espoir. Elle avait un certain don pour aider les autres, mais quand il s'agissait d'elle-même, elle ne faisait rien si ce n'est se taire et tout garder pour elle, jusqu'au jour ou il y en avait trop. La elle craquait comme un enfant. Elle avait trop souffert ces derniers temps, et ne s'était confiée à personne.

Aujourd'hui, elle n'était plus la Catha forte et courageuse, mais elle était devenue faible. Elle avait même refusé de se deffendre correctement lors de son procès, espèrant qu'on la condamnerait à la pendaison, mais vu comme les choses évoluaient, elle n'était même pas assez bien pour la gibet.

En apprenant le décès de ses jumeaux, elle avait craqué. Elle n'était plus rien à présent. Ses enfants étaient les seuls qui la maintenait encore en vie. Ils lui donnaient la force nécessaire à ne pas se laisser mourir de chagrin. Mais maintenant qu'ils avaient disparu, plus rien ni personne ne pouvait lui donner la force de continuer à lutter.

Catha se laisse aller dans les bras de Zaza et retirant complétement sa carapace, se mit a pleurer comme elle ne l'avait jamais fait.



Merci Zaza. Merci pour tout. Et pardon.
Feeetelfe


Fée était en taverne quand un pigeon l'annoncait de l'horreur que vivait son amie Cath , elle lisait le petit mot en silence , elle ne pouvait le croire !!! Non pas ca !!! nooooon !!!!!! pas Caiia et Gaiia nooon !!!
Elle avait mal !!Les larmes montaient d'un coup ...
elle était furieuse , contre le monde entier son coeur seignait pour ces petits anges qu'elle aimait de tout son coeur , quelques jours avant elle avait ete les chercher à Toul , les avait embrassé , serré dans ses bras ,voyagé avec eux pour Vaudemont ,elle les avait rendu a leur maman qu'ils aimaient tant ... Elle les avait vu grandir, les avait berçé quand ils étaient encore tous petits ...

Fée était meurtrie , elle se rendit immediatement à l'église ,elle pénetra dans la chapelle les yeux rouge le visage tiré , elle s'approcha de Cath et s'éffondra en larmes .. Ohhh ... ma cherie quelle horreur !!! Je suis sin ... sincèrement désolée ... Je... je suis ... là pour toi ...

Elle sanglotait tellement qu'elle avait de la peine a parler , elle se mit a prier tres fort ..
.
Sacha07


Sacha07 de Liège était avec son amour en taverne quand il vu les larmes aux yeux du visage de sa Fee qui cria:

Non pas ca!!! Nooooon!!!!!! pas Caiia et Gaiia nooon!!!

Il ressenta que quelques choses d'affreux venait de se produire.
Il prit sa Fee dans ses bras et elle pleura a chaude larmes contre lui.
Son amour ne sachant pas parler.
Il demanda à sa belle soeur Rosa de s'occuper et de réconforter sa Fee pendant qu'il allait seller son étalon Thor de l'enclos.
Il couru le plus vite possible jusque chez le forgeron qui avait acceptée de lui louer une étable pour y mettre son étalon.
Il le sella et le brida a grande vitesse.
Il monta dessus et filla rejoindre sa Fee à la taverne.
Rentra dans celle çi et vit que son amour reprennait peu à peu ses esprits.
Rosa m'expliqua ce qu'il venait de se produire en lisant le mot que sa soeur avait laissée tomber a même le sol.
Ces yeux se remplirent de larmes en pensant au chemin effectuer entre Toul et Vaudemont avec les deux adorables petits anges ainsi que sa fiancée quelques jours plutôt.
Lui qui avait pratiquement porté Caiia sur ses épaules pendant tout le trajet ne pouvait croire ce qu'il venait de ce passer.
il pensa:


Olala Pauvre Cath elle doit être soutenue dans ces moments des plus penible pour elle.

Il regarda son amour et lui dit:

Mon cheval est dehors vient derrière moi et allons soutenir ton amie
Elle doit avoir besoin de toi
Ou est elle mon amour?


Mais Fee ne sachant pas parler sa soeur Rosa prit la parole:

Je pense que Cath est devant Aristote à la Cathédrale de Nancy là ou elle a été baptisée.

