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Le Grand jour - 2ème partie

Thibaud de Leibundguth
Cet évènement était attendu par nombreux d'entre nous, en passant par les futurs mariés, les invités, et l'officiant. Depuis déjà quelques semaines, Thibaud notait sur un parchemin les jours le séparant de ce mariage, afin de ne pas oublier la célébration. Imaginez un seul instant à ce que le prêtre vous pose un lapin, ce serait réellement embarrassant, et le Vicaire ne souhaitait pas terminer comme les suppôts du Sans Nom. Tenir la torche, certes, mais la recevoir, que nenny. Bref, ce n'était pas le moment de parler des penchants du jeune homme pour les bûchers et autres tortures intéressantes, car en ce Lundi 15 Mars de l'An de Grasce 1458, le chaos et les ténèbres allaient faire place à l'amour et la convivialité, et mesme le temps commençait à se ranger du côté d'un ciel parsemé de cumulus. La grande place de Brugge était baignée par quelques rayons solaires, qui venaient aussi se jeter contre les vitraux de la Cathédrale. Cathédrale Saint Sauveur, bâtiment où Thibaud n'avait jamais célébré une quelconque office. Mais c'était en ce lieu qu'il avait fait voeux de prêtrise, et depuis l'absence de Monseigneur Alhysis, perdue dans les méandres maladifs, la totalité, enfin presque, des pouvoirs cléricaux de cette contrée lui revenaient. Alors pourquoi ne pas profiter de la grande Maison de Dieu ? Surtout que pour ce clerc traditionnel, celle-ci ne devait servir que pour les évènements nobles. Les gueux n'avaient aucunement l'autorisation d'être devant l'autel, les simples églises suffisant à combler leur bonheur.

Thibaud se préparait dans la sacristie. Vêtu d'un habit ecclésiastique sombre, après avoir abandonné pour la cérémonie ses vêtements mauves, le Dunkerquois retira quelques plis et se fit, comme qui dirait, une beauté. Ses mèches rebelles furent plaquées comme il se devait, aucun froissement ne se voyait sur sa soutane et ses maigres bijoux -croix Aristotélicienne & anneau diplomatique- ornaient sa silhouette. Dés que le contentement fut de mise, le prêtre quitta la petite pièce et se dirigea jusqu'à l'autel, afin de préparer les objets dont il aurait besoin. Le Livre des Vertus était présent, et dés que le regard de Thibaud balaya la grande nef, il constata avec bonheur qu'elle était décorée de pétales et autres fleurs, et que les oriflammes tapissés des blasons des deux nobles virevoltaient au grès des courants d'air.


Tout semblait être parfait, il était à présent temps de prévenir les fidèles. Un signe en direction de son bedeau, l'invitant à se rendre au transept pour se balancer au bout de la corde, et Thibaud en profita, lui, pour ouvrir en grand les portes de l'édifice. Les cloches se mirent à sonner, et le clerc attendit sur le parvis, l'arrivée de quelques convives et surtout du marié.


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otta19
Otta portait ses plus beaux habits: aujourd'hui était le marriage d'une personne qu'il aimait bien! Il esperait que Duncan et sa douce seraient heureux le marriage.

Replacant son habit et regardant ses distinctions pour être certain d'avoir l'air beau, il répondit au son de la cloche par sa présence. Les invités arrivaient pour un marriage digne et dans la foi, et il ne voulait certe pas être en retard. Portant fierement son uniforme, il se prépara mentalement pour quelque chose de grandiose...!

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-=Fier FSF=-
"C'est parce que la vitesse de la lumière est supérieure à celle du son que certains ont l'air brillant avant d'avoir l'air con"
-Garzimlebo de Guyenne
Slam Jack
"Presque en retard, ce n'est pas être en retard", s'évertuait à se répéter le Baron Noir, au trot en direction de la Cathédrale. Slamjack s'était fait beau et cela avait pris un certain temps. D'autant que son canasson, lâché en prairie par ce beau temps, n'avait pas daigné répondre à l'appel de son maître avant plusieurs minutes. Ce qui avait encore retardé, et énervé, le Seigneur de Lys-Lez-Lannoy qui s'était exprimé en ces termes :

Tu vas finir en cervelas, tête de lard.

Les bottes crottées - parce que finalement, le Baron avait du aller chercher lui même son cheval au milieu de la prairie - avaient allongé le contretemps.

