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[RP] La Cathédrale Saint-Sylphaël de Nevers (delestage)

Martin_tamarre
Le Père Martin_Tamarre sourit à chaque fidèle qui entrait dans la cathédrale.

Oui ma fille, la journée est radieuse toute comme vous.

Il se tourna vers l'intérieur de la cathédrale et ferma les portes pour ensuite rejoindre l'autel.
Il fit un petit signe à Jean_Bon pour qu'il aille s'asseoir et s'adressa à l'assemblée.


Bonjour à toutes et tous et bienvenue en la cathédrale Saint Sylphaël de Nevers pour la messe dominicale.

Je vous invite à prier et à demander pardon pour nos péchés.

Il leva les bras pour que les fidèles se lèvent et commença la prière.





Maintenant , récitons ensemble le Credo.


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Martin_tamarre
Le Père Martin_Tamarre sourit aux fidèles à la fin du Credo et les invita à s'asseoir pour écouter la lecture.

Aujourd'hui nous allons continuer la lecture des chapitres qui explique «La Pré-Histoire».
Celui que je vais vous lire aujourd'hui s'intitule «Le travail» et explique comment Dieu avait ordonné aux hommes et aux femmes de travailler pour assurer leur subsistance et les éloigner de l’acédie.

Il prit ensuite le Livre des Vertus, l'ouvrit et tourna quelques pages pour trouver la bonne. Puis il entreprit la lecture du chapitre.



Citation:
Livre des Vertus --- Livre 1 : Le Mythe Aristotélicien --- La Pré-Histoire --- Chapitre II --- «Le travail».

Le temps faisant son travail, les hommes et les femmes devinrent de plus en plus nombreux, maintenant leur amour pour Dieu et rejetant dans l’ombre La Créature Sans Nom. Celle-ci nourrissait chaque jour un peu plus son amertume et sa colère envers ce peuple tant aimé de Dieu qui lui avait pris sa place de reine de la Création. Les hommes et les femmes vivaient insouciants alors que dans l’ombre, leur ennemi préparait sa vengeance.

Dieu avait ordonné aux hommes et aux femmes de travailler pour assurer leur subsistance. Ce dur labeur les éloignait ainsi de l’acédie. Et les hommes et les femmes savaient être inventifs, car Dieu les avait conçus ainsi. Ils récoltaient ce qu’Il avait placé pour eux dans la nature. Ils se mirent à contrôler ces ressources afin d’assurer leur subsistance et leur vie n’en fut que meilleure.

Ils prirent le blé qui poussait dans la nature et le cultivèrent dans leurs champs. Le meunier transforma le blé en farine dans son moulin. Le boulanger la cuisit dans son four pour faire le pain. Ils prirent le maïs qui poussait dans la nature et le cultivèrent dans leurs champs. Ils prirent les légumes qui poussaient dans la nature et les cultivèrent dans leurs potagers. Ils cueillirent les fruits qui se trouvaient dans certains arbres et purent ainsi s’en nourrir. Le plaisir apporté par les légumes et les fruits les rendait plus agréables à côtoyer.

De la mer, des rivières et des lacs, ils pêchèrent du poisson. Et leur intelligence s’en trouva grandie. Ils inventèrent la barque et les poissons se firent plus nombreux encore entre leurs mains. Parfois, certains d’entre eux se réveillaient un matin sous une barque. Ils priaient alors Dieu de ce cadeau. Ils élevèrent des vaches, des cochons et des moutons dans leur pâturage, prenant soin de ces créatures qui leur avait été confiées par Dieu. Ils les nourrirent et ces créatures devinrent plus grasses.

Le boucher prépara la viande à partir des carcasses de ces créatures. Pour cela, ils inventèrent le couteau, instrument permettant de séparer les chairs les unes des autres. La viande qu’ils en tirèrent les nourrissait, mais ils se sentaient surtout plus forts après en avoir consommé. Des vaches, ils prirent également le lait, doux nectar sans égal.

