[Rp] Messe du 16 mai 1458

G_de_b

Les élections oui… Ne partons pas sur ce sujet n’Est-ce pas mon fils!

Puis il souri à Lefier

Des non-croyants? Je ne crois pas que cela existe a notre époque mon fils! Mais sachez en parlant du mariage civil qu’il n’existe pas de mariage civil, il n’existe qu’une pastiche de mariage qui n’a aucune valeur légal. Ceux qui pratique ce genre de sacrement sont des maires qui abuse de leur pouvoir, où plutôt l’aime trop! Ils aiment tellement le pouvoir qu’il s’empare de celui qui ne leur a jamais été donné!

Je serais heureux de vous faire suivre votre pastorale! Et d’ailleurs sachez que celle-ci a été raccourcit.

Et que en reparlant des élections, vous vous devez d’être obligatoirement baptiser selon l’article I alinéa 1 du concordat entre la Savoie et l’église.

C’est bête hein!

Il se mit à sourire.

Prenez ce verre mon fils, discutons en plus précisément!
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En 1458, Vous êtes croyant mon frère.

G_de_b

Guillaume qui avait bien manger, voyait que pour beaucoup c’était l’heure de la sieste d’après manger, la plupart se gargarisaient du trop plein de nourriture!

ET bien! Pour une foi on s’en est mis jusqu’en haut mon fils.

Tapant sur l’épaule d’Ambroise et de Lefier ensuite.

Bon aller! Je vais faire sonner la cloche! Comme ça tout le monde pourra rentrer cher soit!

ET aller en paix mes enfants.

Certain restèrent pour digérer mais il était silencieux et somnoler, et ceux qui avaient le courage, rentrèrent cher eux digérer.

La Cloche sonna dans tout les cas.

Demande de cloture pour passer à la prochaine messe

Merci à tous!

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En 1458, Vous êtes croyant mon frère.

Messe du 16 mai 1458

G_de_b

Le vicaire Diocèsain Guillaume De Baskerville était fraichement arrivé du bearn et il se rendit à la Grande église d'annecy pour superviser les préparatifs de la messe.
Peu de choses avaient été laissées au hasard.

Et bien mon fils (Ambroise) je te propose de participer à la messe de ce jour! Vous sonnerez la cloche?

Sans attendre la réponse il retourna a ses affaires.

Il avait donné les consignes de bien nettoyer l'édifice, de redisposer correctement les bancs, retirer les cierges presque consumés.
Poser quelques fleurs, de-ci, de-là. vicaire Diocèsain avait naturellement bien fait les choses... ca lui faisait chaud au cœur.

Il fut un peu impressionné par l'immensité de l'édifice vide et magnifique. Il avait plus l'habitude des églises paroissiales que des fastes.
Le soleil passait à travers les vitraux, éclairant le bâtiment initialement sombre avec des couleurs chatoyantes.

Le Vicaire diocésain s'assit quelques instants au premier rang, contemplant les formes irréelles se déplacer sur le sol.
A cet instant précis, il ne pensait à rien en particulier, laissant son esprit vide de toute chose.

Mais hélas cela était souvent de courte durée.
Bref, fallait plus traîner maintenant, il alla sonner les cloches.

Il se plaça alors sur le parvis, attendant les premiers invités ...

Guillaume avait passé la nuit à veiller pour les préparatif, son sermont avait prit une bonne partie de son temps. Mais il le fallait car pour les fidèles, ce jour était important. ce qui faisait qu'il n'avait pas la mîne très fraiche. Mais l'air frais du matin le reveilla et le soleil sur son visage fit circuler son sang dans ses joues, lui donnant quelques couleurs.

Il avait revêtu son uniforme d'apparat, arborant fièrement ses médailles de baptême ainsi que celle du prêtre. Il passa une superbe echarpe pour son sacrement, en broderie ouvragée. Il était prêt à affronter la foule des invités et à accuillir.

D'un seul coup, les cloches se mirent à sonner à la volées, appelant leurs amis à rejoindre la cérémonie, il sentit son coeur serrer dans sa poitrine et il il resta immobile, seul debout au milieu de la première marche, puis fit son entrée dans l'église avant que la foule ne s'approche trop et de sorte qu'il soit le premier à entrer.

ENTREZ MES FRERES ET SOEURS!!!! ENTREZ!!!!

Les épais murs de l'église faisait résonner son « Entrer ».

Il voulu que Ambroise aille faire sonner la cloche
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En 1458, Vous êtes croyant mon frère.

Ambroise_perrigny

Bien mon pesre je vays au clocher.

Ambroise alla donc direction le clocher, allumant au passage un cierge. C'estayt la premiesre qu'il allait faire sonner les cloches, mays il savait jà comment faire. Au clocher y avait-il une gravure par laquelle passait, à l'heure de la messe, des rayons du soleil. Ce systesme avait esté mis en place par frère Richard lors de la reconstruction de l'esglise. Ambroise attendit donc que le premier rayon de soleil touche ceste marque et la meslody des cloches desbuta, visant à rassembler les fidesles.