Mais c'est tout propre qu'il arriva à la Cathédrale, à défaut d'être beau. Les cloches sonnaient déjà et les gens commençaient à arriver, petit à petit. Le Général constata qu'il n'était pas le dernier et cela lui rendit le sourire. Pavoisant avec ses galons, ses blasons et ses médailles, le Suzerain de Renaix alla prendre place dans les premiers rangs : une belle place assise d'où il ne raterait rien de la cérémonie. Il ne manqua pas de saluer le vicaire d'un respectueux mouvement de la tête après le signe de croix devant l'autel.

Apercevant un guerrier FSF, il lui fit coucou de la main, sans aucun protocole. D'un air sévère, il attendit les autres. Aucun retard ne serait toléré. Surtout si c'est le marié qui se fait attendre.

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Camille-Agathe
Déjà que ce matin Mélusine a eu un mal fou à lui enfiler sa robe tellement elle sautait partout et gigotait comme un asticot, mais alors maintenant contenir Camille serait un exploit surhumain. Pendant toute la traversée du Parvis la gamine bondit littéralement de haut en bas, retenue seulement par la main de Mélusine. Pas pour longtemps. Au premier relachement, la voilà qui grimpe les marches quatre à quatre et déboule dans la cathédrale, laissant ses gardiens sur le parvis.

YOUHOU, DUN.....

Elle s'arrête net. C'est vachement grand la dedans, elle a jamais vu une maison aussi grande. Il doit etre riche, Harry Stote. Pis y a des gens habillés en beau, et surtout, tout calmes. Impressionnée, elle avance lentement, le nez en l'air, jusqu'à l'autel. Tiens, y a le mossieu tout en noir qui lui a jamais répondu c'est quoi une pétasse, mais qu'elle est pas fachée passaque on lui a dit que c'est le chef de Duncan, alors y doit être cré cré noccupé, hein. Se rappelant d'un coup qu'il est noble, elle se plante dans l'allée à coté de lui et entame une révérence impeccable. Enfin à ses yeux, l'homme doit la trouver comique ou je m'y connais pas en révérences.

'Jour mossieu noble, qu'elle chuchote. Il est ou Duncan ?
Skal
C'était le grand jour, un moment qui l'appréhender un petit peu, c'était la première fois qu'il allait assisté à un mariage, de plus Duncan lui avait fait l'honneur de le nommer comme son second témoin. Il ne savait pas vraiment se qu'il devait faire en tant que témoin mais il ne voulait rater se moment pour rien au monde.
Cela faisait un petit moment qu'il connaissait le marié et la mariée d'ailleurs aussi.
Duncan était toujours la pour le conseiller, quand il fut comte des Flandres, procureur des Flandres. C'est conseil était toujours d'une grande aide.

Il se dirigea en direction de la cathédrale sur le dos de son cheval aussi noir que la nuit. Il était bien habillé, il avait promis de ne pas être aussi beau que Duncan enfin il avait essayé.




Achilee lui avait confectionné une tenue de rêve pour se mariage, les cheveux tirés en arrière il rentra doucement dans la salle regardant les personnes présente, sans oublié de salué le vicaire Thibaud, il se dirigea vers le général des FSF, lui faisant un signe de main, ainsi qu'aux autres personnes présente puis il embrassa sa petite princesse qui n'était pas bien loin.

Whaa et bien tu ressembles à une vrai princesse habillé comme ça

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Bataillon: Lions Indomptables (chef de bataillon)
Julien789
Mauvaise idée que d'avoir été en taverne. Pourquoi ? Parce qu'il y avait croisé la petite Camille, à qui il ne pouvait rien refuser et qu'il lui a promis de venir au mariage de Duncan.

Qu'allait-il devenir, obligé de se taper un mariage auquel il ne voulait pas assister, et surtout où il allait se faire chier comme jamais ?

"Bon, si ça se trouve, je pourrai pioncer en paix", se dit-il. Cette pensée le fit sourire, et le remit d'une très légère meilleure humeur.

Ne restait plus que la question de l'habillement. Et puis quoi encore, il allait pas se faire beau pour ça, non mais faut pas exagérer non plus ! Hop, des vêtements négligés, limite déchirés, du type de ceux qu'il mettait pour aller travailler.

"Ouais, ça fera l'affaire, et si ça le dérange, j'les emmerde !", pensa-t-il en lui-même.

Se dirigeant sans se presser vers l'église où serait célébrée le mariage, Julien entra dans le bâtiment en traînant exprès des pieds, choisit un siège à l'arrière de l'édifice et s'installa confortablement - comprenez, avachi sur la chaise - sans un regard aux personnes qui allaient et venaient.
Camille-Agathe
Avant que le mossieu en noir puisse répondre, son grand copain Skal débarque, habillé super classe même si un peu moderne

Jour mossieu-seigneur-Skal-mon prince, qu'elle lui dit très poliment. T'es cré beau.

