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[RP] La Cathédrale Saint-Sylphaël de Nevers (delestage)

Lolotlse
Citation:




De la situation en Béarn
Condamnation de l'hérésie, et appel à la communauté aristotélicienne.


    Nous, Thomas Bombadil, Primat de France, au nom de l'Assemblée Episcopale :

    Exprimons notre abattement le plus total de voir que le Comté du Béarn a été l'objet d'une attaque de brigands et d'hérétique. La Créature Sans Nom a de nouveau été à l'œuvre, créant dissension entre les provinces du Sud, isolant les uns et détournant les autres. Et cela a permis aux armées d'hérétique de prendre la capitale d'assaut. Nous ne pouvons qu'une nouvelle fois rappeler qu'il n'est nul force plus grande que celles qui peuvent se rassembler autour des valeurs aristotéliciennes et partager l'amitié avec son prochain ou son voisin. Et que cela ne peut se faire que dans l'entente et le dialogue.

    Désirons exprimer notre soutien plein et entier aux fidèles béarnais. Les jours qui s'annoncent vont être sombres, cela est certain. Cependant, nous les invitons à trouver en eux la lumière, et la force de reprendre le contrôle de leurs terres. Puissent-ils être inspirés par Saint Michel et se poser en exemple de force, de courage et de justice afin qu'ils chassent des terres qui sont leurs, les pillards venus les déposséder.

    Invitons les provinces, les ordres, les fidèles aristotéliciens a venir porter secours à leurs frères. L'Eglise est Une et Indivisible, et une attaque portée contre l'un de nos frères ne peut appeler qu'une réponse. La communauté aristotélicienne se doit d'être soudée et solidaire et de mettre en pratique les valeurs qu'elle défend et qui sont aujourd'hui bafouées. Que chacun oublie querelles et dissensions afin de combattre l'ennemi qui a fait jour. Ce n'est que par le regroupement des bonnes volontés que nous saurons y faire face.

    Exhortons les brigands et hérétiques à abjurer leur faute, à renier leurs fausses croyances, et à remettre leurs âmes sur le chemin de la vraie foi. Qu'ils libèrent les prêtres, hommes et femmes d'églises et cessent leur folles actions. Il n'est pas encore trop tard pour qu'ils demandent le pardon de Dieu pour avoir ainsi dévoyer son message, aussi bien par leurs actes que dans leurs paroles.



    L'hérésie est à l'œuvre, et nous prouve une nouvelle foi qu'il n'est point de salut, point de gloire en dehors des valeurs aristotéliciennes. Si nous ne les défendons pas aujourd'hui en Béarn, et demain dans tous les royaumes, nous faisons le jeu de la Créature Sans Nom et le malheur des Hommes.





    Puisse Saint Michel apporté la force et le courage dont ils ont besoin, aux fidèles béarnais,
    Puisse le Très-Haut avoir pitié des âmes des hérétiques,



Fait à Rome, le vingt-neuvième jour du mois de novembre, de l’an de grâce 1457.



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Lolotlse
L'archevêque revint ensuite à l'autel pour préparer l'Eucharistie. Il bénit le pain et le vin avant de reprendre la parole.

Christos, alors qu'il se savait condamné pour racheter les péchés des hommes dit :

Citation:
Mon corps va subir mille supplices, mais c’est pour que votre âme n’ait pas à les subir. Lorsque vous prierez le Très Haut, consacrez le pain et le vin de l'amitié, symboles de ma chair et de mon sang, afin de ne jamais oublier mon sacrifice pour vous.


Il prit une bouchée de pain et une gorgée de vin, puis tendit le tout à Martin avant de donner à chacun le pain de la réconciliation.



Après quoi il fit face une dernière fois à l'assemblée et ouvrit les bras en signe de bénédiction.

Au nom du Très Haut, d'Aristote et de Christos. Amen !

Allez en paix ! Et bon dimanche !


