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[RP CULTE] La Cathédrale de Toul

Shillia

°&°&°&°&°&° aptême PM306 de eauregard D'Youville Seigneur de Fraisineté °&°&°&°&°&°
rosana45 a écrit:
Rosana arriva de bon matin pres de l église ou devait se dérouler le baptême de son beau-frère et filleul PM .
Elle avait laisser son fils Brisson auprès de Sabi , le temps qu elle décore un peu la grande battisse .

Elle déchargea de sa carriole les fleurs et les guirlandes......................



elle disposa les guirlade de fleurs le long des bans
Elle deposa efin de chaque coté les paniers de dragée

Rosana regarda la décoration qu elle avait installé et se demandait si elle avait pas oublié quelques choses .......

Elle reparti chez elle s occuper de Brisson et s apprêter pour la cérémonie .....
Shillia


°&°&aptême PM306 de eauregard D'Youville Seigneur de Fraisinet &°&°

Je dit Bonjour, à notre future Marraine, qui avait les bras charger de fleurs,
je la débarrassait et emmenais le tout pour mettre dans de jolis pots,
je décorais l'Église avec elles, elles embaumaient la sacristie, je mis le plus beau bouquet sur le tabernacle à la vu de tous!..


-Bonjour, quel senteur, tu nous a vraiment gâter, elles sont très belles
Le Baptisé va être ravis, assis toi prends une place, au premier rang.
Je vais continuer la Cérémonie de Baptême!..
-Tout le monde est arrivé !..


L'Église était pleine les visages étaient radieux, notre futur Baptiser était attentif, et ne perdait pas un mot de se que je disais, cela faisait plaisir
de savoir que l'on œuvrais pas pour rien, je vais pour suivre avec le crédo, maintenant que tout le monde est là
ma voix résonna dans l'Église, je baissais d'un ton, mais il fallait qu'au fond on m'entende.


-Nous allons récités le crédo

http://www2/cantgreg/cantus/al_non_vos_relinquam.mp3

-Crédo Aristotélicien

Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Éternelle.

AMEN


-Messire Pm306 De eauregard, désirer vous toujours être Baptiser?...
-Approchez, mon ami avec votre Marraine Dame Rosana De eauregard, nous allons nous confessaient !..
Pm306
Je récitais de vive vois, le crédo:

Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre, Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.
Et en Aristote, son prophète, le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.
Je crois aussi en Christos, Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.
Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Église Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints; En la rémission des péchés
En la Vie Éternelle.
AMEN

_________________
Shillia
-Messire, PM306 De eauregard et Lieutenant de la prévôté et Directeur d'École de cette même Prévôté,
il œuvre à nous faire respecter les lois de la Lorraine avec toute sont équipe.
-Dame, Rosana De
eaugard, et adjoint au Maire elle travaille a la bonne tenus de Vaudémont ce qui des fois n'est pas une mince affaire
-Dame, Rosana De eaugard,est l'épousée de
-Messire, Sabifax De
eaugard, Parlementaire du Duché, ils on eux ressemant un petit
garçon prénommer
risson.

-Voila vous savaient tout sur nos Amis ici présent.


PM, tu as décidé d'entrer dans la maison Aristotélicienne. Je me suis moi même chargé de ton éducation religieuse, et je sais mieux que quiconque que tu mérites d'y entrer. Tu porteras le sigle de l'église Aristotélicienne, et tu te rapprocheras de Dieu. Ainsi, tu pourras mieux exprimer ta foi, et ta croyance en Christos et Aristote.

Ici présent, nous avons Rosana, ta marraine. Elle t'a guidée jusqu'ici et en est fière.


puis le silence, je réfléchissais ou j'en été, que d'émotion aujourd'hui, il me semble que je répète toujours la même chose, nous en somme a la confession, je reconnais les paroles!...
Pm306
Je confesse à Dieu tout-puissant, Je reconnais devant mes frères,
Que j'ai péché en pensée, en parole, Par action et par omission,
Oui, j'ai vraiment péché.
C'est pourquoi, je supplie Aristote et Christos,
Les archanges et tous les Saints,
Et vous aussi mes frères, De prier pour moi le Créateur.
Que le Tout Puissant nous fasse miséricorde,
Qu'il nous pardonne nos péchés,
Et nous conduise à la vie éternelle.
Dans le paradis solaire.