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Carpe Noctem
Sapere aude & vice versa : tace & audi.

Isys

En ce beau dimanche ensoleillé , Isys revenait de la caserne, quand elle entendit au loin le son des cloches. Cloches??? rho la la oui la messe.. L'ayant legèrement oublié

, elle se hata d'aller vers l'Eglise. Après tout elle etait baptisé, il etait de son devoir de faire acte de presence, et puis ca lui ferait une pause bien douce.

Arrivant sur le parvi, elle epousseta ses habits, et entra, se signant, puis alla s'assoir, prete a ecouter la messe

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Caraibe5

cara entra sen se vair remarquer et alla sasoir pour le debut de la messe juste avan de partir pour son voyage

Syerry

Finalement la garde des Royaumes eu décidé d'ouvrir la halle d'Annecy à cette femme qui voyage bien accompagnée.

Syerry eu tout juste temps d'entendre le clocher résonner de ses gongs et de se rendre à la hate vers l'église du village qui aura été village d'habitat pendant un certain moment, il y a longtemps.

Bref, tout pour dire, elle aura avisé les membres de sa lance de venir la rejoindre - si temps leur permettait mais bon, elle ne les voit pas donc s'aventure en solitaire vers le lieu de culte.

Hop hop, elle gravit les marche en prenant soins de ne pas trop barouetter l'enfant qui dort blotti dans ses bras. Elle entre et va laisser choir son arrière train à l'un des bancs derniers.

Ainsi fait, elle pourra assister à l'office pleinement et surement. Et peut-être même que certains amis chéris viendront et la verra assise là à espérer revoyure d'autrefois.

En attendant, elle regarde tout autour et voit une tête reconnue et bien connue. Bon sang, c'est Sapristi ! Elle sourit puis voit ensuite le messire Ambroise. Après l'office, avant le grand départ, elle ira les saluer comme il se doit ...

Prières pour son défunt époux s'en suit, en refermant le bleu de ses yeux ainsi que l'étreinte contre son fils Henri. Prières pour ses amitiés d'Annecy ensuite seront entamées, avant le début de l'office puis pour terminer, prières pour qu'Aristote puisse continuer de bien veiller sur elle et son rejeton chéri ainsi que les membres de sa lance qui voyage de part et d'autre au travers l'Empire ...
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Nayame

La première chose qu'elle fit ce matin là était de lire les courriers qu'elle avait reçu. Eh bien, pour un dimanche y avait de quoi lire! Cela changeait des autres jours. Il se passait quoi pour qu'on lui écrive autant à la Naya? Sirotant un lait chaud elle parcourait les missives. Le cœur en joie d'apprendre finalement de bonnes nouvelles, elle entama la dernière lettre. Rah pauvre Sapristi. Il est vrai qu'elle était peu présente ces derniers temps et n'avait pas eu l'occasion de le recroiser. Le peut de temps dont elle disposait c'était là qu'il n'était pas là. Enfin bref. Elle fit sa toilette et s'habilla à toute hâte. Direction l'église puisqu'apparemment une messe était prévue aujourd'hui si elle avait bien compris les dires du nouvel officiant. En cours de route elle entendit les cloches sonner. Effectivement il y allait bien y avoir un office aujourd'hui. C'est donc ravie qu'elle continua sa route en accélérant un peu l'allure jusqu'au parvis. Elle salua respectueusement le prêtre qui invitait à entrer. Regrettant de ne pas avoir eu l'occasion encore de le rencontrer. Elle se dit alors de ne pas oublier tout à l'heure d'aller le voir. Une petite chose qu'il avait écrit dans sa lettre l'intriguait et elle devait en avoir le cœur net. La grande porte franchit, elle cligna des yeux pour qu'ils s'habituent au changement d'éclairage et c'est avec stupeur et grande joie qu'elle vit dans les derniers rangs sa chère amie. Elle avait peur de ne pas la voir malgré les nouvelles reçues plus tôt dans la matinée. Elle se rapprocha alors de sa sœur de cœur en faisant un peu de bruits pour ne pas la surprendre puisqu'elle était yeux clos, en pleine prière.

Ma Sysy! Bonjour Bella! Comment vas tu? Une grosse bise se colla à sa joue avant de venir délicatement se poser au front du petit bout de chou qui trônait dans les bras de sa mère. Je suis si contente de te voir ici. Même si je sais que ce n'est que trop peu de temps. Mais n'en parlons pas. Profitons du moment présent. Elle s'installa auprès de la De Rosslyn qu'elle câlina chaleureusement avant de lever le nez vers la nef car bientôt le prêtre allait prendre la parole.

