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[RP] Un petit coin de Cheminée pour rêver et faire rêver[RP]

Orlagh
orl assise au bord de l'adour avait écris ceci
Je suis là au bord de l'eau ,il fais chaud.
Une brise viens me rafraichir.
Qu'il est bon de se sentir entourré,par une nouvelle amitiée.
Que j'envie les amoureux,ils sont heureux.
Moi j'attends que rentre, mon prince charmant.
Et qu'il me depose milles baiser,pour me soulager de son abscence.

elle le posa a cote de son autre poeme et se dit que decidement elle etais inspirer ces jours ci
Feyrak
Fey, en passant devant la petite maison des rêves, se dit qu'il y avait longtemps qu'elle n'y était allée. Elle entra et fit un tour pour lire les nouveaux poèmes laissés là.

Elle sourit en lisant celui de sa soeur et se dit qu'aujourd'hui elle allait essayer de lui faire son poème très gai. Elle vit les derniers, laissés par Orlagh et la félicita intérieurement.

Elle finit par s'asseoir, nous pas pour écrire, pas maintenant, elle déposerait plus tard son poème, mais tout simplement pour penser et rêver.

Que la vie était belle à présent. Elle vivait son rêve, que demander de plus à la vie, sinon que cela continue ainsi jusqu'à la fin de leurs jours. Elle frissonna de crainte, quand elle pensait que leur histoire aurait pu ne jamais commencer. Mais Erel et Fey étaients fait l'un pour l'autre et les éléments s'étaient favorablement réunis afin de les lier pour toujours.

Jamais dans ses rêves les plus fous, et ils étaient légion, elle n'aurait pensé pouvoir vivre une telle félicité. elle pensait que cela n'était réservé qu'aux autres.

Voilà un exemple justement pour les autres. Ne jamais desespérer, elle en était la preuve vivante. Elle avait failli mourir, tellement cette vie lui semblait insipide et voilà qu'aujourd'hui, elle était la femme la plus heureuse que la terre ait porté. Qui l'eut crû, il y a seulement quelques jours. Le sort, ainsi qu'elle aimait à le répéter, nous réserve de drôles de surprises.

Mais là, c'était la plus belle de son existence. Le Bonheur parfait, son rêve réalisé, la vie toute en couleurs chatoyantes. Elle était ivre de bonheur et espérait ne jamais déssoûler.

Elle décida de rester là, à rêver encore à son Prince Charmant.


Sortant de sa rêverie et finalement inspirée, elle décida d'écrire le poème que réclamait sa soeur.


Citation:
Ma chère sœur tu m’as mise au défi de te faire un poème gai. Eh bien voici, je le dépose ici, parmi les autres. J’espère qu’il te plaira et qu’à sa lecture ton cœur s’apaisera à mon sujet, moi qui ne cesse de te donner du tracas.


un diadème d’étoiles ceint sur le front
Parsemée de perles de pluie scintillantes
Une rivière qui coule sur le chemin et qui chante
Tel est le printemps qui sort de l’horizon

Le gris de l’hiver, la tristesse sont enfuis
Place à vous troubadour de l’amour
Que vos vers, vos chansons chassent l’ennui
Et qu’ils courent et qu’ils chantent sur l’Adour

Que les « je t’aime » et les « toujours »
Fleurissent sur vos lèvres, victimes de Cupidon
Que la vie vous apporte liesse, joie et l’Amour
Qu’ils vous prennent par le cœur et vous mettent à l’unisson

Belle damoiselle au teint blanc
Sur le front, une couronne de roses
Dansez, sautez, courrez dans les champs
Chantez la joie, chantez encore, afin que la vie éclose

_________________
Orlagh
ce soir orly a le coeur gros limite deprime
je me faisait une joie de te revoir mais voila que l'on se croise .
ton amour me manque.
mes levres brulent pourrais tu venir me les apaiser d'un baiser .
au mon amour que le temps me parrer long .
j'ai le coeur gros et la rime pas facile .

orly posa sa plume et partie en laissant derriere elle son"poeme" qui ressembler plus a une lettre personnel.
Orlagh
orl deposa un autre poeme pour celui qu'elle aime
Tel des diamants ils brillent ,autour d'un drap suivant les lignes et les courbes, blanc nacré au gout de peche.Deux lignesplus drues et plus foncées souligne les deux diamants.musclé mais avec la mouvence d'un chat jeune chat mais déjà vieux.jamais en manque d'idée.
---fromFR*Evangéline*
Evangeline entra timidement et inspirée par le feu de cheminée ronflant c'est en pleurant des larmes libératrices qu'elle écrit:




Les étoiles

Je me suis toujours demandée
Ce qu'était une étoile.

