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Info:
ancien rp septembre 1457

[RP] Devant les remparts de CALAIS - Campagne Calaisienne - Septembre 1457

Ombeline
[HRP : Voilà si vous désirez faire un Rp et le faire partager aux autres sur notre gargote artésienne et ici et bien allez-y^^ faîtes vous plaisir.
Je posterai vos textes dans le rp que vous aviez commencé en notre gargote. fin HRP]

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[HRP bis : Déplacé le 27/09 en salle de doléances pour que les non soldats puissent participer aussi, je le ramènerai en nos murs plus tard pour le conserver. ]

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un calaisien a écrit:


[Sur les remparts de Calais]

Une activité humaine intense attira soudainement son attention. Le vieux thibaut suivit le crénelage du rempart sur quelques toises puis se pencha vers le contrebas. Il découvrit un nuage de poussière venir vers leur ville... Les oriflammes artésiens flottaient dans les airs, des hommes et femmes en équipement venaient vers eux et en grand nombre. Il lui semblait apercevoir une sorte de phénix sur l'un des drapeau tenu par l'un des lanciers. La troupe s'étendait, chacun chevauchant à même cadence et avec moult cliquetis. Elle semblait prendre position non loin de leurs remparts et installer leur campement. L'homme se perdit dans ses pensées... La veille, c'était deux autres armées qu'il avait vu installer leur campement. Il ne ferait sans doute pas bon de sortir cette nuit, ni demain...



Rufus a écrit:


[Dans l'armée de la Légion du Phénix]

Il n'avait pas quitté, depuis la transmission de son courrier officiel à la chef d'armée Maya, la troupe soldatesque.
Il avait donc pris le même chemin et la direction de la ville de Calais, marchant sur la même cadence, même de nuit. La route était longue, peu chantait afin de rester discret... quoiqu'une armée en déplacement n'était guère discrète...

Durant tout ce parcours, il put aisément observer la longue file de soldats, certains armés de leur épée aiguisée, d'autres armés de simples bâtons, les visages de certains graves, d'autres plus joyeux, mais tous pressés d'en découdre.

Leur longue colonne de fer s'arrêta d'un coup, le cliquetis des armes se s'interrompit ... Les remparts de Calais étaient devant eux. Tentes, malles, tonneaux furent installés... Bientôt, le temps de l'assaut sonnerait.

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Darkangelfly
Ils avaient marchés toute la nuit , sans bruit pour certains silencieux et graves et d 'utre dont elle faisait partie moins et plus détendu . Mais une folle envie d 'en découdre les habitaient tous .

Elle stoppa aux vues des remparts de Calais qui s 'élevaient dans la nuit sombres et digne , presque impressionnante .
Elle posa ses affaires au sol et s 'engouffra dans la tente une fois dressée , un repas frugale et de la bière des moines finir de la réchauffer .

Elle s 'attela à aiguiser ensuite sa lame avec minutie , la pierre a affûter glissant d' un geste sur le long du fer , elle para aussi son bouclier de graisse comme le lui avait enseigné un vieux guerrier et revérifia les lanières de cuirs .

Assise sur le rebord de la paillasse en silence elle s ' étira réveillant son corps doucement , étirant amplement tous ses muscles .
Elle se leva ensuite et alla regarder ses frères se préparer eux aussi , certains somnolaient d 'ailleurs .

Son regard se perdit de nouveau au loin , sur les remparts . Elle tapa des bottes sur le sol , arrangea son habit , posa au cou de Mordé un gros collier de cuire renforcé et lui caressa la tête , le jeune chien de guerre allait faire lui aussi ces premières armes .

Elle se décida enfin de s 'assoir près d 'un feu pour frotter ses mains engourdit par le froid au dessus des flammes crépitantes .
Une sourire songeur dessina ses lèvres , depuis le temps qu' elle attendait de partir au combat et trépignait jour après jour , la voila apaisée et sereine comme avant chaque confrontation .
Le temps était calme , le ciel sans nuage , le calme avant le tempête ...
MayaII
La nuit arrivait le campement avait été dressé, tous le monde était sur les gardes ... Maya voyait aux derniers préparatifs qui ferait quoi, qui irait où ...

Elle était très préoccupée en ce moment sa vie amoureuse était très chaotique et elle en souffrait beaucoup heureusement que l'armée était là pour lui faire un peu oublier les énormes bêtises qu'elle avait fait... Maya savait pertinemment que je retour à Bertincourt serait vraiment difficile...

L’heure des combats avaient sonné et peut être l’heure de la mort de certain de ses frères d’armes.

