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[RP] Devant les remparts de CALAIS - Campagne Calaisienne - Septembre 1457

polgara2009
[Dans la nuit du 24 au 25 septembre : en route pour Calais]
 
Après une longue route au cœur de la nuit, les soldats de l'armée de Maya, qui à pieds qui à cheval, arrivèrent enfin en vue des remparts de la ville de Calais. Profitant des quelques heures qu’ils leur restaient avant le levé du soleil, ils s’activèrent tous à l’installation du campement, suffisamment loin des remparts pour ne pas être à portée de tirs des archers ennemis. Une fois leurs instructions reçues, chaque soldats vaqua à ses occupations. La plupart prirent un peu de repos, la journée qui s’annonçait marquerait le début des hostilités avec Calais.
Polgara, une fois sa tente montée, s’enroula dans une couverture et s’installa près du feu. L’automne n’était plus très loin et les nuits étaient à présent bien fraîches. La jeune femme ne put rien avaler et ne parvint pas à trouver le sommeil. Elle repensait sans cesse aux paroles de Roman, son fiancé. Aux aveux des actes monstrueux, qu’il avait commis par le passé, et qui motivaient son départ du Comté. Il aurait pourtant mieux valu qu’elle se concentre sur les évènements à venir, Calais était bien protégée et les prochains combats s’annonçaient rudes. Mais, chagrin et colère ramenaient inlassablement ses pensées vers celui qui venait de lui briser le cœur.

 
[Dans la journée du 25 septembre : début des hostilités]
 
En fin de matinée, une fois que tous eurent pris un peu de repos, le campement s’activa. Des soldats s’attaquèrent à l’installation des engins de sièges qui permettraient au bout d’un certains temps de percer les remparts ennemis. D’autres surveillaient l’activité Calaisiènne afin d’éviter toutes surprises tandis que les officiers établissaient les futurs stratégies employées. Une fois que tout fût prêt, le rassemblement fût sonné et les directives données. Le bombardement des remparts de la ville débutèrent alors. Les murs étaient bien épais, il faudrait du temps pour les fragiliser. Des cris provinrent de la ville atténués par le bruits assourdissants de la pierre contre la pierre. Quelques affrontements eurent lieux mais rien de concluant. Les Calaisiens étant bien à l’abri derrière leur fortification, il faudrait attendre qu’une brèche se forme pour qu’un assaut puisse être lancé.
Polgara, qui participait à sa première bataille, regardait tout cela d’un œil distrait. Elle ne parvenait pas à chasser ses préoccupations de ses pensées. La nuit tombée, elle ne trouva pas le sommeil malgré la tisane au vertu apaisante que lui donna Feff. Afin de s’occuper l’esprit, elle se porta volontaire pour les rondes de surveillance autour du campement.

 
[Le 26 septembre : seconde attaque]
 
