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[RP] La Cathédrale Saint-Sylphaël de Nevers (delestage)

Alienore_de_vel


Alienore priait chaques jours pour sa mère disparue, Samsarah ne quitterait jamais le coeur de la jeune Ali.

Elle allait continuer à faire son deuil auprès de son père et de ses amis. Ali se voulait forte et essayait de ne pas montrer les larmes qu'elle voulait à nouveau verser en pensant à sa mère.

Elle s'assit à côté de son père la tête baissée cette cérémonie l'aiderait peut être à mieux accepter la mort de sa maman.
Teknor69
Teknor vit le père Martin s'approcher de lui, celui-ci lui murmurra quelque chose et Tek fit ce que le père lui avait demandé

Il se leva d'à côté d'aliénore et appella des passants qui l'aidèrent à porter le cercueil de Samsarah. Le cerceuil était blanc comme les roses qui étaient posées dessus. Teknor porta le cercueil à l'avant. Ils avancèrent à pas lents vers l'autel sous le regard des personnes présentes. Au bout de quelques instants , ils posèrent le cercueil devant l'autel à l'endoit que le père Martin avait désigné.

Jean, qui décidément n'était pas fait pour les cérémonies religieuses, ne pouvait pas entrer dans la cathédrale, mais il serait enterré malgré tout près de Samsarah.

Teknor remercia ceux qui avaient aidé à porter le cercueil, puis il s'installa au premier rang de façon à écouter le père Martin. Il regarda les roses blanches et tenait la main d'aliénore
Martin_tamarre
Le Père Martin_Tamarre ferma délicatement les portes de la cathédrale quand le cercueil fut déposé et que chacun avait pris place.

Il passa alors dans l'allée en priant et en reprenant avec les fidèles présents.


Après tous nos regards qui ont croisé le sien, qu'elle puisse enfin voir le tien Seigneur.
Les fidèles : Seigneur ne détourne pas ton regard de notre amie.

Après l'amitié qu'elle a reçu et qui a guidé sa vie, accorde lui l'amitié ultime qu'est la tienne Seigneur.
Les fidèles : Seigneur ne détourne pas ton regard de notre amie.

Après les peines et les larmes qui ont obscurci sa vie, illumine sa route pour l'éternité.
Les fidèles : Seigneur ne détourne pas ton regard de notre amie.

Seigneur, nous tournons vers toi nos espoirs à l'heure où disparaît le corps de l’amie qui nous est cher.
Accorde-nous l'espérance de la revoir auprès de Toi pour des siècles des siècles.


Amen

Approchant du cercueil, il alluma, en silence, les cierges autour de celui-ci.

L'Amitié est la lumière du monde, c'est la flamme qui réchauffe notre cœur. Qu'elle éclaire maintenant la route de Samsarah qui la conduit maintenant au Royaume de Dieu !

Il déposa ensuite la médaille aristotélicienne du fidèle sur le cercueil.



Samsarah, nous déposons cette croix aristotélicienne sur ton cercueil.
Cette croix est le signe qui relie Aristote et le Christ, qu'elle soit pour toi signe de salut et de vie éternelle.


Il chercha ensuite du regard un ou une amie de Samsarah, pour lui indiquer de déposer la corbeille de l'amitié sur le cercueil.

Samsarah,nous déposons ces présents sur ton cercueil, signe de notre amitié, signe de notre prière, signe de notre cœur.

Cet enterrement nous rappelle plusieurs choses :
Le souvenir d'une Amie aristotélicienne qui vient de nous quitter. D'une femme qui avait une histoire, unique, avec Dieu. Qui était entourée de tendresse par Dieu. Qui a fait, ou non, l'expérience de cette tendresse.
Nous voici nombreux dans cette cathédrale, autour de Samsarah, pour prendre conscience de ce lien d'amour qui l'unit à Dieu, qui unit Dieu à chacun de nous, à tout instant.
La mort viendra pour chacun de nous. Pour les uns tôt, pour les autres plus tard. Pour les uns dans leur jeunesse, pour d'autres dans leur vieillesse.
Le Seigneur nous prévient : "Soyez prêts, soyez toujours prêts car vous ne savez ni le jour ni l'heure".
Aristote nous a guidé et Christos nous invite à prendre exemple sur lui, à trouver notre joie à vivre pour les autres, à aimer comme ils nous ont aimés.
Notre présence ici est prière. Nous invoquons Aristote pour qu’il mesure les péchés de notre soeur et que Christos intercède auprès du Seigneur pour qu’il la reçoive en son Paradis.