Les cloches sonnèrent pour annoncer la fin de l'office.
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Faguiang
Fagui s' approcha pour avoir le pain et se ré-installa à sa place
Fagui n' avait pas envie de partir de suite
Fagui ferma ses n' oeils et écouta le silence qui regnait ici

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Martin_tamarre
Le Père Martin_Tamarre prit le pain et le vin tendu par Lolotlse. A la fin de messe, il se plaça sur le parvis aux côtés de l'archevêque pour saluer les fidèles qui quittaient la cathédrale.

Tout le monde fut sorti quand il vit Fagui qui était resté assise. Il s'approcha donc d'elle et lui chuchotta.

Ma fille ? Tout va bien ?
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Faguiang
Fagui sursauta

Oh j' ai eu peur...


Fagui lui sourit

Oui Oui ne vous inquiétiez pas
Juste envie d' être au calme et réfléchir


Fagui secoua la tête, elle n' avait pas vraiment envie de parler
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Martin_tamarre
Le Père Martin_Tamarre sourit et laissa tranquille Fagui. Il en profita pour ranger tout ce qui avait servit pour la messe dominicale.
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Martin_tamarre
Citation:


Du sacrement du mariage et de sa préparation

Nous, Monseigneur Laurent de Nivellus, par la grâce du Très Haut
archevêque métropolitain de Sens et successeur des Apôtres,
faisons le triste constat que trop nombreux sont les jeunes
gens à s'engager dans le mariage trop rapidement et le
regrettent par la suite. La mariage est une institution sacrée
qui unit deux êtres qui s'aiment d'un amour vrai et désintéressé
et ce jusqu'à ce que la mort les sépare, aussi ne doit-il pas
être pris à la légère.

Nous décrétons donc qu'à compter de ce jour, toute demande
de mariage au sein de la province ecclésiastique de Sens
devra être suivie d'une préparation à recevoir ce sacrement,
afin que les fidèles faisant le chemin vers l'union sacrée en
connaissent les tenants et les aboutissants et s'engagent
ensuite en conscience.
Cette préparation sera effectuée avec le responsable de la
paroisse ou l'un de ses adjoints dans les locaux de l'archevêché
de Sens
.
Les fiancés ne pourront alors être unis dans le mariage qu'à
l'issue de la préparation et sur avis favorable du responsable
de la paroisse ou de l'évêque.

Rédigé et scellé à Sens, le 30 novembre 1457.



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Martin_tamarre
Il faisait frais ce matin et le ciel était gris, très gris. L'hiver approchait, le vent et la pluie avaient frappé les fenêtres du presbytère toute la veille et toute la nuit.

Le Père Martin_Tamarre se leva et se fît un rapide petit déjeuner. Il était tôt et il prit le temps de manger tranquillement.

Il passa ensuite sa tenue de cérémonie pour organiser l'office et passa par la petite porte qui séparait le presbytère, de la cathédrale.
Il prépara les miches de pain et le vin qu'il partagerait avec les fidèles pésents au cours de l'office. Il feuilleta ensuite le Livre des Vertus pour le laisser ouvert à la bonne page pour la lecture.

Tout était prêt. Il traversa alors la cathédrale et ouvra les portes de cette dernière. Il se mit sur le parvis et fit tinter les cloches dans tout Nevers pour appeler tous les fidèles à la messe dominicale.





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Emmaline
Emmaline apres avoir soigné ses animaux,fit un brin de toilette,mit sa robe noire car elle etait en deuil de son suzerain ,son mantel et se rendit a la cathedrale pour suivre l'office du dimanche.

Pour une fois ,elle etait a lheure et meme presque en avance puisque les cloches sonnerent lorsqu'elle passa le porche de la cathedrale.le pere Matin etait suspendu a sa corde et sautait comme un acrobate ,sa soutane voletant .



