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Information and comments (28)
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[RP] Hors de la fange, la faux de guerre trace son sillon.

Fraxie
[A la rivière]


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[...Et dans une fracture spatio-temporelle fraxilienne....]

MAYDAY ! MAYDAY !!!! Atterrissage d’urgence ! Dégagez les piiiiistes !!!!

Quelque part à Decadenzia petite province autonome du Bisounours-land.
Des azurs rivés au radar. Soupir exaspéré

M’dites pas qu’il fait encore des siennes c’lui là !!!

Tour de contrôle à Cœur d’artichaut
C’est quoi l’problème ENCORE ????


Ben j’sais pas trop……l’ascension se passait bien…rapide même….motcœurs à plein régime….
Puis tout à coup un objet volant non identifi酅mon co-pilote s est tctjjcpars en vrille !!!!!
MAYDAY ! MAYDAY !!!!


Mais quaest ce que vous foutiez dans la zone rose du septi ciel !!!????
Zbavez plus droit d y trainer bong sang vous y faites que des conneries !!!!


Ho mollo lha faisait longtemps hein

Votre sevrage a encore foir uic. P tain la derni’ fois vous avez encore fait un disparu !!!!!

J"sais j saise..mais l o-pilote en vue 2h-.tout va bien .. du costaud celle-l.mais vous croyez que cmest vraiment le moment svous vous amuserez t'faire voler les rilles qui me restent aprale crashidmgez les pistes bordel !!!!!


Whooooooooooo


Ouuutch


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Et la Fraxie de retomber brutalement de son petit nuage rose, doux, chaud du genre gous faire tressaillir de langueur le moindre centimie de peauu.chute des tempctures soudainesamode artifroid dpurgence.

Le palpitant pas encore bien remis, comme des envies de , pis de qui se trainent toujours dans les veines alors qunun damoiseau des plus iapp ssant....


Tour de contrn sur d=artichaut !! zd"s interdit de vol jusqur ouvel ordre bordel !!!!!

Ahem.... quiun damoiseau, donc, se plantait face elles sourire avenant plein de dents.

Fraxie suivit le regard de Grenade qui plus que par la caresse sur la joue semblait hypnotis par la croix ostensiblement pr euse qutil portait on cou.

Tout pour plaire l amatrice de soutane le riche bell/e .
Puis son nom sonna, rennaut
et Fraxie dut se retenir pour ne pas le r,ter dnun ton enjou t amical devenu obsolni..noy avait il vraiment jamais de hasard ?

Alors, apr’:
Prenez un chaudron emplis d irraison envahissante, ajoutez une bonne dose de frustration et une grosse louche de surprise, saupoudrez dnune fine pluie de i et si n, puis versez le tout, sans l'avoir laisser reposer, dans un crt auparavant macs, imbibouimprobables, voir oss m nges e m cinaux et vous obtenez....

.... une Fraxie refermant dsun geste nonchalant sa chemise sur sa gorge tout en se redressant pour seasseoir sur ses talons, faisant disparase ses jambes sous le tissu et dnchant shomme son plus charmant sourire

Enchantoessire dpEusebius

Princesse et Belettey.c=est ainsi qu:on nous nomme
Aucune particule ous offrir voyez
Mais peut ’e accepteriez vous un verre en notre compagnie ?
J ai lin ma besace quelques bouteilles fameuses


Et de tapoter le bord de la robe sanguine oue se trouvait toujours assise, l>invitant enir l'y rejoindre....

Ainsi vous ss pleur ?
Nous pourrions peut .e vous donner quelques cours dans l-art de lancer le filet, car voyez vous, nous aimons toute deux aussi beaucoup...pner .


Ler sourire malicieux alors quvelle extirpe de son ample besace une petite bouteille au rubis contenu dont elle fit illico sauter le bouchon

Ciest un petit vin aux dces et un de mes meilleurs.... cela vous tente t


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* Le Voyage
Sadnezz
Sad regarde la petite, c'est fou ce qu'une trogne enfantine peut passer du sourire tutre chose et vice versa... Cerdanne rapplique, le sac semble bien garni. Un petit gnon de saindoux e'Eroz au passage et Sad ne peut reimer un rire quasi hystnque.

Beau lanct. Lui f'ra les pieds se trouffion.

