Tokagarusan
Tokagarusan a écrit:
En haute mer...
Mommime sorti de sa cabine. Il faisait un peu frais, il pris donc son gilet et son blouson. Il pris aussi son sac comme d'habitude. En fait, il pensait , c'était seulement grâce à sa capacité de médecin que les Arabes l'avait accepté. Son passé l'avait d'ailleurs aidé en ce perible.Il monta sur les éscaliers qui conduisaients au pont La porte était un peu dure, il força un peu . Rien à faire. Il insista encore . La porte finalement s'ouvrit , et là, un courant d'air le jeta dehors .
Mommime était terrorisé. Il venait de voir quelques choses de terrible. C'était comme un fil de laine qu'une vieille était en train de tisser. Gros en haut, petit en bas, et ça tourbillonnait. Mais a différence dun fil de laine, ça aspirait tout ce qui s'approchait de lui. Et il était juste à quelques mètres.
.........
Sur une plage
......Hegnemmm...
FAITS HISTORIQUES : En 1435-36, un bateau arabe au indien , naufragea sur les cotes japonaises. Dedans, on y trouve, selon les annales, un homme plus blanc que les autres, qui communiquait mal avec les autres. C'est à partir de ces faits historiques que j'ai crée mon personnage.
En haute mer...
Livre de Bord de Marco Orazio Castello a écrit:
Anno domini 1458, 4 Maggio
Oggi ci dirigiamo verso l'Arcipelago del Giappone, , ce endroit mythique que Marco Polo décrivait en ses livres . C'est une sacrée histoire celle que viens de vivre. De Cadiz à Cipango, c'est en effet un beau voyage. Il faut que je range mes idées, je suis un peu confus.
Je suis parti d'Autun il y environs trois années et demi. La bas, je suis parti pour Cadiz, pour récupérer de la laine, pour mes manufactures en Bourgogne. D'ailleurs, je me demande qui a pris la relève. Mimmome, peut être? Et puis , Emmomi, il est devenu quoi?Enfin, de Cadiz, je suis fini , sur la piste d'une affaire juteuse, à Damas. Là bas, je ne sais pas trop ce qui s'est passé. Ai-je changé tout a coup? Ai-je rencontré quelqu'un d'incroyable?
C'est peut être un mixte des deux après tout. Marre de la routine, marre de la vie de Marchand, et après , la rencontre avec le Prophète, peut être tout m'a changé . Seul Dieu le sais. D'ailleurs, il semblerai que en ces contrées, l'idolâtrie sois de loi. Comment vais-je faire?
Enfin, une tempete se prépare, il vaut mieux que je te range dans mon blouson. D'ailleurs, celui ci est étrange, il est étanche. Je l'ai acheté en Inde, peut être que sa trame très fine empêche la pluie et l'eau de la traverser. Enfin, je sort.
Anno domini 1458, 4 Maggio
Oggi ci dirigiamo verso l'Arcipelago del Giappone, , ce endroit mythique que Marco Polo décrivait en ses livres . C'est une sacrée histoire celle que viens de vivre. De Cadiz à Cipango, c'est en effet un beau voyage. Il faut que je range mes idées, je suis un peu confus.
Je suis parti d'Autun il y environs trois années et demi. La bas, je suis parti pour Cadiz, pour récupérer de la laine, pour mes manufactures en Bourgogne. D'ailleurs, je me demande qui a pris la relève. Mimmome, peut être? Et puis , Emmomi, il est devenu quoi?Enfin, de Cadiz, je suis fini , sur la piste d'une affaire juteuse, à Damas. Là bas, je ne sais pas trop ce qui s'est passé. Ai-je changé tout a coup? Ai-je rencontré quelqu'un d'incroyable?
C'est peut être un mixte des deux après tout. Marre de la routine, marre de la vie de Marchand, et après , la rencontre avec le Prophète, peut être tout m'a changé . Seul Dieu le sais. D'ailleurs, il semblerai que en ces contrées, l'idolâtrie sois de loi. Comment vais-je faire?
Enfin, une tempete se prépare, il vaut mieux que je te range dans mon blouson. D'ailleurs, celui ci est étrange, il est étanche. Je l'ai acheté en Inde, peut être que sa trame très fine empêche la pluie et l'eau de la traverser. Enfin, je sort.
