[RP] salle de classe à Saumur

Une salle de classe venait d'apparaitre à Saumur. Une idée que le vieux Lassias apprécia beaucoup. La ville allait se remplir d'enfants, et il fallait un endroit pour les accueillir pendant que leurs parents sont au travail. Rien de mieux qu'une école. Ici les enfants pourraient apprendre les bases et les fondements de la société, encadré par un professeur... Or, il n'y en avait pas, pas encore du moins. C'est justement pour cette raison que Lassias se rendit à la petite salle de classe. Il en avait profité pour emporter avec lui une carte qu'il avait acquis récemment mais dont il n'avait aucun usage à titre personnel. Il allait donc en faire don à l'école.

Arrivant au lieu, parchemin sous le bras, le vieux s'émerveilla du beau travail accompli par sir Johnny. En plus d'avoir d'excellentes idées, il les réalisait avec un sérieux incontestable. Saumur pouvait s'estimer heureux d'avoir un homme comme lui. Lassias franchit donc la porte de l'école, puis eut juste le temps de saluer Minuit qui partait furtivement de l'école. Pressé sans doute par quelque plaisir de revoir son amie...

Ah sir Johnny! dit-il une fois entré dans la salle de classe. J'admire une fois de plus votre travail. C'est Aristote qui vous envoit! Il lui sourit, puis reprit: Je me suis permis de venir voir ce qui résulte de votre projet, et je m'en rejouis agréablement en constatant que vous avez déjà quasiment terminé. Je vous ai apporté une carte qui ne m'est d'aucune utilité mais qui, je pense, en trouvera bien une ici.

Lassias déposa la carte sur le bureau, puis se tourna à nouveau vers Johnny.

Avez-vous trouvé un professeur? Pour ma part, j'ai cherché, mais n'ai trouvé personne suceptible de prendre en charge cette école. Mais je ne désespère pas.

Le vieux Lassias s'adonnait avec attention à la préparation des prochains cours. Tellement centré sur son travail, il n'avait pas remarqué la jeune et jolie femme entrer. C'est au moment où elle parla qu'il se rendit compte de sa présence. Il se leva lentement, l'écoutant avec interêt. Il se gratta le menton réfléchissant un instant, puis observa la jeune demoiselle.

Bien, donà Della Luna, je suis ravi que vous me posiez cette question. Oui, les adultes peuvent aussi venir s'instruire, je me ferai une joie de leur apprendre et leur promulguer mon savoir.

Il se reprit soudain.

Oh veuillez m'excuser, j'ai totalement oublié de me présenter. Je suis Lassias, propriétaire, et de ce fait, professeur de cette école construite et aménagée par un ami qui hélas a dû partir. C'est en hommage à son départ que j'ai repris cet établissement et le poste d'enseignant. Je recherche des élèves enfants, ou même adultes, pour commencer les cours.

Il se rapprocha et s'empressa de remercier la jeune femme.

Je vous remercie grandement pour ce don au combien très charitable. Je suis sûr que cette pancarte me plaira beaucoup et, avec votre permission, je l'accrocherais à la porte de l'école avec votre aide.Le vieux Lassias lui sourit, puis ajouta en attendant qu'elle lui montre la pancarte: Alors, je présume que vous voudriez apprendre? Mais savez-vous ce que vous souhaitez réellement savoir? Et savez-vous ce qu'est réellement le savoir et en quoi il consiste?

Linon l'avait poussé dehors avec une bourse pleine d'écus et ces quelques mots

Allez hop ! Il y a une école qui s'est ouverte à Saumur. Tu y vas, tu payes le prof et tu ne reviens que quand tu sais lire et écrire. A ton âge, il est grand temps!

Et là-dessus, elle avait refermé la porte et il avait même entendu la clef tourner dans la serrure.
C'est donc en pestant qu'il avait fait le court trajet jusqu'à Saumur et maintenant, il était planté là, devant l'école, à regarder un vieil homme et une jeune femme qui accrochaient une pancarte. Indécis, Marko cherchait des yeux les autres enfants. Car tout ce qui le motivait, c'était d'abord la promesse qu'il aurait un cheval le jour où il saurait lire, et ensuite, qu'il y aurait sûrement plein de filles...