Gr" du geste, force de conviction, une merveille de tir qui semble pas ravir le canard
'Voir c'que t'as?

La ras=ouvre le sac, hoche la tt avec une moue approatrice. Le chapelet embaume a deux kilomres, et lui donne le tournis. Les estomacs malmen ont tendance ee laisser facilement bouffer tout ce qui passe, mais pour le coup, ce sera festin au camps ce soir.

Meravigliosi... Allez on s'tire.

La dernil phrase donne le ton, la mimine de la petite est de nouveau enveloppndans celle de la Corleone, qui ne pr pas attention au miel qui y colle. Repartant e'assaut de la foule, l'esprit plus lar qu't'aller. Quand on sait qu'on va s'baffrer le soir, on a presque des ailes qui poussent sous les poulaines...

Un chemin de terre repart vers la rase campagne, l'apres midi est bien entamele petit groupe rejoint le reste de la troupe avec de quoi tenir le si
Pour l'heure, la Corleone dsse sa toile de jute prsdu feu et s'en va faire son paquetage.


Venite a mangiare!

Sad est partie faire son paquetage, donc plus lpimg src="images/smiles/icon_wink.gif" alt="Wink" border="0" /> pensez-y.

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"Connais-tu l'histoire de la brune devenue chauve blonde? A faire se dresser les cheveux sur la tl... "
Cerdanne
Tout en maugrit, la brune se vautre sur le parvis.
Mine r uie dtavoir pass"es nerfs sur l apollon du marchr
Trop de beaut>ue a.
Ntempye...
Beau bruny.
Un baume ppliquer qui se perds
Duautres viendront et puis le rire de Sad ivalait un bobo sur sa belle tronchem

La cueillette est bonne et le petit joyau main colleaelle de tata, les voiluui file vers le camp.

Le vert lui parait moins vert, le ciel moins bleu et lba mu plus faim notre brune.
Comme clous rouille dans sa tt, tournent et vrillent les mots qui font mal et le camp lui file la gerbe.

Ailleurs llherbe doit oe plus verte ciest bien connu et pi le ventu..Faut utez le vent

Les agapes sont pos en offrandes autour du feu et les deux brunes sans un mot, se carapate chacune dans son coin.

Son coinrd rtu
Les trois fripes sont enfouies dans la besace sans fond.
La caresse machinale sur le vieux cuir lui arrache un sourire puisxans sa msire.
Le fil invisible, toujours aussi velout/t les babioles qui la tiennent debout...

Leimage fugace daun chat errant, souriant, la traverse comme un air.
Presque e toucher, tellement son souvenir est tenace.
Et puis les cartes tout au fond du sac t


Venite a mangiare!

Cerdanne , leva la tn et se dirigea vers le feua
.Voyons voir ce que vaut cette cochonnaille si durement acquise>
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Enelos
Se morfondre sur son caillou alors que chacun vaquait à ses occupations. Pas le courage d'aller traîner chez les pouilleux et de chercher noise, pour pas changer. Alors, l''après-midi s'était déroulée sans grande distraction et bien trop longue à son goût.
La lettre avait été fourrée dans le fond de sa poche. En fait, elle avait franchement la flemme de répondre. L'idée que sa Saturne traversait une mauvaise pente la rendait soucieuse. Mais surtout, le vent d'Artois soufflait toujours à ses oreilles.
Un plan diabolique avait germé dans le coin de sa tête suite aux nouvelles. Les idées fusaient vitesse grand V, les possibilités de taper un gros coup s'offraient à elle sur un plateau d'argent. Idées de blonde toutes aussi tordues les une que les autres.
Ça s'retourne les méninges, ça réfléchit, ça mijote un scénario, ça prévoit les phrases dictées, les gestes esquissés, pour au final en conclure que c'était de la bouse.
Y'a des jours comme ça où on arrive pas à réfléchir, des jours où l'entrain se transforme aisément en flemmardise aigüe.
Le corps lui réclamait de se dégourdir, surtout le fessier qui appréciait de moins en moins l'inconfort de la surface dure du rocher. Au contraire là-haut on réclamait le calme, le silence et l'apaisement.
Et elle au finale, elle en pensait quoi ?
Juste envie de s'occuper, de faire n'importe quoi pourvu que l'ennui se tire de là.
Il ne fallu pas longtemps pour qu'elle se décide à se manier le bulbe.