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Emmaline
Le pere tintamarre commenca la priere,Emma et tous les fideles reprirent apres lui :

Seigneur ne détourne pas ton regard de notre amie.

le pere fit ensuite un signe pour que qu'elqu'un prenne la corbeille.
Emma s'avança,prit la corbeille de l'amitié et la deposa delicatement sur le cercueil entouré de cierges allumés .
Elle revint ensuite a sa place discretement pour ecouter la suite de la céremonie .

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Teknor69
Seigneur ne détourne pas ton regard de notre amie.

Teknor tenait la main d'aliénore et son regard ne quittait pas le cerceuil blanc .

Emma avait prit la corbeille de l'amitié selon les consignes du père , cela le faisait sourire , car il constata que samsarah était toujours présente dans le coeur de certaines personnes
Martin_tamarre
Le Père Martin_Tamarre passa ensuite derrière l'autel, face au cercueil et ouvrit le Livre des Vertus.



Citation:
Livre des Vertus --- Livre 1 : Le Mythe Aristotélicien --- L'éclipse --- Chapitre VII --- «Le Paradis».

Les sept anges se tenaient face à moi. Ils arboraient un grand sourire plein de gentillesse que venait souligner leur regard plein de tendresse. Pour la première fois depuis que j’avais laissé mon chien seul dans le champ, je me détendis et m’emplis de la sérénité qu’ils dégageaient. Ils m’aidèrent à me lever et Michel, le plus robuste, me fit monter sur son dos. Je rougis à l’idée de chevaucher un Archange comme un cheval. Mais ils rirent tous, voyant la gêne s’afficher sur mon visage. Ces rires n’étaient pas moqueurs, mais pleins d’amitié.

Alors, sept grandes paires d’ailes magnifiques s’étendirent. Ils s’approchèrent du bord et se laissèrent tomber. Je hurlai de terreur, mais mon cri s’étouffa lorsque les Archanges redressèrent leur vol et s’envolèrent vers la soleil. Je pus voir sous moi l’ensemble de la lune et me promis intérieurement, si l’occasion m’en était donnée, de toujours vivre dans la vertu, suivant les préceptes d’Aristote et de Christos, afin de ne jamais plus retourner dans un endroit aussi sordide. Galadrielle me lança un sourire complice et me dit: “C’est bien. Tu as pris une judicieuse décision. Puissent les autres vivants faire la même.”

Je me demandai comment elle avait pu connaître aussi bien le fond de mes pensées. Mais mon esprit fut bien vite plutôt intéressé par le spectacle qui s’offrait à moi. Nous venions de quitter la lune et nous volions dans l’espace qui la sépare du soleil. Les étoiles s’offraient à mon regard comme autant de spectacles magiques. Je pouvais même discerner de nombreux autres astres dont je ne connaissais pas l’existence, ne pouvant être vus depuis le monde. Mais l’essentiel de ma vision était occupé par ce soleil immense, brûlant, que je n’avais jamais vu d’aussi près. Je me sentais comme une mouche face à une vache: minuscule.

Nous nous approchâmes si près de l’astre divin que des flammes de plusieurs lieues de long nous frôlèrent. Je me demandai si je n’allais pas partager avec les sept Archanges une bien funeste fin. Mais Michel, sur lequel j’étais toujours juché, me dit: “N’aie crainte et regarde.”. Je vis alors les flammes qui couvraient le soleil s’ouvrir, pour laisser place à un magnifique spectacle. Sous cette couche brûlante se trouvait ce dont j’avais entendu parler depuis ma plus tendre enfance, sans jamais savoir ce en quoi cela consistait : le Paradis!