[Bonjour mon pere!!!!!
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Amalya27
Le vent était encore plus fort que les jours précédent, Amalya se rendait à l'office du dimanche, elle avait un mal fou à avancer le vent fouettait son visage et faisait virevolter sa robe. Pour couronner le tout voilà la pluie qui s'en mêlait, elle avait hâte de se retrouver au sec dans la cathédrale . Elle pressa le pas en entendant sonner les cloches.
Elle franchi le seuil d'un bond, heureuse d'être arrivée.


Bonjour ,mon père
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Isa_du_lac
Deane s'engouffra dans la cathédrale afin de venir prier et se receuillir.
Saluant les personnes qu'elle ne connaissait pas elle se mit sur un banc et mains jointes se receuilli quelques instant, après avoir été allumer une bougie pour qu'Aristote soit près d'elle lors de son baptême elle sortie guillerette et se dirigea vers la ville où elle avait rencontrée des gens bien agréable, dame Faguian, Frim et Giovani666.. Ils l'avaient bien aidés et avait aussi priez pour eux..
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"Que mon épée mène ta dance.."
Martin_tamarre
Bonjour mes enfants, entrez vous mettre à l'abri.

Il ferma ensuite les lourdes portes de la cathédrale et remonta l'allée jusqu'à l'autel. Il s'adressa ensuite aux fidèles.

Bonjour à toutes et tous et bienvenue en la cathédrale Saint Sylphaël de Nevers pour la messe dominicale.

Pour commencer cet office, je vous invite à prier et à demander pardon pour nos péchés.

Tout le monde se leva alors pour la prière quand le Père Martin_Tamarre leva les bras.





Maintenant que nous sommes libérés de nos péchés, récitons ensemble le Credo.


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Domi2309
La Garde épiscopale était de passage en ville et n'aurait bien évidemment raté l'office pour rien au monde.

Domi ainsi que jewak, Marges et Gbe, entrerent dans le Saint-Lieu.
Ils posèrent genoux terre et se signèrent en signe de respect aux Très-haut.
"Ils se devaient de le remercier d'avoir veiller sur leur groupe et les avaient protèger jusque Nevers"
Chaque garde récita son credo comme appris par ses pairs,
ils purent ensuite suivre la messe et écouter attentivement la prêche du curé Martin_Tamarre.
Faguiang
Fagui arriva très en retard à la messe mais il y avait du travail en ce moment.
Fagui entra le plus discrètement possible et prit une place

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Martin_tamarre
Le Père Martin_Tamarre de Nivellus sourit à Faguiang et à la Garde Episcopale qui faisaient leur entrée dans la cathédrale discrètement.
Le récit du Credo étant terminé, il s'adressa à l'assemblée en leur faisant signe de s'asseoir pendant la lecture.


Tout d'abord, j'aimerai que vous réserviez votre meilleur accueil à la Garde Episcopale qui est de passage dans notre village et que j'ai l'honneur d'accueillir aujourd'hui dans notre cathédrale.

Aujourd'hui nous allons reprendre où nous nous étions arrêté la dernière fois dans la lecture de «La Pré-Histoire».

Le dernière fois, nous avons lu «Le travail» et expliqué comment Dieu avait ordonné aux hommes et aux femmes de travailler pour assurer leur subsistance et les éloigner de l’acédie. Nous allons aujourd'hui voir comment les humains se sont détournés peu à peu de l’amour de Dieu et aussi comprendre que consacrer un peu de son temps pour venir à l'office, le dimanche, pour prier, nous éloigne de l'acédie.

Il prit ensuite le Livre des Vertus et commença doucement la lecture du chapitre.



Citation:
Livre des Vertus --- Livre 1 : Le Mythe Aristotélicien --- La Pré-Histoire --- Chapitre III --- «L'acédie».

La société des hommes et des femmes était belle et raffinée.