Mommime sorti de sa cabine. Il faisait un peu frais, il pris donc son gilet et son blouson. Il pris aussi son sac comme d'habitude. En fait, il pensait , c'était seulement grâce à sa capacité de médecin que les Arabes l'avait accepté. Son passé l'avait d'ailleurs aidé en ce perible.Il monta sur les éscaliers qui conduisaients au pont La porte était un peu dure, il força un peu . Rien à faire. Il insista encore . La porte finalement s'ouvrit , et là, un courant d'air le jeta dehors .
Mommime était terrorisé. Il venait de voir quelques choses de terrible. C'était comme un fil de laine qu'une vieille était en train de tisser. Gros en haut, petit en bas, et ça tourbillonnait. Mais a différence dun fil de laine, ça aspirait tout ce qui s'approchait de lui. Et il était juste à quelques mètres.
.........
Sur une plage
......Hegnemmm...
Togukawa_kadokawa a écrit:
Le temps était clément et Kadokawa respirait à plein poumon l'air ambiant, iodé à souhait.
Ces promenades équestres lui plaisaient vraiment, cela lui permettait de retrouver une vraie mobilité et d'oublier cette satanée jambe qui n'en finissait pas de guérir.
C'est donc sans aucun soucis qu'il avait accepté l'invitation de Takezo pour cette promenade équestre, d'autant plus que le soleil avait ce curieux effet de mettre de la joie dans tous les coeurs, et Dieu sait si en ce moment le clan en avait besoin.
Profitons de cette journée au maximum Takezo-senpai, profitons de cette pause que nous nous octroyons, il m'est avis que nous n'en vivrons pas d'aussi belle avant longtemps.
Pourquoi avait-il dit cela ? Parce qu'effectivement il avait ce désagréable sentiment depuis quelques jours qu'ils allaient aux devant de quelquechose qui aurait un impact majeur sur le clan. Et pas forcément un impact positif, en tout cas pas au premier abord.
Il en avait fait part à son épouse qui comme d'habitude avait rit de son sentiment ; cette femme semblait hermétique à toute forme de ressenti des humeurs du temps, et Kadokawa se demandait même pourquoi il lui en avait parlé.
Du coup c'est sur son élève la plus douée qu'il s'était tourné, elle lui avait démontré qu'elle possédait cette sensibilité. Ils en avaient conclu que cette escapade équestre, il la mettrait sous haute surveillance, préconisant à chacun de ne surtout pas oublier leur Tashi.
Ils sortent des bois, par ce chemin qui s'incurve pour faire face à la mer, et ce que le maître d'armes voit le fait réagir :
Et bien, peut être cela arrivera même plus tôt que prévu !
Il montrait l'horizon au dessus de la mer, d'une couleur sombre, trop sombre pour ne pas être de mauvaise augure. Il se surprit même à se demander si cette noirceur du ciel était naturelle ou dirigée par un kami en colère. En effet, là où ils se trouvaient le soleil était immaculé, comment le ciel pouvait-il changer aussi drastiquement sans intervention spirituelle ?
Peut être ne devrions pas rester trop longtemps en ces lieux Takezo-sama.
Ces promenades équestres lui plaisaient vraiment, cela lui permettait de retrouver une vraie mobilité et d'oublier cette satanée jambe qui n'en finissait pas de guérir.
C'est donc sans aucun soucis qu'il avait accepté l'invitation de Takezo pour cette promenade équestre, d'autant plus que le soleil avait ce curieux effet de mettre de la joie dans tous les coeurs, et Dieu sait si en ce moment le clan en avait besoin.
Profitons de cette journée au maximum Takezo-senpai, profitons de cette pause que nous nous octroyons, il m'est avis que nous n'en vivrons pas d'aussi belle avant longtemps.
Pourquoi avait-il dit cela ? Parce qu'effectivement il avait ce désagréable sentiment depuis quelques jours qu'ils allaient aux devant de quelquechose qui aurait un impact majeur sur le clan. Et pas forcément un impact positif, en tout cas pas au premier abord.
Il en avait fait part à son épouse qui comme d'habitude avait rit de son sentiment ; cette femme semblait hermétique à toute forme de ressenti des humeurs du temps, et Kadokawa se demandait même pourquoi il lui en avait parlé.