Elle devait se concentrer, surtout tout faire pour protéger ses soldats et pour se protéger contre les rebelles, elle devait se concentrer tout oublier, elle avait été formé pour ça.
Tous partie en même temps, au même pas vers les remparts de calais, le but ultime faire reculer les opposants et prendre possession de Calais, la retrouver au sein de l’Artois même…

Les combats eurent lieux une grande partie de la nuit et les rebelles avaient réussit à tenir le coup.

Maya rentra au campement épuisée tant physiquement que mentalement, elle entra rapidement sous la tente seule … elle se changea et se laissa choir contre son lit de fortune, elle mit beaucoup de temps à trouver le sommeil…

Une autre nuit arrivait bientôt ... Que ce passerait-il ... Elle attendait les ordres

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leo le d.
leo se traina jusqu au feu de camp lacha son equipement par terre et se laissa tomber a genoux
il retira son heaume qui laissa paraitre un regard vide et une mine bleme au bord de la regurgitation
ses mains pleines de sang tremblaient

ce matin sur les remparts un ennemi avait soudainement surgi devant lui
d instinct leo se lanca l epee en avant transperçant le soldat au ventre et l envoyant au sol
pret a l achever il s apperçut que de soldat il n etait point
ce n etait qu une adolescente sans armes que l endoctrinement et la propagande avaient envoyee sacrifier sa vie
l instant d hesitation permit a un calaisien de se jeter sur lui et il fut eloigne de la scene par d autres combats
lorsqu il revint plus tard sur les lieux pour lui porter secours la gamine avait disparu
la cherchant du regard il vit deux moines calaisiens l emporter au loin
etait elle vivante? il l esperait mais n en avait aucune certitude

ce soir il ne trouverait pas le sommeil
lui qui avait toujours cru combattre pour une juste cause se sentait aujourd hui l ame d un assassin

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Sir Winston Churchill a écrit:
We shall go on to the end
we shall never surrender
Leportel62
Lou avait planté sa tente un peu à l'écart. Chou n'étant point là, il préférait la solitude. Elle lui manquait ainsi que son petit ange.

Seul, son aigle se tenait prés de lui et se nourrissait des morceaux de viande que Lou lui tendait. Il faut dire qu'il avait pris des provisions pour un sacré bout de temps bien qu'il souhaitait que cela ne s'éternise pas trop et que Calais revienne rapidement artésien.

La première nuit de combat avait été harassante mais n'avait pas donné le résultat escompté. Les calaisiens défendaient leur ville.

En attendant le prochain assaut, il aiguisa son épée.

Il ne trouva pas le sommeil cette nuit là, pensant trop à sa famille et fut ravi de voir le campement bouger un peu. Un nouvel assaut allait se produire.

Il se porta prés de Maya afin d'écouter les éventuelles consignes.....

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Rufus
[Samedi 25 septembre 1457]

La tension était montée d'un cran... la rumeur parlait d'un second assaut... ils y retourneraient encore cette nuit ... Le vieux couriser badina un peu mais s'affaira et aiguisa son poignard, il serait lui aussi dans la mélée soldatesque et civile.

La nuit recouvrit la zone de son long voile noire ... Tous étaient fin prêts... L'on pouvait entendre quelques cliquetis et chuchotements dans les rangs que la troupe venait de former...

L'ordre de l'assaut fut enfin lancé ... Les cris rugirent, les lames s'élevèrent ... le ciel s'emplit de flèches ... Le combat fut aussitôt engagé pour percer ces maudits remparts calaisiens. Le cri de ralliement artésien emplit l'air : ARTOIS RENDS TOI! QUE NENNY MA FOI!
leberserker
Leberserker ruminait des pensées sombres.Il n'avait même pas participé aux combats de la journée d'hier.La ruée vers les remparts avait été si chaotique qu'il n'avait pas pu accèder aux échelles.Aujourd'hui,ce n'était pas vraiment mieux,il avait été selectionné dans l'arrière garde et avait dû massacrer deux hollandais qui passaient par là et qui ne lui avaient rien fait.

En rentrant au campement,Leberserker nettoya et affuta son épée,astiqua son armure et nota avec tristesse que quelques soldats manquaient à l'appel.Il alla ensuite se coucher après avoir mangé une miche de pain.

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Gagner toutes vos batailles n’est par la meilleure chose , l’excellence suprême consiste à gagner sans combattre.

