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[RP]Tape la muraille, tu pues et marche a l'ombre.

--Mandy_la_spadassin


Armée et prête à en découdre Mandragore marche au milieu des Spadassins, ses frères d’armes tout aussi enjoués qu’elle a aller une nouvelle fois frapper aux portes du château. Intérieurement elle espère que cette fois sera la bonne, que cette fois la sorcellerie succombera à la justice, que cette fois ils vaincront !

Alors qu’elle peste intérieurement contre ce chemin des plus impraticables elle entend du chahut dans les fourrés non loin. « Encore un qui s’est vautré dans les ronces » se dit-elle en esquissant un sourire amusé. Mandragore n’y prête pas plus attention jusqu’aux cris qui suivent peu de temps après.


"ICI!!!!! UN BLESSE!!!!!!VITE!!!!
A L' AIDE!!!!!!C'EST SOOOOOOOOOO!!!

ICIIIIIIIIIII!!!!!!!!!!"


Ca c’est la voix de sa Cheftaine, aucun doute possible mais comment se peut-il qu’il y ait déjà un blessé alors que rien n’a commencé ? Les ronces sont-elles devenues pièges à ours ?
Elle peste de nouveau, obligée de revenir sur ses projets pour aller ramasser l’idiot qui ne sait pas mettre un pied devant l’autre.

Écartant les fourrés elle finit par mettre les yeux sur Séléna accroupie à côté de quelqu’un mais qui ? Un spadassin ? Un allié ou un soldat à achever ? Une autre femme plantée comme un épouvantail dans un champs se trouve là aussi mais sans agir, juste à regarder, une voyeuse qui n'a rien de mieux à faire ? Allez savoir. La jeune femme n'y prête pas grande attention et remet sa toute nouvelle épée à sa ceinture non sans bougonner puis plissent les yeux pour voir mieux comme si cela pouvait l’aider. Lentement elle écarte le corps inerte de Séléna, après tout le serrer si fort ne l’aidera pas et c’est là qu’elle la reconnaît, Sofio.

Elle se mord la lèvre, non pas pour contenir sa rage mais pour retenir son rire qui lui vient à grands pas. Ainsi dont la « grande » Sofio se retrouve au sol et pas par sa main, quel dommage. C’est bien parce qu’elles sont alliées sur ce coup là qu’elle n’a rien fait et voilà que maintenant il lui faut aider à la sauver, décidément tout fou l’camp de nos jours. Enfin, malgré tout elle regarde Séléna et se décide à agir.


Il faut panser ses blessures avant qu’elle ne se répande complètement au sol puis faire une sorte de brancard pour la ramener au plus vite au village, à moins qu’un homme costaud se pointe d’ici là.

Joignant le geste à la parole, elle prend une de ses dagues planquée dans sa botte droite et commence à découper le bas de sa cape pour faire de longues bandes de tissus qui feront office de bandages d’urgence. Ah pour sur que si elle s’en sort celle là elle lui en fera payer une toute neuve ! Avec fourrures, capuche et poches, la totale ! Les dents serrées Mandragore peste mais commence à enrouler le tissu autour des blessures, poussant Séléna à en faire de même, espérant que cela maintienne en elle assez de sang pour lui maintenir la vie.

Sert assez fort, il faut arrêter le sang avant qu’elle nous en colle partout !
dit-elle à Séléna avant de se tourner vers Sofio de plus en plus livide. Elle lève la main et lui en colle une pour tenter de la réveiller, si elle s’endort son avenir va être aussi râpé que le gruyère de Savoie.

Ne t’avise pas de claquer là toi ! Réveille-toi ! Aller secoue toi ou je continue à te mettre des baffes et Aristote sait à quel point j’adore ça !

Vrai qu'elle adore ça, d'autant plus sur elle mais là elle ne le fait pas que part plaisir. Si la blessée sombre elle risque de ne plus refaire surface. L'inconscience pourrait la soulager de ses blessures c'est sur mais après tout la souffrance est une amie dans ces cas là, tant que l'on a mal c'est que l'on est en vie ...
_ermeline_



[Le 24 au soir ou on sait plus quel jour devant tant d'animations et de batailles les nuits]


Dis mon Beau parait qu'il faut lever le camp, on plie les tentes .

Ermeline regarde autour d'elle amusée.

On plie la chambre? En fait j'aime bien le drap là, pis le baquet c'est bien!

Et la Blonde faisait le tour de la chambre. Il fallait dire que ce n'etait pas souvent qu'ils pouvaient s'octroyer une chambre et qu'elle avait beaucoup aimer : on y dort bien, et plus encore .... - Beep -
J'suis triste qu'il faille partir comme ça.. j'aimais bien notre petit cocon là.

Elle lui sourit, vient lui caresser la joue .


Allez suffit, faut leur faire croire que l'on reprend la route, et que l'on n'a plus rien à faire ici.
Eh oui, c'est cela le plan. faire croire que l'on part alors qu'ils allaient s'aventurer du côté" de la mairie. Il devait faire bon à la mairie et y avoir quelques victuailles . C'est marrant mais la brindille avait des envies de fruits acides ces temps ci ... allez savoir pourquoi cette envie. Alors elle la mettait dans un coin de son cerveau, essayait de la calmer là et son caractère devenait épineux.

