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[RP] Un petit coin de Cheminée pour rêver et faire rêver[RP]

Ghanima_de_thule
Ghany déposa une partie seulement du papier qu'elle avait donné à Fleur ...



Citation:
La Fleur s’envole cette fois
Là haut très loin de nous
Essaimant une dernière fois
Des bisous sur nos joues

La fleur laissera ici bas
Des larmes dans nos yeux
Mais des câlins plein des bras
Et aussi son caractère de feu

Des souvenirs pleins les cœurs
Et puis beaucoup de fous rires
Pour que jamais elle ne meurt
Le Rhododendron vivra dans nos rires


Bonne route ptit Edelweiss Helvète ...
--Landry


Toujours assis près de la cheminée, Landry vit entrer une jeune femme qui ne l'aperçut point. Elle déposa un petit parchemin à côté des autres et ressortit aussi furtivement qu'elle était entrée.

Décidément, il ne rencontrerait personne ici et Audeline n'avait pas réapparu. Il reprit son baluchon, remit son manteau et sortit dans les ruelles verglacées.
Sylumi
[b]CHICHE CHICHE !!!!!!!!!!!!!!!

Je cherche Rocabar avec la poele de Fey ! je veux lui en mettre un coup sur la tête et je sais pas pourquoi ............ROCABAR ICI !

_________________
Sylumi
Entre mes yeux entrouverts, je te regarde
Comme on contemple, ébloui, le soleil entre les nuages
Je me noie, là, dans tes yeux couleur océan

Je me laisse engloutir dans le flot tumultueux de mes sentiments
Et je refais surface sous la caresse de tes mains
Tu es l'eau indispensable à ma vie

Sans toi je ne suis rien
Bien moins que cette goutte de rosée sur le pétale d'une rose

Avec toi je suis tout
Bien plus que cette pluie d'été tombant sur un champ assoiffé

Ma main caresse ta joue avec tendresse
Ta bouche se pose sur ma paume dans un élan d'amour
Et je ferme les yeux transportée de joie

Embrasse ma bouche, souffle dans mon cou
Laisse en moi un arc en ciel de bonheur

Regardons ensemble, main dans la main, le même horizon
infini

_________________
Selenae
    Sélé voulu faire une surprise a son amie fey, en pensant la voir ce soir en taverne pour vider quelques verres, humm les poches un peu vide, pour éviter le sale désagrément qu'un méchant brigand la détrousse de toute sa menue monnaie et par la même de sa seule miche (de pain) et puis elle déposa ces poèmes qu'elle aimait particulièrement...

    Élixirs Amers mon Amour

    J'ai reçu une flèche au cœur
    Empoisonnée par tant de heurts
    Hémorragies de mes rancœurs

    Qu'aucun garrots n'a pu soigner
    Mon sang coule dans vos croisées
    l'exergue de cette destinée !!!

    Vous les regrets, moi sans florès
    Car boire l'amer de la détresse
    Me saoule a en mourir de tristesse

    Vous étiez ma vie, mon ex-voto
    Vous étiez ma symphonie mon concerto
    Vous étiez ma scansion sur un tango

    Depuis longtemps, brûlée est ma vie
    Incandescent fatum, une hérésie
    Infâme douleur au cœur meurtrit

    Je vous raconte, et c'est comme ça
    La réponse.....vous parviendra ?
    Peut-être ici ?, dans l'au-de-là ?!!!


    COMME TU VEUX

    je marcherai dans ton ombre
    Inventerai des mondes
    Où j'irai glisser, sur l'arc-en-ciel du temps

    La couleur de tes yeux
    Inondera les cieux
    Où j'irai voler dans ce beau firmament,

    J'accrocherai tes mains
    Aux portes du destin
    Où tu décrochera tes amours d'antan,

    Du lagon des sanglots
    j'égoutterai des mots
    Où j'irai nager dans ce bel Océan,

    J'épouserai ton corps
    Où fuiront tous les sorts
    Et j'exilerai tes tabous du moment.

