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Mariage Caro Oli

oli13
oli parlait avec leo son témoin ami et suzerain...enfin le premier arrivé... il en manquait un... enfin une....

et voilà que léo parlait de choses qui faches...les alliances...

Les alliances!!....ou sont elles? ..oubliées...perdues.. volées peut estre?...

non... impossible...il les avait bien rangées...mais ou?

oli fouilla instinctivement ces poches... mesme là ou il n'y en avait pas, se retournant pour vérifier qu'il ne voyait point les alliances sur le parvi, ou sous un banc...... rien à faire impossible de mettre la main dessus...

il fallait trouver une excuse pour partir... un parent malade, une bataille à livrer... une marmitte sur le feu...

trop tard...voici que caro arrivait... lui prenant la main


/SPAN>
Citation:
Bonjour mon bien-aimé, tu es magnifique....


sourire forcé de l'enfant qui vient de faire une bétise, perles de sueurs sur le front... et les frissons.


merci mon ange!... tu es chaque jour plus belle!... lui repondit il
Citation:

au mesme instant monseigneur Aurelien tentait de le rassurer...

Ne vous inquietez pas Oli.... je ferai le ... hum .... général de service, je dirigerai les troupes d'une main de maitre... vous connaissez cela...

Ah, voila votre promise.....

Eh bien Caro, prète ??

des que tout le monde sera arrivé, faites moi signe, que nous commençions.


oui mon général...pardon...monseigneur.... balbutia oli...

les alliance, la céremonie, les amis présents et ceux absents tout cela rendait oli trés nerveux... et sa filleule?...elle trainait ou?...il aurait pu l'envoyer vérifier dans la mansarde voir si elle les trouvait...

tout allait si vite... tout semblait si long....

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fabrizio05
Le lieu était certes d'une magnificence mais pas de quoi s'y attarder pensa Fabrizio. Bien que dans son tabard d'un noir corbeau flottant à sa taille, retenu à peine par une ceinture d'arme vide de tout occupant.

Fabrizio à l'entrée avait marqué un temps d'arrêt. Hésitant un court instant à pénétré et puis il s'était décidé. Les souvenirs revenaient à lui aussi vite que le galop d'un coursier.

Ça fessait si longtemps qu'il n'avait point pénétré ici et ce petit pincement au cœur en y repensant. Mais de l'eau à bien couler sous les ponts depuis ce temps. Alors qu'importe les souvenirs tragiques, il est venu pour cette fois-ci un heureux évènement.

Portant ses yeux bleus sur le bénitier à sa senestre, Fabrizio n'en n'avait point plongé un ou deux doigts dedans, non il n'y croyait plus à la faribole de cette église.

Bombant un peu plus le torse que de coutume; Fabrizio laisse voir les éclats de lumières sur sa broche près de son cœur.

Se laissant entrainer par son épouse, il va doucement et dans un silence quasi monacale vers un banc vide, s'y assoit et suis le déroulement de la cérémonie.

De son "perchoir" ,Fabrizio entrevoit la nuque d'une amie perdue de vue et une autre proche de Oli...sa petite Gargouille est là.

Il en sourit d'aise et de joie à la revoir, faut dire qu'elle n'a point changé sa Labre toujours aussi comment dire rebelle.

Mais chut, point de vague la cérémonie continu et comme tous il n'aime point être déranger surtout à ce moment précis.
Mais bon sang ce qu'ils sont beaux tous deux et de voir Oli dans cet état, un sourire s'esquisse sur ses lèvres, un brin amusé et surtout de penser que depuis tout ce temps de le voir au pied de l'autel , lui le vieux garçon en finir avec sa vie de célibataire et bien Fabrizio aurait tout vu dans sa vie..même ça.
caro
Les joues qui s'empourprent aux mots d'Oli, pourtant il affichait un sourire qui m'intriguais un peu... le sourire qu'avait pu me faire maintes et maintes fois Clémence après une bêtise. Ne voyant pas ce qu'il aurait pu faire, à moins que .... plus l'envie de mariage ? non fallait que j'arrête de me mettre telles choses en teste. S'il n'avait plus voulu il ne serait pas venu, ou me l'aurait dit. Donc non... pas la bonne idée... alors quoi donc ?

Aurélien venait couper mes pensées et me faire rire, sans compter que la réponse d'Oli était des plus exquises. Lui serrant ma main dans la sienne, j'osais par ce geste tenter de le faire revenir à un peu plus de calme. Mais qu'est ce qui pouvait donc le tracasser à ce point ?