Il prit la main de sa Fee et sorti de la taverne.
Il monta sur son étalon Thor et tendit la main a son amour pour qu'elle le rejoigne.
Une fois tous les deux en selle, son cheval se cabra sous les coups d'eperons et prit le grand galop en direction de Nancy.
Sa Fee avait passée ses mains autour de sa taille et le serrait bien fort mais il constata que pendant tout le trajet elle pleura encore et encore dans une tristesse absolue.
Lui même les larmes lui coulaient sur le visage en pensant à ces deux petits anges qui étaient vraiment des plus adorables.
Arrivés devant la cathédrale de Nancy,il aida sa Fee a descendre de son étalon.
Elle couru très vite en direction de celle çi.
Il descendit a son tour et entra dans la maison d'Aristote,trempant sa main dans le bénitier et s'agenouillant devant le très haut en fesant le signe de la croix.
Il vit sa Fee déjà aux côtés de Cath et de Zahra.
Elle était toutes les trois a genoux entrain de prier en sanglotant.
Il alla allumer deux cierges,un pour chacun des enfants et mit un genoux à terre, pria Aristote pour qu'il les acceptent parmi les siens.
Il se releva et rejoigna Cath,Zahra ainsi que Fee
Ne voulant les dérangées il se mit derrière elle et posa une main sur l'épaule de son amie Cath ne trouvant les mots pour essayer de la réconforter.
Ses yeux étaient remplis de larmes alors il se remit a genoux avec les mains sur son visage pour cacher la tristesse qu'il ressentait sur le moment présent et pria le très haut
Cathaschtroumpf
Catha avait a peine entendu Fée et Sacha entrer dans la Cathédrale. Trop choquée encore par la disparition de Kaiia et Caiia. Elle eu un léger sourire en entendant Fée se trompé encore une fois sur le prénom de Kaiia. Fée avait toujours confondu le prénom du père et du fils, mais peu importe, à présent Kaiia et sa soeur étaient partis rejoindre Aristote.

Catha se remmémorait avec douleur et tristesse toutes les petites bétises de ses jumeaux. Tant de fois ils avaient poussés Catha a bout de nerfs. Elle les avaient surnommé les petits monstres, mais au fond ils étaient adorables. Catha fondit en larmes en repensant à leur naissance, puis celle de leur soeur Laiia, qui elle avait aussi rejoint Aristote peu de temps après sa naissance.

Catha n'était pas bien vieille, à peine dix-huit printemps, et déjà trois de ses enfants avaient rejoint Aristote. Il lui restait bien un fils, celui de Einskaldir, mais elle en avait déjà perdu trois. La douleur de perdre un enfant est immense. Mais en perdre trois, quoi de plus affreux pour une mère? Jamais elle ne s'en remettrait.

Catha avait eu une belle vie jusqu'à il y a peu de temps, puis les malheurs se sont enchainés soudainement. Plus rien n'allait pour elle. Il ne lui restait plus rien. Elle était à bout de force, elle voulait rejoindre ses enfants au royaume d'Aristote, mais elle se devait de rester encore un peu en ce bas monde pour veiller sur son dernier fils vivant, le petit Einar.

Catha sentait la main de Sacha sur son épaule. Il essayait de la réconforter, tout comme sa petite Fée et Zaza, mais était-il possible de réconforter un coeur brisé par la douleur et le chagrin de perdre ses enfants? Elle appréciait sincèrement que ses amis soient là pour elle, et rien que pour elle cette fois-ci. Elle pouvait enfin se lacher complétement, personne ne lui en voudrait. Elle ne devait pas se soucier des problèmes de coeur de telle ou tel personne, ou des problèmes de récoltes, d'éléctions ou que sais-je encore. Aujourd'hui Catha pouvait pleurer toutes les larmes de son corps et tenter de faire le deuil de ses enfants.

Elle devait être égoïste à présent, bien qu'elle supporte mal l'égoïsme, elle devait se recentrer sur elle-même pour ne pas plonger dans une mauvaise dépression. On lui avait dit un jour qu'il ne fallait pas se retenir de pleurer, aujourd'hui elle comprennait enfin pourquoi on lui avait dit cela. Plus on se retient, et plus on se détruit.