    Dénouerai ton mouchoir
    Négligeant tes rancards
    Et je remplacerai tes amours a l'instant,

    J'éclabousserai ta vie
    D'étoiles toutes les nuits
    Et je te ferai voir, ce qu'est l'amour longtemps,

    Pourtant j'ai ce pouvoir
    D'atteindre ta mémoire
    Et nous retournerons a nos plaisirs d'avant

    Tu ne veux pas me croire
    Je t'invite au parloir
    De ma prison de rêves, sans blêmes et sans jugements

    Sélénaé

    Tu veux deux petits Alexandrin fey


    Je crois avoir trouvé un fou d'Alexandre....hein!!!!
    Il était là seul dans le petit matin
    Le pauvre le cœur en larme au bord de la rivière,
    Trainant au bout de sa plume, sa triste misère


    Nous irons appâter dans la rivière des rimes
    De petits hameçons , pêcher des mots sublimes

    D'attendre avec patience sur le bord de la rive
    Rallier l'union à l'harmonie.. "contemplative"

    Comment ne pas aimer de si belles façons
    Que ces Alexandrins sont pour moi la raison

    De venir clamer ces rimes avec brio
    Avec brio, dirais je !! en aimant tant les mots

    Et si par grand malheur mes méninges paressent
    Quémander a ma muse une aide enchanteresse

    Par la magie des verbes éviter la banqueroute
    Pour tenter de vous plaire, titiller votre écoute

    Sélénaé De Coulange, Maitre Troubadour

    Après un court interlude je suis revenue
    Sur le bord de la rive, ne trouvait plus d'issue
    Trempé dans sa misère, me narra son chagrin
    Qu'il voulait que reviennent ses chers alexandrins.


    Oui je suis abandonné, pauvre Alexandrin
    Dans ce froid et le gel, dans le petit matin

    Je traine ma misère, toujours on me délaisse
    Et que par ma triste mine, n'apporte pas la liesse

    Pourtant je rime bien, mais peut-être un peu court
    L'emphase de mes mots est un joli parcours

    Alors vous qui passez, redonnez moi la vie
    Et faite que l'on m'aime, à redonner l'envie

    A mon sourire aux mots, reviendra ma gaité
    Relèverais l'orgueil unies a ma fierté

    Sélénaé auprès de son Alexandrin

_________________
Feyrak

Sélé avait prévenu Feyrak qu'elle était à Tarbes, aussi ses obligations terminées, elle courut jusqu'à sa maison des rêves où elle savait que Sélé lui aurait laissé un, voire plusieurs poèmes.

Elle parcourut la salle d'un pas vif à la recherche des parchemins de son amie, vit en passant le poème laissé par Sylu, elle le lit en souriant.


Ahhhhh !!! Les voilà !!!

Elle prit les parchemins et s'assit sur les coussins pour les savourer.

Elle souriait tout en lisant. Ah dieu qu'elle aimait les poèmes de Sélé. Elle rit en pensant au début où elle la lisait, parfois il lui arrivait de ne rien comprendre et de demander explication à la maîtresse des mots ainsi qu'elle l'avait surnommée.


Bin tiens, des alexandrins hein, rien de plus facile pour toi pff !! Suis mortifiée.

Elle prit un parchemin et une plume pour laisser un mot à Sélé.

Citation:


Maîtresse des mots,

Tes poèmes sont toujours aussi beaux. Il est loin le temps où je saurais seulement mettre deux mots côte à côte comme toi. Je n'en rêve même pas.

Comment veux-tu que j'ose mettre mes poèmes après toi ? Je serais la risée du village entier.

Mais qu'à cela ne tienne, pour l'instant je ne peux poétiser, l'inspiration s'en est allée. Ma muse n'est pas là et sans elle je ne sais pas mettre deux vers l'un après l'autre.

Enfin, je vais essayer de te faire honneur tout de même et d'essayer de trouver une autre source d'inspiration, mais je ne te promets rien, je me connais, seul mon Iwa m'inspire.

Bien on se voit en taverne ce soir et je te paierais à boire pour fêter ton arrivée et te remercier de ces mots si beaux.

Je t'embrasse. A tout à l'heure.

Fey


_________________
Selenae
    Sélé aimait ce coin de feu, elle voulut revenir, il régnait ici une douce atmosphère, lumières douces qui appelle a l'écriture, aussi prenante que chez elle à la Maison Rose, Sélé se sentait bien ici.
    Elle lisait le mot de Fey elle sourit en songeant au surnom qu'elle lui avait donné, il y a fort longtemps "la Maitresse des Mots" que de souvenirs revenaient, allez hop!!! plus de souvenirs comme ceux là.
    "La Maitresse Des Mots" elle appréciait ce surnom, elle ne l'avait jamais oublié et si un jour on lui demandait si elle avait un surnom pour la qualifier, elle prendrait celui-ci.
    La jolie Louve Féline comme l'appelait son Angel, posa deux poèmes sur le coin de la cheminée.