Nous atterrîmes dans un lieu magique. Tout était baigné d’une douce lumière. Où que je regardais, je ne trouvais pas la moindre obscurité. A perte de vue, il n’y avait ni habitation, ni la moindre construction. Ceux qui avaient faim se servaient sur les arbres fruitiers. Ceux qui appréciaient les plaisirs de la détente s’allongeaient dans l’herbe. Des enfants jouaient innocemment, riant et courant à travers les hautes herbes. Les sept Archanges me prévinrent qu’ils devaient me laisser, leur mission étant terminée. Je les remerciai grandement et leur dis au revoir.

Je décidai de visiter ces lieux enchanteurs. Tous ceux que je rencontrais me souhaitèrent la bienvenue en me souriant. Je leur rendais leur sourire et les remerciais. Tout respirait le bonheur, la bonté et la joie. Alors que je m’approchai d’une petite fontaine où l’eau semblait si claire que je ne résistais pas à l’envie de m’y désaltérer, je vis deux hommes discuter. Ils me remarquèrent et me firent signe de venir. J’eus alors en face de moi rien de moins qu’Aristote et Christos. Ils m’accueillirent avec la plus grande gentillesse. Ils me demandèrent si les lieux me plaisaient et si j’avais fait un bon voyage. J’étais si ému que je ne savais pas quoi répondre. Je bafouillai quelque vague parole, alors que j’essayai encore de réaliser qui se trouvait devant moi. C’est alors que j’entendis une voix.


Il referma ensuite le Livre des Vertus et s'adressa à l'assemblée.

Samsarah, ta vie parlera pour toi lors du Jugement.

D'autres ici t'ont bien connus, je leur cède bien volontiers la parole, s'ils le désirent.


Il regarda l'assemblée pour voir si quelqu'un allait s'avancer jusqu'à l'autel pour dire quelques mots sur la vie de Samsarah.
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Emmaline
Emmaline regardait autour d'elle,personne ne semblait s'avancer,elle hesita,regarda Tek qui avait le regard plongé sur le cercueil puis se decida a retouner pres du cercueil pour dire un petit mot

Samsarah,

ou Sam ,c'est ainsi que je t'ai toujours apelée ,nous avons passé de bons moments en taverne toutes les deux, il y a deja bien longtemps, avant meme ta rencontre avec ton futur epoux Teknor.
Nous avons été confidentes a ces moments là, nous en avions des choses a nous raconter . La vie est bizarre, certains evenements ont fait que nous nous sommes un peu brouillées , je dis juste un peu car pour moi, tu es toujours restée une amie ,nous avons su nous expliquer et depuis que tu etais partie a Murat,nous nous sommes encore fait quelques signes , je savais que tu etais tres devouée au sein de la COBA, tu me racontais un peu ton activité la bas ,et c'est la bas aussi que tu auras perdu la vie sur un champ de bataille
Tu etais beaucoup trop jeune pour cela.
Sam,tu a une fille adorable,qui te ressemble beaucoup et qui est tres courageuse ,tu peux etre fiere d'elle . Si Ali a besoin ,sache qu'elle est bien entourée et que son papa veille bien sur elle .
Repose en paix Sam.


Emmaline reprit sa respiration,sa voix etait chevrotante puis elle continua en prenant sur elle

je connais une histoire que j'aime beaucoup,c'est pour toi Sam et pour toi Ali :


Petit renard a dit:
"Mais quand on sera mort que va-t-il se passer ?
M'aimeras tu toujours ?
Estce que l'amour ça reste ?"
Sa maman l'a bercé contre elle tandis qu'ils regardaient la nuit,
la lune dans l'obscurité ,
les étoiles qui brillaient.
"Regarde, Petit renard , les étoiles comme elles, scintillent et étincellent.
Certaines sont mortes deuis longtemps.
Mais elles continuent de briller dans le ciel du soir ,
car vois-tu, Petit renard ,
l'amour comme les étoiles ne meurt jamais ..."


Emma avait des larmes qui coulaient sur ses joues
Elle regagna sa place en baissant la tête

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Faguiang
Fagui arriva en retard mais arriva quand même
Fagui s' avança et prit la place d' Emma qui venait de prendre la parole.