Alors cette nuit là ,ils ne prirent pas la route du château, laissant Sofio avec l'armée. C'est vers la mairie qu'ils se dirigent tous. A mots couverts, ils s'engagent dans les rues, se fondant alors aux ombres de la nuit.
Tiens , un qui s'amuse à faire le loup. Si ils pouvaient arreter de faire les pitres! On va se faire repérer.
Puis une demande vint de son compagnon :


Tu as nous en toi ....et je suis inquiet pour toi.
Elle le dévisage dans le noir - Non elle n'est pas encore lycan mais bon, avec l'Acherpé toussah toussah ça ne saurait tarder- Elle devine ce masque d'inquietude, et elle le sait au fond d'elle depuis longtemps.

Je t'assure que je fais attention à moi, à nous. Je .... après cette nuit , j'retourne aux casseroles .

Oui mais bon tout le monde sait qu'elle cuisine pas, elle a jamais appris et qu'elle apprendra jamais. Mais elle était prête à garder les chevaux pendant qu'ils allaient se battre , même si cela lui coutait tant et tant .... Comme si elle cédait de sa liberté.
UNe question la taraude encore : avait elle bien fait de le garder? C'est lui qui a permis à ses parents de se rejoindre... lui qui a permis à ce qu'ils se rapprochent .

UN léger grognenement: il n'a pas l'air d'humeur. Un haussement d'épaule, et elle reprend son cheminement vers la mairie et le loup se fait entendre à nouveau , avec un " ta Gueule !" en réponse.
Mince, ça doit être un signal d'alerte : ils sortent de partout!


Des gardes !

Et la mélée commence, ça tape, ça injure, invective ! Yaouh!!
La Brindille s'en tire sans rien,elle a juste tiré les cheveux d'une pouffe avant de se replier. Ils étaient trop nombreux : ils les attendaient encore.
Pas vrai ! y a une taupe ou quoi chez nous ?!

Celui là, elle lui ferait bien sa fête! C'est sa dernière fois avant longtemps et il la prive d'une victoire! Furieuse, elle regagne le point de chute, passe a coté des remparts et entend des hurlements :



ICI
et SOfiooooo
Ni une ni deux , elle accourt et le tableau qu'elle découvre l'a statufie sur place.

C'est l'Dieu Acherpé qui a fait ça ?!

Rah c'te question! Les loups étaient tombés sur elle, alors qu'elle faisait diversion leur permettant de se rendre à la mairie pour diverses protestations.

J'peux être utile ?

_________________
--La_brindille
[La fille sauvage de la forêt Des Brumes - Toi, la révolté qui la rébellion prône ]


Rebelle jusqu’au bout des mots,
Insoumise elle l’est, à fleur de peau.
Lorsque le monde lui tourne le dos,
Narquoise, elle leur tire son chapeau.

Fier, elle se moque des interdits,
Nul ne peut la contrer a priori.
Des embûches et soucis elle fait fi,
Vivre selon ses règles elle s’est et lui a promis.


La brindille se languissait à la vue des ruelles villageoises et des tavernes puantes et sales remplies de "hahaha !" ou de "hohoho !". Elle n'avait plus qu'à errer dans les prairies, les cimetières ou encore les églises, plus lugubres que jamais.

Elle souhaita rencontrer un ennemi, pour lui trancher la gorge et lui dérober son argent, ou encore se battre, seulement pour le plaisir. En vain ! Elle continua sa marche vers un pauvre homme, lamentable il se trouvait. Elle s'approcha du vagabond et lui jeta à ses pieds, une pièce. Avec un merci joyeux, celle-ci détourna son regard vers une ombre. Encore ! La fois qu'elle avait vu une ombre, c'était le signe d'un loup, qui de surcroit l'eût attaqué ! Courageuse et curieuse surtout, ou peut-être poussée pour fuir l'ennui, La brindille s'élança à la poursuite de cette mystérieuse ombre. Pendant sa course, elle roula sur un gros caillou et tomba.

Elle poussa un infâme juron et pria pour qu'on ne l'eût pas vu. Personne aux alentours, elle soupira de soulagement, de peur d'abîmer sa dignité. Erreur ! Pendant qu'elle se leva lentement, une paire de jambes s'afficha devant elle. Pitoyable, elle relevant la tête, et vit un homme au crâne chauve, aux yeux vairons, un rouge comme un bleu, et frissonna d'horreur.

- Qu'est-ce ? demanda-t-elle d'un ton mal assuré.

L'inconnu grogna comme un loup, (coïncidence) et craqua sa nuque de droite à gauche. La brindille agrandit ses yeux avec effroi et tourna ses talons pour courir comme un lièvre vers une maison. Elle frappa : aucune réponse. " Ordure !" Elle frappa à une autre porte, en vain. Le drôle de m'sieur la suivait. Elle vit une tour avec une porte ouverte.
Elle s'y faufila et referma la porte. Elle se cacha mais ébranla un vase, ce qui le fit tomber. Un "Hum" se fit entendre. Elle jura intérieurement et regarda autour d'elle pour trouver une issue. Que Nenni !
Ah si ! Une armoire. Elle l'ouvrit et s'enferma dedans ...