Le jeune garçon courut à perdre haleine jusqu'à la salle de classe où il espérait trouver Lassias. Mariuss était un garçon aux cheveux bruns toujours ébouriffés, Lassias avait beau lui demander sans cesse de les coiffer, il refusait catégoriquement. Le vieux professeur s'était fait à cette idée, et trouvait que ça donnait au gamin l'air farouche. Outre ce fait, il était plutôt du genre turbulent, surtout avec Jolie, l'aubergiste qu'avait embauché le professeur. Il lui mettait toujours des bâtons dans les roues, sauf en la présence de Lassias, qui se voulait de temps à autres très sévère. Mariuss était néanmoins content d'être logé et nourri, il avait enfin un toit où dormir sans avoir le peur au ventre d'être de mourir de froid où de faim dans les rues sombres et puantes de la ville.

Il était orphelin. Ses parents étaient mort, Dieu seul sait pour quelle raison. Du jour au lendemain, le gamin s'était retrouvé sans famille, sans but, sans argent... Face à lui-même. Il ne pouvait alors compter que sur lui, dans un monde où la société réussissait à dépraver facilement. Un jour, ses jambes l'amenèrent à Saumur. Il se retrouva alors devant une belle maison, à l'ombre, où l'endroit se faisait paisible. Il s'y installa, ne sachant pas alors qu'il s'était intallé dans le jardin d'un vieux qui se disait professeur. Lassias, en sortant de chez lui, l'avait alors aperçut et avait décidé très vite, après avoir écouté son histoire, de le garder avec lui, lui enseignant les fonctions de page. Depuis, Mariuss s'occupait du courrier de Lassias, et de bien d'autres choses.

Le garçon arriva enfin à l'école, où il vit tout de suite Lassias avec deux autres personnes.

Lassias! z'ai un courrier pour vous!dit-il avec hâte.

Tous entrèrent donc dans la salle de classe et prirent place. Lassias se réjouissait d'avoir un autre professeur, il pourrait fort bien l'aider, il n'en doutait pas. Le vieux professeur se mit à son bureau, face aux rangées de table, puis s'éclaircit la gorge.

Bien, déjà, je tiens à vous remercier tous pour être venue. Cette école, dont j'ai l'entière responsabilité, vous accueille bien volontiers et vous promet bon nombre de connaissance dans divers domaines, et je...

Il s'arrêta dans son discours. Un garde en armure entra dans la classe, suivis d'une femme... Et pas n'importe qui. C'était La Duchesse Kilia en personne. Lassias s'empressa de sortir de derrière son bureau pour accueillir ses visiteurs.

Bonjour madame la duchesse, dit-il en s'inclinant . Votre visite m'enchante au plus haut point et m'honore énormément. J'en reste tout de même surpris. Que faites-vous en mon humble petite école?

La duchesse n'eut pas à répondre. Elle donna des ordres à son garde. Ledit soldat ramena un coffre où, d'après les dires de la Duchesse, il y avait plumes, encre et parchemins, tout le necessaire au bon fonctionnement de l'école. Lassias en fut très flatté, malgré qu'il redoutât perdre les mots, il tenta de parler d'une voix franche.

Ma Dame, j'en suis très honoré, je ne sais comment vous remercier... Ce don que vous faites là vous en sera récompenser par le Très Haut, très chère Duchesse. Je m'emploirais au mieux à l'éducation des jeunes Saumurois, je vous le garantis.

Lassias remercia encore la Duchesse Kilia qui se posta dans un coin de la classe. Il parcourut du regard le contenu du coffre et s'en réjouit. Il alla retrouver sa place derrière son bureau, puis se retrouva de nouveau face à la petite assemblée. Il se râcla la gorge, puis chercha où il s'en était arrêté.

