Sir_shlomo
Shlomo resta perplexe quand à l'intervention du prévost des maréchaux qui était aussi inutile que déplacée. Il se demanda alors si l'individu allait être poursuivis en justice...
Shlomo était fatigué de ce simulacre de procès, de ce procureur qui ne pouvait se contenter d'une tablette pour ses notes et devait déménager dans un boucan infernal son bureau, de l'attente interminable.
Il se leva donc décidé à en finir une bonne fois pour toute, il avait avancer quelques pions pour le moment mais gardait ses derniers coup pour la fin, une leçon de justice qui resterait il l'espérait dans les anales.
Figure de style diront certains, exagération pour d'autres, il se leva d'un bond laissant apparente sa broche avec la fleur sacrée scintillante sous les raies lumineuses. Il fit un tour sur lui même souriant à l'assemblée et rigolant en voyant les hommes et les femmes présentes aveuglés par le reflet du soleil sur la fleur.
Aujourd'hui il le savait il était hors de danger, la tempête était passée, laissant les débris dans les fonds marins. Il reconnaissait en l'immanent et sa nature la toute puissance à laquelle il inspirait, la pureté qu'il recherchait et cette liberté que peu d'humain peuvent se vanter de vivre vraiment.
Il entrouvrit la bouche, puis la referma pour l'humidifier d'avantage...et il se lança.
PAR NOTRE EXISTENCE FINIE ET PASSANTE, PARCELLE DE L'IMMANENT, NOUS SIR SHLOMO ADMOR DE L'UNION SPINOZA ACCUSONS !!!
Accusons le témoin d'avoir mentis, proférer des ignominies sur notre personne. Avoir tromper le barreau Toulousain par un témoignage fallacieux et persister à nier son mensonge.
Accusons le fait que les pseudos preuves n'ont aucunes valeurs légales, et n'incriminent en rien ma personne. Et que de facto elle n'ont point leur place ici-lieux.
Accusons la procure d'avoir demander une peine exorbitante correspondant à un crime, alors qu'il s'agit supposément d'un délit. A rappeler que c'est un TOP et non une trahison....
Accusons le vice de procédure par la transgression aux articles suivant :
--Art. 234-63 - Des droits de la défense et de l'accusation.
--234-75 - Déroulement.
En effet les document que nous avons montrer à l'assistance ne devait être qu'entre les mains du juge...et non visibles à tous ainsi que le dit la Loi. De plus le procureur à prit...une semaine pour faire son réquisitoire alors que la Loi prévois un délais maximum de deux jours...c'est honteux.
Accusons l'Archevêque Oiselle d'avoir outre passé ses droits, car n'ayant point autorité sur le diocèse de Rodez sa décision de remettre l'affaire au comta Toulousain n'a aucune valeur légale...aussi bien temporellement que religieuse. De plus aucun dossier n'a été transféré à l'Archevêque de Rodez ni aux institutions du dit diocèse...Il est bon de rappeler de même que sa fonction au sein du conseil couplée avec celle au sein de l'Église ne l'autorise point à trancher les décisions qui on étés prises, car malgré tout son autorité ne peut aller à outre le découpage diocésain.
Nous ne demandons point clémence, nous demandons à ce que la justice soit faite avec rigueur et ... justesse et que donc la relaxe soit prononcée. Nous ne sommes pas un chien auquel il suffit de lancer un os puant pour le calmer. Nous sommes libre !!!
Voila messer le juge nous croyons avoir dit la plupart des choses...même si il en reste. Nous demandons donc la relaxe...nous espérons pouvoir compter sur votre clair voyance..., si la décision n'est pas celle-ci nous interjèterons appel, et nous déposerons quelques plaintes...
Merci à l'assemblée d'avoir écouter,
que l'immanent vous apporte la sagesse infinie.
Il alla se rassoir un peu nerveux de l'attente qu'il allait devoir subir, mais tellement plus léger dans son esprit.