Ainsi, ils apprirent à produire du vin à partir du raisin, après de longues années passées à tenter de saisir les subtilités de l’affinement d’une telle boisson. Ils découvrirent également comment brasser la bière à partir de l’orge et du houblon. Pour cela, ils inventèrent des fours à la taille impressionnante. Ils durent apprendre à travailler de concert afin d’arriver à de tels résultats. Mais aucun ne doutait que le jeu en valait la chandelle.

De plus, les arts et les sciences furent alors conçues pour les élever encore plus vers Dieu. Ils apprirent à composer de la musique, les chants devenant de plus en plus beaux et les instruments qui les accompagnaient de mieux en mieux conçus. Ils découvrirent les plantes qui soignaient les plaies et les maladies, afin que leur santé serve à glorifier le Très Haut plus longtemps. Ils inventèrent l’écriture, qui leur permit de conserver tout leur savoir pour les générations à venir.

Dieu était satisfait. Ses enfants se sublimaient dans la place qu’Il leur avait donnée. Mais Il savait que ce beau printemps allait voir les fleurs de la vertu se faner. Car la Créature Sans Nom ruminait encore et toujours sa rage et sa colère. Tapie dans l’ombre, elle attendait le moment propice pour prouver au Très Haut que la réponse qu’avait donnée Oane n’était pas la bonne. Elle persistait dans l’erreur, niant la force de l’amour et s’entêtant à concevoir la domination du faible par le fort comme le sens de la vie.

Mais toutes les inventions que les humains avaient créées rendaient leur labeur moins dur. Ils avaient de moins en moins de travail à faire et de plus en plus de fruits à récolter. Là où auparavant, il leur fallait un mois pour récolter du blé, il ne leur en fallait plus désormais que le tiers. Alors qu’ils ne pêchaient auparavant qu’un poisson tous les deux jours, ils en avaient dorénavant un par jour, parfois deux. Là où ils leur fallait jadis travailler chaque jour pour cultiver des légumes, il ne leur restait plus désormais qu’à récolter.

Et la principale des sciences n’existait pas encore. La théologie était inconnue de ces humains. N’ayant pas de clercs, il n’y avait encore personne pour se consacrer entièrement à Dieu. N’ayant pas de texte sacré, il n’y avait rien à étudier. La foi humaine était brute, en cela qu’elle n’avait pas encore d’intermédiaire. Mais cette apparente pureté de leur amour pour Dieu était justement ce qui allait les conduire à leur perte.

Les humains se laissèrent griser par la douceur de leur vie. Elle leur semblait si douce et si agréable qu’ils ne comprenaient plus l’intérêt de consacrer leur vie au travail. Chaque plaisir leur donnait l’occasion de négliger leur labeur. Ils aimaient le monde, mais ils l’aimaient pour lui-même, pas parce que Dieu leur avait donné, par amour pour eux. Ils se détournaient peu à peu de l’amour de Dieu.

Le premier péché fut ainsi involontairement découvert par les humains. Elle porta plus tard le nom d’acédie. Celle-ci consistait à se détourner de l’amour divin, de s’abandonner à la vie matérielle en négligeant la vie spirituelle, de se préoccuper de l’instant sans garder à l’esprit ce pour quoi Dieu nous avait conçus. Elle allait amener aux autres péchés, conduisant ainsi les humains à leur perte. Elle atteignit son comble lorsque le dimanche ne fut plus occupé à la prière, mais à la paresse.


A la fin de la lecture, il ferma délicatement le Livre des Vertus et le poussa dans un coin de l'autel.

Il prit ensuite le pain et en arracha quelques miches et versa le vin puis s'adressa à l'assemblée.

Comme à chaque dimanche, je vous invite maintenant, à venir partager ensemble le pain et le vin, symbole de l’amitié Aristotélicienne.
Prions ensemble au moment de ce partage, prions le Seigneur pour ses biens faits, pour son amour et sa grande générosité.


Il communia et se plaça devant l'autel, face aux fidèles.


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