Ce jour là, le martèlement continu des remparts porta enfin ses fruits, une petite brèche fut ouverte dans la muraille Calaisienne. Le son des trompettes retentit alors, l’heure de combattre était enfin arrivée. Les soldats Artésiens se lancèrent à l’assaut de la ville, essayant de pénétrer son enceinte. D’autres, profitant de la confusion générale, tentèrent d’accéder aux remparts à l’aide d’échelles, afin d’abattre les archers qui s’y tenaient et d’accéder à la ville. Polgara avait suivit le groupe de soldats qui s’étaient précipités vers la brèche. Son épée dans une main, son bouclier dans l’autre, elle engagea le combat avec l’un des hommes qui leur bloquait l’accès à la ville. Elle para les attaques de son opposant et enchaîna plusieurs coups, mais ne parvint pas à le toucher. L’homme dût reculer, sous le nombre des soldats Artésiens qui continuaient d’affluer, et se trouva alors hors de porter de la jeune femme. L’homme, aux prises avec plusieurs adversaires, fût ensuite mortellement touché. Son cri d’agonie se perdit au milieu du brouhaha ambiant produit par l'entrechoquement des épées, les vociférations des combattants et les cris de souffrance des blessés. Pol tentait de poursuivre son avancée lorsqu’une femme fondit sur elle. La jeune Azincourtoise bloqua l’attaque de justesse et attaqua à son tour. Un long duel s’ensuivit durant lequel aucune des deux combattantes ne prirent l’avantage puis, un long cri déchirant se fit entendre. Un Artésien était tombé des remparts, un des siens était blessé. Toute la colère qu’elle gardait en elle depuis quelques jours explosa alors. Elle enchaîna coups de taille et coups d’estoc avec fureur, ne laissant aucune chance à son adversaire. Cette dernière, débordée par l’avalanche de coups, ne fût pas assez rapide quand Pol, se décalant d'un pas sur le côté, vint enfoncer sa lame dans son flan. Après que Polgara eut retirer son épée, la femme tituba sur quelques mètres puis s’effondra. Pol essuya le sang qui recouvrait sa lame sur les vêtements de la femme et repartit à l’assaut. Mais, les Calaisiens parvinrent bientôt à enrayer l’attaque Artésienne et les repoussèrent hors de leur lignes. Les combats cessèrent donc et, chaque camps vint ramasser les corps de ses combattants. La nuit s'annonçait longue pour le personnel médical, plusieurs soldats, aux blessures plus ou moins graves, nécessitant de nombreux soins.
De retour au campement, Polgara se mit en quête de ses frères d'armes et amis afin de s'assurer qu'ils n'avaient rien. Puis, épuisée par l'intensité des combats et ses récentes nuits d'insomnie, elle rejoignit sa tente où elle s'effondra à bout de force. Cette nuit là, elle dormit quelques heures mais, son sommeil fût agités d'affreux cauchemars. Après un duel acharné, Roman, la bouche déformée par un affreux rictus, lui transperçait le ventre de son épée. Elle se réveilla, au beau milieu de la nuit, en sueur, la bouche encore ouverte sur un long cri d'angoisse. Réalisant que ce n'était qu'un rêve, elle se leva et sortit se changer les idées dans la fraîcheur de la nuit.


[Le 27 septembre : Trêve dominicale]


Un soleil radieux accompagna le réveil des troupes Artésiennes en ce jour de trêve dominicale. La journée serait dédiée au recueillement et au repos, tout le monde ayant besoin de se remettre des durs combats de la veille. Certains allèrent s'enquérir de l'état de leur amis blessé, d'autres se regroupèrent pour une partie de ramponneau, tandis que d'autres priaient Aristote afin qu'il guide leur bras guerrier lors des affrontements futurs. Polgara, qui avait peu dormi, profita à l'aube, d'une baignade relaxante dans une rivière voisine, qu'elle avait découverte lors de sa promenade nocturne. Elle assista à la messe et pria pour le rétablissement de ses frères d'armes blessés. Après un repas frugal, elle rejoignit Loulou qui lui avait proposé un petit entraînement, dans l'optique de lui changer les idées. Pol, même si elle ne retrouva pas le sourire, apprécia ce moment passé en compagnie de son ami. Elle ressentait toujours une vive douleur au fond de son cœur mais pensait un peu moins souvent au responsable de son chagrin. Un peu apaisée, elle parvint à dormir un peu durant l'après midi puis, à son réveil, se joignit à un groupe de soldat, les regardant jouer aux cartes.
La nuit tomba rapidement, elle prépara son équipements pour le lendemain, jour de reprise des combats, puis s'endormit d'un sommeil sans rêve.

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Darkangelfly
[26 suite ]

Dark' avait ramenée avec l' aide de ses frères Crista au camps sur un brancard et la confia aux bons soins de Doc'

Soigner la bien Doc' ...

Après c ' être assurée que les autres allaient bien , elle se restaura le coeur lourd et alla dormir auprès de son époux .

[La trêve dominicale ]

Jour de repos aujourd' hui , les armes sont passées aux forgerons pour être affutées , les boucliers débosselés et les armures remises en états , les corps épuisés pouvaient enfin se reposer , Dark' , elle , avait choisit de se détendre au bord d 'un ruisseau qui courait dans l' herbe .
Le glouglou de l' eau sur les galets l' amenait si loin du camps , du champs de batailles , pour se retrouver dans sa ville qui lui manquait tant , sa Cambrai .
La journée se passa tranquillement , elle avait eut le temps de voire ses deux petites son bébé , la petite Méli' et sa petite de deux ans Lilith .
La nounou sachant le manque que pouvait avoir Dark' de ne pas les voire les lui avait emmener .
Elle passa sa journée avec son époux et leurs enfants à profiter au calme de leurs rires et des jeux de la plus grandes , loin de tout se tumulte .

