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[RP]Chez Eowynn de Galway dicte Amazone1ere

Amazone1ere
Eowynn était perdue dans ses pensées quand elle sentit le regard de Captainrad. Elle se tourna lentement vers lui. Ne la regardant pas dans les yeux elle en profita pour l'observer. A la faveur de la beauté de ce qu'elle voyait, elle comprit qu'elle était irrépressiblement attirer par cet homme. Chacun de ses sens étaient en émoi. Son regard, la musique de sa voix, ses silences, son odeur la touchaient et atteignaient son coeur qui saignait. Elle en était ébranlée mais pour rien au monde elle lui laisserait voir une once de cette attirance. Enfin elle essaierait de se contrôler. Mais ô combien difficile! Dès qu'elle le voyait, un trouble s'immisçait en elle. Elle le trouvait beau, de cette beauté que l'on peut trouver entre la sensibilité et l'intelligence, entre le corps et l'esprit.

Elle continua de l'observer quand il interrompit ses pensées par ces mots :


Vous êtes belle ma dame

Une chaleur lui monta aux joues. Elle sut qu'elle rougissait. Soudain leur regard devint intense. C'était un de ces moment où les coeurs semblaient vouloir se donner mutuellement, un de ces moments qui dure une éternité, un de ces moment qu'Eowynn avait bien cru ne plus jamais pouvoir revivre. Rien qu'à cette pensée, elle baissa la tête. Elle était tiraillée par son désir brûlant de l'embrasser et le désir de fuir au plus vite loin de son trouble. Elle commençait à perdre pied, à ne plus savoir où aller. Comment arrivait-elle à ressentir cette attirance happante et être encore dans sa souffrance d'avoir perdu Léo? Léo, cet homme qu'elle n'arrivait pas à oublier sans sa bouteille, disparaissait à la vue de cet homme venu de Bourgogne.

Assise au bord de la Meurthe, Eowynn était transporté par le regard que Captainrad lui portait. Elle se sentait belle à travers ses yeux, désirable et unique. Comme s'il n'y avait qu'elle a cet instant précis! Elle avait tant besoin d'affection, de tendresse qu'elle se laisserait aller si sa raison ne l'emportait pas sur son désir. Une véritable bataille entre le bien et le mal se tramait tout au fond d'Eowynn........... un rien pouvait la faire basculer dans un sens ou dans l'autre.

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Amazone1ere son vrai nom Eowynn de Galway
Captainrad
La belle n'avait pas dit un mot.

Elle avait baissé la tête, détournant son regard, ses deux pomettes empourprées, dévoilant le trouble qui la tiraillait.
Captain était déchiré entre l'envie de lui faire toutes les confidences qui lui brûlaient les lèvres et celle de se taire et de profiter de cet instant. Il ne voulait pas tout presser, tout bousculer, mais il avait tant envie d'elle! Tout son corps brûlait du désir de la prendre contre lui, de l'embrasser, d'enfouir sa bouche aux creux de son cou, de s'ennivrer aux effluves de ses lèvres, de se noyer dans cette chevelure de feu. Cependant, tel un petit oiseau timide, un seul mauvais geste et la belle pouvait s'envoler.
Dieu, qu'il est dur de se battre contre un fantôme, pensa Cap, alors qu'il devinait plus ou moins la raison de cette candeur.

N'y tenant plus, il prit délicatement une méche rousse, qu'il accrocha derrière l'oreille d'Eowynn. Ce bref contact physique, cette sensation de cheveux coulant entre ses doigts, cet infime frôlement de sa peau, lui firent tressaillir de tout son être. Sans pouvoir s'en empêcher, l'index suivi le contour de l'oreille, la courbe du cou, le fait des épaules avant qu'il eut la volonté d'enlever sa main.


Laissons le passé s'écouler sereinement comme le fait cette rivière. Ce qui est fini n'est plus et plus jamais ne sera. Le temps arrive à bout de toutes les blessures, si on le veut bien.

Relevant d'un doigt le visage de la belle, il la vérouilla ses yeux dans les siens. Les deux émeraudes étincelantes le fixaient désormais. S'il était des mers dans le monde où les eaux fussent de cette nature, il s'y noyait à présent. Son visage, ses lèvres, étaient si proches et si désirables qu'il ne peut cacher plus avant ses sentiments.

Eowynn, je vous aime. Je vous aime et vous désire. Je crois que vous le savez. Je suis entièrement à vous...mais ce choix reste vôtre.

