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[RP]La marche vers Bern

Francesco_sforza


Ce RP va amener Francesco en place de Bern, s'expliquer sur les raisons de son acte et rendre le mandat.


Merci de respecter les formes du RP




Parti tôt le matin de la pension des mimosas, Sforza quitta Genêve un peu à la hâte, en traversant d'étroites ruelles. Rapidement, il quitta la cité Réformée et choisit de passer par la forêt pour sa longue marche.
Le premier objectif était d'atteindre le canton de Vaud sans ennuis. Pour ce faire, il avait pris des provisions dans son sac, ainsi qu'une gourde bien remplie.

Avec son baton de pélerin, il marcha et récita un passage du livre des vertus, lorsque Aristote prit le chemin de Mégare...




Citation:
Ermite : "Balivernes ! Je suis le meilleur des hommes."
Aristote : "Comment le saurais-tu, toi qui ne connais pas les autres ? Etre un humain, c'est vivre selon la vertu. Et la vertu est une pratique qu'on ne peut exprimer qu'avec les autres. Tu vis bien certes, mais tu ne pratiques aucune vertu puisqu'il n'y a personne avec qui tu puisses la pratiquer. Tu vis comme un ours, indépendant. Mais a-t-on vu un ours faire preuve de vertu ? Tu n'es pas un homme heureux puisque tu n'es même pas un humain. Un humain a des amis, où sont les tiens ?"

Ermite : "Mes amis sont la nature, mes oliviers, mes légumes."

Aristote : "Une véritable amitié se fait entre égaux. Tu es donc l'égal d'un olivier : planté et immobile. Tu survis en marge de la Cité au lieu d'y participer comme le fait tout véritable humain. Je vais donc te laisser prendre racine, adieu !"



Puis il referma son livre des vertus, espérant ne pas finir comme ce vieil ermite, honnit de tous...
Francesco_sforza
La journée avait été épuisante. Entre la pluie, les sangliers, et le moral, ça n'allait pas fort.

Mais il fallait continuer la marche vers Bern, coute que coute, quoiqu'il advienne. Pour l'instant, Francesco n'avait pas vu la trace d'un tueur ou autre mercenaires à ses trousses. Il se savait en danger depuis qu'il était rentré en Confédération.

Continuant donc sa route, comme si de rien n'était, il se mit à songer des nouvelles qui lui étaient parvenues de Fribourg lorsqu'il était à Genêve. Paraitrait-il qu'on voudrait absolument, par vengeance, colère et haine, le mettre en procès, peu importe le motif d'ailleurs. Dans son esprit, Francesco comprit bien les raisons de cette haine : l'acte du pillage, doublé de son appartenance à la religion Réformée. Il ne savait trop qui étaient les individus meneurs du projet, mais néanmoins Fribourg étant un nid fécond pour la Noblesse noire, il n'eut pas à chercher bien loin. Alors oui certes, il avait provoqué une crise économique, mais celà avait bien valu de démasquer ce groupe subversif via le dossier constitué! Traitrise ou Patriotisme? La réponse resterait sans doute en suspend chez beaucoup d'helvètes. Mais Francesco était préparé à tout, même à affronter un procès mené et préparé en sous-main par la Noblesse Noire...
Francesco_sforza
Francesco continua son périple à travers l'Helvétia, et se demanda ce qu'aurait raconté Appien s'il avait traversé cette contrée, à son époque. Mais peut être que "Helvética" avait été écrit de sa main, en tout cas Sforza n'eut pas la chance suprême de l'avoir sous sa main.


Il se remémora l'ouvrage traitant de la Syrie antique, "Syriakè" où Antiochos III et ses descendants durent lutter contre les Romains, les Lagides et leurs alliés afin de se tailler une portion de territoire. Antiochos III, afin de fidéliser les spinozistes se trouvant en Judée, qui était une portion de son royaume, entreprit de leur accorder des privilèges. C'est ainsi qu'à Jérusalem, il proclama des interdits religieux destinés à renforcer la puissance du Spinozisme. Mais hormis ce problème là, la lecture des histoires antiques était tout ce qu'il y a de plus passionant, car les guerres, complots, révoltes et autres actions d'envergure jallonait la vie des hommes et femmes d'alors.