Sun tzu


Darkangelfly
Le premier assaut avait été donné et déjà un des leur était tombé et le diacre fut blessé , dans leur rang encore serré nul perte mais plus loin d 'autre blessés se rabattaient vers les différant camps .
Dans le camps des traitres par contre les pertes fut nombreuse et cela n' était qu' un début , une prise de contact .

La nuit fut courte mais pleine de promesse , Dark' avait cherchée des failles avec ses frères .
Ils prirent du repos , se nourrir pour reprendre des forces , armures et boucliers furent de nouveau paré par le forgeron , les lames aiguisées en vue du prochain combat .

La journée se passa à prendre de camps en camps des nouvelles des amis , à boire et se reposer .
Le soir tombait peu à peu , l' air était doux , les Dragons de Cambrai se préparèrent de nouveau calmement mais avec sur le visage cette fougue guerrière .
Ils se regardèrent sans un mot , passant épées à leurs tailles , serrant dans leurs poings leurs bouclier .
Ils n' avaient plus besoins de mots pour se comprendre tant ils étaient soudé .

Sans un bruit ils reprirent le chemin des remparts , ils avançaient quand l' assaut ennemi s 'engagea .
Tous restaient soudés cote à cote , l' entrechoque des lames fit résonner la nuit , boucliers en avant ils avançaient encore et toujours .

Les coups furent si violents que les épées adverse se brisèrent et les boucliers détruit .
Mais dans la pénombre la mort rodait , là toute proche , on pouvait sentir son souffle pestilentiel serte déjà en face les ennemis étaient tombés sous leurs charge mais il manquait quelqu' un .
Dark ' se retourna , après avoir jeté un dernier regard de mépris vers les deux guerriers ennemis à terre et se mit à chercher .

Ses frères étaient tous là , son époux aussi , tous essoufflés par la fureur de la bataille mais sa n' allait pas , un Dragon manquaient à l' appelle


Crista ?? Cristaaaaaaaaaaaaa ??

Dark' appela , la cherchant partout , où était sa soeur , elle retourna sur ses pas quand elle vit un corps allonger au sol .
Elle pria rapidement et se précipita

Faite que se soit un ennemi Très Haut ........

Elle tomba à genoux et ota le home pour voir avec effroi le visage de sa soeur


Cristaaaaaaaaaaaaaaaaaa non Cristaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa !!


Son cri déchira le calme qui était retombé sur le champs de bataille , elle la prit dans ses bras , la serrant fort comme par peur qu' elle ne parte , la berçant et soufflant soudainement sans force

A l' aide ............. a l' aide................................... Tient bon .... On va te soigner ..............
Jehanne66
Jehanne avait réussi à se planquer le premier jour, pas de combat.
Elle s'était contentée d'observer l'assaut de loin, elle avait la pétoche...

Mais le deuxième jour, elle ne put se défiler comme la veille ! Les assaillants fusaient de ci, de là !
Elle finit par sortir son épée et frappa au hasard.
Certains tombèrent comme des mouches, au premier coup.
D'autres qui devaient être des Dieux, se relevaient après plusieurs coups qui auraient dû être mortels...

Allez comprendre ! Y'a d'la magie dans l'air... de la sorcellerie même, se dit-elle.
Elle continuait à frapper sans se poser de questions, le sang giclait, des hurlements déchirants se faisaient entendre au milieu du combat...

Après la bataille, elle rentra au camp, éreintée comme après une folle nuit, mais son cœur ne palpitait pas cette fois.
Elle se tâta sous toute les coutures pour voir si aucun morceau ne manquait à l'appel.
Elle était entière, ça allait... sauf son moral qui était en berne.
Elle se coucha pour oublier à quel point elle pouvait être féroce quand elle s'y mettait !

Elle découvrait un aspect de sa personne qu'elle ne connaissait point...

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Lokmar
Le premier jours des combats, déjà, Lokmar en première ligne avait escaladé une des échelles posées sur les murs de la ville afin d'atteindre ses remparts, pour finalement voir en hauteur un calaisien lui porter un coup qu'il bloqua sans mal avec son bouclier, avant qu'une troupe entière se mettent à repousser l'échelle.

Ce jour, Lokmar était de nouveau en première ligne.
Arrivé à hauteur des remparts une lame d'un défenseur en surplomb lui transperça l'épaule, la douleur fut si vive qu'il manqua de lâcher et tomber dans le vide. Son bouclier glissa et manqua de peu un soldat artésien en contre bas. Son bras valide ainsi libéré il se cramponna à l'échelle

Tant bien que mal il rejoignit le sol après avoir fait s'écarter ceux qui attendait.