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G_de_b

Guillaume avait écrit aux habitants les plus motivé et qui semblait être Aristotélicien, afin de les prévenir que la messe arriva.

Pourtant tous étaient croyant à notre époque, mais beaucoup avaient refusés l’invitation. Braie par exemple qui se dit non croyante… Qu’elle hérésie! Il faudrait qu’il ait une petite discutions avec elle plus tard.
Ethane qui ne venait pas, pour quelques raison qu'il ne connaissait pas.

Ainsi que d’autre habitants qui étaient apparemment vers la Provence. Comme Dufric, Chartres, Nashia.

Enfin Nashia était un cas à particulier, il devait penser à reprendre sa pastorale. Et à écrire à monseigneur Nufilen.

Bizarrement la Diacre qui était venu en voyage à Annecy n’avait pas répondu, et n’avait pas encore donner de signe de vie sur le parvis de l’église avant la messe.

Et monsieur le maire. Guillaume regarda au loin sur le parvis, il espérait le voir au moins arriver plus tard.

Peut être occupé par ses affaires.
Il était sûr de la bonne foy de cet homme.

Et où était Bevue? Et Chapoto? Et Bouby? Il chercha mais ne les trouva pas.

Il espéra les voir tout de même.

Ambroisse, Ysis, Cabraibe, Syerry, Nayane, ils étaient là eux.

Et puis il y avait le banquet de la fin de messe.

Sur le parvis Guillaume vu alors arriver des fidèles et alla se présenter à chacun!

Bonjour, je suis Guillaume de baskerville, et je vais être votre Vicaire pendant un bon moment!

Vous venez pour la messe?

Il était très heureux que ceux-ci soit déjà là, et qu’ils aient prit du temps pour la messe.

Enfin bref, continuons! se dit alors le père Guillaume.

Il entendit alors le signal, Ambroise fit sonner la cloche et Guillaume pénétra à nouveau l’église. Il n’était pas encore trop tard pour les retardataires.

> > > > > >

C'était le premier office religieux en ce nouveau lieu consacré. Guillaume avait les mains moites. Il détestait comme personne avoir les mains dans cet état et s'efforçant de les frotter contre ses jambes une dernière fois, il monta en chaire devant les fideles réunit à cette instant.

Il entama un large sourire bienveillant

Hum hum! Mes frères et sœurs! Mes amis!

C'est avec un plaisir sans précédent que je vous accueille dans notre belle église pour célébrer l'eucharistie!

Dans ces temps de doutes et d'hérésie, il nous faut nous retrouver ensemble dans l'Amitié Aristotélicienne.

Commençons par chanter ensemble un petit cantique envers le Trés Haut :

Citation:

L'Être Divin qui est Tout Puissant:

J'ai longtemps habité une grotte platonique
Que des ombres mouvantes hantaient comme un château
Et dont les cavités obscures et noir corbeau
Rendaient pareil le soir au jour, le cap au pic.

Mes yeux en zyeutant ce fort troublé tableau
Mélaient d'une facon païenne et cathartique
Le Tout Puissant, le Juste, l'Amour métaphysique
Aux accords dissonnants rapportés par l'écho.

C'est là que j'ai compris, dans une volupté calme,
Grâce à l'Être Divin, l'Universel Moteur,
Que ces spectres fuyants qui me glacaient le coeur

N'étaient que viles pensées, du vent souflant des flammes,
Et qu'en raisonnant bien, assumant le bonheur,
Je trouverai la Voie, l'éclatante Lueur.

Nous ne devons jamais oublier que nous sommes tous enfants du Seigneur et que céder à la colère ou la tentation ne peut mener qu'à la destruction et au chaos.
Et pour cela nous allons nous confesser !

Répétez après moi!

Citation:

Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis, parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi. Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.

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En 1458, Vous êtes croyant mon frère.

Alinoe_de_chenot

La jeune fille entra, elle était confuse parce que en retard. Elle alla s'assoir à la place qui lui était réservée et écouta la messe.
Alinoë n'était pas encore baptisée mais elle savait qu'il était de son devoir de suivre la messe.
Doucement elle répétait les paroles du curé.
Elle avait aperçu Isys mais n'avait pas osé lui faire signe pour ne point déranger. Elle ne connaissait encore personne dans la ville.
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Thina

Sortant de la taverne, Thina se rappelle subitement de l’invitation du vicaire Diocèsain Guillaume De Baskerville aussi que la demande de Syerry de l’accompagner à la messe.

Thina commença alors a courir, pour essayé d’arriver a l’église avant que ça commence.

Arrivée devant la porte, Thina s’arrêta quelque instant afin de reprendre son souffle.

Elle poussa la porte et survola l’église du regard, elle aperçu Syerry assise sur un banc à l’ arrière, Thina alla s’assoir à ses cotés.

Bonsoir Syerry, excuse moi, ca mettais sorti de la tête, mais je suis arrivée à temps.