Bien... Euh... Ah oui! Je disais donc que je me promettais de vous apprendre bon nombre de choses, autant dans les domaines des Lettres, et l'Art, mais aussi en Géographie, Histoire, les Sciences et, une chose importante, la vie en société. Je pourrai vous apprendre le "bon-parler", les bonnes manières, mais aussi l'art de la sociabilité. A notre époque, vous vous devez d'être disposé à créer et à entretenir des rapports avec les autres, c'est le fondement primordial d'une communauté soudée et unie. Tâchez de ne pas l'oublier.

Le vieux professeur reprit son souffle et continua:

L'école n'est pas seulement un lieu où l'apprentissage est le maitre mot, c'est aussi là où l'on apprend les valeurs, comme le respect, la bienséance entre autres. Et, cela commence par l'Art de l'écriture. Avoir une écriture soignée signifie que l'on est Homme appliqué, raffiné. J'ai décidé de fonder cette école car, les personnes qui connaissent et utilisent cet Art sont rares. C'est pourquoi, je m'engage à vous enseigner, à vous, ou à d'autres qui viendront je l'espère, mes connaissances et mon savoir pour faire de vous des gens cultivés!

Mais, pour cela, je ne serai pas tout seul, pour mon plus grand soulagement. Messire Althamus s'est proposé de m'aider dans cette tâche.
Voudriez-vous dire un petit mot sir Althamus afin peut-être de vous présenter et annoncer vos projets pour cette école?

Le vieux Lassias écouta avec interêt les propositions de messer Althamus, tout en se grattant la barbe. Il plissa les yeux, pour signifier qu'il réfléchissait, puis hocha doucement la tête.

Oui, c'est une bonne, que dis-je, très bonne idée. Nous pourrons aborder l'Odyssée, voir même l'Iliade de Homère, célèbre auteur Grec, et sans nul doute l'un des auteurs majeur de son temps de par ces ecrits épiques, mais, plus contemporain en effet, nous pourrons voir le poête François Villon. Je constate avec plaisir votre savoir de la littérature. Connaissez-vous aussi la mythologie, qu'elle soit grecque ou romaine? Et, plus contemporain, des poèmes épiques, comme la Chanson de Roland?

Le vieux professeur sourit. Il ne doutait pas qu'avec un homme tel que Althamus, il pourrait enseigner bon nombre de choses aux élèves. Ces connaissances, visiblement, étaient assez vastes, il en était soulagé.

Lassias vit que Lolitaspace était revenu. Il lui sourit, tandis qu'elle allait prendre place dans la salle de classe. Le professeur se rassit sur sa chaise, face à son bureau, puis écrivit quelques notes sur ce qu'avait suggérer Althamus, qui était fort interessant. Alors qu'il recherchait dans sa mémoire quelques poèmes de Villon, il fut interrompu par Lolitaspace. IL sourit à sa remarque.

Je vous rassure donà, vous n'aurez pas à acheter de livres. La Duchesse Kilia nous a fait l'honneur de donner des livres pour l'école, vous n'aurez qu'à vous servir.

Soudain, il eut une idée. Le vieux professeur se leva d'un bond, puis se dirigea vers le coffre où les livres de la Duchesse gisaient. Il farfouilla quelques instants dedans, puis, tout sourire, en sortit un livre.

Voilà ce que je cherchais. Par chance, il figure dans le tas. Lolitaspace, vous m'aviez dit que vous vous interessiez à l'Histoire c'est bien cela? Eh bien, vous allez être contente. Ce livre que je tiens dans ma main, vous aidera sans nul doute à faire ce que je vais vous demander.

Il rejoignit la dame puis prit place à côté d'elle.

Alors, Homère est un poète grec, connu pour deux oeuvres très connues: l'Odysée, et l'Iliade. Vous allez vous interessez à la première. L'Odysée est un très long poème de pas loin de 12 109 syllabes. Ce poème raconte l'épopée "d'Ulysse l'avisé". L'histoire conte les aventureuses multiples auxquelles Poséidon contraint « Ulysse l'avisé » qui, suite à la guerre de Troie dans laquelle il a joué un rôle déterminant, et sous l'oeil du Dieu des océans et des mers en furie, mettra dix ans à retrouver son île d'Ithaque, son épouse Pénélope qu'il délivre des prétendants, et son fils Télémaque.