Je pense enfin avoir trouvée
La réponse se trouvait déja écrite sur cette grande toile...

Les étoiles ne sont que des miettes.
Les restes de nos souvenirs si heureux.

Et maintenant je ne suis plus inquiète
Je sais à présent où ont atteris mes voeux

Mes joies et mes heureux souvenirs.
Ils sont éparpillés dans le ciel.

Aux côtés de mes pleurs et de ce que j'ai vécue de pire.
Ils me sourient et tirent les ficelles

De mes états d'âme et mes humeurs
Mais ce soir je leurs fait la belle et

Je coupe le cordon, je pleure.
Je me sens plus libre, je crois que je m'en remet!

En fait, les étoiles ce sont les miettes de mon coeur
Brisés en morceaux par toi mon coeur!

Mais c'est pas grave j'ai décidé de vivre: Je respire
Ne t'en fais pas, les étoiles sont là et me font sourire!

_________________
Feyrak
Feyrak savait trouver sa soeur au coin du feu, elle s'y rendit.

Elle trouva Gwen et après l'avoir embrassé s'installa près d'elle. Elle s'excusa de la déranger en pleine médiation,
mais lui expliqua qu'elle devait absolument lui faire voir le courrier que Sélénaé lui avait adressé et qu'elle avait trouvé au lavoir.

Elle tendit le pli à sa soeur et attendit qu'elle en eut effectué la lecture.

_________________
Somas
Somas n'était que de passage mais laissa en vaint un de ces poèmes

Citation:
Des flammes frisonnent sur mes lêvres hardi
Et dans mon coeur survint un vif incendi,
Ou ton baisé,charnelement sur mes lêvres se posit,
De quel douce penssée mon âme est remplie.

J'ai envi en journée que d'être d'en tes bras,
Mais ne t'emballe pas,pas dans tes dras,
Juste la,tout près,à coter de toi
Pour sentir tout deux nos coeurs battre en soi.

Tu es le soleil qui me raillone
Ainsi,tout de toi m'éttone,
Je ne peut me passer de ta douce voie,
Je suis fou amoureux de toi,je le croi.

Je suis aimant,comme je ne les jamais été,
Bordé par de si grandes et belles intensitée,
Au pres de toi je voudrez rester,
Et pour tout jamais je le serrai.

Je voudrai pleurer,non je ne puis,
Il faut pour moi profiter dès aujourd'hui
De ces jours avec toi,si béni
Pour que ta beauté encore me conquis.

_________________

La pauvreté fait les voleurs comme l'amour les poètes
http://lespoetesdisparu.forumperso.com/ ( encore en finitions )
---fromFRgwen_de_bulette
Gwen prit le parchemin et lut

Quelle garce! N'en a t-elle pas assez de remuer toute cette lise? Rend on hommage à l'homme qui nous a détruit? à celui qui nous a mis plus bas que terre? J'suis désolée qu'elle ait pu écrire cela même si venant d'elle, je n'en suis guère étonnée. L'amour ne peut pas tout excuser Fey. Elle s'attendait p't'être à ce qu'on érige un monument... Quelle garce! nom de nom

Gwen fulminait

Ne me demandes pas de me calmer. Cette garce ne vaut mieux pas que lui au fond. La tristesse, le désespoir ne pardonnent pas tout. Elle pourrait respecter la douleur qui fut la votre et qui vous a réuni un temps

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Feyrak
Feyrak n'essaya même pas de calmer sa soeur, elle-même ressentant la même indignation.

Sélénaé dit qu’elle ne veut pas de réponse, je trouve cette attitude quelque peu facile. Venir me provoquer, ici dans mon village et ne pas me permettre de répondre ?

C’est ce que nous allons voir. Je vais lui laisser ma réponse ici, si elle repasse elle ne manquera pas de trouver ce coin aux poètes.


Citation:
Dame Sélénaé,

Avant toute chose, je tiens, ici, à vous faire part de ma compassion pour la douleur que vous endurez en ce moment.