Braie

16 mai dure journée, Emma souffrait, Ethane et Braie l'avaient emmené à l'hospital savoyard, il raterait la messe du voyageur Béarnais. Finalement Mini soigna la jeune Emma elle n'allait pas mieux mais assez pour traverser Annecy. Ils passèrent alors devant l'église et virent alors le Vicaire sur le pas de la porte d'une Eglise dont Braie il y a des mois de cela avait prêter tout le matériel de la mairie pour la reconstruire avec Richard.

Tà mossur lo vicaire, la letra enviada a la voste personna qu'ei entre vos e mei, escriu sus la hala que soy ua eretiqua qu'ei un parjurà, perquè ne lo soy pàs, en aqueste espoquà qu'ha religions diferentes. Ne soy pas cristiana, lo paper de religion romanà n'ei pas signat en aqueste duché lo sè perque que tribalha a la cancelerià, mi hilha qu'es malit e en dangà. bon sèr mossur.

Isomer

Isomer arriva discrètement sur la pointe des pieds avec Juliette. Iso c'était tout endimancher et avait encore les cheveux humide. Juliette, elle, portait une petit robe blanche et avait à la main un bouquet de pâquerette cueillit pendant le trajet.

Il salua le vicaire au loin, qui se tenait devant ses fidèles. Puis Iso alla s'installer devant près de Syerry et Nayamé.

Il était bien vrai que la paroisse avait connu plus de monde en des temps passé. Peut être était-ce le fait qu'Annecy avait plus connu de messe depuis un moment et que les habitants c'était déshabitué.

Qu'importe, Isomer aimait ce moment de recueillement. C'était surtout l'occasion de retrouver tout le monde et boire le verre de l'amitié tous ensemble. Car malgré tout il avait parfois du mal à accrocher aux messes surtout lorsqu'elles étaient dictes en latin.

Mais heureusement Annecy avait là un nouveau vicaire et Isomer était sur qu'il ferait du travail de haut niveau.

Une fois installé, il embrasse discrètement ses deux amies et posa son petit panier de victuailles à ses pieds. Il prit un livret et se mit à chanter.

J'ai longtemps habité une grotte platonique
Que des ombres mouvantes hantaient comme un château
Et dont les caquivité... obscures... défection... corbeau...
le soir... au jour, le cap au pic.

Mes yeux en zyeutant ce fort troublé tableau
Mélaient d'une facon païenne et cathartlétiiiiiqeuuuh
Le Tout Poussant, le .... , l'Amour...
La la la la la la la... la la la...

C'est là que j'ai compris, dans une volupté calme,
Grâce à l'Être Divin, l'Universel Menteur... euh moteur

Iso grinça des dents... Il regarda autour de lui... Ouf personne ne l'avait entendu. Cela fesait un sacré bout de temps qu'il n'avait plus chanté et cela se ressentait. Il leva les yeux au ciel un moment pour demander pardon à Aristote, de son manque d'assiduité aux chants de messe. Puis il reprit :

...bien, assumant le bonheur,
Je trouverai la Voie, l'éclatante Lueuuuuuuuuuuuur.

Tout fier il se rassit comme tout les autres puis écouta la suite.
Puis il répéta comme l'avait demandé Guillaume :

Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis, parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi. Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.

Iso jeta un coup d'œil sur Juliette qui c'était amuser à arracher les pétales des pâquerettes pour les semer un peu partout autour d'Isomer.

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-Isomer d'Amour, le golden écureuil d'Annecy !
-Maire d'Annecy

!!! Photo non contractuelle !!!

G_de_b

Braie a écrit:

Je vais le préciser en hrp que je ne sais pas si je peux réagir ou pas et que je fais le choix de ne pas réagir au cas ou ce ne serais que des pensée... mais que je me réserve le droit d'y revenir si confirmation de parole il y a.
Mais je crains que ce Rp, pour ce que j’en ai compris, est sur la base de mes pensées… Donc je ne comprends pas quoi faire de ça…

Guillaume attendait que tout le monde récite sa prière du pardon mais il était heureux de voir le maire entrer..
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G_de_b

Guillaume était assez heureux de voir tous ces fidèles.

Mais laissez moi un instant, vous remémorez le pourquoi de votre venue ici. Mes frères et sœurs, nous sommes ici (et pas seulement dans l'église) pour célébrer Sa parole.

Reprenons ensemble le "Credo" et prions ensuite pour les malheureux à travers le monde.

Je crois en dieu le Très-Haut tout puissant,
Créateur du ciel et de la terre,
Des enfers et du paradis,
Juge de notre âme à l’heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
Le fils de Nicomaque et de Phaetis,
Envoyé pour enseigner la sagesse
Et les lois divines de l’univers aux hommes égares.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voue sa vie a nous montrer le chemin du paradis.
C’est ainsi qu’après avoir souffert sous ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le soleil ou l’attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l’action divine,
En la sainte église aristotélicienne romaine, une et indivisible,
En la communion des saints,
En la rémission des pêchés,
En la vie éternelle.