Quand le soir arriva il fallut de nouveau se séparer , Dark' serra ses enfants dans ses bras avec tendresse et les embrassa très fort , avant de les laisser repartir accompagnées de leur nounou .
Les adieux lui serrèrent le coeur et elle resta là devant la route à les regarder jusqu' à se qu' elles ne deviennent plus qu' un point noir s ' éloignant au loin .

[le 28 Septembre 1457]

Le jour était arrivée de reprendre les armes , elle revêtit son armure calmement , ceint son épée minutieusement aiguisée par leur forgeron , prit son bouclier et alla embrasser son mari avant d' ouvrir la marche .

Tous marchaient en silence et la vue de Crista allongée sur le sol la hantait encore .
Elle allait venger sa soeur .

Ils arrivèrent toujours en rang serré , les épées furent tirées de leurs fourreaux et le combat s 'engagea .
Dark' plus enragée que jamais ne laissa pas de répit aux assaillants , ses coups pleuvaient , elle y mettait toute sa rage pour cela .

En face d' elle se trouvait une combattante , qu' importe , d 'un geste vif elle baissa la pointe de sa lame vers le sol et la releva d ' un coup .
La lame entailla d 'abord la cuisse pour remonter vers son ventre quand le fers glissa sous l' armure lui entaillant les flancs .
Le sang rougit alors la lourde épée et Dark' fixa un instant la lame rouge avant de se retourner face à un autre ennemi alors que l' assaillant tombait à genoux sur le sol.
Elle laissait ses frère s ' en occuper , mais malgré les coups il reculait pour fuir .
Elle bloqua alors sa route et quand il lui fit fasse pour s 'enfuir , elle ne rata pas l' occasion .
D 'un coup d 'épée levée à la hauteur de ses épaules , la lame vombrit dans l' air et atteignit l' adversaire à la gorge laissant sur son passage un trait rouge sur sa peau qui ne tarda pas à saigner abondamment et le corps s 'affala sur la terre , qui se rougit peu à peu .

Sans émotions , autre que celle d 'avoir put commencer à venger Crista , Dark' regarda les deux corps à terre , le combat prenait fin et tous se regardaient .
Mais pas de joie sur les visages , juste l' impression d 'un immense gâchis.
Mais plus ils s 'obstinaient , plus ils continueraient sans remord à les affronter jusqu' à leur faire entendre raison .

Les Dragons se regroupèrent , boucliers contre boucliers , les regards se figèrent , un sourire complice apparut quand les mains attrapant tour à tour l' avant bras des uns et des autres dans leurs geste fraternelle , le serrant avec autant de force que leurs liens étaient fort et solide , les bouclier s 'entrechoquant résonnant alors , plus unis et soudés que jamais étaient les frères de Cambrai .
seigneurperseval
28 septembre 1457 - Armée La Légion du Phénix - charge sur Calais

Le son de la charge retenti et l'armée chargea sur les murs de ces infidèles. seigneurperseval engagea le combat avec un homme, flamand apparamment. Il avait déjà dû combattre contre une autre personne, il avait un peu de sang. Alors, autant abréger ses souffrances. seigneurperseval lui transperça le ventre par son épée.

Puis, il se retourna, prêt à continuer le combat avec un autre. C'est alors qu'il vît son compagnon d'armes, Jengax, trainé à terre par des hommes qui ressemblaient à ses fameux cadets de Calais la honteuse. Son cheval s'éloigna. seigneurperseval couru vers lui mais fût stoppé par quelqu'un. Un autre combat s'engagea alors. C'est à ce moment que le repli fût annoncé des deux côtés. Le combat s'arrétèrent bien que seigneurperseval aurait bien lui aurait bien fait goûter de sa lame, à lui aussi.

Puis il se retourna et courru en criant :


Jengaxxxxxxxxxxx


Il le trouva par terre. Il était inconscient.. ou mort ?? Non, ce n'était pas possible. Un Péronnais meurt contre les champis en défendant Péronne, pas à Calais la honteuse face à des mécréants.