Après avoir versé un torrent de larmes, elle se redressa et regarda ses amis qui étaient là pour la réconforter. Elle sécha doucement ses larmes, comme pour effacer la douleur et la tristesse. Elle s'éclaicit la voix et s'adressa à eux.



Merci d'être venu si vite. Vous n'imaginez même pas à quel point ca fait du bien de ne pas se sentir entièrement seuls face à une tragédie pareille. Merci du fond du coeur d'être là. Jamais je n'oublierais ce que vous avez fait pour moi.

Catha prit sa tête entre ses mains et se laissa aller à pleurer encore et encore.
Uriel
Uriel passait non loin de la Cathédrale lorsqu'il vît plusieurs personnes rentrer.

Il se demanda si un office se donnait, mais cela l'aurait étonné.
En effet, ni le Père Joce, ni Monseigneur Ecaterina ne lui en avaient fait part.

Le Diacre itinérant de Lorraine entra donc dans l'édifice et y découvrit un spectacle pour le moins particulier.
Une jeune damoiselle était effondrée de douleur face à l'autel, tandis que d'autres étaient en train de la consoler.
Il reconnut d'ailleurs Feeetelfe, à qui il avait donné quelques cours de pastorale, mais qui - à priori - avait laissé tomber les enseignements d'Aristote.

Il s'avança donc vers le groupuscule, regarda chacun d'un air interrogateur et s'accroupit près de la jeune fille.
Elle ne semblait pas blessée physiquement, mais souffrait profondément tant son visage était inondé de larmes.

En tant qu'homme de Dieu, il ne pouvait laisser une personne dans la détresse.
Il posa sur elle un regard plein de compassion et d'une voix douce, il lui demanda la cause de ses tracas :


Mais, que se passe-t-il, damoiselle ?
Pourquoi souffrez-vous de la sorte ?

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Cathaschtroumpf
Catha vit un homme qu'elle ne connaissait pas s'approcher et s'accroupire devant elle. Il avait l'air d'être un homme d'Eglise au vue de ses vêtements. Peut-être pourrait-elle se confesser à lui. Elle tenta de donner une explication à l'homme, mais elle ne pouvait faire sortir aucun son de sa bouche. Les larmes ruissellaient le long de son visage sans pouvoir s'arreter. Elle se releva doucement et regarda l'homme. Elle s'essuya le visage et se calma un peu. Puis elle salua l'homme.


Bonjour mon Père. Pardon, je ne sais comment vous appeler. Je suis Cathaschtroumpf, et je vis à Vaudemont. Je... Je suis partie en voyage avec mes jumeaux pour voir ma soeur à Verdun. Et...


Catha ne pu retenir son émotion et fondit en larmes un nouvelle fois. Elle essaya de continuer ses explications du mieux qu'elle pouvait.


Mes enfants ont fait une fugue pour jouer. Ils sont allés dans la forêt verdunoise et en jouant ils sont tombés dans un puits. La chute à été mortelle pour mes deux petits anges.


Catha n'arrivait plus à alligner deux mots tant la souffrence était grande. Elle fondit en larmes et se laissa tomber à terre, meurtrie par le chagrin.


Mon Père, j'aimerais me confesser. J'ai fait tant de choses mal dans ma vie. Voilà pourquoi Aristote me puni aujourd'hui. Mais pourquoi s'en est-il prit à deux pauvres enfants qui eux n'avaient rien fait? Il avaient tout l'avenir devant eux. Ils étaient si heureux de vivre... Aristote n'aurait pas du leur oter la vie mon Père.


Catha regardait l'homme. Ses yeux étaient devenus rouges à causes des larmes, ses joues étaient trempés, et son nez tout irrité à force de se moucher. Elle se mit à genoux devant l'homme le suppliant du regard de l'aider.
Uriel
La jeune femme se releva et raconta sa malheureuse histoire à Uriel.
Au fur et à mesure de son récit, le visage du diacre se décomposait.

Quelle tragédie, deux pauvres enfants, disparus, tués ...
Sa gorge se noua en pensant à la souffrance des enfants et à celle de Cathaschtroumpf.

Puis elle retomba à genoux tandis qu'elle levait vers lui un regard suppliant.