Un homme aux manières bourrues s'amena devant la porte de son entrée, à moins qu'il ne soit qu'un garde. Il sortit et s'enferma dehors, sans doute pour monter la garde. Ouf ! Elle ne s'était pas fait voir. En outre, elle était saine et sauve. Elle ouvrit la porte grinçante de l'armoire et en sortit. Elle se retrouvait dans une tour géante et vraiment altière. Elle n'était même pas épaisse ! Heureusement qu'elle ne vivait pas en concubinage, ce qui lui aurait causé un autre souci, celui de s'expliquer sur son absence.
Elle adorait agir dans l'ombre. Et si le propriétaire des lieux se trouvait riche, alors pourquoi ne pas lui voler une partie de son bien et de les donner à son prochain, pauvre....
Non ! Peut-être qu'il avait travaillé dur pour s'enrichir. Et s'il possédait de beaux rubis, ces grosses pierres rouges d'une valeur inestimable ! Ses yeux se mirent à briller et elle esquissa un sourire diabolique.

Simplement, elle se rappela qu'en faisant partit de Guildes proprement nobles et droites, elle se devait d'être une femme juste ! Maudit soit le jour d'être bonne ! Et oui, avec ses misérables mendiants et ses enfants qui courraient les rues, elle leur avait donné quelques pièces de sa lourde bourse. Mais, plus tu donnais, moins tu possédais et de plus, moins tu recevais.
Elle se traita d'imbécile. Ah oui, pour ça, elle l'était. Elle progressa dans la tour et monta les escaliers en colimaçon. Une par une, elle pensa qu'elle aurait dû combattre pour le Christ, porter la croix. Avec ça, elle aurait pu être dotée de merveilleux joyaux offerts par les Templiers...

Elle ouvrit une chambre, sans savoir où elle allait et tomba nez à nez avec un couple en pleine passion. «Hum… Beurk ! »
Cela avait beau être naturel, elle referma vivement la porte avec un air répugnant. Elle continua sa marche vers le haut, n'osant ouvrir les portes ci et là.

Enfin ! Un homme assit sur un grand siège attendait quelque chose. Elle allait enfin parlait et dire pourquoi elle se trouvait là. Espérons qu'il soit clément. Elle allait aussi parler de l'horrible personnage qui errait dans la rue droite.
Elle ouvrit la parole mais elle fut coupé par la voix de l'homme :... !

Qui êtes-vous !! Que faites-vous ici ! Enfermez là dans un cachot !
Mais, mais…

Elle fut saisi par deux grandes gardes en armure et pleines de cicatrices. Mon dieu, où est-ce qu'elle était tombée ...




[Montpelier]


Gaffe à ton gros cul la Brindille !


Minois qui se secoue de droite et de gauche, Mouarf elle cauch’marde… ? Non elle rêve de c’comte dont on lui vante les multiples charme et qualités… En son for intérieur, La brindille souriait de la situation. Dommage que l’Extase l'eut sauvée, elle aurait tourné la situation dans sa risibilité absolue... a rêver une entrevue avec le comte... on en espère qu’il nous rend une visite particulière ensuite en geôle. Réplique fuse.

Diantre ! Tu m’prends pour une blonde… ?
L’mien est pas visible a 5 lieux a la ronde c’pas un appel au peuple !
J’suis fille de la forêt d’abord donc discrète !


Comme deux sale gosse, comme a l'accoutumé depuis toutes ses années, elles font des siennes dans tout le Royaume , l’échange verbale fuse, L'Extase et La Brindille s’adorent…comme pour l’interrompre le cri de l’assaut est donné. La brindille et l’Extase se lance a l’assaut du château… Soudainement, elle repensa à cet homme aux yeux vairons, à son crâne chauve et à sa longe barbe noir comme les corbeaux. "Il était ignoble" Elle souhaita que celui-ci ne refasse pas surface. Rien que d'y songer, elle ressentit le long de son échine de douloureux frissons lui donnant d’autant l’énergie pour charger. La situation la grisait ! Oh combien elle rêvait d'action ! Et cette dame entraperçue en taverne en fin d’après midi, mystérieuse soit ! Mais très mielleuse. Elle doutait de sa véritable personne. Mais elle fut tout de même très impressionnée par ses ressources. Elle connaissait la tour, les ruelles. Pourvu qu'elle ne se dirige pas vers sur elle.

Une horde de garde les attendent sur les remparts et devant la bâtisse. Mouarf trahit. Tant pis ils sont là, ils iront a la charge chaque soir… les écus ne sont pas leur but… château, Mairie…Mairie, Château… partant au crépuscule et revenant a l’aube… essayant de dormir un peu la journée…journée entrecoupé pour certains d’en eux de convocation au tribunal, de ralage en salle du comte…mais la brindille n’ira pas dans cette salle là, dés fois que l’homme aux yeux verrons s’y trouve…

Dans un endroit glauque…dans les caves et autre passages sous terrain… avait été installée une similitude de taverne …. "Vade Retro Lavaboum" L’autochtone osait s’y rendre parfois au milieu de tous ces joyeux boute en train qu’étaient les envahisseurs pour eux . certains se faisait bien au surnom que chacun donnait a son voisin alors que d’autre essayait de lire un simili tatouage qu’il pouvait y avoir sur le front…pas tous heureusement et finalement c’est l’animation qui l’emportait sur le reste….chaises, tables, chopes dans de comptoir et joute verbale s’enchainaient.

Après son passage dans la taverne, elle arrivait les muscles endoloris mais le gosier bien remplis déambulant a travers les ruelles avant de trouver un repère pour s’y loger la journée… un grange de préférence pour La Brindille…dans sa rue du Hasard bien souvent. Elle était si hasardeuse qu'on ne pouvait imaginer ce qu'il en sortirait ce soir. Des malfrats, rien de plus… que finalement l’autochtone se plaisait à voir pour l’animation qu’ils apportaient dans leur ville…dans leur comté…



Kelak
Nuit du 26 mai, patrouille dans les faubourgs

http://img12.imageshack.us/img12/2604/cadastredemontpellier.png

Après quelques chopines, au royaume d’auriia, traditionnel lieu de répartition des tours de garde de la maréchaussée et des autres défenseurs, Kelak avait reçu l’ordre de suivre son meneur.