Bonjour à tous,
Aujourd' hui nous sommes là pour Samsarah.
Que ce soit pour notre amitié ou notre amour envers elle.
Je parle en mon nom moment et en celui de Gaëtan,qui ne peut être présent malheureusement.
Sam était pour nous une amie chère et une personne de qualité.
Tout ça tout ses ami(e)s le savent.
Je n' ai trouver qu' une chose pour l' illustrer


Fagui sortit un papier , le déplia et commença à lire

Citation:

Yäkël,

Un matin de printemps,
En allant au marché,
Tu as trouvé à l'abri du vent,
Finement tressé un panier.

Dans deux langes bien noués,
Ma sœur Noky et moi on gazouillaient,
Sans une seconde hésitée,
Tu nous as adoptées.

A l'abri de ton cœur,
Nous avons grandit,
A l'abri du malheur,
On s'est épanouies.

Tu nous as toujours protégées,
Tu nous as tout donné,
De l'amour, de la joie,
On manquait de rien sous ton toit.

Nous étions uniques à tes yeux,
Tu ne vivais que pour nous,
Longtemps tu t'es refusée,
A te faire courtiser.

A nos yeux innocents,
Tu étais une mère tout simplement,
Jamais un instant nous avons pensé,
Que tu étais une femme qui ne méritait pas d'être aimée.

Notre éducation achevée,
Tu nous as mariées,
Alors à ton tour,
Tu as songé à l'amour.

Sinus un homme merveilleux,
S'est épris d'amour pour toi,
Il est si beau à tes yeux,
Il te passe la bague au doigt.

En voyage de noce,
Ton cœur s'est éteint,
Une mort précoce,
T’as prise par la main.

Aujourd'hui mon âme a mal,
Mon âme pleure,
Aujourd'hui mon cœur saigne,
Je me sens seule.

Je t'en veux tu m'as laissé,
Tout est triste sans toi à mes cotés,
Je m'en veux je n'ai jamais pensé,
A te dire combien je t'aimais.


Ce poème a été écrit par Sam en Août 1456 et aujourd'hui il reviens de droit à sa famille.

Fagui s' avança devant Tek et Ali et leur tendit le papier.


Ils vous revient de droit.
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Teknor69
Tek prit le message et sourit à Fagui, il la remercia , puis il regarda ali ...et se décida à avancer à son tour vers le cercueil

Chère Sam,

Tu es partie ailleurs
Dans un pays que l'on dit meilleur
Aujourd'hui il fait froid dans mon coeur
Et celui-ci pleure de douleur

Je me souviens de notre première baignade en amoureux,
De tous nos instants merveilleux
Tu as été une femme exemplaire
Avec qui j'ai eu une vie extraordinaire

Malheureusement le temps en a décidé autrement
Et te voilà partie à présent
Si je pleure aujourd'hui de t'avoir perdu
Je me réjouis de t'avoir connu

Nul ne connait réellement à quel point on s'aimait
Mais sur Aliénore je veillerai
Aujourd'hui encore je pleure
Pleure avec mon sang, et avec mon coeur

Je pleure des larmes de verre
Et lorsqu'elles atteignent la terre
Cela fait une musique
Angélique et fantomatique
L'air en est toujours le même
Un air qui raconte l'histoire
d'une femme à l'ame éphémère
qui tombait à genou pendant la guerre
Blessée dans le dos par un homme
aveuglé par la cause de son royaume

Aujourd'hui tu viens de mourir pour la première fois
Mais tant que tu seras dans nos mémoires
Tu seras toujours vivante quoi qu'il en soit
Et nous disons juste aurevoir


Tek posa ses lèvres sur le cercueil, puis retourna près d'ali
Martin_tamarre
Le Père Martin_Tamarre regarda dans l'assemblée et il semblait que toutes les personnes qui désiraient intervenir, l'avaient fait.

Après ces quelques paroles, il est temps à présent de nous remémorer sa vie et les choses qu'elle a faites, afin que Samsarah ne tombe pas dans l'oubli, et reste au fond de nos coeurs.