Ils tondirent les moutons et en prélevèrent la laine. Ils en récupérèrent la peau pour en faire du cuir. Le tisserand lia la laine et le cuir pour en faire des vêtements, qui les protégeaient du vent et assuraient la décence de leur apparence. La nature leur donnant accès à tout ce qu’ils pouvaient espérer, ils durent inventer des tonneaux, où ils purent entreposer les fruits de leur labeur.

Pour se protéger lorsque les fenêtres du ciel s’ouvraient, ils créèrent les maisons et y habitèrent. Ils les aménagèrent avec des lits, des bougies, des tables, des chaises... et tout ce qui pouvait améliorer le confort de leur vie. Pour cela, le mineur préleva la pierre et le fer dans les mines. Et le bûcheron coupa le bois des arbres. Pour faciliter ce travail, le forgeron modela le fer et le bois pour en forger des outils, tels que les haches ou les couteaux.

Parfois, Dieu contribuait à cet âge de bonheur en donnant à ceux qui savaient aimer le monde de la nourriture, qu’ils n’avaient alors pas à produire. Parfois également, ils les encourageait en les rendant temporairement plus forts, plus intelligents ou plus charismatique. Et le dimanche, avant le repas, ils se réunissaient au milieu de leurs habitats, autour de la tombe d’Oane, pour prier ensemble Celui qui les aimait tant. En effet, ils n’avaient pas encore de clercs, car n’en avaient pas encore l’utilité, étant en communion directe avec Dieu.


Il ferma ensuite le Livre des Vertus. Il fit une légère pause comme pour se recueillir et reprit en s'adressant aux fidèles.

Comme à chaque office, je vous invite maintenant, à venir partager ensemble le pain et le vin, symbole de l’amitié Aristotélicienne.
Prions ensemble au moment de ce partage, prions le Seigneur pour ses biens faits, pour son amour et sa grande générosité.


Il prépara le pain et le vin et se plaça devant l'autel, face aux fidèles.


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Martin_tamarre
La communion étant terminée, le Père Martin_Tamarre se replaça derrière l'autel pour s'adresser une dernière fois aux fidèles.

Je vous remercie d'avoir assister à cet office.
Que les paroles de Christos et Aristote vous accompagnent et vous guident.


Que le Très-Haut vous protège ! Allez en paix !

Il se plaça ensuite sur le parvis de l'église pour discuter un peu avec les fidèles qui quittaient la cathédrale.
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Frenhdogoman
Fren vient d'arriver a nevers, il tombe sur la fin de la messe.
Il voit le pretre au devant de son église et il s'approche de lui.


Bon jour mon père,
Je suis content de voir que votre ville ait un représentant de notre seigneur.
J'ai malheureusement raté votre office.
j'espère pouvoir y assister un jour.
Martin_tamarre
Saluant un à un les fidèles qui quittaient la cathédrale, le Père Martin_Tamarre vit un homme s'approcher de lui.

Bonjour mon fils. J'espère aussi que vous pourrez assister à un prochain office. Peut-être resterez vous quelques jours dans notre belle ville pour pouvoir assister à la prochaine.
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Frenhdogoman
Fren ecoute le bon père a l'allure sympathique.

Peut etre en sera t il ainsi?
Ma route passe par votre ville et je la trouve fort agréable.
Je suis venue dans l'espoir d'une idylle mais les lumières de la raison m"incitent a fuir prestement.
A votre avis, mon père, la raison l'emporte t elle sur la passion dévorante ou doit on succomber aux tourments de la quete d'un amour impossible?
La prière ne m'apporte que le réconfort du moment, et ca serait grand plaisir et fort utile d'ouir conseil d'un sage homme d'église.
Martin_tamarre
Le Père Martin_Tamarre était fatigué ce dimanche, car il avait eu une semaine très chargée. Il passa dans la cathédrale pour y préparer tout ce qu'il avait besoin pour l'office.

Il passa ensuite dans l'allée et ouvrit les portes de bois pour faire entrer la lumière du jour.