Oui Aurélien... je suis prête...... un regard circulaire où est donc ton autre témoin Oli ? ..... tu sais quoi ? on va commencer ça va la faire arriver ....

Retour sur Aurélien qui devait sans doute avoir hâte de commencer. Les occupations d'un Primat de France n'étant pas de tout repos

Je pense que nous pouvons commencer non ? tant pis pour les retardataires ils rateront le début, ils ne savent pas ce qu'ils perdent

Regard en coin à Aurélien..... A lui de voir à présent ce qu'il voulait faire. Attendre encore un peu ou commencer
clem
La réponse de sa mère n'est pas celle qu'elle attendait, mais elle s'en contetera et suffit pour l'apaiser...il faut dire que le calin et le clin d'oeil aide à aller dans se sens. Sur le pas de la porte, elle prend conscience de son oubli, sur sa tenue vestimentaire. Clémence s'excuse auprès de sa mère, qui risquait d'être en retard par sa faute, et s'empresse de rejoindre sa chambre pour se changer.
Bien longtemps qu'elle n'avait plus mis de robe, lorsqu'elle se coiffe, elle est surprise n'arrivant plus à se reconnaître. Ce n'est pas que dans sa tête qu'elle changeait, mais aussi physiquement se rapprochant de plus en plus de sa mère, mais certain traits bien visible de feu son père. Cette constatation et observation, ne dur qu'un cours instant, il lui faut rejoindre le lieu de la cérémonie au plus vite..au passage, elle met quelque chose dans la poche de sa robe et sors.
Avec surprise, mais joie, la jeune fille constate que sa mère, bien qu'elle risque d'être en retard à son mariage, l'avait attendu.
Ce geste simple, anodin, signifie beaucoup pour elle, il remplace presque les mots qu'elle n'a pas entendu.
Sur la route, voyant sa mère dans ses pensées, Clémence la laisse et se contente de jeter un oeil un peu partout...
Le trac de sa mère, perturbant et incompréhensif pour elle, est palpable et à tendance à faire remonter ce sentiments désagréable, malgrès le sourire qu'elle lui fait.
Et puis, sa mère lache sa main et avance, son regard absorber sur l'avant, alors que Fleur l'interpelle, et puis de rejoindre Oli et Aurélien.
La jeune fille quant à elle, elle s'est décalé sur le côté, mais n'a ni avancé, ni reculé...elle regarde, elle observe. D'abord, ce qui est l'objet de toute les attention de sa mère, Oli. Qu'il est vêtu étrangement, enfin étrange dans le sens inhabituel, pas dans le sens décalé. La tête qui se penche
légèrement sur le côté, en faite « beau père » lui ira, un peu...non qu'elle le trouve merveilleux, mais il n'est pas moche non plus, mais il n'atteint pas non plus la beauté de feu son père et de son frère disparu. Pas le beau gosse de l'année, mais pas moche non plus...voilà, l'idée qu'elle se fait de lui en cet instant. En plus de cette tenue, il semble comme sa mère..bizarre, pas comme d'habitude. Stressé lui aussi?
Qu'ont-ils donc à tous être stressé? Décidement, elle n'arrive pas à comprendre ce sentiments qu'ils ont. Comment être stressé, alors qu'il s'agit d'un des jours le plus important de leur vie?
Ils sont réunit, heureux, sans nuage à l'horizon -autant au premier qu'au second degrès- et ils stressent...et après certains osent dire qu'elle, Clémence Maledent de Feytiat – Compalite, est compliqué? Si ce n'est pas abuser...

Bref, revenons à notre mariage...ou plutôt leur mariage.
Toujours là, son azur quitte les deux tourteraux stressé, pour se poser sur les personnes venu assister au mariage. Légèrement en retrait, elle observe, sans être observé.
Des personnes connus et d'autre non. Certains bien vêtu et d'autre non...même un aigle qui se permet d'entrer dans le lieu. Un sourcil qui se hausse.