Amen

_________________
Shillia


°&°&°&°&°& aptême PM306 de eauregard D'Youville Seigneur de Fraisinet °&°&°&°&°&°

Un "Amen" général se fit entendre, avant que la cérémonie ne soit close.
Sa main tremblait un peu en refermant son Livre des vertus. Elle regarda ces Paroissiens, ses amis,

J'attendais un moment avant de poursuivre, pour le silence revienne et que je puisse pour continuer ma Cérémonie de Baptême!..

-Pensez que je suis la plus heureuse aujourd'hui d'avoir l'honneur de
vous Baptisez, que ce soit moi qui fasse la cérémonie religieuse.


Lui dit je de ma voie la plus douce

Puis je m'adressais a la future Marraine, de mon tendre ami et futur Baptisé.
Il était sur son trente et tout le monde était élégamment vêtus, ambiance agréable, les fleurs embaumaient la chapelle de leurs parfum


-tu est à ton avantage aujourd'hui Rosa qu'elle belle robe, tu illumine la chapelle
par tes fleurs et ta belle robe


J'attendais un moment avant de poursuivre, pour le silence revienne et que je puisse pour continuer ma Cérémonie de Baptême!..

-Rosana, ton filleul va entrée dans notre grande famille Aristotélicienne, il faudra le guider, mais je te fait confiance
tu sera une bonne Marraine.

-Qu'est ce le Baptême, le Baptême c'est,
"L'Amitié Aristotélicienne" au sens large, qui est une communauté de vie: Par le Baptême chaque baptisé serait introduit dans une union spirituelle
en puissance qui serait donc un contact spirituel avec tous les autres baptisés.
Le baptême introduit le fidèle dans une union avec les autres baptisé et une communion avec les Saints.
Le Baptême, ou rite d'entrée dans l'Église Aristotélicienne, donne au nouveau croyant les prémisses de l'amitié Aristotélicienne parfaite.
Cette amitié est encore en puissance et demande à être développée par un contact
avec Dieu dans la prière et les sacrements, et aussi par le témoignage de douceur et de compassion avec les autres.
Le baptême introduit donc dans une famille divine et humaine. Divine car il met en relation avec Dieu.
Humaine car il intègre dans la société humaine de l'Église Aristotélicienne.


-Je vais vous réciter un passage du livre des Vertus, certain d'entre vous le connaisse déjà peut être.
Mais il est de coutume de réciter ce passage du livre des vertus lors d'un Baptême, ce passage est conseiller !..




Livre de la Création
Chapitre VII - « L’amour »


Dieu ne répondit pas à la créature qui avait fait l’apologie de la domination du fort sur le faible.

Il se tourna vers un groupe de créatures. C’était justement celui qui faisait partie de l’espèce humaine et qui avait parcouru le monde.
Dieu savait que ce groupe se croyait rejeté par Lui.
Ces humains pensaient être privés de tout talent.
Ils estimaient être mis à l’écart de la création du fait de leur prétendue infériorité. Mais, parmi eux, l’humain qui portait le nom d’Oane détenait,
sans en être sûr, la réponse à la question posée par le Très Haut.

Car Oane doutait. Il regardait souvent les étoiles, espérant voir Dieu. Il aimait le Très Haut d’un amour sincère, mais ne savait pas si cela était le véritable sens de la vie.
Il voulait bien donner sa réponse,
mais il était considéré comme faible d’esprit par son groupe et personne ne voulait le laisser parler.
Mais Dieu était omnipotent.
Il avait écouté le groupe d’humains se plaindre.
Mais surtout, Il avait perçu l’amour et le doute dans le coeur d’Oane.

Alors, depuis le ciel, un rayon de lumière se fit et vint nimber Oane. Toutes les créatures furent ébahies, admirant la douce lumière qui auréolait l’humain.
Elles s’écartèrent alors, le laissant seul face à Dieu.
Il contempla son corps enluminé d’un regard plein de curiosité. Puis il se tourna vers les membres de son groupe.
Pour la première fois de sa vie, il put voir dans leur regard non pas du mépris mais du respect.

Et Dieu lui demanda: "Et toi, l’humain, n’as-tu rien à Me répondre ? J’ai ici convoqué toute Ma création pour trouver celui qui donnera la juste réponse à Ma question.
Tu es venu et tu n’as pas répondu. Alors, maintenant,
Je te somme de le faire !" Alors, Oane, terrifié par le ton sévère de son créateur, leva les yeux vers Lui et, d’un ton hésitant,
dit: "Mais, ô Très Haut, je ne sais si ma réponse est juste..." Et Dieu lui ordonna: "Parle et je te le dirai !"