Du coup c'est sur son élève la plus douée qu'il s'était tourné, elle lui avait démontré qu'elle possédait cette sensibilité. Ils en avaient conclu que cette escapade équestre, il la mettrait sous haute surveillance, préconisant à chacun de ne surtout pas oublier leur Tashi.
Ils sortent des bois, par ce chemin qui s'incurve pour faire face à la mer, et ce que le maître d'armes voit le fait réagir :
Et bien, peut être cela arrivera même plus tôt que prévu !
Il montrait l'horizon au dessus de la mer, d'une couleur sombre, trop sombre pour ne pas être de mauvaise augure. Il se surprit même à se demander si cette noirceur du ciel était naturelle ou dirigée par un kami en colère. En effet, là où ils se trouvaient le soleil était immaculé, comment le ciel pouvait-il changer aussi drastiquement sans intervention spirituelle ?
Peut être ne devrions pas rester trop longtemps en ces lieux Takezo-sama.
Tokugawa_takezo a écrit:
Le regard porté sur le ciel sombre où la frontière entre la mer et les cieux avait disparu, mêlant air et eaux dans les ténèbres de la tempête.
Le regard noir profond et bridé de Takezo brillait de la même inquiétude que son oncle Kadokawa venait d'exprimer.
Néanmoins, Takezo avait un drôle de sentiment mêlé à cette inquiétude. Il n'aurait su dire s'il s'agissait d'une mauvaise augure, ou si c'était le soleil derrière les nuages qu'il ressentait en son coeur.
Quoiqu'il en soit, il savait qu'il fallait creuser...
Peut être ne devrions pas rester trop longtemps en ces lieux Takezo-sama.
Takezo se tourna vers son oncle qui était à sa hauteur sur son propre cheval. Tous deux étaient à la tête d'un groupe d'une petite dizaine de cavaliers dont l'un d'eux portait le nobori du Clan Tokugawa qui claquait au vent.
Reserrant ses mains autour des rênes, il répondit:
Non. Descendons sur la plage. Je veux constater par moi-même la puissance de la mer et les ravages qu'elle peut faire.
Sans laisser le temps à son oncle de répliquer, d'un coup de talons dans les flancs de sa sombre monture, il s'élança alors au galop appréciant l'air marin caresser son visage avec une douce odeur d'iode.
Plus sa monture avançait, sentant derrière lui ses proches le suivre, plus son sentiment s'intensifiait crescendo.
Soudain il le vit alors se détacher des ténèbres de cette fin de journée. Il comprit immédiatement qu'il s'agissait d'un navire échoué, bien que ce qui se présentait devant lui ne ressemblait à aucun navire qu'il n'avait pu voir jusqu'à présent. La forme de la coque était impressionnante ressemblant étrangement à un quartier de lune.
Takezo n'eut pas le temps de détailler d'avantage le navire qu'il aperçut alors un homme étrange.
Si la peau de Takezo était aussi blanche que celle de tout Seigneur nippon et autres japonais issus d'un milieu respectable, si le bronzage était réputé être le signe d'un statut social relativement bas, le teint de cet homme qu'il voyait à cet instant était des plus affreux.
Takezo ressentit en lui une forme atroce de dégoût. L'homme en question avait effectivement une pigmentation relativement sombre comparé à un japonais moyen, mais en plus sa barbe et sa chevelure noire et bouclé lui donnait un air d'ogre. Il n'était pas difficile pour un japonais d'identifier cet homme à un barbare monstrueux qu'il fallait abattre immédiatement.
Toutefois, Takezo hésita. Il semblait tituber mais tenait néanmoins un bout de bois étrange dans sa main.
Sentant arriver derrière lui ses cavaliers, il leva alors la main en signe de ne pas bouger en attente d'un ordre éventuel.
A l'arrivée des nombreux cavaliers en armure, le barbare leva alors le regard vers eux et cria à travers le brouhaha incessant du vent dans une langue étrangère qui sonnait affreusement dans les oreilles de Takezo dans des intonations menaçantes. L'homme redressa alors un peu plus le bâton dans ses mains, et s'avança vers eux dans une démarche gauche et insolente. Il n'en fallut pas plus au Seigneur Tokugawa pour donner son ordre.