Tout se bousculait dans la tête de Captainrad : elle allait le rejeter, partir. Il devait avoir presque dix ans de plus qu'elle, comment pourait-elle l'aimer ? Il était comme un supplicié qui attendait, pendu à ses lèvres, le verdict de sa sentance.
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CaptainRad de Contrebattry,
Ex-Maire de Tonnerre,
Négociant et marchand ambulant,
Caviste Bourguignon.
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Horeykhlem
HK, de passage à Nancy avec Cléo, n'aurait voulu pour rien au monde ne pas passer chez son amie Ama Eowynn ...
Quand il arriva, il entendit une voix d'homme qu'il ne connaissait pas ... Cela lui rappela une de leurs rencontres, en Bourgogne, quand il s'était battu aves son charmant de l'époque. Il sourit ...

L'homme dit :


Citation:

Vous êtes belle, ma dame.


HK ne put s'empêcher de penser que cet homme-là avait bien raison ...

Puis il l'entendit encore dire :


Citation:

Eowynn, je vous aime. Je vous aime et vous désire. Je crois que vous le savez. Je suis entièrement à vous...mais ce choix reste vôtre.


HK se dit qu'il n'arrivait peut-être pas au bon moment !... puis il se rassura en se disant que, normalement les amis étaient toujours les bienvenus ... à condition de rester discrets.

Il posa donc un p'tit mot sur la porte d'Eowynn


HK a écrit:

Salut, toi ...
J'voulais te faire la surprise, passer te dire un p'tit bonjour ... mais j'entends que des surprises tu n'en manques pas ...
Je ne reste à Nancy que la journée, je suis heureux pour toi de ce que j'entends .... fais le bon choix, sois heureuse, et viens nous voir quand tu veux ...
HK


Il relut son courrier, le plia, l'accrocha dans la poignée. Un peu déçu de ne pas voir embrassé cette Rousse-là, il se dit qu'il allait se consoler avec la bouteille de mirabelle qu'il avait dans la poche ...
Amazone1ere
Eowynn se laissa envahir par la volupté et la sensualité de cette caresse. Elle apprécia intensément ce moment et regretta presque quand il retira sa main. Puis sa voix, douce et viril, ce regard qu'il verrouilla dans le sien la fit rougir. Et ces mots.... :

Eowynn, je vous aime. Je vous aime et vous désire. Je crois que vous le savez. Je suis entièrement à vous...mais ce choix reste vôtre.

Des mots qui la transpercèrent telle une flêche de Cupidon. Un soupir de plaisir sortit de la bouche d'Eowynn. Son coeur battait violemment dans l'affolement du désir. De simples mots mais des mots qui augmentaient la saveur de ce désir, l'ivresse des sens..... Comment y résister? Elle était dans un état extatique, totalement perdue entre rêve et réalité.

Son visage était si proche du sien qu'elle pouvait sentir son souffle, son parfum enivrant. La tensoin d'Eowynn était palpable. Elle était troublée au delà du raisonnable. Elle avait une folle envie de déposer ses lèvres sur les siennes, le respirer, le goûter. Tout était calme, la nature ne voulant pas déranger cet ultime émoi, ne pas trahir l'intensité du moment.

Eowynn ferma les yeux. Ne plus le voir pour ne plus être tenté! Et pourtant le visage d'Eowynn se rapprochait de plus en plus de celui de Captainrad........des lèvres qui glissaient sur celles du marchand, un coeur et une respiration qui s'accèleraient, une tension qui montait et prècédait le plongeon, moment unique où elle s'approchait du précipe, ce vide abyssale de la luxure. Eowynn était à la limite de la résistance pouvant nuire à sa réputation. Ce pur instant était indéfinissable.

Eowynn déverrouilla ses dernières résistances et lâcha prise. Leur baiser se fit plus passionné; leur corps se rapprochèrent, une main s'appyant sur la nuque. Elle s'abandonna dans cette étreinte laissant leur bouche, leur sens, leur soupir se mélaient....


Non!!! Pas ici§§§ Pas maintenant!!!

Elle se leva précipitament entraînant Captainrad dans sa course folle jusqu'à sa maison. Elle mit la main sur la poigné quand elle sentit un morceau de parchemin. Elle le prit et lut. C'était une missive de son ami HK qui lui annonçait qu'il était passé par là. Elle regretta de l'avoir manqué, pour une fois qu'il venait à Nancy. Mais elle aurait bien l'occasion de le revoir. Puis elle se tourna vers Captainrad et planta ses yeux dans les siens.
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Amazone1ere son vrai nom Eowynn de Galway
Captainrad
Ils étaient là, debouts, l'un face à l'autre, les bras balants et leurs regards unis dans un duel de volonté : ce serait à celui qui ferait le premier pas, qui oserait. Derrière Eowynn, le lit trônait comme un autel sacrificiel, intimidant témoin de ce qui allait se passer.