    Défi de Mots Dit

    Je baisserai mes armes devant ses moindres mots
    A cette belle confrérie, je les mettrais en vergue
    Au mat de ma douleur, les braver à mes verbes
    Au seul vent je maudis de les railler la haut

    Qu'une bise légère, elle sèchera mes larmes
    Et je condamnerai la moindre des tornades
    Qu'elle puisse les délester, d'aucune de mes tirades
    La bise bercera l'amour, l'amour et tous ses charmes

    J'accouplerai ses vers, romanesque défi
    Pour que l'ivresse produise, une féérie d'étoiles
    Que seuls mes yeux verront l'enchanteresse toile
    Tissés par nos poèmes, maléfice délit.


    FRAGILE

    Tout ce qui vient de moi est pourtant si fragile
    Je glisse silencieuse sur les parquets " agile "
    Pour ne pas faire de bruit et ne pas déranger
    Si près des abimes sont toutes mes pensées
    En regardant en bas je vois les mots monter
    Pour les récupérer, aide à mon inspiration
    les écrire sur parchemin seule destination
    Car le vent est présent, la pousse vers le haut
    Et j'en ris parfois d'être près du cordeau
    Détonnant explosif, que ma colère se borne
    A noircir les pages que ma plume bichonne
    Même si de temps en temps une tâche macule
    Le mot trouvé parfait et d'un pas je recule
    Que l'abime convoite, de garder tous mes mots
    J'ai appris à rêver plus que ce caniveau
    Et là j'ai le cœur qui tinte de toutes ces élégies
    Parcourue de frissons, j'ai trouvé l'harmonie
    A ce que les mots chantent et vous fassent rêver
    Si une larme où un rire empreignent le papier
    C'est que mon cœur sincère sera au diapason
    Car bien placer, l'amour n'a qu'une seule liaison
    Et si une ombre passe, pendant votre lecture
    Ne vous effrayez pas, elle sera que murmure.
    Si toutefois à la peur, elle vient a s'alarmer
    Un buvard virtuel, viendra tout assécher.

    Sélénaé De Coulange

_________________
Sylumi
Sylu entra dans la pièce , alla s'asseoir au coin de la cheminée, ferma les yeux et se laissa bercer par tout ce qu'elle venait de lire ...soupira et sourit ....juste se laisser transporter ...au "Paradis des mots" .
_________________
Selenae
    Sélé était touchée de cette marque de gentillesse, elle appréciait les compliments et voulut mettre encore quelques uns de ces poèmes parce qu'elle pense qu'elle ne reviendra pas tout de suite, elle vivait a Eauze


    Je suis Patiente Sélénaé

    Un homme m’aime quelque part dans ce monde
    Mais, le secret de son nom qu’on ne peut divulguer
    Caché derrière ses vagues que son amour inonde
    Et tous ses champs de fleurs, que l’on ne peut fouler

    Je suis derrière ses pas son ombre et son silence
    Je suis dans une malle ou l’amour est sans clef
    Il dit compter les heures, de ses ternes absences
    Il arrive par bribes, des mots accidentés

    Il dit sincèrement en souffrir l’inconfort
    Je suis son passager clandestin de l’amour
    Il dit être qu’a moi, que je suis son trésor
    Que je suis sa maitresse et son tendre secours

    Et dit que je suis son inestimable ivresse
    Caché dans la prison des ses fièvres si douces
    Que je reste patiente, devant tant de faiblesse
    Et comme Séléné, j’attends la fin du jour

    Sélénaé De Coulange



    De l'Amour

    Je me noierais dans ses yeux de Cristal
    je le sculpterais dans du marbre de Carrare
    S'il fallait choisir l'amour a ma mesure
    J'y prendrais sur l'étal du bonheur, pur armure
    Etincelante d'Or et des plus beaux diamants
    A l'étagère du monde, un homme bienfaisant
    Protégeant mes envies, caressant mes caprices
    Qui pourrait détourner l'hyménée bienfaitrice ?
    Soulignerais les mots dont il serait l'auteur
    Graverais le trèfle d'un beau porte-bonheur
    Je cueillerais les fleurs de la passions, des ksour
    Je serais sa Déesse, merveilleuse et gl'amour
    Il sera Zeus beau temple de lumière
    Tant notre ivresse,n'aura pas de frontières
    Voilà ce que désir mon cœur, follement ambitieux
    Mais on a rien sans rien,et du plus beau "JE VEUX

