Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3   >   >>

[RP] Petit déjeuner et lubie poissonnière à Segonzac.

Azura_xiloscient
Alors qu'elle attendait la réponse de la femme, du coin de l'oeil, Azura aperçut un jeune garçon qui semblait vouloir les guetter tout en essayant de se cacher derrière les gardes. Il les dévisageât chacune leur tour, mais il resta un peu plus longtemps sur la jeune fille. Remarquant cela, elle se tourna un peu plus vers lui et lui fit un sourire. Il devait avoir environs son âge. Elle rencontrait peu de jeunes personnes ces temps-ci. Ca lui ferait surement du bien de pouvoir enfin ne pas se prendre la tête avec des problèmes qui ne devrait pas la concerné.

Mais à peine avait-elle sourit que l'homme à qui elle s'était adressé pris la parole. Le regardant un peu mieux, elle reconnu l'homme qui gardé la porte de l'auberge du Poney qui tousse quand elle y était allé... Elle rougit un peu pensant qu'il avait du la reconnaître. Il leur souhaita rapidement la bienvenue, puis donne quelques ordres aux deux femmes en ce qui concernait leurs montures et armes. La jeune prêtresse fut quelques peu étonné par le ton rude de l'homme mais elle n'en dit rien. Finalement, il se tourna vers elle :


"Damoizelle, le Baron vous recevra ze soir en zont cabinet de trafail."

Azura, quelque peu intimidée par le ton poli, bien que toujours un peu rude, comme si cette voix allait obligatoirement avec l'homme, ne put s'empêcher de faire un pas en arrière. Puis, n'osant pas dire grand chose, elle se contenta de hocher la tête de haut en bas, en signe d'assentiment. L'homme se tourna alors vers l'endroit où était partie le jeune garçon et lui cria de la guider dans une pièce dont elle compris mal le nom. Elle verrait à priori le seigneur du lieu à sept heures.

Il se tue ensuite, les fixant d'un air assez peu avenant. Toujours aussi intimidée par l'homme, la jeune fille fit quelques pas pour se mettre en dehors du groupe, en direction du jeune garçon qui revenait des écuries. Après tout, elles ne venaient à priori pas voir le baron pour la même raison qu'elle, elle n'avait pas de raison de les déranger plus. Arrivant près du jeune garçons, elle lui sourit à nouveau et dit d'un ton amicale :


"Bonjour. Je m'appelle Azura, et toi ?"
Brunhilde
Premier haussement de sourcil : Arf... La jeunesse se souvient également l'avoir croisée. Elle se rappelle bien de son charmant minois, mais absolument pas des circonstances. Creuser, réfléchir, alors qu'elle ne pense qu'au gibier, à l'avoinée.. Ce n'est tout simplement pas possible.

Elle s'apprête à répondre quand...

Deuxième haussement de sourcil : elle a appelé à la garde et c'est un moufflet qui apparait. Drôle de garde, pour un guerroyeur comme Segonzac.

Hausser plus de deux sourcils à la fois, c'est impossible. C'est ce que pense la plupart des gens. Et cependant, à l'arrivée de la brute armée qu'elle connait et reconnait, l'ébahissement de la grande s'appelle effectivement un haussement de sourcil, quand le front se plisse tant que le sourcil fait corps avec la racine des cheveux.


Y m'fait peur, lui, Ma'me Bryn !
Gageon, tous les hommes de plus de dix ans vous font peur... Vous avez bien peur du Père Lotx.

Ne pas se retourner pour voir Pat très certainement ricaner... car elle serait obligée de hausser un quatrième sourcil. Elle se concentre sur le teuton et ces propos.

Gageon, vous allez directement aux cuisines, vous faites du charme aux marmitons, aux sauciers, à qui vous voudrez... mais vous me dépouillez ses pièces et vous les concoctez à la sauce Gageon... Vous voyez cette homme là qui vous fait peur... C'est peut-être votre planche de salut, et la nôtre par conséquent... Pis réfléchissez pas... Faites ce que je dis... C'est tout !