Il se plaça sur le parvis de la cathédrale et fît résonner les cloches de cette dernière dans tout Nevers.





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Lolotlse
Arrivé la veille à Nevers, l'archevêque avait passé la nuit dans son ancien palais épiscopal qui jouxtait la cathédrale. Réveillé de bonne heure, il était en prière lorsqu'il entendit les cloches de la cathédrale sonner l'appel des fidèles. C'est alors qu'il décida, au pied levé, d'aller célébrer l'office avec le curé.
Il descendit les marches du grand escalier du palais quatre à quatre, suivi péniblement par Frère Guillaume qui portait la tenue de cérémonie de l'archevêque et faillit à plus d'une reprise se prendre les pieds dans la crosse.

Arrivé sur le parvis, il salua le Père Martin.


Bien le bonjour mon cousin ! Je vais dire l'office avec toi si tu le veux bien.

Et sans que le pauvre Martin n'ait le temps de dire oui ou non ou un quelconque autre mot, Laurent était entré dans la cathédrale et se dirigeait vers la sacristie pour se préparer.
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Martin_tamarre
Le Père Martin_Tamarre sourit en voyant son cousin Lolo s'approcher de la cathédrale.

Bonjour cher cousin, c'est avec plaisirs que je partagerai cette office avec toi.

Il eut à peine le temps de répondre que son cousin archevêque s'engouffra dans la cathédrale.

Martin ferma ensuite les lourdes portes de la cathédrale pour empêcher le froid d'entrer et traversa cette dernière pour rejoindre son cousin qui l'attendait à l'autel.
Il se plaça à côté de lui et s'adressa à l'assemblée.


Bonjour à toutes et tous et bienvenue en la cathédrale Saint Sylphaël de Nevers pour la messe dominicale. Une messe dominicale un peu particulière, car vous pouvez voir que je suis en compagnie de Monseigneur Laurent de Nivellus qui vient d'être nommé depuis peu, Archevêque métropolitain de Sens.

Pour commencer cet office, Je vous invite à prier et à demander pardon pour nos péchés.


Le Père Martin_Tamarre leva les bras et invita l'assemblée à se lever pour prier.





Nos âmes sont désormais plus légères et nous pouvons maintenant réciter ensemble le Credo.


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Faguiang
Fagui avait promis d' essayer de venir et au vue des derniers évènements Fagui avait plus de temps!
Fagui entra dans la Cathédrale et salua Martin et l' archevêque.


Bonsoir M'sieur le maire , bonjour m'sieur l' archevêque
Contente de vous voir


Fagui les salua et alla se trouver une place
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Amalya27
Il faisait un temps épouvantable ce matin, vent, pluie tout se mêlait, de plus il ne faisait pas bien chaud , un temps de saison. Il fallait avoir envie de sortir !
Amalya se préparait pour aller à l'office du dimanche .
Arrivée devant la cathédrale, elle aperçu le père Tamare en compagnie de monseigneur Lolotise .


Bonjour mon pére, bonjour monseigneur .
Quel temps aujourd'hui, il fait bon rester chez soi.


Sur ces quelques mots, elle s'engouffra dans l' église, attendant le début de l'office .
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Alienore_de_vel
Alienore s'instala sur un banc au fond comme à son habitude, elle priait pour toutes les personnes qu'elle aimait.

elle attendait avec impatience le jour ou aristote la prendrait dans sa grande famille par son baptême.
Lolotlse
L'archevêque s'avança vers le pupitre qui portait le Livre des Vertus.



Il ouvrit le livre et chercha le chapitre dont il voulait faire la lecture, tournat les pages dans un sens puis dans l'autre, grommelant parce qu'il ne le trouvait pas. Il se tourna vers le père Martin et lui murmura :

Mais quelqu'un s'est servi des pages du Livre pour allumer son feu, ou quoi ?

Enfin il trouva la bonne page :
Ah ! Le voilà.