Il fit une pause puis reprit.

Que la flamme que porte ce cierge soit le symbole d'une pensée pour elle, qui s'élève vers le ciel pour lui signifier là où elle est, que nous ne l'oublions pas.

Il alluma alors un cierge et le posa parmi les autres qui étaient près de l'autel.



Ceux qui le désirent, peuvent venir lui dire adieu et déposer à ses côtés des fleurs ou allumer un cierge à sa mémoire.
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Faguiang
Fagui alluma un cierge pour Sam et attendrait plus tard pour l autre, ce n' était pas le moment.



Je ne te dis ps Adieu Sam.. car je sais que tu es toujours là à veillé sur tes ami(e)s.
On se reverra un jour..


Fagui retourna s' asseoir
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Teknor69
Teknor avait déjà fait et dit ce qu'il avait à dire, alors il attendait patiemment
Martin_tamarre
Avant de quitter la cathédrale, nous allons dire un dernier adieu à notre soeur Samsarah. Avec respect et affection, confions-la à Dieu dans l'espérance de nous retrouver un jour auprès de Lui.

Il indiqua ensuite aux personnes qui devaient porter le cercueil de le soulever pour sortir de la cathédrale en direction du cimetière.

Avec tous ceux qui nous ont précédés et qui vivent déjà auprès du Seigneur, avec l'immense cortège des saints, nous lui souhaitons un bon dernier voyage à son enveloppe charnelle.

Il sortirent tous de la cathédrale pour se diriger vers le cimetière qui était à côté de cette dernière. Le Père Martin_Tamarre fit signe aux porteur du cercueil de Jean_de_Vel de suivre celui de Samsarah.
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Xeresiv
Bien emmitouflée dans sa cape, Xérèsiv marchait d'un pas assuré en direction de la Cathédrale.
Elle y pénétra et s'avança dans la nef jusqu'au coeur, où elle s'agenouilla pour se recueillir longuement.

Elle aimait ce lieu, calme, reposant, propice à l'introspection.
En ce jour de Noël, ses pensées étaient pour tous ses amis,
ceux avec lesquels elle partageait tant de merveilleux moments,
ceux aujourd'hui disparus, ceux avec lesquels elle aimerait être à cet instant ...

Elle se releva et alluma un cierge en mémoire de Tytiverny ...
Elle le déposa parmi les autres cierges près de l'autel.


Toute sa pensée était pour Tity ...
Il était temps pour elle de lui dire au revoir et de regarder vers l'avenir.
Elle regarda la flamme danser et vaciller, semblant s'éteindre pour mieux s'intensifier.
Tu restes vivant en moi à travers nos souvenirs.
Adieu Tity, repose en paix.


Xérès sortie de la cathédrale.
Arrivée sur le parvis, elle s'arrêta un court instant se laissant saisir par le froid de l'hiver.
Xérès laissa son regard se perdre loin devant elle, puis elle pris une grande inspiration et repris le chemin de sa demeure.

Demain, elle reprenait la route ... Elle n'avait que trop attendu.
Bientôt elle serait auprès de Rem ... Elle s'était faite assez attendre.

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"Fais-toi pardonner ta puissance par ta douceur : mérite d'être aimé, redoute d'être craint "
Chilon de Sparte.
Martin_tamarre
Le Père Martin_Tamarre se leva ce matin là très tard. Une nuit agitée à cause de problèmes intestinaux. Il avait bien profité des fêtes de fin d'année que ce soit en nourriture qu'en liquide et son organisme n'avait pas suivi.

Il se prépara et passa par la porte qui séparait le presbytère de la cathédrale. Il regarda ensuite si tout était en place et il se dirigea vers la double porte.

Il ouvrit et eut un frisson quand le froid entra dans la cathédrale. Le ciel était tout bleu et il faisait un grand soleil mais ce dernier n'arrivait pas à réchauffer la peau. Le vent froid était bien présent.

Etant sur la parvis, il se tourna vers les cloches pour sonner le rassemblement des fidèles nivernais pour la messe dominicale. Il resta là pour les accueillir.





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