Kar1
[Nos zozos on réussi à prendre le château cette nuit. On joue dans la joie et la bonne humeur car vive le rôle play! Tout le tralala quoi. Bien sur RP ouvert à tous et au delà tant que la cohérence est de rigueur. On va faire jouer les couleurs aussi. C'est l'heure des balises. Ceux aux persos révoltés en Orange. Ceux du coté des "Gentils" en Bleu.
Réclamations par MP si faut je suis toute ouïe. ]
Réclamations par MP si faut je suis toute ouïe. ]
[Une blonde au pouvoir, quelle idée]
« Salt, à Patay.. Un seul mec?
Oh bordel de cul vont me lpayer!
Au voleuuuuur, à lassassiiiiiin!
Attaquez-moi ce château! Veux quça brûle et surtout quça saiiiiiiiiigne! »
Celles-ci étaient les paroles dune cheftaine en rogne alors qu'elle hallucine complet. Les Royalistes de « ses deux tétons qui pointent » ne sétaient surement pas rendus compte quil ne fallait pas réveiller leau qui boue déjà, surtout lorsque cette dernière est ancrée dans le corps dune blonde plus névrosée et folle dingue que tout un Royaume réuni. -Petit aparté tétonesque tant qu'on y est. Étant donné quelle na pas de trucs qui pendent entre les jambes, ben elle fait avec ce quelle a. Et comme ses seins pendent un peu, cest tout pareil. La vie est bien faite.- En tout cas, le Roy na quà bien se tenir dailleurs. Les Fauchards sont dans la place pour le plaisir des râleurs, pour le bonheur de la compagnie et pour le malheur des autres.. Ils avaient prévu leur coup depuis quelque temps déjà, mais quon ose toucher à la prunelle des yeux dun Simplet juste parce quil envoie des courriers au maire de la Capitale, ça donne envie de décrocher la lune et les étoiles, ça brille les étoiles. « Argent.. Argent.. » Que dexcitation pour la blonde. Quelle envie que de se jeter dans la gueule du loup parce que ce dernier na même pas les dents longues. Pis, maintenant, plus besoin de trouver une raison pour foncer dans le tas ducal. Il a pourtant fallut attendre que le soleil se couche. Un calvaire. Alors on imagine sans problème que Karine a fait les cents pas toute la sainte journée. Elle a été en taverne pour essayer de se distraire. Impossible de suivre les conversations, même celles des plus passionnantes. Alors elle a essayé daller flâner au gré du vent printanier, mais pareil cette boule au ventre qui ne faisait quillustrer son impatience se manifestait chez chaque organe, dans chacun de ses pores, partout et tout le temps.
Lheure, c'est enfin l'heure. Alors on avance, on court en direction du château. La brigandine installée sur les épaules de blondine -parce que ce serait con de se prendre un coup mal placé, la hache dans sa main droite et le tour est joué. Simplement voir tout en grand et faire tout en gros. Elle salourdit Paillasse avec toute cette charge, mais rien de mieux pour des coups secs, francs et sans alternatives possibles pour les adversaires. Cheveux au vent ça part. Toute léquipe semble dans son élément, même les plus novices. Comme quoi. Mais ce nest pas tout. Ladrénaline séparpille en chacun d'eux. Les Fauchards ont même lair de tout faire en rythme, comme si les gestes avaient été répétés. « Chlac » Une tête qui tombe. « Zip » un bras qui saigne. Miam, mmmh.. Les yeux pétillent, les glandes salivaires frappent à la porte du palais, tout comme le pouls qui martèle au niveau de ses tempes -et ailleurs surement aussi, je vous passe les détails-. Une Paillasse au taquet pas à dire cest la classe. Mieux que de regarder une gamine admirer le jouet quelle a tant voulu pendant toutes ces longues années et ces mois sans répit. Ouuuh que cest bon la liberté, ouuuh que « le bonheur est dans le pré, cours y vite, cours y vite. Le bonheur est dans le pré cours y vite il va filer.* »
« Ouvre moi cte porte.. Ouvre moi que jte diiis! »
Et que je tagrippe un pauvre maréchal qui na rien demandé par le col, cest prenant. Surtout quand il fait une grosse grimace à en faire marrer plus dun parce quil sy attendait pas à celle là. Et de voir comme la Compagnie quelle a formée avec la Barrique prend un malin plaisir à se révolter, pur bonheur. Une troupe entière sest réveillée ce matin là en sachant ce quils avaient à faire. Et puis ils ont trouvé main forte au marché, après les déboires du matin même. Cela a permis aux Fauchards de doubler leurs effectifs et être imbattables face à un Duché à poil. A poil.. Cest le moins que lon puisse dire, mais cette suite là se fera au prochain épisode.
Pour linstant ce qui importe plus que tout à la blonde, cest de trouver ce satané trône. Cest à elle de se faufiler pour repérer la salle de la duchesse. Et elle ne sait déjà plus où donner de la tête à force, bien trop obnubilée par lenvie pressante de se faire remarquer par toute une contrée. Alors, laisser le reste de la troupe saffairer aux trouvailles des marchandises, coffres et autre hors duvres goulus pendant que madame THE blonde se fraye un chemin jusquà la victoire.
« Vite, vite, vite, Quon m'nettoie mon trône MAINTENANT! Je ny pose pas mon cul tant quil est encore imprégné d'lodeur de Meudème de Tronchay. »
Passera? Cassera? Elle est passée et sans rien casser dans le château. De la tenture au pot de chambre, tout doit disparaitre. Elle est passée et le pouvoir est à elle, ça lui va si bien. Les écus vont voler à tire larigot, elle va pouvoir se mettre au balcon du château et conter ses périples au peuple d'Orléans ou du moins à qui voudra bien lentendre parce qu'elle n'est tout de même pas des plus dupe. Mais pour le moment, elle tape du pied, pas de couronne sur la tête mais cest tout comme. Impatiente, elle ne commencera pas son règne tant que sa demande ne sera pas exécuté dans la minute. Karine ne se sent plus pisser, ça étonne quelquun?
[*Notre bon Paul Fort, fan invétérée que je suis.]
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