Quelle époque passionnante se dit-il, rien à voir avec ce qui se passe aujourd'hui. Entre les gens qui avaient peur, les gens qui ne pensaient qu'à leur champ, ceux qui voulaient défendre l'Eglise coûte que coûte, sans se préoccuper de la Foi, entre ceux qui voulaient transformer la confédération en Duché... Il y avait beaucoup d'action en Helvétie, mais il manquait un petit quelque chose : du courage? de l'originalité? de la folie?


Sur ces pensées, Francesco continua sa marche. Il n'était plus loin de Bern, désormais.
Francesco_sforza
Sur le chemin, Francesco aperçu tout à coup un enfant, criant et pleurant, qui courrait dans sa direction. Il lui fit signe de s'arrêter, mais le garçon, craintif, essaya de s'échapper.


Halte!



Le garçon s'immobilisa de frayeur et se tourna vers Sforza. Certes il n'était pas tout jeune, mais le garçon le fixa d'un air apocalyptique




Francesco : Pourquoi court tu comme ça? Que t'arrive t'il?

Le garçon : ...

Francesco : Mais voyons parle! D'où viens tu?

Le garçon : Fribourg



Sforza fit la grise mine, puis continua


Francesco : Va tu me dire ce qu'il se passe enfin?

Le garçon : Ma maman a été attaquée et ma maison en feu...ouinnnnn

Francesco : pourquoi?

Le garçon : Ma maman elle est réformée..



Tout apparut clairement dans son esprit, mais il ne fallait surtout pas l'effrayer.



Francesco : Tu ne crains rien ici dans la forêt, je te conseille de te rendre en Genêve, tu seras en sécurité mon enfant


Le garçon : ya les méchants inquisiteurs qui m'ont chassé de la ville!

Francesco : Des inquisiteurs, à Fribourg?




Le garçon acquiesca, et sécha ses larmes dégoulinantes




Francesco : Tient, prend ce pain et court. Tu ne mettras guère de temps à atteindre la ville. Merci de m'avoir averti du danger. Il se passe des choses étranges en ce moment en Helvétie, toutes les libertés sont en danger désormais. Reste toi même, et ne te laisse jamais dévoyé!



Sur ce, le garçon fui et Sforza tourna la tête, boulversé.
Francesco_sforza
Francesco hâta le pas, c'était une question de timing désormais. Les évènements passés dans son voyage l'avaient considérablement troublé, même s'il n'en laissait rien paraitre.


Il fouilla dans son sac, et confirma que le mandat était bien là. Sait-on jamais, le garçon aurait pu faire tout ce cinéma pour voler le mandat. Un zeste de paranoïa habitait le Sforza.


Bref, en hâtant le pas il se rendit compte que des murailles s'élevaient devant ses yeux.


C'était Bern.
Francesco_sforza
[Dans Bern]


Francesco était revenu en Confédération car l'état y était critique. Certes, c'était lui qui l'avait plongée dans cet état, et même s'il assumait parfaitement ce geste, il eut quand même une pensée pour tous les pauvres qui durent subir ce geste. Mais celà s'était, crise économique exceptée, révélée une bonne chose car la Noblesse Noire avait été démasquée, les preuves apportées, et les responsables davantage sensibilisés au problème...


Son discours en place publique était imminent, néanmoins il se rendit près du conseil économique et entra dans le bâtiment.


En ressortant, c'était fait : il n'avait désormais plus le mandat.
Tchantches
Sur le chemin, Tchantchès aperçu tout à coup un enfant, criant et pleurant, qui courrait dans sa direction. Il lui fit signe de s'arrêter, mais le garçon, craintif, essaya de s'échapper.


Halte!



Le garçon s'immobilisa de frayeur et se tourna vers Tcantchès. Certes il n'était pas tout jeune, mais le garçon le fixa d'un air apocalyptique



Tchantchès: Pourquoi cours tu comme ça? Que t'arrive t'il?

Le garçon : ...

Tchantchès: Mais voyons parle! D'où viens tu?

Le garçon : Genève



Tchantchès fit la grise mine, puis continua


Tchantchès : Va tu me dire ce qu'il se passe enfin?

Le garçon : Ma maman a été attaquée et ma maison en feu...ouinnnnn

Tchantchès : pourquoi?

Le garçon : Ma maman elle est pas réformée..



Tout apparut clairement dans son esprit, mais il ne fallait surtout pas l'effrayer.



Tchantchès : Tu ne crains rien ici dans la forêt, je te conseille de te rendre à Fribourg, tu seras en sécurité mon enfant


Le garçon : ya les méchants Lions qui m'ont chassé de la ville!