Infirmiiiiieeerrrrr !!!

Plusieurs personnes arrivèrent et transportèrent Jengax. Apparamment mort.

seigneurperseval alla retrouver sa Cavalerie, affecté par cette journée. Combien de mort encore de la faute de quelques misérables.

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gigagil
Après un long voyage en des contrées agréables, quoique dites belliqueuses ou ennemies, Gigagil revient sur les terres artésiennes.
Enfin, terres est un grand mot, il pense plutôt cloaque en voyant le bourbier.
Des frères se battent, Calais est appelée "la honteuse", "la traitresse".
Des hommes et des femmes qu'il pensait honnêtes et respectables profèrent des ignominies.
Les amis d'il y a quelques mois se déchirent aujourd'hui, s'insultent et prennent même plaisir à se combattre, à se blesser et se tuer.
Et le pire est qu'ils en tirent fierté !
Gigagil a traversé de nombreux Duchés, il a du insister pour obtenir passage de frontières fermées, mais pourtant il s'est senti plus en sécurité et même en terre de confiance au cours de ses périples qu'en revenant en ce Comté qui semble maudit.
Il s'est entretenu avec des Duchesses, des Ducs, des Prévôts, des Connétables, des Lieutenants de Guet, des Douaniers; partout il a rencontré écoute attentive et respect.
Le fait qu'il soit Artésien (puis Flamand), et surtout citoyen de Calais a quelques fois étonné, mais il n'a jamais été rejeté.
Malgré les frontières fermées il a toujours eu prompte et courtoise réponse à ses demandes de passage et de séjour, et cela quelques soient les alliances ou inimitiés des Duchés traversés.
La situation de l'Artois lui semble incompréhensible, comment un Comté peut il devenir aussi vite un tel bourbier, un lit d'infamie oû les bas instincts s'épanouissent ?
Comment une contrée peut elle devenir aussi rapidement à l'image de ses dirigeants ?
Là ou il y avait foisonnement de vie, de fêtes, d'animations, de richesses, d'échanges; il ne voit plus que vulgarité, haine, combats fratricides, jalouseries et insultes entres voisins.
Il n'a fallu que quelques mois à de petits personnages avides de batailles et incapables d'ouverture aux autres, pour transformer un Comté prestigieux, riche et admiré en un repaire de brigands, à l'économie malade et oû le seul honneur semble être d'avoir estourbi son voisin ou d'avoir trahi ses alliances.
Gigagil a envie de vomir en voyant certains porter des décorations, le temps est loin oû l'Artois était respecté pour son soutien à la Couronne, oû les armée artésiennes pouvaient s'ennorgueillir de combattre pour défendre des opprimés ou rétablir un Duc assailli par traitrise.

Gigagil fait faire volte-face à sa monture, il préfère être citoyen errant qu'appartenir à un Comté pareil.
jengax
[Le 28/09/1457 Avant la bataille]

Jengax était la sur sa monture au milieu des autres cavaliers présent dans la Légion du Phœnix, les hommes et femmes qui l'entouraient étaient nerveux, de jour en jour au fil des blessures et des cadavres leur rage n'avait cessé d'augmenter, la fatigue bien présente pour certain ne se voyait plus une fois les armes a la main, et c'est avec la rage au poing qu'ils allaient en découdre avec les défenseurs de Calais.

[Aux abords des remparts : L'assaut ]

A la vue des remparts, les cavaliers descendirent de leur monture sachant pertinemment qu'elle ne leur servirait a rien, les défenseurs n'ayant jamais tenté de véritable sorties hors des murs. Ils se munirent de leurs attirail de combat l'épée encore dans son fourreau ils allaient devoir porter les échelles aux pieds des remparts encore une fois, espérant cette fois pouvoir ouvrir les portes de la ville qui signifierait une victoire assurée.


POUR L'ARTOIS !!!