Il accueillit avec plaisirs cette ordre qui lui assurait de patrouiller entouré de soldats vaillant, et donc lui assurerant un tour de garde en toute sécurité…

Cependant en apprenant que le petit chaperon rouge languedocien se trouvait seule dans une lance, l’envie de la rejoindre fut assez grande, entre les affreuse bottes noires de son meneur et les jolies botes rouge de cette lodévoise, le choix était vite fait…perdue dans sa reverie kelak sursauta quand son meneur aboya


« bon alors tu viens »

Trop tard…

Plus moyen de revenir en arrière, Kelak sorti donc de la taverne en maugréant quelque chose d’incompréhensible.


« bon ca à l’air calme toi Kelak part vers le faubourg du peyrou »

"Euh tout seul ? euh avec juste mon chti baton là ??"

« Bin oui tout seul avec ton baton tu es un fier languedocien ou une grosse larve »

Comme si le meneur connaissait la réponse de Kelak il enchaina directement

"Bon je veux pas le savoir va voir de ce coté point bar".


Pas très à l’aise par cette nuit sans lune, Kelak commença sa ronde, heureusement il connaissait le quartier puisque son moulin y était...

son moulin…


la porte était ouverte…


Kelak déglutit et prudemment s’y dirigea.

Avec son bâton il entrouvrit un peu plus la porte, il crut percevoir du mouvement qui s’arrêta au grincement de la porte

Du voix mal assurée kelak lança


Y a quelqu’un ??
Merer
[Dans la nuit du 26]

Apres une longue marche vers Montpellier, ma fois, sans trop d’embûche, Merer, Capitaine de Cordas, avait intégrer la garde personnelle du comte car celui-ci avait l’intention de faire une petite ronde pour redonner de la liesse aux forces armées présente dans la ville qui la défendait avec passion et courage. Et puis se montrer en ces temps de crise était une bonne manière d’imposer son autorité sur le Languedoc.
La petite troupe sortie de la caserne avec un entrain certain malgré la nuit tombée sur la ville assiégée. Les gardes, sur les murailles, scrutaient chaque bosquet au pied de l’enceinte fortifiée à la lueur des flambeaux qui illuminait leur position. Un beau spectacle quand on se dit que finalement le Languedoc est en guerre. En guerre contre des parasites, nombreux, certe, mais pas invulnérable et comme certain ont tendance a se terrer comme des rats, les gardes avaient bien du fil a retordre.

La lance vérifia les ruelles, une à une, rencontrant parfois d’autres groupes de gardes cette nuit là, échange de politesse la patrouille reprenait son cheminement pour regagner la caserne. Tout se passait pour le mieux, une nuit tranquille en soit mais alors que la formation contournait le château, des cris d’alerte fendirent la nuit si paisible, pour les villageois endormis et aussitôt alertés, Klanacier ordonna à toute la section de foncer pour aider la personne qui s’époumonait. Brandissant leur épées face à eux, chacun pu constaté qu’il y avait une bande d’assaillant sur le perron du château, dont les gardes postés, repoussaient avec difficulté les assauts.
Le groupe chargeât sur un des flans les marauds enguenillés, la place n’était pas très éclairée, mais suffisamment pour que l’on devine les silhouettes encapuchonnées.

Enfin il allait y avoir un peu d’action, depuis le temps que l’on le lui permettait. Arme au poing et bouclier en appuis contre le torse, le blondinet s’introduit dans la mêlée avec force et fracas. Les lames fendaient l’air de toute par et s’entrechoquaient avec violence. Les grognements s’échappaient des combattants sous les coups évités ou contrés. Tous y allaient de leur rage pour s’imposer mais déjà les renforts arrivaient en masse ce qui mis en fuite une partie des insurgés.
Pourtant, malgré la déroute, Merer resta un petit moment à batailler contre une demoiselle. Il était certain que sous cette capuche se dissimulait un jupon en goguette, car à chaque coup donné, un gémissement féminin s’en dégageait. Frapper une femme n’était point dans ses habitudes mais il fallait bien mettre en déroute cette clique brinquebalante et au bout de quelques instants, voyant ses « amis » matés, elle pris ses jambes a son cou pour s’extirper du merdier dans lequel elle s’était fourré. Merer, d’un bon se jeta sur elle et la fit tombée dans un roulé-boulé.

Claques, coup de poing, rien n’y fît pour calmer l’ardeur de la donzelle qui fini par s’échapper…

Le soldat fît grise mine en regardant le bout de femme s’évanouir dans une ruelle escarpée mais il tenait fermement dans sa main un médaillon arraché pendant la lutte. Il ôta des mains d’un garde, arrivé à sa hauteur, la torche qui brûlait dans une épaisse fumée et exposa à la lumière le précieux bijou qui dévoila un nom.


Rosetta…

dit-il d’une voix songeuse.

Puis un sourire illumina son visage perlant de sueur, et il ajouta simplement.