Alors, Oane répondit: "Tu as certes fait Tes créatures se nourrissant les unes des autres.
Il leur faut chasser et tuer pour se nourrir. De même, il leur faut se battre pour défendre sa vie.
Mais il n’y a pas de fort ni de faible. Personne ne rabaisse ni ne piétine les autres.
Nous sommes tous unis dans la vie et nous sommes tous Tes humbles serviteurs.
Car Tu es notre créateur."

"C’est pour cela que Tu as donné des talents plus beaux les uns que les autres à toutes Tes créatures.
Chacune d’elles a sa place dans Ta création.
Son talent permet à chacune d’elles de la trouver.
De ce fait, il n’y a pas de créature préférée de Toi, ô Très Haut. Nous sommes toutes pareillement aimées par Toi et nous nous devons tous de t’aimer en retour.
Car, sans Toi, nous n’existerions pas.
Tu nous a créés alors que rien ne t’y obligeait et nous nous devons de t’aimer pour te remercier de ce geste."

"Nous sommes certes enchaînés à la matière, certes soumis à ses lois, mais notre but est de tendre vers Toi, l’Esprit Éternel et Parfait.
Donc, selon moi, le sens que Tu as donné à la vie est l’amour." Alors Dieu dit: "Humain, puisque tu es le seul à avoir compris ce qu’était l’amour, Je fais de tes semblables Mes enfants.
Ainsi, tu sais que le talent de ton espèce est sa capacité à M’aimer et à aimer ses semblables. Les autres espèces ne savent aimer qu’elles-mêmes."

Spyosu


Je fermais mon livre des Vertus, je regardais mes Amis, pour la plus part tous était mes Paroissiens.
je demandais un peu émus à PM et a sa Marraine Rosana de bien vouloir se rapprocher de moi.
Arrivée devant le baptistère

je regardais le bébé qui dormais dans les bras de son Papa, par dessus mon épaule, un vrais petit Ange, l'innocence même
-PM, nous allons dire le serment d'allégeance, approche toi
lis se passage là!..

je donnais le cierge a La Marraine qui le tenait bien droit.
-Cette eau purifiera ton Âme ainsi que tes pêchés passés, par la même
tu deviendra, un Disciple D'Aristote et tu appartiendra a notre grande famille Aristotélicienne

Je prononçais cet mots d'une voie tremblotante et émus



Tout les trois cote à cote nous récitions le serment d'allégeance avec ferveur et piété.
Pm306
Emus par l'évènement.
Je devais de nouveau parler fort et distinctement
Je disais le serment d'allégeance

Je reconnais en Dieu le moteur du monde,
la pensée suprême et la cause efficiente et finale du monde.
Je reconnais l'Eglise Aristotélicienne comme mon guide dans
la connaissance de Dieu, et je jure de lui rester fidèle ainsi
qu'à son autorité, seule représentante sur terre de l'être divin.
J'accepte cela de ma propre volonté pour le salut de mon âme
en vue de ma résurrection près de Dieu dans la contemplation
éternelle de Sa Beauté. Je désire que mon nom apparaisse comme
baptisé et serviteur du Dieu tout puissant

_________________
Shillia

Je donnais le panier a Filibert l'enfant de chœur pour qu'il aille faire la quette...

Arrivée devant le baptistère Je plongeais la main dans l'eau béni,
je l'apposais doucement sur son front, puis l'eau vint ruisseler sur son visage. je le regardais avant de prononcer,


-Par cette eau, je te purifie de tes fautes passées !
-Je te baptise PM306 De
euregard D'Youville seigneur de Fraisinet au nom de l’Eglise Aristotélicienne et au nom du Très Haut, pour l’amitié de tous les Saint et pour l’amour du Père de l’humanité.


sans quitter des yeux, Filibert qui était partis faire sa quette!..
Les pièces tintaient fur et a mesure qu'elles tombaient dans la corbeille.




médaille
http://img26.imageshack.us/img26/7104/fidlegifuy7yu0.gif [img][/img]

-Le aptême, ou rite d'entrée dans l'Église Aristotélicienne, donne
au nouveau croyant les prémisses de l'amitié Aristotélicienne parfaite.
Cette amitié est encore en puissance et demande à être développée par
un contact avec Dieu dans la prière et les sacrements, et aussi par le
témoignage de douceur et de compassion avec les autres.