    Sélénaé De Coulange

    Envies de Reine

    Oui !! Venez Doucereux enflammer mes envies
    Toute impétuosité seront en harmonies
    Cheveux ébouriffés par vos mains caressantes
    Contribueront surement aux effluves abondantes
    Et ne dirais qu'un mot aux câlins inavouables
    Que vous serez le "guerrier" de mes sens indomptables
    Et par vos gestes tendres, allez jusqu'au pinacle
    Accomplir pour moi véritables miracles
    Si vous arrivez à combler mes appétits de Reine
    Je vous promets la gloire dans tous votre Harem.
    Sinon je donnerais a manger a mes lions affamés
    Où encore a la roue serez écartelé.

    Sélénaé De Coulange


    Des Mots Que Vous Voulez Entendre


    Dites moi tous les mots qui vous vienne à l’esprit
    Mon cœur est maintenant prêt a tout comprendre
    Il est l’ouverture d’une brèche à surprendre
    Qu’il reçoive cet amour, et qu’il en soit chérit

    Car, pour un temps perdu, dans de sales méandres
    Que ces sinueuses tortures soient à présent fleurit
    Que le meilleur s’épanouisse sans tabou sans mépris
    Vous demandant pardon pour toutes ces méfiances

    Dont mon corps perclus ne voulait embrasser
    Je veux saisir la chance, aujourd’hui convertir
    Tous ces mauvais jours en turbulents désirs
    Et recouvrer la vue, dont je m’étais privée

    Venez a ma rencontre, où la flèche du cœur
    Vous donne la direction d’un bel amour fringant
    De tout ce qu’il enferme, il sera stupéfiant
    De troublantes effluves, consentante douceur

    De gestes appropriés a vos libertinages
    Dévergondez mon âme à de censures plaisirs
    Je vous donne carte blanche à défroquer le pire
    Et parcourons ensemble, le plus beau des halages.

    Sélénaé De Coulange


    Le Plus Vieux Métier Du Monde

    Côtoyer les pires infatués sur la terre
    Où les rives du Styx, les âmes sont perdues
    Toutes flammes se gaussent en voyant la Vénus
    Se perdre aux dédales, des secrets de l’enfer

    N’aie-je pas droit moi aussi au céleste séjour
    Qu’au paradis là haut, que les fleurs ne se meurent
    Et que ma chair au feu ne subissent aucun heurts
    Depuis des millénaires, je donne de l’amour

    Et qu’à leur seule demande, je détache leurs chaines
    De vieux sots adipeux, à leurs yeux délavées
    Gratifier de plaisirs, leur vendre ma beauté
    Et, que par reconnaissance on m’accorde l’Eden

    Sélénaé De Coulange


    Allégorie

    Ô mon bel amour sur mes rives dolentes, bercer
    Aux clapotis des mots, j’aimerai vous charmer
    J’inventerai pour vous métaphores alléchantes
    Et de cette allégorie naisse une hyménée puissante
    Vous perdrai-je mon tendre, que j’en deviendrai blême
    Car de loin mon cœur bat où dans l’air je sème
    Des baisers langoureux qui vers vous ne se posent
    Des poèmes où l’amour voudraient toucher vos joues
    Caressante obsession que de sentir en vous
    Chrysalide naissante, j’attends que mue l’amour
    Pour qu’ailes se posent sur tous vos tendres jours
    Car vous êtes aujourd’hui Mon Paradis , l’enfer !!
    De vous offrir mon Cœur, le plus joli des monts
    Pour me faire parcourir tous mon corps de frissons
    Vous êtes mon aveugle qui ne voit pas mes mots.
    Que vos yeux malicieux n’ont qu’un regard palot
    Dès que vos belles pupilles se croisent aux miennes.
    Alors penaude dans mes bottines avec peine
    Dans mes pénates je rentre, avec ma muse en soleil
    M’éblouissant de ses rayons, que ma plume s’éveille
    Quelle ne pense qu’a vous et murmure au silence
    Qu’à l’encrier de l’amour mes vers pour vous s’épanche…