Tchantchès : Des Lions , à Genève ?



Le garçon acquiesca, et sécha ses larmes dégoulinantes




Tchantchès : Tient, prends ce pain et cours. Tu ne mettras guère de temps à atteindre la ville. Merci de m'avoir averti du danger. Il se passe des choses étranges en ce moment en Helvétie, toutes les libertés sont en danger désormais. Reste toi même, et ne te laisse jamais dévoyer !



Sur ce, le garçon fuit et Tchantchès tourna la tête, boulversé.



[HRP]Avec l'accord sympathique du joueur plagié [/HRP]

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Nicolasdecues
De retour à la maison, Thomas, le fils de Jean le poissonier et de Marthe, pilière de bar, était tout sourire, sautillait, tenant entre ses mains un petit linge blanc qui semblait fort bien garni...

Thomas..Thomas...viens me voir s'il te plait.

Thomas n'en était pas à sa premiere roublardise, et il avait régulierement droit aux sermons du Diacre. Mais bon. Les chats ne font pas des rats...Entre un père qui vendait ses poissons au prix de l'usure, et une mère qui dépensait les bénéfices, il n'avait jamais eu une vie facile, même si il ne manquait de rien. Et puis Nicolas l'aimait bien, ce sal gamin.

Oui m'sieur l'Curé?

Monsieur le Diacre on dit. Le Curé c'est....enfin là n'est pas le sujet.
Je peux savoir ce qui te vaut un air si joyeux?


Z'allez pas m'gronder ?


Ses grands yeux n'osaient plus se lever...

Si tu dois l'etre, alors tu le seras...

C'est pour le pain...

Du pain? Tu l'as acheté?

Non...On me l'a donné mais...

Mais quoi?


Nicolas plongeait un regard inquisiteur sur le petit Thomas...

Disons que j'ai un peu mentit pour l'avoir..Sur la route là bas, j'ai croisé un monsieur qui avait l'air de ressembler à celui des avis de recherches..Vous savez, le voleur réformé...J'me suis dit que je pouvais lui jouer un vilain tour...

Un vilain tour?

Ben oui...je lui ai dit qu'on avait brulé ma maison parcequ'on était réformés...

Thomas...


Nicolas étouffait un fou rire.

Tu vas aller me réciter le Crédo à l'Eglise, et donner ta miche de pain aux pauvres...on ne raconte pas de mensonges quand on est un bon aristotélicien..Et si je racontais ça à tes parents?
Bon..file faire pénitence, et ne fait plus jamais ça! Compris?


Oui mon Père....j'vous l'promet.


Et le petit Thomas partit en courant vers l'Eglise.
Quand il fut assez loin, Nicolas explosa de rire..


Ils sont intenables ces enfants...soutirer du pain à un pauvre réformé qui transportait avec lui une partie de l'argent qu'il avait volé à la CH...et qui avait mis le pays sans dessus dessous, et fait se serrer la ceinture à tous ses habitants...
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La seule direction que peut prendre un homme juste est celle qui mène à notre Seigneur. La foi nous guide et nous guidera toujours.
Aristote vous protège tous mes enfants...
Ondeline.
Tous les jours depuis un certains temps Ondeline faisait le chemin en direction de Berne. Elle avait eut un temps d'adaptation mais commençait à se faire à ces trajets continuels. Elle croisa un jeune garçon en pleure, mais celui ci filait comme l'éclair et n'eut pas le temps de lui demander ce qu'il avait, il était déjà loin.
Au conseil il y avait des personnes de tout horizon, mais tous essayaient de se débattre pour l'économie de la Confédération, elle en savait quelque chose pour avoir été affecté à la gestion des mines.

Ce jour là, elle vit dans le bureau d'Elo un homme qui ne lui était pas inconnu et lorsqu'elle vit les documents dans une autre salle elle comprit immédiatement qu'il s'agissait de l'un de celui qui était parti avec un mandat assez conséquent. Le geste de ces deux individus avait plongé la CH dans un trouble économique important.

Au détour d'une conversation plus tard dans la journée, Ondeline ne macha pas ses mots, elle trouvait assez abhérant que l'on attende après cet homme. Ce qu'il disait avait surement du vrai mais il n'y avait à sa connaissance pas que cela.

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Artistes peintres
Francesco_sforza
Arrivé en place centrale de Bern, Francesco vit certains regards le dévisager. Il était temps désormais pour lui de parler en public, d'expliquer son geste et d'affirmer ses convictions. Car, au contraire de certaines personnes, il n'avait pas peur...