Regardant le soudard droit dans les yeux et à l'adresse du marmot.
Also los... Nous vous suivons, mon jeune ami.
_________________
Tu n'es pas responsable de la tronche que tu as, juste de la gueule que tu fais...
Patbis2007
- Enchantée, je suis Azura Xiloscient, curé d'Angoulême. Mais, dame... Bryn, c'est cela ? Ne nous serions-nous pas déjà rencontré quelque part ?

Et voilà ! J’avais encore commis une bévue, la « dame » était curé et en plus était plutôt du genre demoiselle que dame… Notant le petit signe d’exaspération, je me retiens de dire un bonjour « ma mère » car là j’étais sûre de me faire une ennemie d’une personne que je ne connaissais pas deux minutes avant…
Je laisse donc la grande discutailler le bout de gras et sourit en coin quand elle appelle la garde…


- Vous attendez qu'on vous ouvre ? N'ayez pas peur surtout hein : On fait plus peur que mal !
OHE de la garde !!!
Pis vous Gageon, dès qu'on nous ouvre, vous prenez le gibier et vous filez par l'entrée des communs... Vous trouverez bien quelqu'un pour vous expliquer...


Aussitôt réclamé, aussitôt arrivé, je reconnais Wolf et lève les yeux au ciel par avance, connaissant son don inné pour la diplomatie et la conversation… Je reconnais également le jeune garçon qui arrive à sa suite, hmm toujours aussi timide celui-là… Sa rougeur quand il envisage la jeune Azura me fait penser au commis de la grande quand il voit Mélie, je me détourne donc en me mordant la lèvre, ne voulant pas le mettre encore plus mal à l’aise avec mon envie d’hilarité.

Je tends au jeune garçon les rênes de mon vieil hongre et en profite pour sortir les garennes de mes fontes pour les donner à la Gageon qui d’un coup a un drôle d’air…


- Ponchour et pienfenue à Segonzac.
Notez que ça commence bien, mais d’un coup ça se gâte…
- Fous, pozez fos armes izi.

Je grimace mais obtempère, avec Wolf c’était inutile de discuter, à part donner des ordres, il était incapable de tenir une conversation courtoise. Il a vraiment de la chance d’être sous les ordres du Baron, sinon…

- Y m'fait peur, lui, Ma'me Bryn !
- Gageon, tous les hommes de plus de dix ans vous font peur... Vous avez bien peur du Père Lotx.
Gageon, vous allez directement aux cuisines, vous faites du charme aux marmitons, aux sauciers, à qui vous voudrez... mais vous me dépouillez ses pièces et vous les concoctez à la sauce Gageon... Vous voyez cet homme là qui vous fait peur... C'est peut-être votre planche de salut, et la nôtre par conséquent... Pis réfléchissez pas... Faites ce que je dis... C'est tout !


Je me mords à nouveau les lèvres, ne pas rire, l’autre mal embouché pourrait croire que je me moque de lui, inutile de rajouter de l’huile sur le feu, enfin, le gibier est dans les mains de la Gageon, à elle de se débrouiller maintenant… niac niac niac

Calquant mon comportement sur celui de Bryn, je salue d’un signe de tête et me joins au groupe direction le château…
_________________
Vonafred
[Cabinet de travail]

S'adressant à l'Intendant...

-Tu dis donc que ces Dames sont arrivées...Ton neveu les accompagne...fort bien.
Prenant quelques instants...
-Tu as vu quoi ? Des lièvres...Elles ont osée...
Le Baron se mit à rire sans retenue, choquant par la même son Intendant.
-Non tu ne feras rien...Laisse les donc agir à leur guise avec le fruit de leur méfait
Pour la Damoiselle...Mark doit la conduire dans un des salons, j'ai à m'entretenir avec elle...Veille à ce qu'elle ne manque de rien et avec tous les égards ou il t'en cuira.

Le Baron l'écouta distraitement...
-N'ais je point été clair à ce sujet ? Nulles pendaisons pour braconnage maraud...Et cesse de palabrer...fais leur bon accueil.
Haussant le ton.
-Klaus, il suffit suis je clair ? Hâte ton neveu, je déteste attendre.
Le congédiant d'un geste.
-La peste soit de ces Teutons...
Louis Vonafred se replongea un instant dans l'arbre généalogique des Dublith et d'une plume légère y inscrit en toutes lettres


"Luna de la Mirandole et de Dublith dicte Azura Xiloscient..."