C'est ainsi que tous se ruèrent aux pieds des murs portant les échelles que les défenseurs repoussaient ardemment, Jengax eut la chance d'arriver en haut des remparts rapidement, il dégaina son épée essayant de protéger la précieuse échelle que de nombreux soldats utiliseraient après lui, les coups étaient violent mais il tennait bon, puis il reconnu l'homme face a lui, Schieux commandant des Cadets, un leader incontesté au sein des armées Artésiennes jusque la. Jengax seul en haut des remparts voyait l'échelle par laquelle il était venu tomber, il avait échoué, dans sa tache mais le soldat face a lui se battait fichtrement bien, le calaisien portait un coup au ventre que Jengax ne put entierement éviter, il sentait la douleur s'emparer de lui mais tenait debout, cependant, suite aux coups répétés il faiblissait sentant le sang s'écouler de sa blessure et il reculait, encore et encore vers le bord de la muraille avant de tomber a la renverse par dessus les remparts.

Jengaxxxxxxxxxxx

Joncheant le sol tout proche des remparts Jengax, inconscient eut l'impression d'entendre quelqu'un l'appeler alors qu'il voyait un étrange tunnel de lumière s'étirer devant lui, était ce la fin ?
Plus tard il se sentis soulevé et vit la lumière s'éloigner,il essaya d'entrouvrir un oeil sans succès avant de sombrer a nouveau dans le coma .

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Nefi
après la bataille du 28...

la bataille à peine fini que déjà les blessés affluaient, les consignes avaient été donné bien avant la bataille et chaque brancardier selon l'état du soldat les installaient dans leur ordres de gravité, alors que déjà nefi et son équipe s'affairer auprès des cas les plus graves. stilicon avait été ramené dans les premier et aussitôt nefi se chargea de lui. il avait fait une chute terrible du haut du rempart et sa lance brisée lui transperçait le bas ventre.

grimaçant à cette vision elle demanda de l'aide à l'infirmier le plus proche et avec milles précautions retira l'éclat de bois, les geste s'enchaîner avec souplesse et précision stoppant l'hémorragie et pansant la plaie avant de poursuivre avec la réduction de quelques fracture à la jambe et au bras, elle posa des attelles administra un tranquillisant...

courage stil, soit fort et bientôt nous rentrerons chez nous, je reviendrais te voir après, j'ai encore beaucoup de soin a faire, mais je suis pas loin.

puis elle passa à d'autres personne d'autre soin, d'autre souffrance, soignant, réconfortant, apaisant, et quelques fois à regret fermant des paupières sur un regard tourné vers l'éternité, le visage déformé de douleurs...

c'est le coeur lourd qu'une fois de plus elle posa son regard sur la tente, certain blessé léger avait été pris en charge par ses infirmiers, pendant que les soigneurs et elle s'occuper des cas plus lourd, par chance elle avait prévue largement de quoi soigner tout ce monde mais pour combien de temps ??? elle serait bientôt... les traits tirés elle rejoignit une paillasse dans un coin pour prendre un peu de repos. avant de repartir guerroyer une nouvelle fois...

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Feff
Feff avait soigné les bléssés légers qu'on lui avait assigné pendant la trêve dominicale ne désirant pas s'arreter pour ne pas repenser à tout ce qui s'était passé. Chaque fois qu'il s'arrétait des images des combats repassaient dans sa tête, ces hommes et ces femmes se battant jusqu'à la mort, marchant sur les corps encore chaud des victimes de l'assaut...et tout ce sang qui coulait et coulait encore... un grand sentiment de honte l'envahisait quand il repenssait également à ce qu'il avait fait pendant les précedent combats, il n'avait qu'un envie : jeter son épée le plus loin possible de lui... mais ces frères et soeur d'armes bléssé devaient être vengés.

Jusqu'à tard dans la journée de lundi il travailla au campement médicale avec les autres infirmiers et médicsatre. Puis vint l'heure de l'assaut. Chacun connaisaient désormais son rôle et sa place dans ce rite funèbre auquel tous s'adonnés. Le son des armes de sièges et des projectiles s'écrasants sur les remparts et la ville ne surprennaient plus personne. On entendait les cris de guerre et de provocation des calésiens du haut de leur remparts auquel les artésiens répondaient par leur propre cris...

Feff tentait de s'impregner du plus de rage et d'esprits combatif possible tenant fierement la bannière de la compagnie des aigles d'une main et de l'autre levant son épée bien haut hurlant la devise de l'artois. Il repensait à sa douce qu'il lui manquait tant puis à ce que son sergent lui avait enseigné et voulant la rendre fière de lui. Puis les cors chantèrent et la ligne s'afféra de nouveau contre les remparts portant des échelles et des armes de toutes sortes bien déterminé à reprendre la ville.