Mais qu'est ce que c'est que ca? Avant de le voir se poser sur un homme à capuchon...capuchon qui laisse entrevoir certain trait.
Un instant à le dévisager, avant de le reconnaître...comment osait-il venir ici? Un regard vers sa mère, qui semble l'avoir remarqué mais ne réagit pas.
Pourquoi laissait-elle faire? Comment avait-il pu entrer sans invitation? Tout cela était incensé. Et voilà, un soucis et surtout des questions de plus qui s'ajoutent.
Après ce que cet homme leur a fait, portant encore la cicatrice sur son flanc, hors de question qu'il assiste à cette cérémonie...ou alors c'est elle qui n'y assisterait pas. -bien que dans le fond, elle sait qu'elle s'en voudrait-
Des gardes? Il devait bien y avoir des garde ici? Ne serait ce que pour assurer la sécurité des lieux, avec les Lions de Juda en Guyenne il valait mieux, et assurer également la sécurité de son frère, le Primat de France et Archevêque de Bordeaux, dont certains hérétiques méritant l'enfer lunaire verait bien sa tête au bout d'une pique.
Son azur balaye les lieux et elle finit par trouver ce qu'elle cherche. Quelques mots échangé avec les gardes, leur expliquant que cet homme n'a certainement aucune invitation, que son animal n'a rien à faire à l'intérieur de ce lieu, qu'il peut être potentiellement dangereux et qu'ils ont interêt à faire leur boulot corectement si ils ne veulent pas qu'elle aille en référer à son grand frère.
Cela dit, ils rejoignent l'homme, se plaçant de chaque côté et l'invite à les suivre au dehors. Clémence quant à elle n'a pas bougé du lieu où elle a rejoins les gardes, regardant la scène, oubliant sa mère, Oli, les invités, le mariage et tout le reste...son regard assombri posé sur lui, ce Soap de malheur, qui n'avait fait que gâcher ses retrouvailles avec sa mère...retarder la réconciliation entre elles, toutes ses choses si importantes aux yeux de la jeune fille, mais dont il semblait bien s'en moquer au vu du sourire qu'il affichait à sa mère.

Il était clair pour elle, qu'elle n'irait pas lui parler, mais si les gardes n'arrivaient pas à le faire sortir, elle quitterait certainement les lieux immédiatement. Où elle irait? Ce qu'elle ferait? Seul le Très Haut le sait, son esprit bien trop accaparé sur l'instant présent et surtout cet homme.
Telya d'Harlegnan
Mais c'est pas Dieu possible de voir des empotés pareils !!!!!

Elle tournait en rond , déchirant de ses ongles un malheureux mouchoir , pestant et fustigeant ses gens .

Il ne faut pas quand même deux heures pour changer une roue ?

Le Cocher , suant sous le poids de la roue , se tourna vers elle .

Ma Dame , sauf v'tre respect , je crois qu'on irait plus vite si vous alliez vous reposer à l'ombre de cet arbre .

Elle leva les yeux au ciel ! Voilà que son personnel osait l'envoyer sur les roses . Une rébellion !!!! Voilà à quoi elle devait faire face.
Elle restait persuadée que ces hommes la retardaient exprès et il lui semblait les entendre ricaner pendant qu'elle s'éloignait à l'ombre des grands arbres.


Après des minutes qui lui semblèrent des heures , le cocher , son chapeau à la main , vint la chercher .

La roue est réparée ma Dame.

Ah quand même !!! pas trop tôt !

Courroucée , elle pénétra dans le carrosse . Sa demoiselle de compagnie baissa les yeux sur son ouvrage , attendant que la mauvaise humeur de la Duchesse se dissipe.

Enfin , la Basilique fut en vue. Telya poussa une énorme soupir de soulagement et rectifia sa tenue.
IL n'aurait plus manquer qu'elle arrive comme une souillon.

A peine le carrosse arrêté, elle sauta à terre et pénétra dans l'église dans un tourbillon de soie bleue et de dentelles.
Elle apercut Oli et Caro et s'en hésiter se dirigea vers eux.


Ah mes amis , quelle aventure pour parvenir jusqu'à vous.
Quasi
Un écossais , reconnaissable à ...son accent, déposa un pli et deux paquets à remettre à la mariée.

/SPAN>
Citation:
A vous caro, notre amie, et son époux en devenir...bon notre ami aussi évidement.

Quelle joie d'apprendre que le Béarn est en perdition
vous allez enfin concrétiser cet amour que j'ai vu naitre en vous ,Caro.

Cette joie est teintée de tristesse de ne pouvoir être là le jour venu.
Votre courrier m'a été transmis par un système écossais dont
je n'ai pas encore compris toutes les finesses
mais malheureusement il nous faudrait deux mois pour revenir en terre de France.
L'écosse m'a conquise tout comme mon Sauvage de mari l'a fait.