_________________
--Mark.


Habitué aux signes silencieux du reitre, Mark s’avança pour prendre les longes des trois montures. Il flatta le museau de la première, pour lui montrer qu’elle n’avait pas à le craindre. La seconde fut des plus amicales, il adressa un petit sourire de remerciement à sa cavalière qu’il avait déjà rencontré en ces lieux. La dernière, un mulet ne lui fit pas plus de souci que les deux autres.
Le gamin alla rapidement aux écuries non loin dans la cour du donjon, déposa chaque animal dans une stalle propre. Il vérifia qu’il y avait bien du foin frais pour les bêtes, desserra les sangles des selles et enleva les mors. Il repasserait lorsqu’il aurait plus de temps pour leur enlever le reste et les bichonner.
Courant cette fois, il revint chercher les dames qui s’étaient avancées. Il prit docilement la tête du groupe, essayant de marcher le dos droit et d’être fier de sa livrée aux armes de Prigonrieux.


Bonjour. Je m'appelle Azura, et toi ?
La jeune fille de la grille! Une seconde montée de sang aux joues, il n’osa pas la regarder dans les yeux.
Je suis Mark... Une marque de politesse ! Ma dame...
Il ne savait pas si il fallait s’adresser à elle comme cela, mais c’était une invitée du seigneur. Son éducation reprit le dessus, il on lui avait appris devoir s’adresser à toutes les invités de cette manière tant qu’il ne connaissait pas leur rang et titre. De toute façon elle n’aurait peut être pas bien compris, tant il s’était embrouillé et avait bafouillé.
Il fut sauvé par leur arrivée dans le donjon. Ils dépassèrent les portes grandes ouvertes, le page qui connaissait le donjon mieux que personne conduisit les deux femmes à l’allure martiale dans la salle des réceptions.


Mes dames, le seigneur va vous recevoir, je vous prie de patienter ici. Je serai bientôt de retour avec des rafraichissements.
L’enseignement de son oncle portait enfin ses fruits, il savait comment s’adresser correctement à des gens importants selon leurs rangs, titres et fonctions, et ne parlait presque plus comme un paysan en leur présence.

Il ne restait plus qu’à conduire la jeune fille à sa chambre. Soudain horrifié de se retrouver seul en sa présence, il cherchait désespérément un moyen de disparaître par le trou d’une souris. Il n’était pas si timide pourtant, c’était juste de la déférence qu’on lui avait enseigné pour les invités qu’il devait montrer, pas de la timidité... Fuyant encore plus son regard, il accéléra pour se retrouver devant elle et non pas à côté où il n’aurait pu soutenir une conversation, il en était sur.
Arrivé devant la chambre jaune, il comprit qu’il avait fait une erreur, son état chamboulé l’avait fait oublier que celle ci était déjà destinée à une autre personne, l’escuyer du seigneur. Tant pis, un page digne de ce nom devait avoir plus d’un tour dans son sac! Mark l’emmena dans la chambre beige, aux couleurs toutes claires et douces, comme la dame qui l’accompagnait.


Voici votre chambre. Je passerai voir si tout est au mieux dans un moment. Souhaitez-vous quelque chose en particulier?
Encore une fois il n’avait pu regarder autre chose que ses pieds.
Patbis2007
J’avais suivi le mouvement, traversée du donjon et arrivée dans la salle des réceptions, pas la même déco que l'autre tiens ! Lointain souvenir, une pensée pour Ef, pour Doc, léger pincement au cœur, paix à leur âme… L'ancien salon, je ne le connaissais que trop bien et n’y avais jamais remis les pieds, comme au domaine d’ailleurs. Une promesse encore aux oubliettes, moi qui ne voulais plus revenir chez lui…

- Mes dames, le seigneur va vous recevoir, je vous prie de patienter ici. Je serai bientôt de retour avec des rafraichissements.
- Merci, nous allons attendre tranquillement ici.