Amen.
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En 1458, Vous êtes croyant mon frère.

Ambroise_perrigny

Ambroise sonnait les cloches, se laissant emporter par la corde, quy le soulevait de plus en plus haut. Il faisait toujours attention au systesme d'indication solaire quy quy indiquait esgalement quand cessez de sonner les cloches. Par chance, ce jour-cy estayt un jour très ensoleillé et il estayt très simple de visualiser les premiers rayons de soleil touchant chaque gravure. Quand Ambroise arresta de sonner les cloches il entendit des chants. C'est alors dans ce grand moment de resflexion où il compris que la messe avait commencé sans luy qu'il se frappa le front avec la paume de sa mayn droicte, et qu'il commençat à courir pour rejoindre les bancs.

Mays par malheur se trouvait-il sur le plancher du clocher un bouteille de vin vide... Ambroise ne la vue point, et marchat dessus. Avec la volonté de ne point tomber, il attrapat dans sa chute la corde d'une cloche. C'est alors que ceste dicte cloche quy n'estayt point faicte pour les messes mays pour les entesrements commençat à sonner. Ambroise fit son possible pour qu'elle sonne le moyns de foys possible, au destriment de ses pauvre petits bras.

Après cest accident Ambroise descendit calmement du clocher. Par chance, la porte estayt ouvert. Ambroise sortit alors de la tour du clocher dans l'ombre des bas-costés de l'esglise direction la sortie. Arrivé au porche, Ambroise se dirigeat vers les bancs cosme si de rien n'estayt. Il trempat le bout de deux doigts dans un besnitier et se signa sur son chemin, prenant l'expression du visage d'une personne en retard, et s'assit sereinement. La messe en estayt au cresdo. Ambroise rescitat son confesse en quatriesme vitesse, cherchant les peschés qu'il a pu commestre ces derniers temps au su du peu qu'il en avait eu pour luy.

Puys, son retard ratrappé, Ambroise rescitat son cresdo.

Credo in Divinam Actionem,
Sanctam Ecclesiam aristotelicianam, romanam, unam et indivisibilem
Sanctorum communionem,
Peccatorum remissionem,
Vitam aeternam.
Amene

Credo in Deum,
Altissimum Omnipotentem,
Creatorem caeli et terrae,
Inferos et paradisi,
Ultima hora animae judicem nostrae

Et in Aristotelem, prophetam,
Nicomaqui Phaetique filium,
Missum ut sapientiam et universi
Divas leges errantibus hominibus erudiret

Credo etiam in Christum,
Natum ex Maria et Ioseph,
Vitam dedit ut nobis paradisi viam monstraret
Sic, postquam sub Pontio passus est
Propter salutem
Nostram martyr perivit
Consecutus est Solem
Ubi Aristoteles ad Altissimi dexteram eum expectabat

Credo in Divinam Actionem,
Sanctam Ecclesiam aristotelicianam, romanam, unam et indivisibilem
Sanctorum communionem,
Peccatorum remissionem,
Vitam aeternam.

Amene.

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Carpe Noctem
Sapere aude & vice versa : tace & audi.

G_de_b

ESt-ce que les fidèles était repartit? Non ils les voyaient là.

Peut-être n'avait-il plus l'habitude de réciter un Crédo et une prière du Pardon.

Peut-être que la prochaine foi...

Faisons la lecture du livre des vertus

Premières années a écrit:

Saint Étienne naquit vers 1060, dans le Dorset, région méridionale de l'Albion, au sein de la grande, ancienne et noble famille de Harding. On ne sait peu de choses sur ses parents, si ce n'est que son père fut un administrateur admiré et aimé par ses censitaires, auprès desquels il était fort généreux. On sait aussi qu'Étienne reçut une éducation religieuse et pratique poussée, au point où ses connaissances impressionèrent les autorités religieuses locales.

Ceci dit, la part d'ombre sur sa vie se lève complètement quand Étienne de Harding choisit la vie monastique. En effet, à partir de ce moment là, grâce à l'assidu travail des moines qui cotoyèrent le saint, de nombreux écrits et registres nous permettent de connaître avec précision le déroulement de sa vie. On sait qu'il entra à l'abbaye bénédictine de Sherborne à l'âge de 15 ans. Après un noviciat rapide et fructeux, il fut élevé frère par l'abbé Roger de Lisieux, d'origine normande, qui le nomma chantre, où ses connaissances déjà très complètes en Christologie lui furent très utiles. Étienne resta cloitré à Sherborne pendant quatre ans, priant avec ferveur et sans relâche. Ces quatre années, il les utilisa à bon essient, ayant lu tous les ouvrages de la bibliothèque de l'abbaye, faisant de lui un érudit hors pair. D'ailleurs, il fut, après le décès de l'abbé de Lisieux et le remplacement de ce-dernier par un nouvel abbé, Richard de MacGroar, d'origine écossaise, rapidement nommé par ce-dernier chapitrain, qui en plus de le récompenser pour son érudition, voulait fait un contre-poid aux français très présents au sein du chapitre. En effet, l'abbé de MacGroar souhaitait que le monachisme s'internationalise, au lieu de rester une mode française. En quelque sorte, on peut dire qu'il était un précurseur du concept d'intertionalisation, et son influence fut grande sur Sainte Étienne, qui en fit un but, un objectif et un devoir des cisterciens.