Le vieux professeur reprit son souffle, puis reprit:

Je vous demande de chercher dans ce livre trois choses:
La première: Comment Ulysse usa-t-il de sa ruse pour mettre à feu et à sang la cité de Troie?
La deuxième: Comment Ulysse s'échappa du Cyclope Polyphème et quel nom il utilisat pour le tromper?
La troisième: Comment Pénélope, la femme d'Ulysse, faisait-elle pour faire patienter ses prétandants, qui claironnaient sur tout les toits la mort du roi Ulysse, jusqu'au retour de son époux?
Voilà, bonne recherche. Vous avez tout votre temps, évidement. Si vous avez le moindre problème, dites-le moi. Nous corrigerons ensemble une fois vos réponses données.

Il lui sourit et retourna derrière son bureau.

Mon garçon, allons, viens voir ici!

Lassias avait remarqué la tentative d'évasion du jeune élève. Il l'avait quelque peu négliger, mais il allait se ratrapper. Il lui sourit, un sourire qui se voulait chaleureux et auquel il espérait recevoir un signe d'encourageant. Une fois arrivé à son bureau, Lassias l'examina attentivement.

Bien, alors, sais-tu écrire? Prends une plume et de l'encre et essaye de reproduire cette phrase en-dessous de celle-ci, issue de la chanson de Roland, vers 2397, ainsi je pourrai m'en rendre compte par moi-même.

Le vieux professeur lui donna le parchemin sur lequel il devait réécrire la phrase qui y était inscrite.

Lassias regarda le gamin qui venait de terminer. Il sourit à sa question.

Roland meurt sur le champs de bataille. C'était le neveu de Charles Magnus. La France alors était envahie par les Sarazins, au Sud. Roland était parti pour les stopper. Il tomba dans une embuscade et, à plein poumon, il souffla dans sa corne pour faire appel aux renforts. On dit qu'il aurait tellement souffler, qu'il en serait mort.
Bon, voyons ce que tu as fais!

Le vieux professeur prit le parchemin que lui tendait l'enfant, puis tenta de lire ce qui y était écrit.

Eh bien, difficile à déchiffrer comme écriture, tu as fais des lettres qui n'existent même pas. Tu les as érronées. Au moins, si le nom que tu as écris est bien le tien, je sais comment tu te nommes. Eh eh! Ne pars pas si vite! J'aimerai que tu me fasses d'autres essais, Marko. Tiens:

Lassias lui tendit le parchemin, avec deux nouvelles phrases.

[Sur le chemin de l'école]



Naaan mais 'Byn avance je suis sur qu'on est en retaaaaarrrrd!

Regard désolé, les bras le long du corps, Cicélia attend que son frère Robyn avance, faut dire qu'il traine, depuis que leur mère avait entendu parler d'une école, elle ne cessait d'en parler et avait finalement obbliger ses petits à y aller.
Mais voilà, robyn lui, il voulait pas, alors il feignait la rêverie le long du chemin, ce qui avait pour conséquence de faire râler sa soeur...

Depêcheeeeeu, sinon je racconterai tout à maman quand on rentrera!...

Faut encore qu'on y aille avant d'en revenir d'abord! Tirage de langue et il se met à courrir comme un dératé!...

Heureusement pour Cicélia, il court dans la bonne direction et sera arriver bien avant de s'en rendre compte.
Elle se met dès lors à lui courrir derrière ou après à voir...
Et alors qu'elle le rattrappe, l'empoigne le stoppant net dans sa course jubilatoire aux espérances de sauvette, l'entraine avec elle à l'intérieur de ce qu'il comprendra être l'école peu de temps après!...


[Dans l'école...]