De rage, il jeta son épée en direction des remparts et fit demi tour en direction du campement des armées artésiennes, son épaule gauche saignait abondamment.



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DIEU ET L'ARTOIS !!

nadjine
Nadjine avait repoussé déjà un bon nombre d'attaque. Ce soir, elle comptait en faire de même sur les remparts. Une échelle apparu dans sa direction, elle la repoussa avec tout la rage et force qu'elle pu.

Mais un homme avait profité de cette action pour apparaître à ses cotés. Un moment de silence, ils se dévisagèrent l'un l'autre. Elle l'avait reconnu, il l'avait reconnu.... Un calaisien, une rage montait en elle...

AAARrrgggg....elle avait bondit sur lui, lâchant son épée et son bouclier. La tête vers le bas, un poing dans l'estomac.. elle entendit le souffle de l'homme coupé. Avec autant de rage, elle le poussa au bas de rempart.

Essoufflée elle tâta son avant bras gauche, une légère entaille, mais ce ne fut rien lorsqu'elle découvrit le massacre sur son petit doigt.


IL LUI AVAIT CASSÉ UN ONGLE!

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SEULE LA LIBERTÉ TRIOMPHE!
Nefi
ayant confié ses derniers blessés aux nonnes elle avait avec ses hommes rejoint les rangs de l armée du phénix.
son équipement avait de nouveaux était contrôlé et complété, avant de repartir vers les remparts de calais la rebelle. le campement avait été dressé une désormais une grande tente réservé à accueillir les blessés trônait en bonne place.

le premier jours se passa sans trop de casse, les catapulte et autre trébuché attaquaient sans relâche les épaisses fortification que bientôt ils franchiraient pour prendre la ville.

elle observait tout cela le regard de glace, le visage sans expression, elle avait été a l'assaut mais rien de concluant vu le nombre de soldats. et elle était revenue pour soigner les quelques blessés.

la nuit avait été calme bien que la tension était partout palpable.

le second assaut du lendemain fut plus musclé, les failles dans les remparts et les pertes ennemies leur avait facilité la tâche, les combats firent rage et nefi tapait sans reffléchir, taper, pour protéger sa vie, taper au coude à coude avec les hommes de sa lance, taper encore et toujours pour que l'artois garde son intégrité.

de partout la devise artésienne se faisait écho...

artois rends toi, que nenni ma foy...

elle martelait les esprits rythmée par le cliquetis des armes, par les hurlements de douleurs des hommes et femmes des deux camps.

l'atmosphère irrespirable flottait sur le champ de bataille, mélange de fumée, de poussière, de sueur et de sang, une odeur apocalyptique. dont seul la faucheuse devait se répéter comme autour d'un gros festin.

puis bientôt le calme revient laissant place à une vision d'horreur de corps mutilés, de gémissement, de crie de douleur ou de désespoir... couverte de sang, la respiration haletante mais birgit toujours en mains la lame rougit, nefi resta quelques temps comme dans un état second, ses yeux devenue presque noir parcoururent la scène, elle entendit dark crier le nom de crista et son coeur eu un choc tant dans cette appel on percevait la détresse. elle voulut allé vers elle, aider crista cette vieille amie cambraisienne quand son regard se posa sur un homme au sol.

stillllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllll

tombant à genoux prés de lui elle eu de nouveau un choc, mais de ceux qui d'un coup rendent la lucidité nécessaire à l'action.

prenant le pouls de son ami elle fut rassurer il vivait.

tien bon stil je reviens tien le coup.

puis se relevant et d'une voix forte elle appela.

qu'on apporte les brancards vite.


partant au pas de charge elle rentra sa lame dans son fourreaux après l'avoir essuyé sommairement. et prit l'évacuation des blessés en charge envoyant un brancard à dark pour crista et un pour stilicon. et tout autre blessés nécessitant des soins.

arrivant au campement elle rejoignit la tente médicale et se prépara à accueillir les soldats ayant besoin de soin espérant vivement voir revenir entier pegas, feff, et poillinette son équipe de soigneur.

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naoki
Naoki avait suivit les autres. Le depart de Azincourt avait sonné, vint alors le temps de la marche. On entendait plus que le cliquetis du métal, les pas sur le chemin. Un nuage de poussière avançait au rythme des soldats.

Arrivé a Calais. Les jours passent, on juge la ville, les regards se croisent, l'attente ... longue.