La charité, qui consiste en l'aide du plus démuni et le refus et le rejet de l'égoïsme,doit devenir l'exemplarité pour cette chapelle et ses fideles, qui auront le respect d'un code d'honneur implicite ainsi que la foi.

Je finirais en vous demanant de prier pour les malheureux à travers le monde.

Comme le Saint Étienne de Harding nous l'a montrer, la charité est une des vertus qui n'est pas difficile à pratiquer

C'est ainsi qu' en signe de charité, ceux qui le veulent peuvent venir partager le pain de l'Amitié qui nous uni tous.

Avant de nous séparer, ceux qui le veulent peuvent venir partager le pain de l'Amitié qui nous uni tous.

D'un coup les banc se réalignèrent et de longues tables furent installé en plein millieu de la nef. Des fidèles apportèrent de la viande, d'autre du mais, d'autre encore quelque spécialité alcoolisé qui venait de loin.

Un grand banquet Bien chargé pour sa première messe.

Allez en paix mes enfants en ce dimanche ET Je recevrais ceux qui le souhaite en confession après le banquet.
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En 1458, Vous êtes croyant mon frère.

G_de_b

Guillaume descendit alors de l’autel et alla sur le coté, vers une petite porte dérobé de l’église, il l’ouvrit et en sortit un petit panier d’osier.
Il avait l’air vieux ce panier, comme si il avait traverser toute la France pour arriver ici.
Mais en y réfléchissant c’était à peut prés ça! Il venait du Béarn!

Allons y les enfants! Fêtons cette première messe comme il se doit!

Puis il vida son panier sur la table et montra bien 5 pains bien frai, qui venaient à peine de refroidir de la fournée du matin.

Et vous tous? Vous avez ramener quoi pour le banquet?

Puis il se tourna vers Sapristi.

Il me semble que vous avez quelques bouteilles mon fils?

Guillaume fit un sourire à l’homme montrant son envie de se désaltérer.

Monsieur le maire je vous veux à coté de moi!

En même temps les tables était installer en cercle plus ou moins réussit de tel manière qu’il n’avait pas de tête de table et que tous les fidèles se retrouvait sur le même piédestal.

Et en plus c’est plus facile pour faire passer les plats.
Une petite nappe était en train d’être mise pendant qu’il finissait de discuter. Tous les fidèles pourront s’essayer sur celle-ci pendant le repas.

Aujourd’hui tous les fidèles allaient vivre en nobles.

MANGEONSSSSSSSSSS!!!!!!

Les murs de l’église faisait résonner son « on ».

Oups, J’ai faim! Je n’ai pas encore manger aujourd’hui!

Il souri.

Et mangeons bruyamment mes enfants! Fêtons cette nourriture comme il se doit!

Discutons! Parlons de tous les jours! Rencontrons nous!
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En 1458, Vous êtes croyant mon frère.

Alinoe_de_chenot

La messe était finie. La duchesse de Luserne sortit en même temps que ls autres fidèles.

Elle alla remercier le prêtre. Si elle ne participait pas au banquet, elle avait fait venir une charrette chargée de victuailles et de fûts pour le repas.

Elle s'en alla après avoir fait un signe de la main à la chancelière.
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Hestia

Hestia s’était levée avec le soleil pour ce préparer elle ne voulait pas manquer la messe
En entendant les cloches elle se précipita vers l’église d’Annecy
Elle arriva à l’église et fut surprise de voir qu’il n’y avait pas grand monde
L’ambiance était paisible Hestia aimait ce calme que procuraient ces lieux saints
Elle entra discrètement pris place sur un banc et récita le credo a voix basse paupières closes
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Un bon soldat ne doit penser qu'à trois chose : 1- Au Roi, 2- A Dieu, 3- A rien.

Isomer

Une fois la messe terminé, Iso prit Juliette par la main. Puis ensemble il se rapprochèrent du vicaire pour la féliciter de sa première messe et partager avec les autres fidèles le pain.

Isomer apporta à son tour quelques bonnes bouteilles et morceaux de charcuterie.

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-Isomer d'Amour, le golden écureuil d'Annecy !
-Maire d'Annecy

!!! Photo non contractuelle !!!

G_de_b

Guillaume s’était attablé avec tous ceux qui était là pendant que les autres sortait.