A ces quelques mots je joins tous mes vœux pour un bonheur mérité par vous deux.
Saluez celui qui fut mon modèle en le monastère Grégorien du temps de mon ancienne vie,
votre Beau fils Aurélien.

William a préparé un paquet qu'il souhaite vous offrir de notre part à tout deux. Je ne sais
ce qu'il a fait fabriquer par les gens de Kilmarnock mais il est homme de gout...
enfin il m'a épousé en tout cas.

Que les étoiles vous guident, que l'amour soit votre abri.

Quasi et William


Un petit mot sur l'un des paquets, de la main de William


Citation:
une clemence ca suffit, pis le melange de oli est caro... on imagine meme pas...




Fleur
Fleur encouragea Caro et la réconforta du mieux qu'elle put, avant qu'elle aille rejoindre son promis. Et oui, normal que les deux tourtereaux veuillent se rapprocher... ils n'avaient pas eu l'occasion de trop se voir la veille au soir et la tradition voulait que les fiancés ne dorment pas dans la même demeure la veille du mariage. Fleur chercha du regard son bien aimé et le vit en pleine discussion avec Oli. Elle ne voulait pas gêner les "retrouvailles" de Caro et Oli, aussi s'approcha-t-elle de Léonin, glissant sa main dans la sienne. Elle observa tout de même les futurs mariés fort bien assortis, leurs tenues étaient vraiment magnifiques. Quel beau couple, ils formaient!

Monseigneur Aurélien était en train de leur demander que dès qu'ils étaient prêts, la cérémonie pourrait débuter.

/SPAN>
Citation:
Eh bien Caro, prète ??

des que tout le monde sera arrivé, faites moi signe, que nous commençions.


Caro, radieuse, répondit


Citation:
Oui Aurélien... je suis prête...... un regard circulaire où est donc ton autre témoin Oli ? ..... tu sais quoi ? on va commencer ça va la faire arriver ....


À ces mots, c'est au tour de Fleur d'ouvrir grands les yeux... c'était bien trop vrai Telya n'était toujours pas arrivée. Elle espérait que rien de fâcheux ne lui soit arrivé avant de se souvenir qu'elle avait été également en retard pour son mariage ^^. Sacré Telya! Alors que tous se dirigeaient pour prendre place afin que la cérémonie puisse commencer. Telya fit son entrée avec en guise de bonjour pour les futurs mariés.

Citation:

Ah mes amis , quelle aventure pour parvenir jusqu'à vous.


Après que cette dernière ait pu saluer les promis, elle alla la saluer en la prenant dans ses bras.

Bonjour chère Telya. Je suis heureuse de te revoir en ce si beau jour. Permets moi de te présenter mon bien aimé, Léonin de Monmouth, Vicomte de Sellières, également suzerain et témoin d'Oli.

Fleur était vraiment radieuse de revoir tous ses meilleurs amis en ce si beau jour.

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Telya d'Harlegnan
Après avoir salué les mariés et s'être incliné devant MOnseigneur avec un sourire navré pour son retard, elle fit un pas en arrière et tournant sur elle même pour voir où elle pouvait s'assoir , elle vit Fleur.
Elle la serra contre son cœur , heureuse de la revoir après si longtemps.


Oh Fleur, je suis si heureuse de te revoir !
si tu savais comme tu m'as manqué .


Elle se tourna alors vers l'homme qu'elle lui présentait comme son bien aimé, lui tendant sa main à baiser pour le saluer.

Enchantée ! L'homme qui a su conquérir le cœur de mon amie ne peut être qu'un être exceptionnel.
oli13
apres léo voici que telya arrivait... les deux temoins d'oli étaient là...

la ceremonie allait enfin avoir lieux.... tout semblait se passer pour le mieux mise à part une petite chose... une clé...toute petite clé...

oli était content que telya fut enfin là...elle parla un peu avec fleur, et félicita leo...mais oli ne pouvait laisser les nons dits perdurer....

il s'approcha de telya pour la saluer, et lui chuchota...


il m'a embrassé sur la bouche le léo... devant témoins.....

puis oli se redressa pour attendre monseigneur démarrer la cérémonie

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Telya d'Harlegnan
Elle était là , heureuse en ce beau jour , entourée de ses amis quand Oli se pencha sur elle et lui susurra à l'oreille :

il m'a embrassé sur la bouche le léo... devant témoins.....

Elle tenta de garder contenance mais ses yeux se posèrent sur Léo , se demandant si elle devait en avertir Fleur , puis sur Oli .
Pourquoi diable c'était il laissé faire ?
Était ce une de ses preuves d'amitiés viriles ?