Qui qu'elle soit, quoi qu'elle ait fait, sa mission envers Dieu et les humains était d'aider ceux qui en avaient besoin, et encore plus si ils demandaient son soutien.
Il s'accroupit donc et se mit à son niveau pour effacer toute différence.


Je me nomme Uriel, de Verdun, je pense d'ailleurs vous y avoir aperçu.
C'est en effet un grand malheur qui vous arrive là et je compatis sincèrement à votre douleur.


Il posa une main sur le bras de la damoiselle, c'était un geste d'Amitié, pour la rassurer de son soutien moral.

Je suis homme d'Eglise en effet et effectivement, je pourrai vous entendre en confession.

Il faut que vous sachiez ceci, ni Dieu, ni Christos, ni Aristote ne punissent de la sorte ; et ce, malgré le fait que vous ayez péché.
Dieu est juste, Il sait, Il ne commettrait jamais pareille injustice envers des innocents. Dieu juge, certes, mais son jugement nous est réservé à notre mort terrestre et pas avant.
Comprenez qu'il n'y a aucune sentence de Dieu dans ce monde.

Ce qui est hélas arrivé est le destin, et j'en suis sincèrement désolé.
Aujourd'hui, vos deux petits anges son probablement au côtés de Dieu, en son Paradis Solaire.


Le Diacre ne savait que rajouter tellement le malheur qui frappait Cathaschtroumpf était grand.
La seule chose qu'il pouvait faire en vérité était de prier pour leur âme.


Quoiqu'il en soit, je donnerai une messe en l'Eglise de Verdun pour le repos de vos deux petits.
Et je vous entendrai en confession.


Il regarda la jeune fille, espérant que ses paroles l'avaient un peu appaisé, malgré le fait que cette douleur la poursuivrait toute sa vie ...
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Zahra.2
Zahra était au près de son amie lorsqu'elle entendit Fée et Sacha entrer dans la cathédrale, la pauvre Catha était plus que triste, rien ne pouvait la consoler, ils restèrent quelques instants avec elle..

C'était une terrible tragédie, chacun la reconforter par des paroles...
Zahra restait silencieuse, ne sachant quoi dire, la blessure de son amie était bien trop recente pour lui faire secher ses larmes.

La saoulotte de Vaudémont lui avait toujours suggeré d'économiser ses larmes pour une véritable raison, une rupture et un homme n'en valait pas la peine aux yeux de Zahra, mais elle ne savait pas que Dieu allait prendre à la lettre ses paroles, car la mort de deux innocents étaient une raison de verser toutes les larmes de son corp de jeune maman, encore trop jeune pour avoir autant de malchances.

La porte de la cathédrale s'ouvrit, elle reconnu de loin le diacre itinérant.
Elle le salua d'un geste, et recula, elle savait qu'il allait avoir des paroles apaisantes pour la mère...

Celà faisait quelques semaines qu'elle voyait son amie pleurer; elle avait eu des mots dur envers elle "Chochotte", mais là... elle était dépassait par les évenements... Elle s'eloigna , pour prier et mediter en silence, laissant le diacre s'occupait de Catha.
Pour une confession, Catha avait besoin d'être seule..

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Cathaschtroumpf
Catha avait écouté avec attention les paroles du diacre. Elle se sentait un peu plus apaisée, mais son coeur était toujourt meurtri par le chagrin. Elle pleurait moins, et son nez avait cessé de couler. Elle regarda le diacre et lui sourit légèrement, comme pour lui dire merci. Ses paroles l'avaient touchée. Elle n'en voulait a personne pour ce qui était arrivé à ses jumeaux. Elle ne s'en voulait qu'à elle-même.

Elle se releva doucement et regardait les personnes près d'elle.



Merci d'être là. Merci de m'avoir aidée. Jamais je n'oublierais ce drame, mais jamais non plus j'oublierais votre présence ici en ce jour. Mon Père, c'est comme cela qu'on dit? Je sais plus pardon. J'assisterais à la messe en l'église de Verdun. Merci pour ce réconfort.

Catha, après s'être agenouillée devant l'autel se signa puis se releva. Elle se dirigea ensuite vers la grande porte de la Cathédrale, regardant les magnifiques ornements de celle-ci. Arrivée devant la porte, elle se retourna vers ceux qui étaient venus la soutenir.