Ceci dit, je vais maintenant faire réponse à votre courrier dont je sais qu’il m’était adressé, malgré votre « délicatesse à ne pas citer de nom ».

Tout d’abord, puisque vous savez que j’habite Tarbes à présent, vous auriez dû songer qu’il m’était très difficile de lire l’avis de décès que vous avez déposé à Bertincourt et d’y apposer quelque mention que ce fut. Je n’ai su la mort de Valmont que par ouï-dire.

Venons en à un autre point, qu’il me semble des plus indélicats de votre part d’évoquer : notre silence vis-à-vis de votre deuil. Il me semble, Madame, qu’il aurait été plus qu’outrageant pour la mariée, Cyann, que nous évoquions seulement le nom de Valmont à son mariage. Avez-vous oubliez ce que ce nom représente pour elle ? Et je trouve notre attitude des plus civilisées, à vous épargner d’évoquer ce chagrin et essayer de vous distraire ne fut-ce que le temps d’un poème, et ce, sans nier aucunement votre peine.

Je pense que la douleur vous égare, mais malgré cela, vous avez éveillé en moi une colère telle que je n’en ai pas ressentie depuis longtemps. Comment-osez-vous venir me narguer, ici, chez moi, où je vis avec mon fiancé, au nom d’un homme qui n’a laissé sur son chemin que pleurs et que haine.

Comment osez-vous prétendre que je puisse pleurer un être qui a fait de ma vie un enfer et par la faute de qui j’ai failli mourir.

Oh oui, je l’ai aimé, comme l’enfant que j’étais peut aimer un rêve qu’elle avait cru réalisé. J’ai cru longtemps qu’il m’avait aimé. J’ai même vu une belle âme en lui, je ne sais encore aujourd’hui si c’était illusion. Puis je me suis aperçu finalement que non, ce n’était pas moi qu’il aimait, mais l’enfant qui l’admirait, cette petite naïve qu’il a dupée plus d’une fois. Il m’a manipulé tant que ma candeur le lui a permis.

Il avait un cœur dites-vous ? Oui ! Certainement ! mais seulement amoureux de lui-même. Aucune d’entre nous n’a compté à ses yeux. Il avait l’audace de dire qu’il nous aimait toutes. Avez-vous oublié combien nous étions ? Qu’un homme aime deux femmes à la fois, je le conçois, mais vingt six ? Pardonnez-moi, mais je doute fort qu’il s’agisse de l’amour tel que je le comprends. Il n’aimait que lui vous dis-je. Un parfait nombriliste doublé d’un manipulateur, voilà ce qu’il était. Et je me demande encore maintenant, comment un tel être a pu créer des poèmes si beaux.

Aujourd’hui, voyez-vous, j’aime un homme plus que digne de moi, un homme tel qu’en rêve toutes les femmes. Avec lui le mot Amour retrouve son véritable sens. Et croyez-moi quand je vous dis que Valmont n’aurait pas été digne de seulement lui laver les pieds.



Alors, je vous en prie, Madame, ne me parlez plus jamais de Valmont. Que vous l’ayez aimé, je n’en doute pas, mais ne m’imposez pas de pleurer sur lui. J’ai très certainement beaucoup de défauts, mais pas celui d’être hypocrite. Vous ne trouverez chez moi, ni pleurs, ni regrets, ni même un mot pour l’accompagner dans la mort. Je lui souhaite seulement de trouver la paix dans cet au-delà qui l’accueille aujourd’hui, comme je le souhaite à toutes les personnes disparues.

Je vous ai dit ma sœur, Madame, aujourd’hui il n’en n’est plus rien. Comment une sœur digne de ce nom m’aurait offensée par ce courrier indigne. Aussi, si vous passez par ici, oubliez que j’existe, il n’y a plus de place pour vous en notre demeure, ni en notre cœur. Je parle en mon nom et au nom de ma véritable sœur Gwen.

Recevez, Madame, nos plus sincères condoléances pour le deuil qui vous afflige.






Dame Feyrak de Merteuillis







P.S. : Quant à transmettre cette lettre à d’éventuels amis ou personnes qui l’auraient aimé, je ne vois personne à qui l’envoyer.

_________________
---fromFRYcale
La Muse hésitante, toqua timidement à la porte.
Celle-ci s’ouvrit, dans un grincement suraigu et bruyant.
Comme entrée discrète c’était raté.