Le gamin et la jeune abbesse continuent leur périple et le silence s’installe. Bryn est sûrement inquiète à propos de notre chasse et moi perdue dans de vieilles sensations, déjà furieuse de ne pas savoir gérer mon malaise. Je me dirige vers l’embrasure d'une des portes fenêtre ouvrant sur le parc, je la franchis et fais quelques pas sur la terrasse. Pourvu que nous repartions vite, décidément j’aime pas être ici, trop de…
Mon regard se perd dans le paysage magnifique qui s’étale devant moi, les massifs de roses, encore un pincement au cœur… Pffff qu’on en finisse !
_________________
Azura_xiloscient
Le jeune homme, après avoir conduit les chevaux à leurs stèles, revint vers le groupe et leur fit signe de le suivre. Il commença à les guider à travers l'immense du château grouillante de monde. Ce fut à ce moment qu'Azura parvint à se faufiler vers lui pour lui poser sa question. Lorsqu'elle s'adressa à lui, il rougit de plus belle et baissa les yeux. Azura se recula un peu à la gêne, laissant échapper une petite exclamation d'étonnement, mais resta un peu à la distance qui avait été prise. Gardant toujours les yeux baissé, le jeune page lui répondit quand même :

"Je suis Mark..."

Puis il ajouta d'une petite voix :

"Ma dame...

- S'il te plaît, oublie le "dame", répondit Azura en lui posant une main sur l'épaule, nous avons presque le même âge..."

Il n'eût cependant pas le temps de lui répondre, car il semblait qu'ils étaient arrivé au lie où il devait conduire les deux autres femmes. C'était une grande salle à l'allure martiale, comme presque tout le château. Il leur dit d'attendre ici, en attendant qu'on leur serve quelques boissons. Puis il repartit, Azura sur ses talons.

Ils enchaînèrent à nouveau quelques couloirs. Le page ne sembla pas enclins à reprendre la conversation, ce qui désola un peu la jeune fille : elle n'avait pas souvent l'occasion de rencontrer des gens de son âge, et elle aurait bien aimé le connaître, puisqu'il se pouvait bien qu'elle vienne bien plus souvent ici... Ils arrivèrent finalement devant une porte où son guide marqua un temps d'arrêt. On aurait dit qu'il réfléchissait à quelque chose. Puis, assez rapidement, il reprit sa marche et lui ouvrit une chambre un peu plus loin. La jeune prêtresse le rattrapa et jeta un coup d'oeil rapide à la chambre, avant d'y entrer. C'était une jolie chambre, tout en couleur douce. Le lit était fait.. suffisamment bien fait pour que la jeune prêtresse en vienne à penser que ce serait presque un crime de dormir dedans... Il y avait également une petit meuble surmonté d'un miroir et sous lequel se trouvait quelque tiroir. Tout dans la pièce était sobre, mais en même temps très accueillant et chaleureux. Azura avait de la peine à penser que, maintenant, elle vivrait peut-être dans des lieux comme celui-ci... Non, il ne fallait pas qu'elle se fasse trop d'illusion... Il l'avait peut-être simplement demandé pour lui dire que tout était faux...


"Voici votre chambre. Je passerai voir si tout est au mieux dans un moment. Souhaitez-vous quelque chose en particulier ?"

La jeune prêtresse s'arracha à la contemplation de la pièce pour en revenir au jeune page. Il se tenait toujours dans l'encadrement de la porte, les yeux rivés sur ses chaussures. Elle lui sourit gentiment avant de répondre :

"Non, j'ai tout ce qu'il me faut je pense... Mais peut-être que tu pourrais me parler un peu de toi ? Je n'ai pas du tout l'habitude de ce genre de lieu, dit-elle en rosissant un peu et en détournant légèrement le regard."
Vonafred
[Salle des réceptions]

Les deux vantaux s'ouvrirent pour laisser passer un Baron à la mine réjouie.
La porte au vitrage Siennois était ouverte et laissait entrer un air doux et chargé de senteurs printanières.