Bonjour, je suis Cicélia et lui là avec la tête d'ahuri c'est mon frère Robyn, on vient pour faire l'école!...

Norf de norf!...

Grand sourire sur le visage de la petite et décrépitude côté fraternel, ils attendaent une réponse des grandes personnes présentes...

Wouhouuuu !!!!! on est de sortie. Ouai y'a papa il veut qu'on aille à l'école. A moins que ce soit Margot parce que papa on le voit peut et pis il arrête pas de s'isoler dans son cabinet ou dans sa chambre. Y'a que le soir à table... et encore quand il est là.
Mais on s'en fiche pas'que c'est l'plus beau papa du monde. Et pis il est gros et fort comme lui il sera sauf que pour le moment il est fort mais pas bien grand. Moins quand qu'Arthur mais Arthur lui il est plus grand. Par contre qu'on se le dise il est tout frêle.

Ouai comme ça pète. Moi je cours et je saute partout sur le chemin de l'école alors que mon ainé il marche silencieusement derrière.

Hey Tutur r'garde ça.

Je grimpe sur le lavoir, cours sur le bord et je saute le plus loin possible. Pis je me marre et Pis Arthur lui il se marre pas.

Thibauld tu vas finir par te faire mal. Margot me fait confiance. Je dois veiller sur toi.

Je m'exclaffe

Pfff tu dis n'importe quoi. C'est toi qui veilles sur moi alors que j'te bat à la lutte et à la course ? Allez pèche toi on va arriver en retard. 'Fait t'savais que c'était l'amoureux de Nay ?

Ça ce voit trop qu'il est vexé mais j'aime bien l'embêter et pis il me répond pas pasqu'il sait que je vais le taper après et il aime pas ça . Il soupire et se contente de répondre.

Oui je savais Thib, même que c'est Nay qui a du proposer à Margot d'nous envoyer à l'école.

Han ouaii !!! tu t'rends compte on va s'faire des amis c'trop bien hein. Tu crois qu'on va apprendre à se taper ?

Il hausse les épaules pis marmonne une truc du genre "j'espère pas"
On arrive tous les deux dans l'école. Moi j'ouvre grand la porte et je crie
Et pis Derrière, y'a Arthur qui fait son timide et qui doit me maudire de nous faire remarquer dès le premier jour

Bonjour !!!!!!!!!!!! C'est nous !!!! Comment ça va ? Nous super on est pas trop en r'tard ? Moi c'est Thibauld et pis ca c'est ma soeur euhhh mon frère pardon

Comme je suis content de ma blague. Y'a tout le monde qui nous regarde et Tutur me file un coup de coude

Bon alors on fait quoi ? S'quand qu'on apprend à s'taper ?

Je vais m'assoir à coté dla fille blonde (Cicélia)

S'lut moi c'est Thibauld. Et toi comment tu t'appelles ?

Lassias vit arriver deux nouveaux élèves, dont l'un visiblement, semblait turbulent. Il prit d'ailleurs la parole, et fit les présentations. Le vieux professeur se leva et se présenta à son tour.

Bienvenue à l'école vous deux. Je suis Lassias, le Maitre d'école, et là-bas, l'homme que vous voyez, c'est Althamus, un professeur. Allez vous installer, je viens vous donner votre travail.

Lassias farfouillait dans ses paperasses, quand Marko vint lui donner son travail d'écriture terminé. Il le prit en main et le lut. Alors qu'il voulait lui donner son avis, Marko s'était précipité dehors. Légèrement surpris, le Maitre se dit qu'il réapparaitrait bientôt... Du moins il l'espérait. Ne souhaitant pas perdre de temps, il rejoignis les deux nouveaux éléves.

Bien, vous deux. Vous allez vous aussi travailler sur la Chanson de Roland. Voici quelques vers de cette chanson. Je vous les lis, écoutez bien!Lassias lut donc les vers.Voilà. J'aimerai que vous me disiez ce que vous avez retenu, et que vous m'expliquiez la scène qui est en train de se produire. D'autre part, savez-vous lire?