Bien le bonjour,

J’ai ouïe dire qu’il y a ici un lieu de poésie ?
Dame Feyrak l’anime a de qu’on dit.
Je vous salue bien bas avec révérence.
Je ne veux pas faire de concurrence.
J’anime dans une clairière bucolique,
Un lieu de poésie et de musique.
Je propose des bouts rimés en ce moment,
Pour les poètes chevronnés et les débutants.
Si certains sont tentés par l’aventure,
Nous pourront versifier dans la nature.
Car vous savez un endroit que l’on délaisse
Il n’y pas long pour qu’il disparaisse.


La muse leva les bras et fit quelques arabesques avec ses doigts, indiquant d’une façon muette un chemin dans la foret que les convives virent apparaitre comme par enchantement.

Voici le chemin, pour vous y conduire
J’espère que vous serez nombreux à venir
Je serais heureuse de vous entendre
Je serais là bas à vous attendre.

_________________
~PNJ~
Feyrak

Bonjour Muse de la Forêt,

Je n’anime point ce lieu ma chère. Je l’ai juste ouvert lors de mon arrivée afin que l’on puisse venir y rêver, discuter si l’on veut ou simplement
s’y détendre au coin du feu et déposer ses poèmes ou même sa prose

Voyez-vous je suis déjà allée visiter votre clairière, mais ne me sentant pas assez aguerrie j’ai renoncé à y laisser quelques vers.

Cependant, je vais suivre le chemin que vous me montrez et essayer de m’y atteler.

A bientôt chère Muse.




_________________
---fromFRgwen_de_bulette
Gwen vint se réfugier auprès de sa cheminée chérie. Le destin lui avait encore joué un bien mauvais tour. La souffrance venait de revenir au galop dans sa vie.

Gwen laissa ses larmes couler, voyant la vie comme un éternel recommencement.

Par Aristote,qu'ai je fait pour mériter tout cela? Il y a des jeux que certains pourraient éviter... surtout quand elle engendre colère, déception et souffrance. Le prix est il à la hauteur du plaisir de jouer? Elle aurait voulu être loin d'ici, quelque part en Artois où ce jeu stupide n'avait pas lieu. Elle serait toujours sereine sur sa relation, sur leur avenir.

Gwen savait qu'elle lui pardonnerait. Son amour était si intense pour lui, qu'elle ne pouvait rompre. Son amour et sa confiance en lui domineraient la déception et la colère. Mais elle sait aussi qu'elle ne pardonnera plus s'il y avait une deuxième fois.

Gwen prise par un élan de colère, déchira ses parchemins, ne voulant plus écrire. Peut être que ça lui portait malheur après tout...

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Feyrak
Feyrak, sereine, mais dubitative savait qu’elle arrivait à un tournant de sa vie. En passant devant la maison des rêves, elle décida d’y rentrer, afin de se laisser aller à la méditation.

Elle fut surprise d’y trouver sa sœur, sa surprise grandit quand elle vit cette dernière déchirer des parchemins. Elle s’en étonna et s’approcha d’elle, l’embrassa et la fixa quelques instants.


Roo ! Toi ça va pas ! Tu vas y passer ma belle. Racontes moi tout.


Voyant les sillons laissés par les larmes sur les joues de sa douce, comme elle l’appelait parfois, elle l’a prit dans ses bras et attendit qu’elle soit prête à se confier.

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---fromFRgwen_de_bulette
Si tu savais Fey... J'crois qu'on a voulu me faire souffrir sinon quel est l'intérêt d'un gage... qui?... pourquoi?... stupidité?et puis... rooo... elle... elle me dit bonjour... comme si rien... je rêve

Gwen regarda Fey

Roo désolée, tu sais rien toi! J'ai l'impression d'avoir reçu des milliers de tonneaux sur le coeur.


Gwen éclata en sanglots et se réfugia dans les bras de sa sœur

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Feyrak
Feyrak, le coeur serré à voir sa soeur dans cet état, se demandait ce qui avait bien pu se passer.

Elle prit sa Gweny dans ses bras et lui caressant les cheveux pour la calmer, lui demanda de tout lui raconter.


Allons, ma douce, reprend toi et raconte moi.


Elle l'étreignit un peu plus fort et attendit que le mal se déverse par les mots.

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