On se retrouvera…
_________________
Castelreng
[ Journée du 26 ]

Entrer en Montpellier fut finalement moins dangereux que l'avait imaginé Castelreng. A l'approche de la ville il avait craint une attaque. Il faut dire que voyager en compagnie du Coms mettait les nerfs à rude épreuve à force de ne penser qu'à Sa sécurité. Il en avait poussé un soupir de soulagement une fois le Haut personnage en sécurité - si l'on peut dire vu les évènements - entre les murs du château.

La journée passa à aller prendre la température en taverne, prendre quelques heures de repos et repartir prendre ses ordres auprès de Klan.


[ Nuit du 26 au 27 ]


Flanqué du Capitaine de sa garde et d'une légère escorte, Cordas retrouva donc la lance Comtale comme il était prévu. Un regard entendu à la brunette alors que sa main se posait sur le pommeau de son épée en souvenir de la "caresse" que l'acier de sa lame lui avait infligé et sans mots dire, ils s'étaient tous mis en route. Silencieux, ils ratissèrent les rues une à une. L'atmosphère était lourde, la pression montait au fur et à mesure que les heures défilaient. La lune pour unique lanterne, chaque ombre devenait suspecte. Cordas, épée en main n'entendait que les battement de son cœur. A chacune des patrouilles rencontrées, un signe de tête suffisait pour comprendre que le quartier traversé était calme. Trop calme....

Le château en vu, des cris le parvinrent. Ni une ni deux, la lance fonça droit sur ce qui était, à n'en pas douté, un combat. Prenant les assaillants par la gauche, tous foncèrent dans le tas. Bientôt Castelreng n'entendit plus que le bruit des lames s'entrechoquant avec force, faisant jaillir par moment quelques étincelles tant la hargne dominait. Attaquant d'une main, se protégeant de l'autre par son bouclier, il n'aurait su dire à quel moment les renforts furent sur place. Petit à petit la racaille recula avant de prendre la fuite.

Pas mécontent de voir ces bons à rien prendre la poudre d'escampette, Castelreng, une fois certain que le danger était passé remit son épée au fourreau, recala son bouclier sur son épaule tout en regardant autour de lui. Ses yeux s'arrêtèrent sur.... Sur son capitaine qui avait encore maille à partir avec ce qui lui sembla être un très jeune maraud. Il s'approcha quelque peu. Le jeune freluquet était plus qu'hargneux et parvint tant bien que mal à déguerpir au grand dam de Merer qui en marmonna un "Rosetta".


Rosetta ?? Ne me dis pas que tu es à penser jupon Merer ?

Lorsqu'ensuite il vit le sourire extatique de son Capitaine, Cordas poussa un lourd soupir.

Aller ! en route tu rêveras plus tard !
_________________
Sofio
Montpellier 29 mai de l'an 1458

Réveillée, endormie,pansée, luttant par la force et la haine, elle avait bien finie par récupérer des forces et des idées, se hisser du presque trépas a la résurrection.

Réunion haut sommet, revendications, il était venu le temps, coup de poing sur la tablée, ce sera ainsi.

Entre deux onguents un sourire aux lèvres, encore quelques courriers a finir, puis elle se décida .

_________________
Adelinda
Depuis combien de jours ils sont dans le Languedoc? La brunette ne saurait le dire. Elle a arrêté de compter. Et dire qu'au départ ils devaient seulement rentrer à Lodève. Petit village languedocien qui a tapé dans l'œil de la voleuse. Elle se demande toujours pourquoi d'ailleurs.

Mais voilà, une opportunité s'est présentée devant eux, et ils auraient été bêtes de refuser.
"Tu vas voir, tu vas être procureur à la place du procureur!" qu'on lui a dit. Mettre en procès qui elle veut, pour la raison qu'elle veut? Voilà qui aurait amusé la brunette. Donc elle avait accepté, une fois que son blond avait acquiescé à l'idée.
Ils seraient donc de la partie.

Et voilà donc le couple arrivé dans le Languedoc. Déjà, première chose, se rendre au tribunal. Le pounet allait y être jugé. Ah ça, pour sûr que Adye en a vu des procès, mais des comme celui-là, faut bien avouer que c'était assez particulier. Au moins il avait le mérite d'être unique. Des groupies partout, une juge qui part en courant, et un lustre qui perd ses breloques non loin de ses pieds. Pour un peu, elle aurait cru que le lieu était hanté d'une malédiction. A moins que ça ne soit d'autre chose. Menfin toujours est-il que Gmat n'a pas eu droit à son fameux procès, mais que la sentence a quand même été lancée. Bonjour la justice...

Mais bientôt elle ne sera plus la même. Une fois Adye avec les droits de mettre qui elle veut devant le juge, qui serait soit dit en passant une très bonne connaissance à elle, la justice va changer. Bien pour ça qu'elle a accepté l'action. Avec bien sûr l'art de se défouler. Les écus qu'ils peuvent gagner si ils y arrivent, ça passe en second plan. Bien qu'une nouvelle tenue pour la chasse serait la bienvenue. Non non, comme tout ce qui est sorti comme prétexte par les brigands qu'ils viennent de rejoindre, à savoir contrer la magie noire qui pullule dans le comté, la brunette en a un peu rien à carrer. On lui montre un truc qui n'est pas normal? Elle sort ses buches cachées on ne sait où et crie au bucher. Non non, elle n'est pas de l'inquisition, juste une pyromane.
Elle, tout ce qu'elle désire, c'est de l'action. Cogner qui se trouve à sa portée, en espérant ne pas tomber sur un plouc qu'est du même côté qu'elle, ce serait quand même ballot, et pouvoir mettre ses fesses sur le siège promis du procureur. Voilà pourquoi elle se bat. Elle laisse aux autres la joie de se proclamer sauveurs du peuple.