Les hommes avaient des mœurs de plus en plus bizarre!
Léonin Monmouth
Léonin continuait à réconforter Oli. Il lui glissa à l'oreille en souriant :

Tu as tout le temps pour retrouver les alliances. Si tu les as pas, pas grave. Je commence à te connaitre, j'en ai dans ma poche en rechange au cas où ...

Mais à peine eut t-il fini de le rassurer pour les fameux anneaux qu'il se fit harponner par sa chérie pour lui dire de laisser les futurs tranquille un moment. Le Vicomte ne se fit pas prier et se retrouva devant une personne, une femme qu'il ne reconnu pas. Bon, c'était normal car il ne l'avait jamais vue. Fleur le présenta à celle qu'elle appelait Telya. Mais évidemment elle était tellement heureuse qu'elle avait oublié de lui présenter celle qui était devant lui. Il ne lui en voulut pas. C'était pas bien grave.

Mais toute fois il lui semblait que c'était quelqu'un d'important car elle lui présentait sa main pour le baise-main. Il la prit délicatement et approcha ses lèvres de cette main tendue mais juste pour l'effleurer tout en faisant la révérence qui se doit à une Dame de Haute Compagnie.


Enchanté MaDame. Oui je suis Léonin de Monmouth, mais exceptionnel ... Vous me flattez ... Vraiment je suis confus.

Il en profita pour faire un tout petit signe très discret à Fleur pour lui demander qu'elle lui présente qui c'était. Lui, même si c'était un ex beaucoup de choses et un futur rien du tout comme il se plaisait à dire, il n'osait pas demander l'identité et le casier judiciaire de celle qu'il avait en face de lui. Chose qu'il aurait faite en ses terres de Franche-Comté à une certaine époque. Espérons que Fleur aura compris.

Il se releva et lui fit un sourire remplit d'un profond respect, se demandant encore comment il devait se tenir. Vicomte oui, mais plus à l'aise avec une armure sur un champ de bataille ou dans un Tribunal comme Juge que là ...

Quand Oli s'approcha et chuchota à cette Dame quelque chose qui la fit le regarder bizarrement. Tout à coup, il se sentait de plus en plus mal à l'aise ...

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Tenebrae eam non comprehenderunt

Vicomte de Sellières
Fleur
Trop heureuse sur le moment, elle oublia les bonnes manières, autremment dit présenter Telya à son cher et tendre. Quelle tête de linotte! Elle vit Oli se pencher à l'oreille de Telya pour lui murmurer quelque chose. Quand son amie regarda bizarrement Léo, elle se douta de quoi il s'agissait. Elle haussa un sourcil. Sacré Oli! Il en manquait pas une pour rappeler ce fâcheux "accident".

Mon ange, excuse-moi, je suis confuse vraiment.
Elle en rougit presque. J'ai oublié de te présenter une de mes meilleures amies, Telya, duchesse d'Harlegnan. Avec toute la joie que je ressens en ce jour, j'en oublie presque tout, sauf toi enfin presque...

Voilà que Fleur s'emmêlait les pinceaux et se confondait en excuses. Son ange allait la prendre pour folle à continuer ainsi. Puis se tournant de nouveau vers Telya, elle lui dit quelques mots concernant ce à quoi elle pensait qu'Oli lui avait fait part.


Mmmm je crois qu'Oli t'a fait part de l'étrangeté de ce qui s'est passé à sa cérémonie vassalique. Mon cher Léonin avait le choix, selon le Héraut, et j'insiste sur le mot choix, entre le baiser vassalique et l'accolade. Tout le monde croyait qu'il allait juste donner une accolade à son vassal et bien non, il a approché son visage d'Oli et lui a déposé un baiser sur les lèvres... Je me suis même demandée si mes baisers ne lui suffisaient plus... mais il paraît que c'est une tradition dans sa famille... enfin moi, je dirai que ce sont les comtois qui ont des traditions bizarres et comme mon ange est comtois d'origine, tu peux te rendre compte de sa bizarrerie, mais il est exceptionnel donc que veux-tu je l'aime quand même.

Fleur voit la tête de Léonin et éclate de rire... pauvre lui, il avait pas fini d'en entendre parler de ce baiser vassalique.