La main toujours levée se baissa alors comme un air de sentence en direction du Gaijin.
Ce fut la première fois que Takezo ordonna d'exécuter un homme.
Le regard porté sur le ciel sombre où la frontière entre la mer et les cieux avait disparu, mêlant air et eaux dans les ténèbres de la tempête.
Le regard noir profond et bridé de Takezo brillait de la même inquiétude que son oncle Kadokawa venait d'exprimer.
Néanmoins, Takezo avait un drôle de sentiment mêlé à cette inquiétude. Il n'aurait su dire s'il s'agissait d'une mauvaise augure, ou si c'était le soleil derrière les nuages qu'il ressentait en son coeur.
Quoiqu'il en soit, il savait qu'il fallait creuser...
Peut être ne devrions pas rester trop longtemps en ces lieux Takezo-sama.
Takezo se tourna vers son oncle qui était à sa hauteur sur son propre cheval. Tous deux étaient à la tête d'un groupe d'une petite dizaine de cavaliers dont l'un d'eux portait le nobori du Clan Tokugawa qui claquait au vent.
Reserrant ses mains autour des rênes, il répondit:
Non. Descendons sur la plage. Je veux constater par moi-même la puissance de la mer et les ravages qu'elle peut faire.
Sans laisser le temps à son oncle de répliquer, d'un coup de talons dans les flancs de sa sombre monture, il s'élança alors au galop appréciant l'air marin caresser son visage avec une douce odeur d'iode.
Plus sa monture avançait, sentant derrière lui ses proches le suivre, plus son sentiment s'intensifiait crescendo.
Soudain il le vit alors se détacher des ténèbres de cette fin de journée. Il comprit immédiatement qu'il s'agissait d'un navire échoué, bien que ce qui se présentait devant lui ne ressemblait à aucun navire qu'il n'avait pu voir jusqu'à présent. La forme de la coque était impressionnante ressemblant étrangement à un quartier de lune.
Takezo n'eut pas le temps de détailler d'avantage le navire qu'il aperçut alors un homme étrange.
Si la peau de Takezo était aussi blanche que celle de tout Seigneur nippon et autres japonais issus d'un milieu respectable, si le bronzage était réputé être le signe d'un statut social relativement bas, le teint de cet homme qu'il voyait à cet instant était des plus affreux.
Takezo ressentit en lui une forme atroce de dégoût. L'homme en question avait effectivement une pigmentation relativement sombre comparé à un japonais moyen, mais en plus sa barbe et sa chevelure noire et bouclé lui donnait un air d'ogre. Il n'était pas difficile pour un japonais d'identifier cet homme à un barbare monstrueux qu'il fallait abattre immédiatement.
Toutefois, Takezo hésita. Il semblait tituber mais tenait néanmoins un bout de bois étrange dans sa main.
Sentant arriver derrière lui ses cavaliers, il leva alors la main en signe de ne pas bouger en attente d'un ordre éventuel.
A l'arrivée des nombreux cavaliers en armure, le barbare leva alors le regard vers eux et cria à travers le brouhaha incessant du vent dans une langue étrangère qui sonnait affreusement dans les oreilles de Takezo dans des intonations menaçantes. L'homme redressa alors un peu plus le bâton dans ses mains, et s'avança vers eux dans une démarche gauche et insolente. Il n'en fallut pas plus au Seigneur Tokugawa pour donner son ordre.
La main toujours levée se baissa alors comme un air de sentence en direction du Gaijin.
Ce fut la première fois que Takezo ordonna d'exécuter un homme.
Yuzuyu a écrit:
Récupérer des algues, vertes, noires et rouges, puis essayer de voir si un poisson s'était pris dans son filet qu'elle avait posé dans la mer depuis deux jours en le bloquant grâce à un bâton et un rocher. La liste de ses tâches était longue et la ciel assombri lui disait qu'elle avait intérêt à se dépêcher. Chargeant kokiji son âne de quelques paniers bien amarrés, elle le guida vers la plage. Le ciel était menaçant, mais c'est justement les jours ou le ciel se fâchait et que la mer ripostait qu'elle récoltait le plus d'algues. Elle voulait refaire son stock de teinture, pour faire encore de beaux lis de tissus, qu'on lui achèterait ou qu'on lui commanderait en kimono.