Feff grimpa aux échelles puis se jeta à nouveaux dans le tumulte de la bataille. Comme pour les assaut précedent il fallait mettre le pieds sur les remparts et conserver la position afin que les autres soldats montent à leur tour. Mais malgrès ceux des Calésiens qui été tombé ils étaient encore trop nombreux et les assièger malgré leur vaillance n'eurent d'autre choix que de redescendre des remparts.

La bataille était terminé pour aujourd'hui...l'heure était maintenant au compte des victimes et des bléssés une longue nuit commençait alors pour les équipes médicales... Feff rangea son épée ensanglantée jusqu'à la garde puis parti prêter mains forte aux autres infirmiers... le sang versé il fallait maintenant le néttoyer.

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polgara2009
[Le 28 septembre : Reprise des hostilités]

Réveillée par un son fracassant, Polgara se précipita hors de sa tente. Le bombardement des remparts avait repris, une nouvelle journée d'affrontements commençait.
Après un petit déjeuner énergisant, les soldats Artésiens s'équipèrent et se rassemblèrent pour écouter les instructions du jour. La tension était palpable, beaucoup songeaient à leur compagnons blessés et se demandaient qui parmi eux tomberait ce jour. Mais, la détermination Artésienne ne faiblissait pas, cela prendrait surement du temps mais, Calais serait à nouveau Artésienne.
Une fois tout le monde en place, les trompètes retentirent annonçant le début de l'assaut. Les soldats se précipitèrent vers les remparts de la ville et comme l'avant veille, attaquèrent sur plusieurs fronts.
Polgara et un Flamand croisèrent le fer durant un moment, ni l'un ni l'autre ne parvenant à trouver de faille dans la garde de son adversaire. Quelques un de ses compagnons vinrent lui prêter mains fortes. L'homme fût alors vite vaincu sous le nombre écrasants de ses opposants. Les combats firent rage durant encore quelque temps mais, il fût encore impossible aux Artésiens de pénétrer la ville. Les Calaisiens parvinrent une fois de plus à les repousser.
La bataille terminée, le temps était venu de récupérer les nombreux blessés.

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MayaII
29 septembre 1457 - Armée La Légion du Phénix - charge sur Calais

Les troupes avaient encore été appelées pour prendre de nouveau les remparts de Calais.

Maya avait fait le tour de tous les soldats, tout le monde étaient près au départ...

Elle se sentait nerveuse se soir, anxieuse et elle ne savait pas pourquoi ...

La bataille fut dure et elle combattu de toute ses forces contre l'ennemie, décourager d'avancer si peu de jour en jour, la fatigue dans les troupes se faisaient sentir.

Elle tentait au meilleur d'elle même d'encourager chacun des soldats au sein de son armée, vérifiant tant leur humeur tant psychologique que leur santé physique, offrant le pain à l'un, donnant de l'argent pour que tous soit nourrit convenablement, elle se défonçait dans son rôle, forte comme jamais elle l'avait été, les événements des derniers jours furent pour elle une raison de plus de se tenir debout, une raison de croire en elle, une raison d'avancer vers demain ...

Cette nuit fut plus dure que les autres nuit, complètement étourdie par tous les ennemies venant vers elle, soudainement elle sentie la pointe d’une épée contre son cou.. Son sang se figea en elle, sa respiration arrêta, elle pria Aristote pour ne pas mourir … pas maintenant…

Soudainement venant de nul part Nain brandissait son épée devant elle… un combat sans merci se déroulait devant ses yeux … Nain était fort et se battait ardemment, il criait, hurlait, Maya sentait toute la rage du désespoir de la perdre à nouveau chez Nain.

Elle et lui s'était retrouvé plus fort que jamais, à chacune de leur retrouvaille, les moments étaient intense et d'une authenticité hors du commun ...