Il reprit contenance et observa l'assemblée suspendue à ses lèvres.

Ha Hum !... Lecture de la Vita de Christos, Chapitre III !

Citation:
Christos aimait s’occuper de ces placides animaux. Quand on lui demandait pourquoi, arguant du pénible labeur que cela nécessitait, Christos répondait:
" Dieu a donné aux humains le travail pour qu’à chaque jour ils méritent le titre d’enfants de Dieu. Il a permis que nous soyons supérieurs aux animaux et seuls bénéficiaires du don du langage, car nous sommes les seuls capables d’aimer sans attendre en retour. J’aime ces moutons et ces brebis, non pas en espérant qu’ils me le rendent, mais parce qu’ils sont comme nous issus du Très Haut. "


Il referma le Livre et observa à nouveau l'assemblée un long moment, lui permettant ainsi de réfléchir à ce qu'il allait dire, n'ayant rien préparé...

Dans ce passage, Christos nous dit très justement que nous sommes Enfants de Dieu parce que nous sommes capables d'aimer sans rien attendre en retour. Aussi devons-nous bannir de nos vies l'espoir de recevoir d'autrui. Car, en vérité, nous recevons déjà tellement de Dieu le Père qu'il nous est inutile d'en attendre davantage. Toutefois, il est juste et bon de ne pas vouloir garder pour soi ce qui a été donné, c'est pourquoi cet amour infini que nous recevons, chacune et chacun, nous devons le transmettre à notre prochain, à notre frère.
Aimez-vous les uns les autres, comme le Seigneur notre Dieu nous aimes !

Ainsi soit-il !

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Martin_tamarre
Le Père Martin_Tamarre sourit en voyant l'Archevêque retourner dans tous les sens le Livre des Vertus pour trouver la page qu'il cherchait.

Ensuite il écouta evec grande attention l'homélie de son cousin.

_________________
Lolotlse
Citation:







    A l’Universalité des fidèles,

    Aux peuples français et béarnais,







    Nous avons appris cette nuit la chute du château de Pau et la mise en
    place d'une pseudo-république hérétique en Béarn, sous l'égide de
    l'organisation hérétique nommée "Lion de Juda".



    Ces vils brigands hérétiques furent vaincus une première fois par
    l'effort conjugué des vaillants défenseurs béarnais, aidés par les
    membres des Saintes Armées sur place qui réalisérent un travail plus
    qu'exemplaire, mais force est de constater que l'appel de l'Eglise à la
    mobilisation unanime de toutes les provinces contre la menace n'a pas
    été écoutée. Alors que la vigilance du royaume baissait, les Lions,
    usant de traitrises, mensonges, et fourberies qui leur sont coutumes,
    se sont emparés des institutions comtales pour tenter d'instaurer
    désormais le règne du Sans-Nom et de réaliser pillages et brigandages.



    L'Eglise Aristotélicienne réaffirme son plein soutien aux autorités
    légitimes du Béarn représentés par la Comtesse Azilize et le Conseil
    comtal, aux côtés desquels nous nous tenons pour organiser la
    mobilisation générale sur place afin de reprendre sans tarder le
    contrôle plein et entier du comté, ainsi qu'a la population très
    aristotélicienne du Béarn.



    Nous assurons de la pleine mobilisation de l'Eglise
    Aristotélicienne et de toutes ses composantes afin d'assurer la chute
    de la pseudo-république hérétique.



    Nous appellons enfin à la mobilisation complète de toutes les
    provinces du Royaume de France et de ses alliés afin que des renforts
    soient envoyés en Béarn pour bouter l'hérétique qui s'y trouve et
    éliminer définitivement cette menace.





    Le temps des palabres et des tergiversations a vécu, le temps de la mobilisation de tous est arrivé.





    Paix et bénédiction,





    Tibère de Plantagenêt, dict Rehael,

    Cardinal Camerlingue




    Faict à Rome, le XXVIII novembre de l'an de grâce MCDLVII de notre Seigneur






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