_________________
> Grande Ecole-Havre Spinoza de France & du SERG francophone
> Union Spinoza>Forum2>Religion
Shlomo était fatigué de ce simulacre de procès, de ce procureur qui ne pouvait se contenter d'une tablette pour ses notes et devait déménager dans un boucan infernal son bureau, de l'attente interminable.
Il se leva donc décidé à en finir une bonne fois pour toute, il avait avancer quelques pions pour le moment mais gardait ses derniers coup pour la fin, une leçon de justice qui resterait il l'espérait dans les anales.
Figure de style diront certains, exagération pour d'autres, il se leva d'un bond laissant apparente sa broche avec la fleur sacrée scintillante sous les raies lumineuses. Il fit un tour sur lui même souriant à l'assemblée et rigolant en voyant les hommes et les femmes présentes aveuglés par le reflet du soleil sur la fleur.
Aujourd'hui il le savait il était hors de danger, la tempête était passée, laissant les débris dans les fonds marins. Il reconnaissait en l'immanent et sa nature la toute puissance à laquelle il inspirait, la pureté qu'il recherchait et cette liberté que peu d'humain peuvent se vanter de vivre vraiment.
Il entrouvrit la bouche, puis la referma pour l'humidifier d'avantage...et il se lança.
PAR NOTRE EXISTENCE FINIE ET PASSANTE, PARCELLE DE L'IMMANENT, NOUS SIR SHLOMO ADMOR DE L'UNION SPINOZA ACCUSONS !!!
Accusons le témoin d'avoir mentis, proférer des ignominies sur notre personne. Avoir tromper le barreau Toulousain par un témoignage fallacieux et persister à nier son mensonge.
Accusons le fait que les pseudos preuves n'ont aucunes valeurs légales, et n'incriminent en rien ma personne. Et que de facto elle n'ont point leur place ici-lieux.
Accusons la procure d'avoir demander une peine exorbitante correspondant à un crime, alors qu'il s'agit supposément d'un délit. A rappeler que c'est un TOP et non une trahison....
Accusons le vice de procédure par la transgression aux articles suivant :
--Art. 234-63 - Des droits de la défense et de l'accusation.
--234-75 - Déroulement.
En effet les document que nous avons montrer à l'assistance ne devait être qu'entre les mains du juge...et non visibles à tous ainsi que le dit la Loi. De plus le procureur à prit...une semaine pour faire son réquisitoire alors que la Loi prévois un délais maximum de deux jours...c'est honteux.
Accusons l'Archevêque Oiselle d'avoir outre passé ses droits, car n'ayant point autorité sur le diocèse de Rodez sa décision de remettre l'affaire au comta Toulousain n'a aucune valeur légale...aussi bien temporellement que religieuse. De plus aucun dossier n'a été transféré à l'Archevêque de Rodez ni aux institutions du dit diocèse...Il est bon de rappeler de même que sa fonction au sein du conseil couplée avec celle au sein de l'Église ne l'autorise point à trancher les décisions qui on étés prises, car malgré tout son autorité ne peut aller à outre le découpage diocésain.
Nous ne demandons point clémence, nous demandons à ce que la justice soit faite avec rigueur et ... justesse et que donc la relaxe soit prononcée. Nous ne sommes pas un chien auquel il suffit de lancer un os puant pour le calmer. Nous sommes libre !!!
Voila messer le juge nous croyons avoir dit la plupart des choses...même si il en reste. Nous demandons donc la relaxe...nous espérons pouvoir compter sur votre clair voyance..., si la décision n'est pas celle-ci nous interjèterons appel, et nous déposerons quelques plaintes...
Merci à l'assemblée d'avoir écouter,
que l'immanent vous apporte la sagesse infinie.
Il alla se rassoir un peu nerveux de l'attente qu'il allait devoir subir, mais tellement plus léger dans son esprit.
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