Elle reprit le combat près de lui … combattant encore des heures et des heures… le calme reprenait place doucement, les rebelles reculaient doucement… elle entendit un rebelle crier à mort l’Artois… elle sursauta et se retourna, c’est alors qu’elle vit Nain s’effondrer la devant elle à ses pieds…

Maya cria un crie de la mort, un crie intense



NAINNNNNNNNNNNNNNNN NAINNNNNNNNNNNN

Non mon amour, non ne me quitte pas, pas maintenant…

Elle passait sa main dans ses cheveux, le serrant fort contre elle, le berçant, pleurant

Nain, Nain ouvre tes yeux Nain … revient moi … Nain mon amour, mon tendre amour, bat toi pour nous, bat toi pour Enzo, nos amis… la vie devant nous….

Complètement sous le choc, hystérique, Maya se mit à crier

À L’AIDE ….. NEFIIIIIIIIIIIIIIIIII À L’AIDE... AIDER MOI JE VOUS EN SUPPLIE AIDE MOI ...

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Will de Champagne
[29 septembre - Bertincourt]

Will, tout juste revenu de sa retraite, reçoit des nouvelles des armées sur Calais. Ses amis sont tous dans l'armée et assiège la ville. Les nouvelles qui parviennent jusqu'à Bertincourt ne sont pas toujours bonnes. Il se dépêche de finir son paquetage pour les rejoindre au plus vite. Stella, restée aussi à l'arrière, l'accompagne.

Will a hâte d'en découdre. Cette fois, il ne veut pas regarder les autres se faire poutrer sans réagir.
Aux premières lueurs de l'aube, Will selle son cheval et prend la direction de Calais.


Je ne sais pas si je serai utile, mais au moins, je pourrai les soutenir ...

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Quand on prend des risque, on peut perdre. Quand on en prend pas, on perd toujours !
Champion du Fort de Bertincourt
Jehanne66
Au matin du 30 septembre, Jehanne s'éveilla avec une étrange impression...
Une amnésie l'avait frappée sans doute, elle ne se rappelait pas de ce qu'elle avait fait la veille.
Elle se tâta, tous ses membres étaient là...
Son épée était propre. Elle n'avait tué personne, ouf !!!
Un pigeon vint se poser sur son épaule. Miam !
Oup's, il apportait un message de son bel et féroce amour !!!!!!!!!!!!

OHHHHHHHH !!!!!!!!! WILL ARRIVE !!!!!!!!!!!!!!!
Jehanne était perdue dans ses pensées...
La joie et l'angoisse l'étreignaient !
La joie de sauter sur lui pour se venger et assouvir ses désirs, et l'angoisse qu'il participe au combat et qu'il lui arrive quelque chose...
Décidément, la vie est cruelle parfois!!!

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leberserker
ASSAUT SUR CALAIS

Leberserker était en deuxième ligne,il se sentait d'humeur guèrrière ce jour là et sentait que son épée allait vraiment lui servir à quelque chose.Lorsque les cors de guerre sonnèrent,il se porta a l'attaque avec ses camarades soldats sous les nuées de flèches qui voilaient les étoiles.Les échelles furent dressées contre les murailles,une fois de plus,et l'heure du carnage sonna.Il grimpa à l'échelle sous la pluie de pierres et d'acier et,se protégeant de son bouclier,mit en fin le pied sur le mur.

Sa première sensation fût la peur,celle qui nouait l'estomac avant une bataille,mais elle fût vite remplacée par l'exaltation,que c'est jouissif de combattre avec de l'acier dans ses mains et un allié dans son dos.Il avisa un homme coiffé d'un casque et armé d'une épée et commenca à ferailler avec lui.Mais l'homme était bien plus fort que lui, et il réussit progressivement à prendre l'avantage.Leberserker était dans une très mauvaise situation,lorsqu'il lui assena un violent coup de pied dans l'entrejambe.Il s'expliqua plus tard:


[b]Le coup était bas,j'en convient,mais je ne pouvait cependant en porter aucun autre.

[i]Il en profita pour battre en retraite et grimpa sur une hauteur pour contempler la bataille.

Il y avait du fer partout,des dizaines d'hommes et de femmes se battaient entre eux tandis que des officiers à chevaux gueulaient des ordres à leurs hommes.Des nuages de flèches obscurcissaient le ciel et de tant en temps un boulet de poix enflamée s'écrasait dans un camp,répandant une odeur de chair brulée,il y avait des morts partout et la douve était rouge sang.