"Allez Kokiji, avance, on a pas toute la journée. Regarde le ciel, on pourrait croire qu'il va tomber tellement il est menaçant et parait lourd.
Allez Koki, on est plus très loin. "
Kokiji se rebiffe, ne veut pas avancer, sacrée tête de mule!!!
Elle n'en peut plus, le tire, le bât avec un morceau de bois sec, et enfin il se met à avancer, mais en brayant comme seul un âne sait le faire.
hi! hannnnnn! hi! hannnnnn!
Enfin la plage, elle le mène vers le sable sort les deux carottes qu'elle a prévu pour lui et lui les donne à manger.
Kokiji se calme mais reste nerveux, n'arrêtant pas de faire du sur place avec ses sabots.
"Reste la, Koki, je resterais pas longtemps."
Prenant les paniers, elle se dirige vers les rochers, et commence a filtrer l'eau avec un des paniers vides, puis jette les coquillages, et trie les algues récupérer. Beaucoup d'algues vertes, deux moules, une huitre. elle continue ainsi pendant une bonne heure. Pas d'algue rouge, ni noire, pour cette fois. Déçue, elle se relève, le bas du kimono trempée. Tout à coup.
Aïeeeeeeuh!
Yuzuyu se rend compte qu'un crabe l'a pincé. Allez savoir pourquoi!
Elle se met en quête a présent de son filet, et commence à parcourir les rochers, sans succès, puis en levant les yeux au ciel aperçoit un énorme tas de bois dans la mer. Jamais de sa misérable vie elle n'a aperçu une telle chose. Oubliant ses paniers, et même Kokiji, elle se dirige vers la plage, quand soudain elle aperçoit deux cavaliers...
Récupérer des algues, vertes, noires et rouges, puis essayer de voir si un poisson s'était pris dans son filet qu'elle avait posé dans la mer depuis deux jours en le bloquant grâce à un bâton et un rocher. La liste de ses tâches était longue et la ciel assombri lui disait qu'elle avait intérêt à se dépêcher. Chargeant kokiji son âne de quelques paniers bien amarrés, elle le guida vers la plage. Le ciel était menaçant, mais c'est justement les jours ou le ciel se fâchait et que la mer ripostait qu'elle récoltait le plus d'algues. Elle voulait refaire son stock de teinture, pour faire encore de beaux lis de tissus, qu'on lui achèterait ou qu'on lui commanderait en kimono.
"Allez Kokiji, avance, on a pas toute la journée. Regarde le ciel, on pourrait croire qu'il va tomber tellement il est menaçant et parait lourd.
Allez Koki, on est plus très loin. "
Kokiji se rebiffe, ne veut pas avancer, sacrée tête de mule!!!
Elle n'en peut plus, le tire, le bât avec un morceau de bois sec, et enfin il se met à avancer, mais en brayant comme seul un âne sait le faire.
hi! hannnnnn! hi! hannnnnn!
Enfin la plage, elle le mène vers le sable sort les deux carottes qu'elle a prévu pour lui et lui les donne à manger.
Kokiji se calme mais reste nerveux, n'arrêtant pas de faire du sur place avec ses sabots.
"Reste la, Koki, je resterais pas longtemps."
Prenant les paniers, elle se dirige vers les rochers, et commence a filtrer l'eau avec un des paniers vides, puis jette les coquillages, et trie les algues récupérer. Beaucoup d'algues vertes, deux moules, une huitre. elle continue ainsi pendant une bonne heure. Pas d'algue rouge, ni noire, pour cette fois. Déçue, elle se relève, le bas du kimono trempée. Tout à coup.
Aïeeeeeeuh!
Yuzuyu se rend compte qu'un crabe l'a pincé. Allez savoir pourquoi!
Elle se met en quête a présent de son filet, et commence à parcourir les rochers, sans succès, puis en levant les yeux au ciel aperçoit un énorme tas de bois dans la mer. Jamais de sa misérable vie elle n'a aperçu une telle chose. Oubliant ses paniers, et même Kokiji, elle se dirige vers la plage, quand soudain elle aperçoit deux cavaliers...