Même si elle a le droit de l'appeler juste Skal, être habillée comme une princesse ça donne envie de jouer à la princesse, pis c'est tout. Un homme entre à ce moment là, habillé cré mal par rapport aux autres, et va bouder sur une chaise.

Oh rogarde, un pauvre... pourquoi il boude ?

Impossible pour Camille de reconnaitre Julien, pensez, la dernière fois qu'elle l'a vu en taverne il etait tout propre, souriait et lui disais qu'il ne raterait de la voir dans sa belle robe pour rien au monde. Elle lève le nez vers le noble tout en noir et vers Skal, interloquée.
duncan
Nuit difficile pour le jeune homme, enfin surtout longue, ou courte, tout dépend si on compte en temps d'éveil ou de sommeil.
Lui qui affichait le plus souvent une grande assurance, allant parfois jusqu'à l'arrogance, le voilà bien nerveux en ce grand jour.

Qui aurait cru que, celui qui fut surnommé "le coq des tavernes" par les demoiselles de tournai, lors de sa jeunesse, finisse par prendre épouse ?
Charmeur, à la limite du dragueur, de nombreuses jeunes femmes étaient tombées sous son charme mais peu d'entre elles n'auraient pu avoir ses faveurs.

Bref, tout ça pour dire que pour beaucoup ce mariage devait être une surprise et pour ceux qui le connaissent mieux, un aboutissement et le début d'une vie qu'il avait toujours rêvé.

Nerveux, anxieux, il en était même désorganisé, cherchant ses braies, sa cape, ses parures d'or, vociférant contre ses gens sans raisons particulières, les pauvres, heureusement qu'ils comprenaient la situation, d'ailleurs, ils faisaient leur maximum, depuis plusieurs jours, pour que tout soit parfait.

Enfin prêt, dernières vérifications d'usage, le carrosse était avancé, le moment de se rendre en la Cathédrale saint Sauveur était venu.

Arrivé à Bruges, l'impatience était palpable, regardant sans cesse combien de route il restait à faire, pressant le cocher, tapotant ses doigts sur sa jambe.
Le carrosse s'arrête, une grande respiration avant de descendre. Il resta un moment à contempler l'édifice, prenant l'air frais à pleins poumons puis se dirigea vers Thibaud qui l'attendait sur le parvis.


Monseigneur, encore merci d'avoir accepté de nous unir, c'est un grand honneur pour nous.

Un salue vers Otta, resté à attendre dehors puis un regard à l'intérieur, cherchant à savoir qui étaient les premiers arrivants.

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rosa
Rosa arriva en grandes pompes, elle avait pour l'occasion du mariage de sa chère amie, revêtu ses grands atours, mis ses bijoux, délaissés depuis le décès de son cher époux. Cet événement méritait bien que l'on sorte de ses habits de deuil et que fête soit faite.

Elle entra donc, salua les personnes personnes, ses deux vassaux préférés, l'un en Noir, l'autre, de Gris vêtu. Elle était très fière d'eux. Puis s'avisa de la présence de la petite Camille, non loin du Blond des Flandres, nerveux comme une pucelle à son premier rendez-vous. Elle lui sourit et alla le saluer, et, si possible le rassurer.

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Icarionnoste
Un mariage …
En tant que Conseiller on l’avait invité, le truc officiel quoi. Bon, l’avantage au mariage c’est qu’y’a toujours pas mal de bectances et qu’en plus c’est totalement gratuit. Ca coûte juste un bonjour ou deux à des personnes que tu voulais pas croiser, mais ça, on s’en accommodera …
Quelques pas du Flamoc’ dans la belle bâtisse, grosse cathédrale en grosses pierres, avec de gros bancs.
Quelques pas donc, et rapidement reconnaît quelques têtes, celle de son Juju qui boude, celle de la mioche … et d’autres, un Otta par exemple qu’on a plus eu le plaisir de voir depuis un bout de temps, il irait lui demander comment elles sont les Angloises. Hum …

Reste un peu debout au milieu de l’allé se tournant vers Julien, lui lâche un gros sourire mi figue mi crétin. Vérifie que la ptite fleur fasse pas une apparition cathédralisée.