A Alinoe :Ho ma fille, vous ne restez pas? Comme c’est dommage!

A un autre dont on ne connait pas le nom: Ho mon fils! Le fidèle montrait ses enfants à moitié endormi. Ha oui Bien sur! Allez les coucher mon fils!

A Hestia: Ma fille, vous, vous restez pour le banquet j’espère?!

A Ambroise. Toi tu te met où?
Lui montrant une chaise pas loin.
Met toi là! J’ai a te parler de ton avenir!

Il ria car il avait déjà eu cette discussion.

Monsieur le maire!! Parfait cette Viande! Nous allons la cuir avec la pièce de bœuf! Voulez vous un gobelet de vin de messe?

Sourit.
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Lefier

Lefier n'aimait pas les messes mais bien ce qu'il y avait après. Il se mit donc en route pour l'église. Arrivé à quelque pas de la grande porte une délicieuse odeur vint lui chatouiller les narines. Il entra dans ce grand bâtiment et s'approcha de la table. Il salua le monde présent et se dirigea vers le père.

Bien le bonjour Papa. Je pense que vous vous souvenez de moi...on c'est déjà croisé.

Lefier sourit

Bref je n'aime pas les messes mais j'aime manger. Puis-je donc prendre part à ce petit banquet?

G_de_b

Guillaume regarda alors l'homme et lui pointa un banc.

Bien sur mon fils, Et quand vous aurez le temps, vous finirez votre pastoral que vous avez commencé il y a quelques mois maintenant?

Guillaume souriait.

Que nous avez vous apporté mon fils?

Il souriait encore. Il semblait que le Fier venait juste manger à l'oeil, sans avoir à offrir au autre...

Moi je n'aime pas les tartes au pomme mais j'aime la pomme!
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En 1458, Vous êtes croyant mon frère.

G_de_b

[Flash Back]

Braie a écrit:

Guillaume remarqua un homme ou une femme, il ne savait pas, rien ne laissait d’indice de ce personnage qui venait de nulle part. Un Fantôme, un démon?
Sorcellerie? L’être qui venait d’on ne sait où essaya de lui parler, mais bizarrement on dirait qu'il lui parlait par la pensée...
Mais quelle langue? Un être qui se déplace silencieusement et parle dans une langue que Guillaume ne connaissait pas… Un démon?

Vivement qu’il finisse son séminaire d’exorciste.

Et pouf l’être avait disparu comme il était venu… Sans prévenir et sans savoir où il était allé, et sans savoir d’où il venait.

Bizarre… Mais il continua sa messe comme si de rien n'était.

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En 1458, Vous êtes croyant mon frère.

Lefier

Lefier s'assit en souriant.

Je n'ai rien apporté à mangé mais à boire oui.

Lefier sorti de sous son mantel une bouteille de taille moyenne.

Voici ce qu'il me reste de ma ville d'origine une vieille bouteille de vin.
Vous parlez de ma pastorale...quelle pastorale?

Lefier rigola

Allons papa ça fait déjà une année que je n'ai toujours pas fini ma pastorale trop de choses à lire. Mais comment savez-vous ça vous? Est-ce Artmaniak ou quelqu'un d'autre qui vous a prévenu de ça?

G_de_b

Guillaume trouva l'homme culotté de venir les mains à demi vide alors que les autres avait eu la bonté d'apporter suffisamment pour tous.

Mais comment refuser la table à quelqu’un.

Vous vous rattraperez la prochaine foi mon fils! Il ne faut pas abuser de la gentillesse des Aristotéliciens qui eux ont fait la bonté d’apporter de quoi boire et manger en quantité!

Mais bref, pour retourner à cette histoire de pastorale.

Ce n’est pas monseigneur Artmaniak qui me l’aura dit mais ses carnets.

En tant que clerc de l’église Aristotélicienne, j’ai eu accès aux archive des carnets de Feu monseigneur Artmaniak.

Et en fouillant il y a quelque temps j’avais vu votre nom. Il y a garder vos réponses et ses corrections.

Tous se sais grâce à feu monseigneur.

Dommage qu’il en soit mort de fatigue.
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En 1458, Vous êtes croyant mon frère.

Lefier

hum j'espère qu'il n'est pas mort de fatigue à cause de moi. Pour ce qui est d'apporter à boire et à manger en quantité, il est vrai que ma bouteille est maigre mais du vin comme ceci il n'y en a pas d'autre. Donc je pense que ce qui compte ce n'est pas la quantité mais la qualité. Bref vous avez raison je ne suis pas un radin au prochain repas j'amènerai le tout

Lefier s'adressant à toute la tablée

Chers amis j'espère que vous m'avez entendu. Au prochain repas c'est moi qui offre toute la nourriture.

Lefier sourit au père

Et alors papa concernant ma pastorale où j'en suis? mes réponses sont-elles justes?