Le 22 mai, premier jour d'une looooongue série de tentatives de prises de mairie et château. Beaucoup de gardes présents. Bien plus que ce qui a été prévu. Ont-ils été prévenus? Une trahison? Bah, tant pis, ce sera pour une autre fois. Peut-être qu'à l'avenir ils seront plus prudents. Toujours faire attention à qui on fait confiance.

Et les jours se suivent et se ressemblent. Mais quand on est buté, on est buté. Et ils le sont, ces bougres. Les languedociens vont bien arriver par lâcher prise. C'est un peu à qui arrivera à tenir le coup le plus longtemps. Mais sont aussi tenaces dans les deux camps. Un peu comme des gosses qui se disputent un jouet.
"Donne le moi!"
"Nan c'est l'mien!"
"Mais laaaache le!!"
"Nan, t'as qu'à t'en ach'ter un si t'en veux!"
"Si tu m'le donnes pas, eh ben j'vais m'venger!"
Tout à fait ça... Et la vengeance, on fait crever de faim.
"Vala, t'es privé de dessert, bien fait pour ta goule!"
De vrais mômes.
Les procès commencent à pleuvoir, loi martiale proclamée alors que les bandits étaient déjà entre les murs. Pas mal ça, comme procédé. J'aime pas ce que t'as fait? Ben je ponds une loi qui t'interdit de le faire, bien après que l'action soit commise.


Bande de mauvais joueurs... lance la brunette, en tournant les talons. Il va falloir se préparer, encore, pour une nouvelle attaque. Une semaine qu'ils tentent de faire s'écrouler la muraille, ils vont bien réussir à faire ne serait-ce qu'une brèche. Après tout, ils ont tout leur temps, non?
_________________

Fille de Kabotine et Gmat
"Spernax Mortis, Sed Carpe Noctis." Adieu...
--Indomita
Les catacombes où se dissimule l’antre "Vade Retro Lavaboum"
Plume au Vent, elle aussi est là, Danse Demoiselle ...



La chaleur l’habillait comme du velours
Et perlait sur son corps, en mille gouttelettes.
Chante dans le matin, les mots de toujours
Aux parfums des dimanches de fêtes !

Au son de l’accordéon, elle tourbillonne
Dégrafant son corsage trop serré
Sur sa poitrine vibrante à son cœur qui carillonne
Au rythme d’un tambour au son projeté !

Et danse la Demoiselle, détachant ses cheveux
Sur ses épaules légèrement humides
D’une chaleur égale à un bon feu,
Les soirs sur la plage où elle danse, timide.

Doucement tombe la jupe au sol
Et laisse entrevoir un corps de satin
Sur ses jambes qui tournent, farandole,
Balançant ses mains sur un air coquin.

Et danse, danse demoiselle
Ton reflet s’égare dans l’eau.
Il la devine de son regard étincelle
Nue à porter de ses mains d’ado

Balance sa poitrine comme deux poires
Fruit sucré comme son doux nombril
Juste là, au-dessus d’une forêt d’un soir
Et tourne Demoiselle, l’ombre de tes fesses se profile !

Et le reflet s’efface d’un coup !
Des ronds dans l’eau, tout est fini
Le ricochet jaillit avec les cailloux
La belle Demoiselle s’en est partie !





Scuadro
[Nuit du 29 au 30 du mois de mai, arrivant à Montpellier]

La nuit de marche l'avait détendu. Ces nuits encore fraîches étaient fortes agréables, du moins jusqu'à ce qu'il arrive à proximité de Montpellier.

Pactage sur le dos, pas armé, il marchait normalement, sans aucuns délit, dans sa liberté la plus totale. Et pourtant... Non loin de la porte de Béziers, à la sortie d'un petit bosquet, le choc. Une armée, étendard flottant, une bonne quinzaine de moutons armés jusqu'aux dents, marchait. Il avait le sentiment, ce soir là, que sa liberté allait être souillé c'est ça oui ! Plutôt la mort que la souillure ! Célèbre devise de sa Breizh natale ! Il continua à fouler le sol du Languedoc, et l'armée se mit en marche, ou plutôt au galop vers sa direction, de lui et de son compagnon de route. Ils n'avaient le droit, normalement ces hommes avaient des valeurs, du moins il l'espèrait, et s'attaquer à plus d'un 10aine contre 2 n'était pas loyal. Mais au moment au ce troupeau arriva, il vit qu'ils n'en avaient pas. Il perçu quelques mots :


- Tu vas crever pour tes crimes !


Gné ? Quels crimes ? C'est un crime de se déplacer ? Et là, sans le comprendre on lui sauta dessus, il sentit son mollet se déchiré par la froideur du fer, à plusieurs reprises. Il se débattit, rien n'y fit, ces couillons de soldats n'avaient pas de valeur. Juste avant de perdre conscience, il dit :

- Le loup est tombé, mais le loup se relèvera !

Plusieurs jours passèrent, il allait mieux. Il se baladait en taverne de temps en temps, écoutait les sornettes des locaux, des passants, dont celles du dénommé Brockanteur le doberman disait-on, mais qu'avait plutôt l'allure d'un mouton qu'autre chose. Il revint dans son taudit, prit la plume et écrivit :

Citation:
Au peuple de Languedoc, à son conseil, à son armée de mouton, à ses renforts lainés.