-Dames, je vous salue et vous présente mes hommages.
Louis Vonafred les invita à s'assoir.Il fit mine de ne point voir ce qu'elle transportait discrètement.
-Merci d'être venue prestement. Je vous en prie...
Leur indiquant de confortables chaises curules d’inspiration gothique...
-Si nous parlions Brochets...
_________________
Brunhilde
Ca y est ! Au pied du mur ! Pas le temps de sourire aux premiers émois du damelot que le cap débarque. Ouais, enfin, c'est le réflexe un peu soldatesque abusif avec la mauvaise conscience à son pinacle qui fait qu'elle est toute droite dans ses bottes, la grande. Déglutition difficile, causerie, c'est même pas la peine... Alors pour qu'elle ne cause pas, c'est bien un signe qui ne trompe pas.

Euh... Mon capitaine... Monsieur le baron, mes hommages dominicaux.

Bon, ça c'est fait. Redéglutition.

Très honorée que vous nous receviez chez vous.

Bon, ça aussi. On avance, à petits pas, mais on avance.

Puis de brochets il s'agit, ne vous faut-il pas régler quelques questions avec... notre responsable de la pêche avant que nous puissions...

Violent mais discret coup de coude en direction de Patoche.
_________________
Tu n'es pas responsable de la tronche que tu as, juste de la gueule que tu fais...
Vonafred
Moins à l'aise qu'à la caserne la grande...Des hommages, un peu de mondanités...Bien...fort bonne introduction, les filets de brochet se rapprochaient lentement mais surement des assiettes baronniales...
-Et que dit donc notre responsable de la pêche...
Il se tourna ostensiblement vers Dame Patbis.
-Messire le Bourgmestre de Sarlat est ravi de cette initiative.
Nous nous sommes entretenus il y a peu...

Se raclant la gorge.
-Quelle est donc votre idée sur la maniere de procéder.
_________________
Patbis2007
Von avait fini par arriver. Entendant le doux son mélodieux de sa voie de ma position sur la terrasse, naaaan j'rigole pour le son mélodieux hein je me décide à rentrer dans la salle de réception et m'apprête à le saluer, je le vois jetant un regard soupçonneux sur nos besaces heureusement vidées à temps.Voilà que la grande nous la faisait genre mondanités.

Ouch !

Mais elle m'a fichu un coup de coude alors que j'arrive à peine., ça me renvoie le sang au visage et c'est dans un souffle

Bonjour Von ! Pour les courriers officiels et la caserne le vouvoiement d'accord, mais faut pas abuser non plus !

A priori ils me regardent tous les deux, attendant surement une réponse à une question que je n'ai pas clairement saisie. J'étais donc sensée parler des brochets... Hmm, ils veulent quoi là ? Un cour de biologie ?

Alors... Heuuu... les brochets... Si tu désires avoir livraison régulière de brochets, encore faudrait-il que nous parlions de la discussion que tu as eu avec le maire de Sarlat.
Si nous n'en connaissons pas les tenants et les aboutissants, il va être difficile de prendre des décisions.
Je pense que c'est plutôt à toi Von de nous indiquer ce que tu attends de cette nouvelle pêcherie, ce que le maire lui en attend et nous verrons ensuite comment tout cela peut-être mis en application au profit de tous.

... Et de ton appétence particulière pour les brochets...


Je laisse un léger sourire effleurer mes lèvres et me demande si les bonnes manières se perdent avec la noblesse, c'est vrai quoi ! Avant il ne nous aurait jamais laissées la gorge sèche après un tel voyage !
_________________
Vonafred
Un claquement de doigt remédia aux aspirations éthyliques de la Dame.
Klaus servit dans l'instant un assortiment de vins colorés et chatoyants qu’il servit aussitôt.

L'intendant glissa alors quelques mots impercéptibles aux oreilles du Baron "Chancellerie...le Comte...rumeur" et lui remit discrètement une missive aux armes Comtales.
Il le congédia songeur…

-Dames, je vous laisse à loisir l'administration de cette organisation si le cœur vous en dit, il semble que le temps me soit à présent compté en notre bonne ville de Sarlat.
Un peu gêné il se leva.
-Je vous prie de bien vouloir m'excuser...Mon Intendant va vous reconduire.
Mais auparavant…

S’emparant d’une plume, il griffonna rapidement un large sourire aux lèvres…

Citation:
Nous Louis Vonafred de Dublith.
En nostre qualité de Baron de Segonzac.
Octroyons par la présente aux Dames Patbis et Brunhilde, le droit de courir sus aux lièvres
et lapins peuplant nos terres de Prigonrieux et Segonzac tant qu’il leur plaira.