Debout sur ses deux guibolles, dos vouté elle ramassait du bois à l'orée du camps. Activité simple, pas vraiment dangereuse à moins de se faire piquer par une écharde, rien de très excitant. Juste histoire de faire une bonne action et de passer le temps. Pis surtout d'pouvoir s'dorer le bout des doigts le soir devant un bon feu. Pourquoi pas un bûcher tant qu'on y'est. C'est festif, c'est chouette. Oui, une fête ça serait bien pour embaumer le coeur. Mais y'a personne à cramer, c'est bête. Alors, elle abandonne aussi l'idée et se concentre à aligner en rang d'oignon le bois près du foyer, songeuse.

Plus tard le temps passe et trépasse, pas d'ange à l'horizon juste le pioupiou excessif des piafs, toujours affairée à faire des allés retours forêt-foyer.
En parlant de piaf lors d'un énième passage entre les broussailles , elle trébuche sur un corps mou et manque de se manger le pigeon plus ou moins en vie qu'elle a envoyé valdinguer le matin même dans les buissons. Quelques voix connues et le gargouillement de son ventre la pousse à ramasser la pauvre bête souffreteuse sans ménagement, et de se diriger d'un pas rapide vers le camps.

La vision de Sad', Cerd' et Aly lui arrache un léger sourire en coin qui s'étire de plus belle à la vue des sacs bien remplis. Déjà en train de préparer la pitance de la journée, elles semblent chacune plutôt contente de leur butin.
La blonde glisse un oeil sur son pigeon mourant tandis qu'elle met le cap vers les filles. Elle se demandait qui voudrait bien bouffer de ce truc ignoble pleine de tiques et autres bestioles. Mais bon hein, suffit d'le déplumer et il a l'air tout de suite frais.
Alors, à hauteur des donzelles elle lâche le pigeon à leurs pieds, l'oeil droit dérivant dangereusement sur les sacs.

La pêche a été bonne à c'que j'vois... J'ai apporté un p'tit truc, pas d'première qualité certes mais ça remplit toujours un peu l'ventre... J'vous l'laisse l'cuir, si vous tenez pas à mourir d'indigestion dans les prochaine jours...
Mclegrand
Pigeon vole...




Alençon, le XXXe jour du moi de mai MCDLVIII

Aux brigands s'appelant sous le nom de "Fauchards", actuellement à mortagne ou verneuil ou dans les parages,

Le bonjour.

Moi, Mc, prévôt d'Alençon, souhaiterait rencontrer l'un au moins des vôtres, le plus vite possible, pour un dialogue pacifique. À Mortagne ou Verneuil, le jour de votre choix. J'aimerais que cette rencontre se passe avec toutes les garanties possible pour la sécurité de ses participants, d'un côté comme de l'autre.

Je reste en attente de votre réponse.

Mc,
Seigneur de Gaudigny,
Prévôt d'Alençon

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=-_-=-_-=-_-=-_-=-_-=-_-=~~~Grand Audiencier~~~=-_-=-_-=-_-=-_-=-_-=-_-=
Heraldique
Fraxie

[Plus tard…bien plus tard…au campement]


La "discrète" clairière où la compagnie avait élu résidence depuis quelques semaines déjà, se vidait peu à peu.
Un à un ou par petit groupes, chariotes et roulottes, canassons et pieds-bottés quittaient lentement l’Alençon.
Comme toujours à la traîne la Fraxotte finissait de boucler ses malles. Grenade passa non loin d’elle. Elle l’attrapa par la taille, haussement de sourcil admiratif suivit d’un doigt caressant sur la précieuse croix qui pendait, d’un "depuis peu" aux airs de définitif, sur sa gorge généreuse....

« Elle te va à ravir…
Bon tu en as fini avec ton joujou ? Faut qu’on y aille je crois »


Menton de la princesse désignant un futur curé dûment ligoté à un arbre par quelques rubans soyeux serrés et bâillonné d’un bas de fine dentelle…léger ronchonnement de la belle déçue d’abandonner si tôt le bellâtre qui se mourut tant bien que mal sous un baiser réconfortant Fraxilien.

C’est alors qu’un pigeon se posa, si prés d’elle que malgré le caractère tout officiel du sceau ornant son courrier, les chefs étant déjà en route, elle en décacheta le pli, le lu d’un regard amusé et, s’empressa parchemin et plume dégotée, d’y faire réponse.