Qu'est ce que vous avez fumé ? Vos actions ne sont pas dignes d'un tel comté ! Vous prétendez défendre votre comté, mais est-ce la raison de massacrer, dans l'irrespect de certaines valeur et de l'art de la guerre et du combat ? Je ne crois point. Pourquoi dis-je cela ? Je vais vous rafraîchir la mémoire comme on dit. Tout d'abord, les valeurs. Une des valeurs clé d'un bon guerrier, un bon combattant, est de se battre à armes égales. Or, dans mon cas que je cite, 2 personnes, dont moi, nous nous sommes faits accosté agressivement par une quinzaine de molosses de votre armée, donc combat à 15 contre 2, le contraire de cela s'appelle la loyauté, vos actes sont vraiment inadmissibles.
Ensuite concernant l'art de la guerre, n'avez vous jamais appris, vous ou vos soldats, qu'on attaque pas quelqu'un si il n'est pas armé ? C'est pourtant une base de cet art qui est la guerre. Je ne comprends point comment vous avez pu oublié cela.
Ensuite évidement, vous me direz " Nous sommes en loi martiale " ou encore " C'est la guerre mon colonel !" ( mon colonel n'est pas nécessaire) mais jusqu'à présent, que voyons nous ? A part un autre crime de ce type sur la personne de Dame Sofio, qu'est ce qui sa passe ? Aucuns combats, les brigands ont pris la poudre d'escampettes, et vous essayez de faire croire à votre peuple que vous les chassez, ainsi le pari est gagné, les élections approchant, c'est tout à votre avantage. C'est une drôle de guerre. J'en conclus que vous profitez de cet attaque pour parfaire votre réputation. Messer le Comte.
J'en conclus aussi que vous ne connaissez rien à la guerre, cherchant les combats où il n'y en a pas, bafouillant cet art et vos valeurs.

Faict à Béziers le IVe jour du VIe mois de l'an de grâce MCDLVIII


Il le fit envoyer partout où il put.
Lordmick
Le voila parti sur les chemins alors qu'il avait dis se reposer et étudier. Mais non il y a fallut qu'elle le demande et lui bougre d'idiot qu'il est avait rappliqué.

Il avait fais son bardas, de quoi manger, quelques écus pour étudier, devait bien y avoir des livres dans ce Comté. Meme si ils y parrassaient pour certains, il en avait rencontré des cultivés.

Il sortit la missive qui lui indiquait ou se rendre.


Alors elle m'a dis quoi deja? La taverne Vade Retro Lavaboum? Encore un nom à coucher dehors ca fallait quelle la ramene sa fraise pouvait pas la faire discretement non? C'etait trop lui demander ca...!

Il remis le parchemin dans ses braies puis continua sa route en suivant les indiquations se trouvant dessus.

Un duel avec le Comte, non mais je te jure. J'espere qu'ils vont faire ca rapidement que je retourne dans mon pays. Faudrait pas qu'il se debine le lascard ni faire trainer j'ai pas que cela à faire moi.

Une ruelle à droite, une autre à gauche, une fontaine, un coin de rue et le voila arrivé devant la facade d'une taverne a pein entretenu.

Elle aurait du prendre des écus ca lui aurait permis de faire quelques choses de mieux!

Il poussa la porte et entra à l'interieur puis retira sa cape et fit le tour de la taverne qui etait aussi vide qu'un poulet que l'on eventre.

Ola taverniere ou est tu?

Il se depoussiera puis s'avanca dans la piece.

Petit rappel. Si je ne vous ai pas donne mon nom et que vous ne me connaissez pas vous ne savez rien sur moi. Si on a deja discute par courrier et que vous ne m'avez jamais vu cela reviens au meme merci de respecter cela.

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La garde meurt mais ne se rend pas !!!
Sofio
refuge de taverne

Rien a faire de la journée, qu'attendre, des journées ennuyantes et vide, très peu des siens encore présents, des rues et un marché désolant de solitude, les courriers, les pigeons seuls passe temps de ces nuits et de ces jours, d'ailleurs que font t'ils, sera t'il venu le temps...

Vélin encore, d'une main rageuse quelques lignes pour eux au Nord




La force, l'honneur, l'envie et la rage.....
per semper fidelis , combattants de la détermination,j'entends déjà vos lances et palpitations, brigands de grands chemins, voleurs de poules, toi mercenaire, nous étions vingts, cinquante, cent, nous le sommes, malgré les entraves et les fers aux pieds nous le resterons...

Languedoc terre de chiens,qui enferme, et pourrit de son sang impur toutes personnes n'entrant pas dans les empreintes de la miséricorde,sang, haine, que le feu purifiera de vos pas entrants, que brille le soleil noir ce jour bénit.

J'attend.....

Aucune barbarie perpétrée ne pourra être assez grande pour soulager la soif, l'étancher, qu'il en soit ainsi!

Enchainé ils ont encore frappé ce jour, permettant aux nôtres de pouvoir mieux entraver leurs chaines pour demain, si les fers vous rongent la chair que chaque goutte de sang perdue soit attribuée a ce couard de klanacier, il se gause le derche sur son siège,planqué a l'abri d'un duel, bientôt.... que son séant soit marqué par l'empreinte du pied de ceux qu'il a enchainé et ce jour nous serons vingt, cinquante, cent, et plus a nous gausser au vent telle une même force.