G_de_b

Guillaume se mit à rire.

Il me semble que vous n'aviez même pas répondu au premier cour.

Enfin Bref, mangeons! Et ensuite nous reprendrons votre pastorale!

il lui sourit, enfin une discution autour de la table si silencieuse.
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En 1458, Vous êtes croyant mon frère.

Lefier

Excusez moi papa mais je crois avoir passé déjà certains cours...je crois même que c'est Nainainus qui me les avait fait passer. Pour ce qui est de manger je veux bien par contre pour ma pastorale pas si sûr que je vais la finir.

Lefier rit et prit un morceau de pain.

G_de_b

Guillaume n’était pas surprit.
Cela lui rappela quand il avait rencontré une femme, ou était-ce un homme? Peut importe en faite.

Non non c’était bien un homme.

En taverne il avait rencontré un jeune homme à fière allure qui lui avais tout l'air d'un homme de petite vertu. En l'entendant parler, les idée de Guillaume se sont confirmées, l'homme vivait sans se soucier de la religion et allait même jusqu'à la Provoquer.

Un peu comme ce Lefier qui alla l’appela papa, et qui s’était rendu à un banquet aristotélicien sans rien. Mais ceci il lui avait déjà dit sa manière de pensée.
Mon fils vous me rappeler une histoire!

L’homme de petite vertu et Guillaume eurent une discution qui avait à peu prét cette teneur là:

L'homme de petite vertu : "Le "Très Haut" !! Ha ! Quelle idée ! Dire que ces mendiants que j'ai croisé voulaient que je leur fasse l'aumône par "amour" pour le "Très Haut" !

Guillaume : "Messire, excusez moi de vous interrompre dans votre conversation avec vous-même, mais ce que vous me dites là me touche vraiment et il me faut vous répondre...

L'homme de petite vertu : "Quoi ?! Encore un curé qui essaie de répandre ses idées ? Tous des charlatans moi j'vous l'dis ! Dire qu'on promet à ces pauvres gens une communauté où l'amitié et la fraternité règnent !! Allez leur dire à eux qui crèvent de faim ! A quoi sert ce baptême qu'on leur propose ?!"

Guillaume : "Non, je ne suis ni curé, ni évêque mais je peux vous répondre. Comme vous l'avez dit des pauvres gens manquent cruellement d'argent et ont du mal à se nourrir, mais l'entrée dans la communauté aristotélicienne les aide. Ils y trouvent un Amour qui dépasse tous les biens matériels que l'ont peut avoir et auquel vous vous arrêtez."

L'homme de petite vertu : "Vous allez me dire que ces gens préfèrent le sentiment d'être aimé et la promesse même pas avérée qu'ils auront l'accès au Paradis plutôt qu'une bourse pleine à craquer d'écus clinquants ?!"

Guillaume : "Eh bien je pense que l'on trouve par le baptême la possibilité d'essayer de vivre selon une autre vision qu'est la vision simpliste et matérialiste que vous avez. J'ai vu des nobles, des grands seigneurs dont les coffres étaient remplis à craquer de pièces en or qui venaient demander le baptême, simplement car il voulaient donner un sens à leur vie. Ce sens qu'ils recherchaient était bien différent de celui auquel vous pensez. Grâce au baptême, ils ont pu donner à leur vie ce sens qu'ils recherchaient : l'Amour."

A la dernière remarque de Guillaume, l'homme de petite vertu paraissait troublé, mais il semblait vouloir le cacher. Pour se donner une contenance, il commanda une pinte de bière au tavernier, la vide d'un cul sec, la repose et sorti directement de la taverne.

Donc mon fils, grand bien vous fasse que vous entamasse une pastorale avec monseigneur Artmaniak, puis une avec Monseigneur Nainaimus et cela sans les finir.

Mais puis-je, en toute honnêteté penser que vous n’avez pas ce courage de pouvoir lire un texte et y répondre, votre Foy envers le très haut ne serait elle pas assez forte?

Je le regrette si c’est cela.

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En 1458, Vous êtes croyant mon frère.

Lefier

Intéressante histoire et très passionnante. Je l'ai bien assimilé. Vous savez j'ai énormément de chose à faire en plus de ma pastorale. Oui un jour je prendrai le temps pour la terminer. Mais honnêtement là j'ai déjà beaucoup à faire surtout avec les élections qui arrivent et je viens de rentrer de mon voyage en FC.

Quand à l'amour. Tout le monde peut le trouver qu'il soit croyant où non. Les mariages civils existent bien pour ça n'est-ce pas? Ne dit-on pas aussi que le Très-Haut aime tout le monde. Les meurtriers, les violeurs, les croyants et les non croyants?

G_de_b

Demande de cloture pour passer à la prochaine messe

Merci à tous!

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En 1458, Vous êtes croyant mon frère.

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[Rp] Messe du 16 mai 1458