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Léonin Monmouth
Maintenant il savait à qui s'en tenir. Il avait en face de lui une Duchesse, lui le petit gueux de pacotille ... Ah non il était Vicomte maintenant ... Décidément il ne s'y ferait jamais. Mais bon, il n'était que Vicomte. Peut-être un jour ... Mais il n'avait pas envie de se fouler ni de courir derrière les titres. Non, ce n'était pas du tout son genre.

Mais alors là, après l'explication de Fleur il ne savait plus où se mettre. Il priait pour devenir une petite souris ... Non mieux une mouche, un moucheron pour pouvoir se cacher loin loin ... Et le rouge montait à ses joues, comme d'habitude quand il se sentait mal à l'aise. Décidément ce baiser vassalique, un acte très important pour lui, on allait lui le reprocher encore longtemps, alors qu'il n'avait fait ça que pour le décorum et pour donner encore plus d'importance ... Mais bon, il avait beau l'expliquer à Fleur, elle ne l'entendait pas de cette oreille. Alors en ce moment, ça bouillonnait dans sa tête et il espérait que la cérémonie du mariage allait bientôt commencer.

Mais heureusement il aimait Fleur et ne laissa rien paraitre.

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Tenebrae eam non comprehenderunt

Vicomte de Sellières
caro
Ah mes amis , quelle aventure pour parvenir jusqu'à vous.

Que n'avais-je pas dit ? il suffisait de dire "on va commencer ça va la faire arriver ...." que la voilà qui arrivait telle à son habitude. Sans doute encore une mésaventure qui avait du lui arriver en chemin. A croire que notre Telya avait l'art et la manière de s'attirer ce genre de choses. Mais peu importait à présent. Elle était là, en bonne santé.

Un bonjour à Telya et voilà les grandes retrouvailles avec Fleur. Ralala on se croirait au bon vieux temps quand tous nous étions présent en Béarn, le bon vieux temps où toutes les histoires de "magouilles" ne faisaient de loin pas si rage qu'en ce moment.

Après quelques instants à les observer, je me tournais vers Aurélien.


Mariés présents, témoins présents et au grand complet... Monseigneur nous sommes prêts

Sourire à Aurélien qui pouvait donc commencer....valait mieux car laisser Fleur et Telya papoter ouhla ouhla.... eh oui car il faut voir ces deux amies ensemble... et ça ne parle pas que chiffons je vous le dis !
Kirika
[Béarn, le 12 mai]

La nuit était tombée depuis longtemps et Kirika était toujours dans son bureau en Caserne...Quelle prise de tête cet Ost...Regardant par la fenêtre, la brune décréta qu'il était temps de lâcher l'affaire pour ce soir. C'était sans compter sur un énième pigeon qui arrivait.

Y'a des jours ou elle avait de réelles envie de tortures avec ces fichus volatiles. Réprimant ses pulsions assassines envers la bestiole, elle détacha le plus délicatement possible le parchemin. Au fur et à mesure de la lecture, le visage de la jeune femme se décomposa…Comment ça le 14 ? Après-demain ?


Flûte !

Kirika se retourna et partit en courant vers les écuries, en passant devant le garde à la porte elle lui ordonna rapidement d’aller chez elle pour prévenir Anne de son absence puis continua son chemin sans ralentir jusqu’au box de Murmure, qu’elle sortit dans la cours sans prendre le temps de le seller. Elle s’accrocha à la crinière, se hissa dessus rapidement et pressa durement ses flancs autant pour le faire partir au galop que pour se tenir correctement. La monture se cabra, manquant de perdre son cavalier en route puis s’élança enfin sur la route…Direction Bordeaux.

Le voyage avait été effroyable et c’est une Kirika congelée et courbaturée qui se retrouva à Bordeaux le sur-lendemain bien longtemps après ce qu’elle pensait être l’heure de la cérémonie. Sa monture n’était pas mieux, respirant difficilement.
Levant la tête pour étudier la place du soleil et se faire une idée de l’heure, la brune dû se rendre à l’évidence, Elle était très très en retard.

Elle passa rapidement par une taverne et prit une chambre juste le temps de se laver, ben oui elle avait des limites quand même.

Et il lui fallait encore trouver cette Basilique. Heureusement ce ne fut pas dur et elle monta les marches du bâtiment en quatrième vitesse. Tout le monde semblait déjà là mais apparemment, Kirika n’était pas si en retard que ça…S’appuyant contre un pilier au fond, la brune prit enfin le temps de respirer. Elle n’avait ni dormit, ni manger et devait avoir un visage tout juste reconnaissable mais au moins elle était là.

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