Qu’on se le dise.

Faict et scellé le 5 mai de l’an de grâce 1458.




-Je pense que ceci vous sera utile...
Je ne tiens pas à vous retrouver branchées à un arbre de mes forêts...

Les saluant apres leur avoir remis le pli, il se retira.
A peine sortis, il lu rapidement la missive Comtale, et donna soudain un violent coup de poing dans un mur de soutènement.

-Par la Mordiou je jure que l'on ne m'y reprendra jamais.
Le Capitaine gravit un escalier, et gagna l'étage des chambres.
Il frappa de légers coups à une porte et entra.

-Dame Azura, je vous ai fait attendre veuillez me pardonner...
_________________
Azura_xiloscient
Malgré les timides tentatives de la jeune fille pour engager la discussion, il semblait que son compagnon ne voulait plus desserrer les lèvres. Il restait dans un coin, silencieux, ne sachant à priori pas trop quoi faire. Finalement, après quelque minute, lasser de rester debout, Azura alla s'assoir sur le lit. Le jeune homme ne fit pas un geste. Comme rien ne se passait, elle laissa son regard parcourir les murs, admirant le lieu autant qu'elle put. Elle n'aurait peut-être plus jamais l'occasion d'en voir de pareils.

Finalement, après qu'environ la moitié d'une heure se soit passée, on frappa à la porte. Par réflexe, Azura allait dire d'entrer quand la porte s'ouvrit sur le seigneur du lieu. La première pensé qui traversa l'esprit de la jeune fille fut qu'il était tout de même assez impoli de rentrer ainsi dans la chambre d'une femme... Puis elle se rappela qu'il était quand même chez lui et qu'elle n'était pas vraiment censée loger ici... L'air quelque peu outrée qu'elle avait pris se mua presque instantanément en un léger rose gêné.


"Dame Azura, je vous ai fait attendre veuillez me pardonner...

- Oh, s'il vous plaît, répliqua-t'elle du tac au tac l'air quelque peu exaspérer. Je dois avoir près de dix ans de moins que vous, alors cesser avec ce "Dame"..."

Mais qu'est-ce qu'elle disait ? Etait-ce une manière de s'adresser à un noble ? De rosée, le teint devint blanc, puis écarlate. Elle descendit précipitamment du lit et, s'inclinant devant l'homme, dit :

"Pardonnez-moi, je vous ais manqué de respect... Je ne sais pas où j'avais la tête..."
Vonafred
Le Baron ne s'offusqua en rien...
-Il est vrai que le terme de Damoiselle est plus approprié...
Dieu qu’il se sentait mal à l'aise...habitué des soudards et autres politiciens, converser galamment lui était aussi commun que de sourire des jeux d'esprit d'un gueux.
Il opta pour un discours direct et sans ambages...
-Damoiselle, votre...père m'a confié la lourde tâche de veiller sur vous.
Apres un bref instant de silence.
-Vous êtes née Luna de la Mirandole et de Dublith , votre père est bien le Vicomte de Mussidan, Baron du Fleix, mon cousin louis Enguerrand Perceval de la Mirandole et de Dublith...
Ne lui laissant pas le loisir de réaliser de son nouvel état...
-Veuillez me considérer des ce jour, comme étant votre ...Tuteur.
Damoiselle Luna, bienvenue dans notre illustre famille...

_________________
Vonafred
Un peu trop directe sans doute.Le Baron n'avait jamais eu ni l'art ni la manière de parler à une femme.
A cet instant précis, il maudissait son cousin de l'avoir chargé d'un tel office.
Il s'efforça d'adoucir traits et paroles.

-Damoiselle Luna ?
_________________
See the RP information <<   <   1, 2, 3   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)