Leberserker était là,contemplant cette apocalypse,lorsque la retraite fût sonnée.Chaque armée retournait dans son camp,il s'attarda un peu sur le champ de bataille,errant au millieu des cadavres quant-il vit mayaii,penchée au dessus d'un cadavre.Elle poussa un cri de désespoir qui lui glaça le sang,il alla voir et vit avec horreur Nain qui baignait dans son sang.Il aida Mayaii à le porter jusqu'à la tente médicale en se disant que cette maudite guerre les dévorera tous.

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Gagner toutes vos batailles n’est par la meilleure chose , l’excellence suprême consiste à gagner sans combattre.

Sun tzu


Darkangelfly
[le 29 ]

Dark' se retourne , un hurlement déchire l' air , elle cherche partout balayant le champs de bataille du regard et aperçoit une silhouette , elle se précipite vers elle quittant ses frères et reconnait Maya qui hurle de douleur .

Au premier abord elle la croit touchée , mais bien vite elle voit un corps à ses pieds .
Le visage ne lui est pas inconnu , elle se penche et serre les poings .
Nain était là effondré sur le sol baignant dans son sang .

Sans prendre le temps de s 'occuper de Maya à l' instant elle comprime la plaie qu' elle voit de son mieux avec sa cape , en cherchant d 'autres éventuelles en même temps


Maya va me chercher Nefi allez va ! Je m' occupe de lui !! Il respire encore mais fait vite !! Allez va !!


Il fallait a tout prix l' éloigner de se spectacle et elle la soutint avec douceur du regard et d 'une main réconfortante sur son épaule elle l' encouragea à se relever , s ' efforçant de sourire pour la rassurer.

Pendant se temps elle suréleva la tête de Nain et la pencha un peu en arrière pour lui faciliter la respiration .
Elle vérifia son pou qui était filant mais bien là , elle continuait d 'appuyer sur la plaie en attendant Doc' ou un brancard


Allez tient bon nous lâche pas comme sa on a encore des tas de tonneaux à vider avec toi et ta douce Maya !!
jengax
[Le 29/09/1457 hopital de fortune non loin de Calais ]

Jengax fut amené a l'hopital encore inconscient, sa plaie au ventre ne saignait plus, un soigneur s'atait occuppé de bander la plaie mais elle n'était pas belle a voir, sans compter les multiples hématomes, sa chute avait été lourde et il est probable qu'il ait encore d'autres lésions.

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nain32
Ce soir là, la bataille était plus féroce que jamais.
Nain ne savait plus où donné de la tête.
Il se retourna pour regarder si Maya n'avait pas besoin de son aide.
C'est alors qu'il vit un Calaisien la tenir en joue de son épée.
Son sang ne fit qu'un tour, et il accouru en criant.


Manant, prend cela.
Son épée glissa sur le bouclier de son adversaire.
Un autre calaisien vient donné main forte à son acolyte.

Dos à dos, Maya et Nain tentaient de repousser les deux assaillants.
Nain réussi à faire tombé son adversaire d'un coup de bouclier.
Il se retourna une fraction de seconde pour voir si Maya tenait bon.

À cet instant, il ne pu voir en reprenant position que son adversaire s'était déjà relevé, et avait lancé l'attaque.
Son épée vint lui frapper en pleine aine.


haaaaaaaaaa... Cria Nain. Puis s'effondra.

À cet instant, il vit sa vie défiler devant ses yeux.
La dernière image était un doux visage qui lui souriait... Celui de Maya.
Il se sentit partir quand soudain il entendu une voix familière.


NAINNNNNNNNNNNNNNNN NAINNNNNNNNNNNN

Non mon amour, non ne me quitte pas, pas maintenant…

Nain, Nain ouvre tes yeux Nain … revient moi … Nain mon amour, mon tendre amour, bat toi pour nous, bat toi pour Enzo, nos amis… la vie devant nous….

À L’AIDE ….. NEFIIIIIIIIIIIIIIIIII À L’AIDE... AIDER MOI JE VOUS EN SUPPLIE AIDE MOI ...


Il ouvrit légèrement les yeux, mais ne distinguait rien.
il luttait pour rester en vie, et sentit plusieurs mains lui venir en aide.

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