Après quelques jours, naoki est appelée a passée chef de section. Une nuit à peine... Et deja des pertes. La jeune femme avait combatu comme elle le pouvait mais elle n'avait que pu voir Crista tombé. Alors qu'elle était occupé avec un autre ennemi, elle vit Dark acourir auprès d'elle. De l'autre coté, Naoki vit larsene se prendre un mauvais cou. Les hommes de sa section diminuait dangereusement et elle ne pouvait rien faire.

Lorsque toute la bataille fut finie et que les troupes s'étaient retirées, Naoki avait marcher la ou quelques minutes plus tot, des hommes se battaient pour leur vie. Elle n'avait de réel affiniter avec personne, certe la perte de ses compagnons la chagrinait mais se n'était rien en comparaison à d'autres. Après avoir lancé un dernier regard empli de peine a cette vision, elle se dirigea vers sa tente pour nettoyé son équipement.

Deux jours ...

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Feff
Le départ d'Azincourt fut très dur il fallu à Feff plus de courage qu'il n'en aurait bientôt besoin pour quitter sa douce. Il alla rejoindre ses camarades et prit la route de Calais essayant de ce concentrer au maximum. Sur le chemin il rammassa toute les herbes qu'il jugeait utile afin de préparer de quoi soigner les bléssé, car il n'avait pas d'illusions des bléssés il y en aura et des morts également. Il fallait juste être prêts quand cela arrivera.

L'armée arriva enfin devant les portes de la ville et une myriade de tentes se dressa tout autour du remparts. Des armes de sièges était monté de ci de là afin de faire plier les Calésiens.
Feff rejoignis donc ses camarades et prépara ses armes dans l'attente de l'assaut. Il nettoya ses armes et prépara ses affaires pour être prêts au combat à tout instant.

La première nuit fût à peine agité aussitôt misent en place les armes de sièges s'activèrent toute la nuit pilonnant allègrement la ville.

La nuit du second assaut chacun était prêts à en découdre et lorsque les cors de guerre résonnèrent tous les soldats se mirent en place et attendirent que les armes de siège pillonnent la ville. Puis ils chargèrent tous vers les remparts essuyant des pluis de flèches et de trait. Les échelles se dréssèrent et beaucoup ateignirent les remparts.

Feff l'épée dans une main et la bannière de la compagnie des aigles dans l'autre, courut aux cotés de ses camarades se frayant un chemin dans le tumulte des boucliers et des épees qui s'entrechoquaient alors. Il lui suffisait de penser que ces hommes l'empechait de rejoindre son aimée pour qu'il se jette corps et âme dans la bataille frappant de toute ses forces à chacun de ses coups.

Lorqu'il crut reconnaitre Néfi crier il accourut dans sa direction et vu avec horreur que beaucoup avait été bléssés ou été tombés pour l'artois. Il rangea son épée et alla donc aider Néfi et les autres soigneurs à l'évacuation des bléssés. Il déposa alors ses armes dans un coin et prit sa sacoche et ses bandages. L'assaut été terminé et il s'agissait à présent de sauver le plus de monde possible. Toute le reste de la nuit il aida au soin des nombreux soldats Artésiens tombés mais aussi aux Calésiens qu'il avait trouvé.

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Stilicon
Avant

Comme il l'avait appris, Stilicon avait levé son bouclier au dessus de sa tête et avait tenu sa lance droite, tendue vers les cieux obscurs.Il avait franchi les remparts sans problème et se trouva avec ses camarades, en plein combat. Il se mit sur ses gardes, ne voulant pas frapper le premier, et ne sachant pas s'il voulait vraiment tuer quelqun. Il mit trop de temps à réfléchir et un soldat Calésien fonça sur lui et le transperça. L'impact fût si violent que Stilicon fût ejecté par dessus les remparts et tomba en bas, comme une masse. Son épée et son bouclier furent écrasé dans la chute et l'on retrouva des morceaux de lance dans le bas ventre du soldat de l'Ost. Il ne bougeait plus, attendant patiemment la mort. Il eût une dernière pensée pour Lisagaia, et tomba dans un brouillard nébuleux, un vide et puis plus rien.

Après

Il y eut d'abord une odeur horrible qui lui arriva dans les narines. Il serra les dents nerveusement, bien avant que la douleur refasse surface. Qui osait le déranger dans l'état lethargique où il était? Il prit conscience de son corps arraché. Cela le piquait atrocement. Il prit une bouffée d'air et essaya de la garder le plus longtemps possible dans ses poumons.
Soudain, il ouvrit les yeux et il toussa. Autour de lui, des personnes s'affairaient, desespérées et pleurant. Il attendit, ne sachant pas, ne sachant plus rien, ou pas grand chose... un nom... "Perl".

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