Merci encore pour tout. Je promet de faire de mon mieux pour qu'Aristote me pardonne mes péchés. Merci du fond du coeur.

Catha effaca les quelques larmes qui coulaient encore sur son visage, et remit son capuchon. Puis elle sorti de la Cathédrale tête baissée. Elle remonta sur son cheval et rentra à Verdun se changer pour la messe que le diacre lui avait promit.
Uriel
Uriel put lire un peu d'apaisement sur le visage de la dame ; il savait que ses paroles ne pourraient rien réparer, ni créer de miracle, mais au moins, elles avaient le mérite de faire savoir que Cathaschtroumpf n'était pas seule et que Dieu veillait sur elle.
Ses amis étaient là et elle aurait besoin d'eux près d'elle pendant longtemps.
C'était une sacrée épreuve, une blessure profonde.

Il l'aida à se relever et en fit de même, lui tenant les deux mains.


Ne me remerciez pas ; c'est tout naturel, voyons.
Mes paroles ne sont hélas que des paroles, mais votre Foi ne doit pas décliner, que du contraire, elle doit se renforcer.


à la mention du mot "Père", il lui sourit.
De nombreuses personnes l'appelaient ainsi, mais il ne méritait pas ce titre.


Appelez-moi simplement par mon nom : Uriel ; je ne suis qu'un homme humble et ne recherche pas les honneurs, seul le bien être des gens m'importe.
Certes je suis homme d'Eglise et homme de Foi, mais en tant que diacre, je ne porte pas de titre.

Cependant, je suis heureux que mes paroles vous aient apporté quelque réconfort.
Nous nous reverrons à Verdun où je m'occuperai de tout.


Alors, il la regarda partir car elle avait probablement besoin de se retrouver seule afin de penser, de méditer et peut-être encore ... de pleurer ses enfants disparus ...

Voyant les autres personnes, il fit un signe de tête à Zahra, qu'il avait vu à Vaudemont lors de la messe pour le Sergent Ambre ...

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Joce_rr
Un beau dimanche après-midi de printemps en la Cathédrale de Nancy.
Le Vicaire et l'Évêque de Toul attendaient sur le parvis l'arrivée des futurs mariés et des invités.

Une dizaine de minutes avant le début, le Vicaire entre se préparer et laisse Mgr avec les gens à l'entrée.
Les cierges brillaient en de fines étoiles et les vitraux coloraient la lumière de l'après-midi.

Les gens étaient fébriles et semblaient heureux. Heureux en eux-mêmes et heureux pour les futurs époux, Mélodie et Torpedo.
Après une brève prière intérieure, le vicaire invita les gens à entrer et prendre place.

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[Signature hors normes retirée par Bottée Féline]
Torpedo8
Torpedo était stressé, peut être plus qu'il ne l'avait jamais été. Il avait attendu ce jour depuis bien longtemps. Et l'aboutissement des jours de bonheur qu'il vivait aux côtés de Melodie allait enfin prendre forme par le biais de ce mariage. Ils en avaient tant parlé ensemble de cet instant... Et le jeune homme en avait rêvé tant de fois...

Il ne se fit pas prier pour entrer dans l'édifice religieux. Dès que le Père Joce en fit part, Torpedo fut le premier à franchier la lourde porte de bois qui donnait dans la nef. Son aimée n'était pas encore là, le protocole voulant que cette dernière arrivât en dernier dans la Cathédrale. Mais bientôt Torpedo se trouva assez proche de l'autel. Il s'imaginait Melodie dans diverses robes. Mais elle serait encore plus rayonnante quand il la verrait, c'était certain...
Ellebasi40
Ellebasi arriva un peu inquiète d'être en retard devant la cathédrale remis de l'ordre dans sa coiffure et sa robe rose et bleu et dans les cheveux une fleur que j'avais fais pour l'occasion .

Ouvre la porte et vois déjà Torpédo qui attends devant le prêtre .en avançant dans l'allée vois les fleur attacher au banc et tout était décoré pour l'occasion de leur mariage

Bonsoir Torpedo, bonsoir mon pere, en s'installant pres de l'autel attendant la mariée qui devez arrivée d'un moment a l'autre ..
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Patience ,Miséricorde Aime Soigner de tout son coeur ...
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