Pour chaque prisonniers marqués du fer, demain nous serons vingt de plus


Du bruit, quelqu'un est entré, elle replie son courrier le finira plus tard se relève

Ola tavernière ou est tu?

Passe dans la salle principale a reconnu la voix, pas de craintes , un si vieil ami....

Tavernière?? as tu oublié mon nom?

S'approche lui claque deux bises, grimace sa blessure a la cuisse empêche tous mouvements brusque.

Comment va tu, tu es venu seul... le duel c'est ca

Sourire en coin sert deux godets lui en tend un

Apparemment a pas de répondant en face, on devait pas s'en faire un toi et moi aussi?fut un temps....

Tu vois le languedoc ne change pas comme avant

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Lordmick
[Taverne Vade Retro Lavaboum]

Une reponse se fit entendre aussi douce qu'une charge de barbare saccageant un village...

Tavernière?? as tu oublié mon nom?
Comment va tu, tu es venu seul... le duel c'est ca


Ton nom? Ben tout depend comment tu veux que l'on t'appel, j'en avais bien un mais en publique cela ferai mauvais genre... Alors quoi de beau à part toi ma belle?

Il lui sourit en coin

Ben oui le duel, je suis pas venu pour visiter, je l'ai deja fais en allant en provence. Alors il est prevu pour quand? Que l'on en finisse rapidement et que je puisse retourner à ma vie de moine etudiant? Tu as la reponse du Comte et des hautes autorites?

Il fit une pause puis pris le verre tendu et apres avoir trinque le siffla d'une traite.

Ben ca fait du bien par ou ca passe tiens...

Apparemment a pas de répondant en face, on devait pas s'en faire un toi et moi aussi?fut un temps....
Tu vois le languedoc ne change pas comme avant


Il l'ecoute les yeux plonges dans ses se...yeux.

Pas de repondant? Tu vas pas me dire qu'un Comte nous la file à l'anglois et se debine cela ferait mauvais genre... Et pour le notre tout depend celui que tu veux...Il la toise de haut en bas.Mais pour ca faudrait reprendre un peu du poil de la bete car tu m'as pas l'air au mieux de ta frome.

Il lui sourit tendrement.

Et non le languedoc ne change pas toujours les veilles rancunes et veilles querelles je t'avais dis de pas y aller, Debba attendait que ca tapis dans l'ombre, un pretexte pour se venger de votre aide quand ils sont venu si gentil sur nos terres nous attaques et que toi nous a aide... Voyons tu pensais qu'ils allaient pas en profite s'est mal les connaitre...

Il lui sourit et reservit un verre dans les deux gobelets.

Sinon en attendant ou esperant ton duel tu as besoin de quelque chose?
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La garde meurt mais ne se rend pas !!!
Sofio
Besoin de quelque chose....ce qu'elle aurait besoin c'est de ne plus être la ce jour mais avec les autres plus au nord, prête comme ils le sont, ce qu'elle aurait besoin c'est d'avoir l'assurance que le Languedoc ne prépare pas multiples procès sans queue ni tête, on ne fait pas la guerre a coups de parchemins.

Elle lui sourit
, besoin de rien, je pense que tu es venu en vain,vrai le Languedoc ne change pas.

d'ici quelques courts jours, je vais pouvoir bouger, remonter les rejoindre...

Le regarde insistant, se demande si il comprend ce qu'elle veut dire, ici en taverne comme partout en ces terres parler de trop est un crime punissable par un long procès.

Comment se porte ma cousine? sait t'elle manier les hommes comme elle manie le verbe?

Lui ressert a boire, l'attente risque d'être longue.

Ici on me traite de vilaine brigand se marre, une tapette sur la main pour me remettre dans le droit chemin aussi,prend un ton plus basje crois que ils n'ont pas tout saisit et que le fer doit encore causer......

Alors!!! se retourne vers lui que veut tu faire pour tuer l'attente visiter le marché?? dis tu veut que je t'apprenne a spéculer?
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Lordmick
[Taverne Vade Retro Lavaboum]

besoin de rien, je pense que tu es venu en vain,vrai le Languedoc ne change pas.
d'ici quelques courts jours, je vais pouvoir bouger, remonter les rejoindre...


Et ben deja la bougeotte? Ils sont pas accueillant ici?Il ritRemarque tu viens chez eux rouerguate, en plus tu nous as aidé pendant que Debba et sa clique tentait de nous envahir alors forcement tu n'as pas beaucoup d'ami par ici... Remarque je suis sur que moi non plus, mais bon ils ont pas le choix.

Il fit une pause pour boire une gorgée.

Bon alors pas de Duel? Ton Comte s'est debiné comme un pleutre? Ca fais mauvais genre quand... Refuser un duel amene des doutes à la population sur son dirigeant...

Comment se porte ma cousine? sait t'elle manier les hommes comme elle manie le verbe?

Ta cousine? Ma foi aucune idée tu sais en se moment je reste au monastere pour etudier donc ne traine plus nul part pas meme en taverne

Il prit la bouteille et resservit un verre pour continuer la discution apres avoir bu le siens.

que veut tu faire pour tuer l'attente visiter le marché?? dis tu veut que je t'apprenne a spéculer?

Il lui sourit.

Pas besoin de ca, je fais dejaIl eclate de rireBen il fut un temps ou tu m'aurai propose mieux quand meme... Le marché bof...
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