Je fis un signe a Filibert, l'enfant de chœur, pour qu'il vienne prendre le bénitier....

-PM voici le cierge de l'Amitié et de l'Amour Aristotélicienne et votre certificat de Baptême

- Vous voilà Baptisé, voici Votre Médaille elle ne doit pas Vous quittez elle représente l' Amitié Aristotélicienne.
-Aller en Paix et que Dieu vous Bénisse ainsi que tout les Saints


Je fis un signe a Filibert, l'enfant de chœur, pour qu'il vienne prendre le Cierge qui fumait et me coulait sur les doigts....
Puis il repartis faire sa quette!..
Sans broncher.


Tout les invités arrivaient de toute part pour félicité le nouveau Baptiser et l'embrasser
Messire, PM était heureux, un grand sourire au lèvre nous fessais voir le bonheur qu'il avait d'avoir reçus la Bénédiction du Baptême.

Nouveau regard à Filibert, qui apporta la corbeille, et qui avait reçu les dons des personnes qui le souhaitaient
comme le voulait la tradition. Safia s'en saisit et continua sont prêche


-Va sonner, les cloches, tu aura des sabots neuf et du pain frais se soir...

( je lui chuchoter)

Les cloches
de la grande Église de Trêve se mirent à battre à toute volée... On
pouvaient les entendre à des kilomètres à la ronde. A l'heure du
crépuscule, la ville se faisait plus silencieuse. Le son des cloches
résonnaient à travers toutes les rues de se beau Village de Lorraine...

tout le monde avaient une larme au coin des yeux nous nous embrassâmes dans l'amour et la joie, je l'ai conduisis sur le parvis de l'Église pour lui dire ma joie, ma main dans la sienne, après plusieurs embrassade, de félicitation, Nous restâmes à discuter à L'entrée de l'église, puis tout le monde partir fêter l'événement, ou une grande fête, au Domaine De Beauregard les attendaient, un grand repas familiale et amical a été organiser pour cette occasion



Citation:

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Certificat de Baptême de PM306 de Beauregard D'Youville seigneur de Fraisinet

Moi Safia, Diacre de Vaudémont, confirmons devant le Très Haut, et sous le regard d’Aristote,

Le Baptême ce jour du Dimanche XX et XXI Septembre de l'an de grâce MCDLVII de Notre très haut, de PM306 de Beauregard D'Youville seigneur de Fraisinet , Lieutenant de la Prévôté de Vaudémont que le Très Haut Puisse le Bénir.

A pour Marraine, Dame Rosana45 de Beauregard,de Roquevillard,Dame D.Hommert


Fait à Trêve le Dimanche XX et XXI Septembre de l’an de grâce MCDLVII de Notre Très Haut

Safia, Diacre De Vaudémont


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Cyann
Le carrosse de la famille ducale entama la traversée de la ville à allure réduite afin que le duc, la duchesse consort et leurs deux héritiers saluent la foule venue les acclamer dans les ruelles de la capitale, entre la château de Nancy perchée sur les collines et la cathédrale nichée entre les maison du cœur de la ville. Johann du haut de ses 14 ans avait déjà fière allure et ressemblait à son père du temps de sa blondeur. Un Soleil que nul astre n'arrivait à égaler. Si ce n'est son père, le duc lui-même qui affichait un air emprunt de solennité et paraissait désormais plus vieux, des ridules au coin des yeux. Blanche, la fille du duc et de son épouse, sans soute impressionnée par la foule en délire, se faisait discrète derrière les fenêtre du carrosse, assise sur la banquette se velours dans le fond du carrosse, si bien que l'on apercevait pas son visage beau de cette innocence propre à l'enfance. Le carrosse, Dame Hathor, le prévôt, y avait veillé, était encadré par une garde rapprochée, à l’œil vif, chargée de la sécurité du duc.

Cyann avait jugé plus raisonnable, vu son accoutrement du jour fort peu commode, une longue robe bleue alternant un bleu nuit immaculé à un bleu fleuri et une longue cape de velours assortie, de circuler à pied en ce jour de liesse où, qui plus est, les rues de la ville étaient littéralement envahies de badauds. Elle avait d’abord suivi puis, quitté le carrosse ducal dès qu’elle avait eu la possibilité de bifurquer dans une ruelle moins fréquentée ; la porte parole, en charge de ces festivités, voulait s’assurer que tout était en ordre à la cathédrale avant l’arrivée de Sébastien Pirlet. Une fois arrivée sur le parvis de la cathédrale, la jeune femme leva son regard azuré vers l’édifice gigantesque qui la surplombait. La Cathédrale semblait jeté ses touts à l’assaut du ciel, créant l’illusion de pouvoir accrocher un pont pour rejoindre les anges là haut.