    Sélénaé De Coulange

    Et si un Matin

    Si demain matin tu cessais de m'aimer

    J'irai combattre le temps a des années lumière
    J'irai chercher ton cœur au delà des chimères
    Et je le noierai dans de tristes rivières

    je serai un vieil arbre frappé par la foudre
    Et deviendrai friable comme du sucre en poudre
    Je serais déchirure que l'on ne peut recoudre

    Si demain matin tu cessais de m'aimer

    j'irai porter mes rimes aux flammes d'un brasier
    Supplierai tous les vents de venir l'attiser
    Pour que plus rien ne règne, de cet amour brisé

    J'emprunterai l'horreur aux monstres des enfers
    Pour que peur s'en suive à ma fin, délivrée
    Et que le mot fin serait doux plaisirs enchantés

    Se demain matin tu cessais de m'aimer

    Dompter tous tes fantasmes où planera mon âme
    Entre lacis de plumes et de toiles d'épeires
    ...........................................je donnerai l'alarme
    Pour que jamais au temps se délivrent tes charmes

    En nuée d'étoiles fines mon corps sèmera
    Des larmes de cristal dans tout le Sahara
    En irriguant le sable de tout ce qui fut toi

    Si demain matin tu cessais de m'aimer.......

    UN DERNIER

    Ce qui me Hante

    Une mélancolie passante et frêle, une ombre
    Un bruissement de cape pourpre, je succombe
    Mon écoute captive, infime, dans l'espoir
    Douleur de l'impatience, émotion illusoire

    L'inspiration figée, tendance nostalgique
    Inhaler notre histoire, laps de temps féérique
    Les mains tendues, le yeux cloutés sur l'à venir
    Qui est-il ? lui, l'homme, ancré dans mon avenir

    Petites poignées aériennes, cherche a reconnaître
    Défiant l'incontournable, l'exhalaison de l'Être
    Et de l'huis à la nef du cœur, balisage
    Un courant d'air trompeur, castration aux partages

    Pour toi Mon Ange

    (Poème sans A)
    Coquelicot

    Lumineuses étreintes, volent, ricochent en folie
    ************Sur les rives bouleversées
    ************Que nos gestes insensés
    Dévoilent nos effluves, pour de subtiles envies

    Sensible coqu'licot, torrides effusions
    ******Que deux bouches butines
    *****D'herbes en fleurs libertines
    De préludes en frissons, épiderme consession

    ****Il est mon pur désir,et douce destinée
    Toute impudence, j'en use et veux me délecter
    *********De ses écumes blêmes

    De toutes ses Ivresses, je veux être le I
    ******l'innocence où l'hymen
    ******Ironique insomnie

    Pour vous Mon Ange


    Voila et merci de me lire j'ai toujours grands plaisirs a offrir

    Sélé pour ses nouvelles et nouveaux amis de Tarbes

_________________
Feyrak

Pff !! Elle me nargue, c'est sûr ça ! Sans "A", tssssss comment tu fais ça ?
Bin dis hein entre toi et wam j'ai plus qu'à me cacher moi.

Je mets le mien quand même.



Citation:

Attente

Avoir deux amours dans la vie
Est-ce possible ? Oui ! Je le clame !
Aimer deux êtres de toute son âme
Sans qu'aucun ne soit desservi, Oui ! Je le dis !

La vie peut tout donné, la vie nous reprend tout
Je n'ai aimé qu'un homme comme ça et c'est toi
Un autre amour est né, si parfait, si doux
C'est l'enfant que j'attends, celui qui est toi et moi

Un ange aux ailes noires j'ai rêvé, caressant l'eau du lac de la vie
Était-ce hier ou demain ? Le soir ou le matin de la vie ?
Dans la nuit de cet hiver enneigé, perdue dans ma solitude apeurée
J'ai pleuré pour cet enfant qui viendra, en cet effroi où je suis entourée

L'abri de mon ventre est-il suffisant pour te protéger ?
Angelot de l'amour, tu grandis en mon sein, mon tout petit
Là au fond de moi tu es à l'abri des souffrances d'ici
Que ne puis-je pour toujours te protéger ainsi, mon bébé

En naissant tu apporteras la joie, le bonheur et la vie
Ton père et ta mère te chériront tel un cadeau béni
J'ai tant souffert que je prie le ciel que ce soit le prix
Déjà payé pour que tu vives heureux, à jamais sans souci







Il est une prière que, comme beaucoup de mère, je dis pour toi mon enfant.