Cap posa une main contre la joue de sa belle, elle sourit, penchant le visage vers la caresse encore sage, mais ne le quittait pas du regard. Alors, avec autant de précaution que de fébrilité, la main jusqu'alors innocente descendit vers le corsage, là où une petite cordelette de cuir enfermait une poitrine devenue trop enserrée. Délicatement, le noeud fut défait et Cap tira lentement sur le lacet, libérant les seins captifs du carcan de velour qui les oppressait, sans toutefois les livrer au regard de leur sauveur.

Ce simple geste avait changé le regard d'Eowynn...il était droit, fier et gourmant, incitant CaptainRad a pousser plus avant la découverte. Mais il voulait prendre son temps et ne rien hâter de ce moment. En souriant, il fit le tour de sa partenaire qui ne put cacher une légère surprise. A présent, il était derrière elle et il colla son corps contre le sien, l'enveloppant de ses bras. Alors qu'elle penchait la tête en arrière, Cap enfouit son visage dans les épaules de la rouquine, s'ennivrant de son parfum et déposant au creux de son cou un baiser, puis deux, puis trois. Il la dévorait litéralement, alors qu'il sentait la poitrine de la belle se soulever plus rapidement qu'alors, haletante qu'elle fut sous les lèvres du marchand.

Soudain, le visage toujours enfoui sous la chevelure de cuivre, Cap laissa courir ses mains le long du cou vers les épaules de sa dame, accrochant au passage les bretelles de la robe. La légère étoffe verte glissa le long du corps de la belle avant de mourrir aux pieds d'Eowynn dans un froissement joyeux. Dos à lui, elle était à présent nue.

Les yeux fermés, à l'aveugle, Cap parcourait maintenant de ses mains le corps ainsi découvert. La respiration profonde et rapide de sa partenaire témoignait de son désir et l'incitait à explorer les merveilles offertes. Du bout des doigts, il lisait les moindres volutes du corps d'Eowynn, les vallées et les monts, les sillons et les creux, déclanchant, au hasard des caresses, des soupirs de plaisir à sa demoiselle.

Alors, doucement, il la retourna pour profiter en pleine lumière des trésors que ses mains avaient dévoilés. Comme elle était belle ainsi : debout, nue, triomphante dans sa sensualité première. D'un geste, il fit voler sa chemise et fut bientôt dans la même tenue qu'elle. Il restèrent ainsi quelques temps, l'un contre l'autre enlacés, s'embrassant à s'en brûler les lèvres avant qu'il ne l'attire à lui, et qu'ils churent ensembles dans le lit grand ouvert.

Le soleil resplendissait par les fenêtres alors qu'ils s'unirent pour la première fois. Lorsqu'enfin leurs corps se séparèrent, reposés et délassés d'amour partagé, la lune était déjà levée et la petite maison était toute entière jetée dans la pénombre.

Devenant à peine les courbes d'Eowynn dans la noirceur d'une nuit de printemps, Cap lui murmura à nouveau au creux de l'oreille :


Je vous aime.

Elle était déjà endormie.
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CaptainRad de Contrebattry,
Ex-Maire de Tonnerre,
Négociant et marchand ambulant,
Caviste Bourguignon.
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Amazone1ere
Sa peau se granula quand Eowynn se retrouva nue sous les mains expertes de Captainrad. Vulnéribilité et excitation quand celles-ci voyagèrent sur les courbes harmonieuses de la belle Amazone. Doucemment il la retourna. Elle fut troublée par le regard gourmand et dévoreur du beau marchand. Un regard qu'elle eut quand celui-ci se déshabilla. Leurs corps ainsi mis à nus s'enlacèrent et leur langue semblaient ne jamais se délier jusqu'à ce qu'ils churent sur le grand lit.

Eowynn sentit la passion de son désir sublimait par les caresses audacieuses des mains, des lèvres de son bel amant. Leurs corps se mélèrent encore et encore dans une gymnastique charnelle. Leurs sens étaient exaltés, leur battement de coeur, leur souffle en totale harmonie. Ils se goûtèrent, se dévorèrent. Ils ne s'accordèrent aucune trève dans cette danse sensuelle et effrénée jusqu'à l'extase assouvissement de leurs corps éreintés.


Je vous aime


Phrase accompagnant le sommeil réparateur de ce terrible plaisir de la belle endormie.
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Amazone1ere son vrai nom Eowynn de Galway
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