Un rayon de soleil, qui en ce jour brillait haut dans un ciel bleu parsemée de moutons blancs ici et là, se refléta dans un des vitraux de la cathédrale nancéenne. Cyann plissa les yeux afin de ne pas être éblouie davantage et pénétra dans l'enceinte de la cathédrale après un coup d'œil à la poste où semblaient prêts à bouger moult saints si finement sculptées, que si ce n'est leur teintes gris pierre, qu'ils en paraissaient vivants.






Les gardes étaient icelieu en place également. Le tapis rouge avait été disposé avec soin et menait aux marches du parvis sous les arches arrondis qui constituaient l’entrée de la cathédrale 0 droite et à gauche des portes ouvragées ornées des symboles aristotéliciens, des fanions lorrains flottaient, symbole de la relation de la Lorraine et sa religion. Cyann hocha la tête et pénétra ensuite dans le lieu saint afin de vérifier que les préparatifs avaient été bel et bien faits.

Elle en ressortit quelques minutes plus tard, l’air satisfaite et se plaça sur le parvis puis attendit que le carrosse ducale fasse son apparition. Elle n’avait pas vu l’évêque sans doute avait il besoin d’un moment de recueillement avant d’accomplir un des actes au combien signifiant de son rôle de messager de la parole de Dieu. Sur terre parmi les hommes. La jeune troubadour échangea quelques mots avec les garde en faction histoire de tuer le temps. Bientôt les clameurs de la foule se firent entendre. Nul doute que le duc ne tarderait plus à pointer le bout de son ducal nez.

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Barberine
Barberine était arrivée assez en avance.

Elle se devait d'honorer le couronnement du nouveau Duc.

Peu de monde encore sur le parvis, si ce n'est les gardes postés à l'entrée de la cathédrale.

Quelques curieux endimanchés se massaient déjà, espérant sans doute pouvoir entrer dans la cathédrale.


la matinée bien que fraîche était agréable et ensoleillée et elle sentait dans l'air comme une solennité qui s'élevait au dessus des têtes, entre les tours de la cathédrale pour monter vers le Très Haut.


Impressionnée par ces lieux et par la cérémonie qui allait se dérouler, elle frissonne, resserre contre elle les pans de sa houpelande blanche, puis se rapproche du Porte parole, Cyann qu'elle aperçoit sortant de la cathédrale. Elle la salue à voix basse, lui sourit et se range à ses côtés pour attendre la suite de la cérémonie.
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Sebastien_de_belrupt
La journée était ensoleillée et la température fort douce en comparaison des autres jours de la semaine. La famille ducale s'était préparé en ses terres avant de monter dans le carosse venu les chercher pour les amener à la Cathédrale. C'était un grand jour pour le nouveau duc, il avait tant de fois vu passer le prestigieux carosse mais j'ai jamais il n'aurait imaginé s'y retrouver un jour. Accompagné d'une importante troupe de soldats, la calèche traversa Nancy, tirée par l'atelage aux pas, afin de permettre à la foule de voir le duc et sa famille et laisser ceux-ci saluer les Lorrains. Ils traversèrent ainsi la capitale pendant une bonne heure avant d'arriver enfin en vue de la Grande Place; le duc jeta un coup d'oeil à travers la fenêtre pour apercevoir le Château où ils se retrouveraient plus tard pour le grand bal du couronnement. C'est sur cette place qu'il y avait le plus de monde, nul doute que la cathédrale se rapprochait. En effet, quelques instants plus tard, le somptueux bâtiment apparu devant eux, Sébastien y était déjà allé des dizaines de fois, mais ce jour particulier lui donnait une apparence nouvelle. Dans quelques instants, il leur faudrait rejoindre ceux qui se trouvaient déjà sur le parvis comme la Porte-Parole du Conseil.