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"On s'attire la haine en faisant le bien comme en faisant le mal." - Machiavel
zya
[Hostel Saint-Ange, Place Saint-Ange, face à la Cathédrale Saint Sauveur]


Au dehors, le tumulte des sabots et roues sur les pavés se faisaient entendre et grandissait.
Ici, une lourde tenture s'abaisse sur une fenêtre du rez-de-chaussé et la main comtale qui l'avait soulevé retrouve sa position le long de cette étoffe qu'elle affectionnait particulièrement, pour ses tenues : le camocas. D'un vert assorti au fond de ses yeux et comme la tradition le veut, agrémenté de rayures, ici d'argent.
Un unique pendentif trône, au cou de l'Ange. Héritage d'un Kremroat trop vite parti pour la petite fille qu'elle était. Et dont il n'existe que peu de réplique, toutes faites par elle, toutes données à des personnes plus que chères à son coeur... un au fond des océans, parti avec une Nachue...
Autour d'elle, le silence de la pièce était surprenant. Chacun vaquait à sa tâche, sans se soucier du reste.
La mariée serait bientôt là, pour les dernières recommandations, les derniers ajustements, les rires et les larmes dus à l'excitation du moment.
Dans son dos, des petits pas se font entendre et un Lionceau blanc rugit en approchant. Esquisse vague d'un sourire quand il lui attrape les jambes fermement.


Dis donc, toi... Tu as envie de faire choir ta mère? Et comment elle fera, avec ses habits déchirés, si ca arrive? Tu me prêteras tes culottes courtes?

Léger rire, alors qu'une main ébouriffe les longs cheveux bruns qui entoure ce visage ressemblant de plus en plus à son père. Et ces même yeux gris qu'elle a encore du mal à affronter...
Derrière, Baile entre dans la pièce. Et alors qu'elle s'abaisse pour embrasser son fils, elle sent cette odeur de frais, cette odeur des champs, et sait qu'il l'a accompagné au dehors.


Elle arrive? Et Lucie?

Deux questions en suspens. Un regard. Et dedans, une réponse recherchée pour calmer l'angoisse montant. Et si...

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Baile
[Hostel machin de là où elle est, ma Cap', et pas encore la Cathédrale... pffff]



Wen ! Dieu du ciel en lequel je ne crois pas ! Pourquoi tu épouses un Flamand, CE Flamand? Et blond en plus.... Ahhhh certaines femmes, j'les aime et pourtant je ne les comprendrai jamais...
Oui ben la vérité était que la Baile ne se lamentait pas autant que ses pensées auraient pu le faire croire à quiconque était capable de les lire. Parce que ces mots, évidemment qu'elle ne les dirait pas à Wen, Margaux pour les non-intimes... La joie qu'affichait la Flamande depuis, allez, facilement un mois, trente jours, et autant d'heures multipliées par vingt-quatre, faisait plaisir à voir même pour celle qui ne supportait pas les hommes et encore moins ceux aux cheveux jaunes, qu'ils soient Flamands ou Lorrains...

Ce dernier mot, honni, lui fit lever la tête vers la femme qu'elle.. .hmm... qu'elle quoi? Protégeait? mouarf... Aimait? re mouarf... Ne laisserait jamais tomber? ouais, d'façon c'est elle... Elle releva donc la tête vers l'Ange au moment où Gaïlen s'est accroché à elle, comme un mort de faim.
Elle ne put retenir un sourire sincère devant ce tableau, rare, improbable, et si incroyablement touchant, pour qui connaissait un peu le chemin qu'avait parcouru Zya dans la pleine (re)connaissance de son fils... Elle capte l'appréhension dans les mini questions que sa Cap' lui pose, et hésite à la faire mariner un peu, mais, saint bernard quoi qu'il arrive, elle ne peut se résoudre à ça et s'empresse de répondre:

Elle arrive Wen, elle arrive. Panique pas Cap'... Elle se fait juste désirer, comme toute bonne Flamande qui se respecte, hein?... Quant à Lulue, bah... Elle doit avoir des origines flamandes aussi, j'crois!
Attends, j'appelle Wen...


Elle se retourna en souriant vers la porte, prit une profonde inspiration, et se mit à chanter, en espérant attirer la Muse par sa voix hors du commun:


Là-baaas, au fond, de la cathédraaaleuh
se dérouuuul'ra l'hyménée
de Margaux la femme fataaale
et de son blondineeeet

Ils rêvaient, d'une bague au doigt
qui précèderaiiiiiiiit
Une floppééééée de gamins-rois
Et deux trois pouleeeets

Ainsi ils commenceraiiiiient
Un véééritabl' él'vaaaage
Pouuur quand ils s'raient vieux et laiiids
Léguer en héritaaage...*





(* sur l'air éternel d'Actarus, prince de l'espace....)