Helvètes,


Comme vous le savez, je suis de retour en Confédération après plusieurs mois d'exil. Cet exil fut provoqué par le rapt des caisses de Bern que moi et mittys, avions provoqué.



Jusque là, rien de surprenant.



Mais ce que vous ignorez, ce sont les raisons de ce geste. Oui, les raisons, car il est facile de juger et condamner sans même savoir les tenants et aboutissants. On passe facilement des gens en procès d'intention, mais celà doit cesser.
Avant de commettre l'irréparable, j'étais consul à la Justice de Lausanne, et mittys, bailli de la Confédération. Nous nous étions aperçu que certains individus complotaient dans l'ombre, dont le meneur était de toute évidence tchantchès, et nous avons essayé de les approcher. Hélas, toutes les tentatives échouèrent. Devant un problème insolvable, il nous vinrent une idée, certes peu glorieuse, risquée et complexe, mais drastiquement efficace si elle était menée à bien...



A ce moment là, les gens se firent plus attentifs, plus alertes.
Elodiew
[Place de Berne]

Elle passait par là sans vraiment écouter puisqu'elle avait déjà entendue les dires de ce messir à Berne..quand il était entrer dans son bureau au matin elle avait eue la soudaine envie de lui tordre le cou...

Mouai Mouais...tout les prétextes sont bons tiens...se disa t-elle en ne croyant pas un mot de cette personne...elle s'éloigna en rêvant de voir cette personne attaché au bout d'une corde.

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Genor
Genor se rendait à Berne de temps en temps maintenant que Dame Prongs le lui avait demandé...
Elle était ébaubie de ce qu'elle y voyait et entendait. Elle était encore jeune et, parfois quand les discussions s'éternisaient, elle s'endormait et se réveillait en sursaut avec l'impression que rien n'avait changé... Mais peut-être était-elle encore trop jeune et inexpérimentée pour apprécier toutes ces subtilités...

Fait rien, se dit-elle, j'apprendrai ...

Mais en fait de subtilité, rien ne lui semblait aussi énorme que ce que ce monsieur essayait de faire croire au petit peuple :
Il l'avait ruiné, obligé de se casser les reins dans les mines menaçant de s'écrouler... pour son bien, pour lui faire comprendre où se trouvait son bonheur et son salut.
Là, tout d'un coup, elle était bien réveillée

Mais aussi, elle en tomba sur le cul !
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Genor
porte-parole de l'Avoyerie
Gaia15
Les mots de beaucoups de citoyens resonnèrent encore dans sa tête quand elle vît un homme sortant des couloirs du château de Berne juste au moment où elle arriva et qu'elle n'avait jamais vu auparavant mais qu'elle identifia d'après les descriptions comme le fameux Francesco.
Et un peu plus tard, entrant dans le bureau du commerce, elle découvrît sur le bureau ce fameux mandat dont tout le monde parlait depuis l'année dernière.


Elle se souvînt des propos des gens , les remarques suite à ses questions.....

"Ne connaissez-vous donc pas ce traitre infâme ? Le fameux Francesco Sforza, un homme qui fît beaucoup de mal et d'injustice evers notre chère Suisse..
Lui, coupable de la misère économique.. Coupable des tonnes de maïs et de blé qui se stockent dans les granges et greniers des paysans et des marchands (même si ce fût déjà le cas bien avant le pillage, mais décidemment cela ne semble intéresser personne) ..

Coupable des disputes perpétuelles en différentes mairies et places publiques...
Coupable de toute chose qui allait de travers dans le pays...
Coupable de tout, ce traitre...faudrait le pendre...".


Quittant le château au même moment que Francesco Sforza, elle aperçut ce dernier se diriger vers la place de Berne.
Lorsqu'elle arriva sur la place, le "traître" en question avait alors débuté son discours qu'elle n'entendît pas encore, faut qu'elle se trouvait de l'autre côté de la place. Elle l'observait loin du tumulte de la place, et se perdît dans ses pensées...


Certes, il n'a pas seulement été bénéfique à notre confédération, mais ces gens ne sont qu'avides de scandales et à la quête d'un bouc émissaire, afin de l'accuser de tous leurs maux.

Ils ne voyent que celui qui commît le crime abominable et non pas celui qui ressens l'injustice à présent.