Le carosse s'arrêta au pied des marches menant à l'entrée principale de l'édifice, un garde vint leur ouvrir et tous les quatre sortirent du carosse. Tout d'abord Kemaille de Roquevillard, l'épouse du Duc, suivie de leurs deux enfants, Johann et Blanche de Belrupt et enfin le père de famille et nouveau duc. Ils gravirent ensemble les marches et, tandis que le duc rejoignit le haut du parvis, sa famille se mit sur le côté afin d'aller prendre place sous peu avec les dignitaires. Il ne restait plus qu'à attendre le début du couronnement et l'arrivée de son Emminence Ecaterina. Il échangea un sourire avec son épouse qui seule pouvait deviner son anxiété et se renseigna auprès de Cyann pour voir si tout était fin prêt.

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Toutes nos passions reflètent une étoile... chaque étoile a un sens.
Bambou57
Bambou était entrain de travailler quand elle se rappela qu’elle devait aller à la cérémonie, son amie Barberine lui avait dit qu’elle l’attendrait sur les marches de la cathédrale.
Elle rangea ses dossiers, elle les finirait plus tard.

Elle alla se préparer et mis une jolie robe mais assez simple, enfila une cape car les premières gelées étaient apparues depuis peu.

Elle arriva devant la cathédrale descendit de son carrosse, aperçut son amie au loin, lui fit un petit signe de la main.

Elle monta les marches rapidement et alla la rejoindre.

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Josephine


Aujourd'hui était un grand jour, comme chaque couronnement d'une nouvelle Duchesse ou d'un nouveau Duc. Josephine se hâta de mettre en ordre les affaires de la Chancellerie puis rentra en sa demeure pour pouvoir se rendre en famille à la Cathédrale afin de suivre la cérémonie.

L'attelage aux couleurs du Duché de Créhange était prêt, attendait devant le perron du Château, les marches baissées, un page attendait la porte du coche ouverte, Josephine vêtue d'une robe de céremonie de velours bleu nuit, d'une cape y pénetra la première, ses deux enfants plus âgés, Mahaut et Maximilien la suivirent et s'installèrent, Aldrahn qui se tenait à côté du coche lui mit dans les bras un des jumeaux derniers nés il y a quelques mois, Mélissandre, et s'installa à ses côtés, Edith la gouvernante lui confia Guillaume, le deuxième jumeau.

Le page remonta les marches et ferma le coche qui s'élança vers Nancy, le voyage se déroula sans problème, toute la famille profitait du paysage aux couleurs de l'automne. Une fois arrivés, tout le monde descendit de la voiture et alla se placer aux côtés du nouveau Duc et des membres du conseil ducal déjà présent...
Floche
Un peu en retard, Floche sort pour aller au couronnement ... elle a pris grand soin de sa toilette pour faire honneur au duc. Sur le chemin, elle entend les gens parler ... un couronnement à la cathédrale c'est bien... ça faisait longtemps... Va y avoir du beau monde ... Elle sourit et profite du beau temps et de la bonne humeur de Nanceens.


Arrivé en vue de la cathédrale, elle voit que le carosse de sebastien est déjà là. Zut je suis en retard ! se dit-elle. J'espère qu'il ne m'en tiendra pas rigueur. Elle monte les marches calmement. Bambou et barberine ainsi que Cyann se sont mises sur le trente et un... et la famille ducale est déjà là. Floche va saluer Sebastien et son épouse puis rejoint Bambou et Barberine.
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The_crusader
Depuis très tôt ce matin là, la caserne était en activité. Des officiers donnaient des ordres aux soldats, ceux qui paraient par groupes à leurs tâches respectives.

Pour sa part, le colonel Crusader se trouvait à la tête du petit convoi conduisant le duc à la cathédrale. Droit dans ses étriers, il gardait un œil alentours, veillant à la sécurité du duc. Trois soldats devant lui séparaient la foule en deux pour laisser passer son cheval, suivi par la petite escorte encadrant la calèche.

Une main sur la bride baisée, l'autre sur la hanche, il dirigeait son cheval avec les genoux, tanguant au fil des pas de ce dernier. Un épée pendait à sa ceinture, mais il n'avait pu se résoudre à délaisser son arc. Celui-ci était soigneusement rangé dans un sac de selle.

Arrivant enfin devant la cathédrale, il observa les soldats déjà présents. Plusieurs d'entre eux, dressés, jouxtaient les portes de l'imposante bâtisse. Deux groupes se tenaient de chaque côtés de la place, et il savait qu'un troisième était éparpillé dans les rues adjacentes.

Se positionnant en première ligne d'un arc de cercle encadrant la calèche désormais arrêtée, il observa la famille ducale sortir et se diriger vers la cathédrale.

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