Puis elle alla se poster devant ce Thomas-Henri si trop-facilement drogué et délesté sur un bord de rivière, posa à ses cotés une bouteille au rubis contenu où l’on pouvait lire, en dessous de l’étiquette estampillée « Vin de Mandragore »
« Avec mes meilleurs souvenirs
La Belette »


Elle posa un espiègle baiser sur son front, et glissa son courrier-réponse dans une des volutes des rubans le liant…

D’ici à ce qu’"ils" le trouvent…ils seront déjà loin…

Les autres d'ailleurs n’étaient déjà que fines silhouettes à l’horizon

« Allez zou…on y va »







Cher Mc,
Cher Seigneur de Gaudigny,
Cher Prévôt d’Alençon,

Négocier avec vous aurait été un réel plaisir…
AHHH discuter autour d’un verre de gnole et de quelques gâteaux à la cannelle de ce si beau duché, dans l’atmosphère sereine et bonne enfant de vos soldats et de Fauchards impatients d’en découdre et armés jusqu’au dents…..
Oui vraiment je le regretterais…
Mais voyez vous….nous quittons l’Alençon et je vous laisse seul juge des mairies saccagées et du château en flamme au trône dérobé que nous y laissons…

J’aurais presque envie pourtant que nous nous attardions encore car cette volonté de conciliation éveille, titille et laisse sur sa faim mon organe le plus sensible : la curiosité.
Qu’aviez vous donc à nous proposer, à nous offrir ?
Seriez vous venu coffre sous le bras plein d’une part de votre pourtant si maigre trésor ?
Alliez vous nous promettre de nous laisser passer, de librement circuler pour quitter au plus vite ce duché alors que malgré vos gardes, armés mobilisées, nous nous y sommes promenés à loisir sans qu’aucun coup d’épée ne soit jamais donné, que nul sang ne soit versé, à la grande déception je l’avoue de certains de la troupe affectionnant particulièrement, oh l’innocent péché mignon, la sueur des combats ?Peut être aurais je même pu par accès de caprice vous demander de me livrer un blond vétéran d’Argentan qui bafoua plus que nul n’a jamais osé mes sentiments portés…..ou par quelque fourberie susurrée avec le ton d’un ordre, qui sais, vous faire prisonnier…

Tant de possible s’offraient….oui je le regretterais
Mais voyez…nous partons…

L’Alençon n’a pas les moyens d’assumer le siège illusoire que vous nous prêtez….. L’alençon n’a pas les moyens…tout court…. Et je suis bien placée pour le savoir, trop bien sans doute…..
Pourquoi sommes nous passés par ici ? par hasard
Un maire orléanais trop vif à faire poutrer celui dont une simple lettre dénonçait les excès, fit mortellement blesser son auteur et ami…..Ils n’ont eu que la leçon qu’ils méritaient
Par solidarité, prudence ou autre compréhensible crainte vous nous avez faits ennemis…mais votre « trésor » ne nous intéresse que bien peu, le risque de perdre des âmes mérite cause bien plus…intéressante….il manquerait même la gloire d’avoir réussi à vous vaincre…
Nous partons donc…comme nous sommes venus...en simples visiteurs…

Mais bien conscient maintenant de vos difficultés à assurer conséquemment votre défense face à de vilains michants ou autres vils ennemis, permettez moi de vous préciser, que si un jour les intérêt de ce duché étaient sévèrement menacés, ou si, par hasard, vous souhaitiez ravir à quelque terre frontalière cette mine qui fait tant défaut à votre économie, et bien, contre espèces sonnantes et trébuchantes, nos armes pourront être vôtres, pour vous y aider.

Bien à vous
Dormez tranquilles Alençonnais, la faux de guerre trace son sillon plus loin

Fraxie, diplomate éphémère



Ps : Rassurez votre tendre du soin que l’on prit de son cousin. Hormis quelques zébrures sur son charnu fessier, innocent caprice de mon amie qui voulut le former au subtil art de la flagellation, auquel il aura, je n’en doute pas, recours fréquemment sa soutane acquise, il saura, je suis sure, vous narrer avec force détails tout la chaleur de notre accueil lors de son trop court séjour chez nous…


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* Le Voyage
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