Ne voyent-ils donc pas qu'il ne cache pas uniquement le monstre de la nation, mais aussi un homme avec tout son charme, tous ces sentiments pour la confédération?
e lui trouve un charme inégalé et un regard témoignant de plus de malice et d'intélligence que la plupart de ses interlocuteurs.

Quelques mots portés par le vent parvinrent aux oreilles de Gaïa, des mots qui la firent sursauter. Des mots clés qui promettaient peut être enfin des explications de la part de Francesco, qui nous permettraient de le comprendre enfin.

Elle décida de se rapprocher pour entendre le discours longtemps attendu. Elle traversa la place et se placa non loin de là où se tenait Sforza, et l'entendit parler...

Ne ressentent-ils pas cette once de détermination et d'idéalisme sous entendu dans ses paroles ? Il est revenu, avec le mandat.
Et il a été jugé en Savoie. On n'a plus le droit de juger une deuxième fois....et oui...le reste n'est qu'entre le Très Haut et lui.

Je ne peux concevoir de ne voir en lui seulement cet être malhonnête, je suis convaincue qu'il a des raisons bien particulières pour ses actes, il ne me semble pas à moitié aussi mauvais d'esprit comme tous le proclament.
Je suis persuadé que cet homme est intéressant et doté d'un intellect bien particulier. Je serais curieuse de mieux le connaître lui et ses raisons, afin de mieux comprendre les actes qu'il a commis...

Et qui dit qu'il ne mériterait pas notre pardon?


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Porte-Parole du Conseil à Berne / Wortführerin des Bundesrates
Francesco_sforza
Francesco, à présent en place centrale, vit du monde arriver tout autour de lui. Il cru reconnaitre des clercs non loin de lui, au regard moqueur et fourbe. Sforza se détourna de leur regard et vit une mémé accoupie, l'implorant et lui serrant la jambe.


La mémé : mam.....HIaa......Pourquoi avoir prit les caisses m..on garçon..?


Elle ne possédait plus vraiment ses dents, tout juste de quoi macher les légumes que l'on avale lorsque l'on prend une soupe. Sforza avait pitié d'elle : elle semblait être une déshéritée.




Francesco : relevez vous...*'l'air embarassé* J'ai fais celà par patriotisme et surement pas pour nuire au peuple Helvète!



La mémé se tourna lentement et pointa du doigt tchantchès et nicolasdecues ; Francesco cru reconnaitre le premier, mais le second lui était inconnu.



La mémé : Ilss vous disent..traitre à la naaaationn!



Manquant de s'écrouler, il l'aida néanmoins à se relever



Francesco : Ce sont là des propos erronés. *Puis sentant la force du bourrage de crâne inculqué depuis son exil* Mais c'est pour cette raison que je vais m'expliquer, pour tirer les choses au clair. Un danger menace nos libertés, ma viei... ma dame! De celà, soyez en convaincue!



Et la grand mère, au regard pas si fatigué que celà, genre mégère de quartier, retourna dans la foule.
Tchantches
Tchantchès se dit que Franceso aurait des déclaration intéressantes à faire.

Il le vit approcher, il se retint de crier : A mort le traitre.

Il l'écouta parler, il l'entendit raconter son histoire et sa première réaction fut de rire.


Ha ha ha ha, comploter ?

C'est tout ce que tu as pu trouver pour expliquer ton vol ?
Je suis déçu, je pensais que tu raconterais un mensonge plus élaboré et au moins crédible.

Tout ceux qui me connaissent savent très bien que je ne comploterais jamais contre mon pays, ce que toi tu as fait par contre et que tu continues à faire.


Tchanttchès vit passer Gaïa juchée sur un nuage qui jouait de la lyre en rôsissant de plaisir
Ell chantait : Rosa Rose Rosa, Rosarum rosis rosis.

Tchantchès regarda ailleurs, il devait avoir mal vu ou avoir bu trop de bière.


Francesco, tu es un criminel et un voleur, et faire semblant de rejetter la faute sur autrui, ne fais que d'aggraver ta lâcheté et ton ignominie.

Je suis sûr que personne ne portera crédit à tes inventions, et s'il devait s'en trouver qui le croient, et bien au moins tu aura réussi à corrompre les esprtis faibles.

J'espère que ce pays fera justice, et que tu seras punis à la hauteur de ta forfaiture.


Tchantchès regarda s'il revoyait encore Gaïa passer dans les parages, mais il n'eu plus cette étrange vision. Serait-elle redevenue invisible, vraiment c'est sa plus belle place.
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