Qu'à jamais ta vie soit bénie
Que seuls l'amour et la joie
Pavent le chemin de ta vie
Et qu'à l'heure de ma mort
Ce soit ton bonheur que je voie


_________________
Sylumi
Sylu, toujours assise, avait vu Fey entrer et déposer ces parchemins. Elle se leva et doucement, alla les lire.

Ses yeux étaient embués quand elle finit sa lecture ...elle retourna s'asseoir face à la cheminée, contempla les flammes qui comme d'habitude la fascinaient,une phrase revenait sans cesse là dans sa tête... qu'à jamais ta vie soit bénie...elle ferma les yeux pour retenir le flot d'émotions qui montait en elle et se mit à pleurer sans bruit .....

_________________
Feyrak
Fey revint sur ses pas et vit Sylu en train de lire son poème. Elle la vit aller près de la cheminée et pleurer.

Intriguée, elle relut son parchemin. Et soudain elle comprit. En souriant elle alla s'asseoir près de son amie.


C'est son enfant ma chérie et je l'aime déjà tant.
_________________
Sylumi
Sylu sentit une présence derrière elle et se retourna. Entre ses larmes, elle reconnut Fey qui s'asseyait à côté d'elle et lui souriait.

C'est son enfant ma chérie et je l'aime déjà tant.

Sans rien dire, Sylu posa sa tête sur l'épaule de Fey, prit sa main et laissa ses larmes couler dans un sourire.
_________________
Selenae
    Sélé revenue au coin du feu, pour relire calmement le poème de son amie fey, aperçut les deux jeune femme devant la cheminée, elle osa s'approcher, près d'elles, elle vit Sylu et Fey de lourdes larmes couler sur leurs joues
    Mais pourquoi ses larmes, vous allez me faire pleurer aussi.
    Je suis sur que cet a cause du bébé
    fey je ne sais pas ce que va valoir ce que je vais te dire mais, ce bébé il est le reflet d'Iwa et même s'il ne revient pas, il sera là dans les yeux de ce bébé qui va venir, donne lui tout l'amour que tu devais partager avec son père.
    Je souhaite plus que tout qu'il revienne vers vous.
    Fey pour l'instant le bébé reste important, c'est toi qui le porte, pense a ce petit bout.....
    Ensuite Sélé resta silencieuse auprès de ses amies, elle prit la décision d'aller leurs chercher deux verres d'eau et alla chercher dans son baluchon des petits gâteaux qu'elle avait fait pour son voyage.
    La jeune femme revint avec tous ça et les tendit a ses amies
    Allez les filles plus de larmes, séchez tout ça.
    On va manger et prendre du poids.

_________________
Ghanima_de_thule
Le pigeon à moitié déplumé au niveau des fesses (mode oblige) se posa près de la vitre de la bâtisse. il pris le temps de frétiller pour se réchauffer l'arrière train mis à mal par les courants aériens. puis il déposa son papier et allât s'installer dans un tas de paille pour soigner ses engelures arrières ...

Citation:
Pour vous les filles, on pense à vous, soyez sages (mais pas trop).
Bisous, Ghani.


Sur une route j’ai arpenté
Tous mes souvenirs et mes désirs
J’en ai usé bien des souliers
Même va nu pied je continue de rire

A poil de Tarbes à Sarlat
En sautillant et en chantant
Nul doute qu’on s’en souviendra
Du passage des Tarbais, gaiement

Nombreux ont vu la lune
Pas celle qui brille, celle qui frétille
Choqués ou sans rancune
Mais jamais indifférents à nos … myrtilles ! (je trouvais pas de rime )

Voila les cul-nus Tarbais
Attention aux pudiques
Voila les fessiers Béarnais
Cachez vos yeux ça pique.

Là haut, si loin de vous
On n’oublie ses amitiés
Les départs font un bien fou
Mais retours sont plus appréciés

Promis si vous êtes sages
Peut être qu’on vous racontera
Ce qui fit rire dans nos voyages
Et peut-être aussi on vous les montrera …
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