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Lulue
[J’aime pu Paris…]

Vincennes, sont second ou troisième chez elle, c’est au choix.
Pourtant Aristote savait que Paris était bien trop grand pour elle, et qu’elle n’y allait jamais sans râler bien que soit là bas, qu’elle pouvait exercer la fauconnerie la plupart du temps.
Cela faisait donc plusieurs jours que Lucie avait quitté le BA pour rejoindre la Vénerie.
Margaux et Duncan avaient demandé une chasse au vol pour le grand jour et son vilain chef l’avait laissé quasiment tout organiser, alors autant dire que la pression était de taille.
Il n’était pas question de gâcher le mariage de sa Muse avec un oubli stupide.
Vérifier, revérifier qu’elle a toutes ses notes, la carte du lieu de chasse qu’elle avait fini par connaître par cœur.
Rappel d’une fillette impatiente qu’il était l’heure de partir.
Lui sourire tout en l’accompagnant d'un regard voulant dire « oui c’est bon, on y va ».



[Hostel Saint-Ange, Place Saint-Ange… Qui qu’a vu une mariée se faire poursuivre par une Cap’ ?]

Le voyage lui parut interminable tant l’impatience la tenait.
Elle n’était déjà pas du genre patiente, mais là c’était le pompon.
Surtout lorsqu’on sait qu’une Muse ça n’est jamais en avance, alors si en plus vous mêlez du sans des De Castelléo là dedans, j’vous explique pas la cata.
Enfin bon pour faire taire les mauvaises langues une bonne fois toute, la petite troupe arriva à l’heure... ou presque si l'on tenait compte de la façon dont tout le monde s'affairait.
Petite troupe oui, car difficile pour une jeune maman de se déplacer sans les jumelles qui ont une dizaine de jours et l’aînée.
Arrivée à l’Hostel Saint Ange, où elle prit une chambre à l'étage histoire de se changer.
Robe à dentelle bleue avec quelques pointes d’argent ici et là.
Quant aux cheveux, elle les avait attachés comme souvent en un chignon où seules quelques mèches tombaient ici et là sur sa nuque et au-dessus de ses épaules.
Dernières recommandations à Ambre pour la surveillance des petites pendant son absence.
Et puis accompagnée de Cassandre, elle descendit pour retrouver Cy… enfin normalement.
Réajuster quelques mèches de cheveux de sa fille et lui sourire.
Pas de Ténébreux une nouvelle fois pour les accompagner, tant pis, mère et fille profiteraient tout de même de ce moment.
Chercher de ses yeux noirs le second témoin de la mariée ou le premier, peu importe.
Le trouver enfin en entendant le son de la voix de Baile (vous remarquez que je ne fais aucune commentaire dessus ^^)
Soupir de soulagement tout en accélérant le pas pour rejoindre la dite voix au plus vite.
Elle la vit juste en train de se relever devant un petit garçon… Gaïlen sans doute.
C’est bizarre, elle en avait tellement entendu parlé et pourtant, c’était la première fois qu’elle voyait son visage.
Poser ses pupilles sur l’Indomptable pour commencer.


'jour Baile, jolie la chanson pour Margaux

Lui sourire avant de s’approcher de Cyrielle Ambre.


Me voilà, je ne me suis pas trop fait désirer j’espère.


Petit rire nerveux, bah quoi, on ne marie pas sa Muse tous les jours, j’voudrais bien vous y voir ! Tssss

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Finute
De Paris aux Flandres, la Brune n'avait que peu de temps à passer sur les routes. C'est déjà moins long que depuis le Périgord-Angoumois.
Mais voilà, elle n'allait pouvoir qu'assister au mariage, une affaire urgente se déroulant en Périgord avec l'affaire sur son futur époux.
Non, elle n'avait pas de chance et le plaisir allait durer que peu de temps.

Wen... Wen, Wen, Wen, la muse de l'Ordre, une Blanche des blanches... Comment ne pas assister à son mariage ! Elle ne connaissait pas le futur époux mais elle faisait confiance à la muse pour en avoir un de confiant.
Habillée comme il se devait, la Brune entrait dans la cathédrale.

Un regard vers l'autel et qui, ensuite, parcourait la cathédrale... Ma foi, que des têtes inconnues.

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otta19
Le FSF saluait de la tête les sieurs et les belles demoiselles qui entraient dans la Cathédrale. Ce marriage rassemblait des personnes de tout genre, de conseillé à politicien, de noble à moins noble, d'étranger à Flamand, de militaire à gentil. Sans parler du cher Thibaud, homme de Dieu.

Replacant brièvement son habit de FSF, il se dirrigea vers des places à l'arrivère de la Cathédrale...

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-=Fier FSF=-
"C'est parce que la vitesse de la lumière est supérieure à celle du son que certains ont l'air brillant avant d'avoir l'air con"
-Garzimlebo de Guyenne
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