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[RP] Eglise St Jacques de Montauban

--Cadastrelle
Citation:
L'église Saint-Jacques


Construite au XIIIème siècle grâce aux taxes somptuaires prélevées sur les riches bourgeois, elle porte les stigmates d'une histoire montalbanaise tumultueuse. Après la guerre de Cent Ans, la voûte romane effondrée est remplacée par une voûte gothique et le chevet plat par l'abside.

Durant les guerres de religion, les calvinistes abattent la voûte et la flèche. Le clocher octogonal de style toulousain repose sur une base fortifiée qui porte encore les traces des boulets de canon depuis le siège de 1621 par Louis XIII. En 1629, Richelieu entonne le Te Deum rétablissant la paix religieuse et ordonne la reconstruction de l'église Saint Jacques.

Au dessus du portail néoroman du XIX° se trouve la mosaïque représentant "la vision d'Ezéchiel" de la même époque.

La nef unique, de style gothique méridional, est flanquée de 3 chapelles de part et d'autre. A noter que la deuxième à droite est dédiée à Saint Jacques, patron de l'église.
Elle est l'oeuvre de Joseph Ingres, le père du célèbre peintre. Juste à côté, la chaire en bois sculptée est de style baroque.


De son bureau, Dame Cadastrelle avait une vue imprenable sur l'église du village...
Elle se prenait souvent à repenser au temps où cette église était animée par le Père Vanwolk et avant lui Dame Melissandre la Diaconesse.
Que d'événements heureux et malheureux cette bâtisse avait connu...
Son clocher se dressait fièrement dans le ciel dégagé de cette journée d'été, mais on n'entendait plus les cloches sonner...

Fantik37
En quittant Montauban, le père Vanwolk avait confié les clefs de l'église à un ami fidèle qui s'occupait d'ouvrir de temps en temps les portes et de passer un coup de balais nonchalant dans l'allée centrale et devant l'autel.
Il faut dire qu'elle était grande cette église pour un vieil homme fatigué...


Depuis le départ de Van, Fantik passait souvent devant l'église mais elle n'avait plus le coeur à entrer.
Elle était comme çà Fantik, toujours à souffrir du vide et de l'absence, surtout celle des amis.
Alors elle s'enfermait dans son silence, fuyait le village, se plongeait dans son travail et évitait soigneusement de s'attacher.
Elle avait encore quelques très bons amis au village ...mais pour combien de temps.

"On est responsable pour toujours de ce que l'on a apprivoisé"
Pourtant elle avait honte...Honte d'avoir laissé à l'abandon cette église où elle aimait tant venir.
Elle se décida donc à franchir la lourde porte dont les gonds ne s'étaient pas arrangé avec le temps !!!
Les grincements que redoutaient les retardataires s'était transformés en une plainte qui résonnait dans l'édifice vide...cela lui arracha un sourire.

Il allait falloir qu'un forgeron vienne remédier à cela très vite sinon un jours on n'ouvrirait même plus ces portes.
Une fraicheur bienvenue l'accueillit et elle resta quelques instants entre les portes entrouvertes.
Une fois entrée, une odeur de poussière et de renfermé lui sauta à la gorge et elle fut prise d'une quinte de toux...il fallait redonner vie à cet endroit !!!



Hé bien...si Van revenait...quelle déception il aurait ! Lui qui a tant fait pour cette église...

Fantik ouvrit donc en grand les portes pour laisser entrer la lumière puis gagna la sacristie pour mettre la main sur un balais digne de ce nom, de chiffons et du pot de cire d'abeille dont Van ce servait pour donner à l'église cette odeur si particulière.
Il faudrait voir aussi si des cierges étaient rangés quelque part...
Une église sans cierges qui brulent...ce n'est plus une église !!!!

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Fantik37
Fantik avait passé plusieurs jours à astiquer les bancs, et l'église petit à petit reprenait ses allures d'antan.

Une bonne odeur de cire accueillait maintenant les fidèles et des cierges étaient à nouveau à leur disposition.
Van lui avait expliqué pourquoi laisser un cierge après sa prière.
Elle s'en souvenait très bien...de même que la prière qu'on pouvait dire à cette occasion.

Citation:
Seigneur ,
tu es la vraie lumière,
tu es l'espérance de notre vie.

Par ce cierge qui brûle en ta présence,
éclaire-moi dans mes difficultés et mes épreuves,
rends-moi lucide et confiant.

Que son feu fasse disparaître en moi
le mal qui m'empêche de te suivre
librement et d'un coeur généreux.

Que sa flamme rassemble dans ton amour
ceux et celles que je te confie
et qui espèrent ton secours.

Vois dans mon geste
la foi qui m'habite
et le don de moi-même.

Que ma prière se prolonge au-delà de cette église,
partout où tu m'envoies
pour rayonner ta lumière et ta paix.



Avant de partir, c'est donc ce qu'elle fit en se disant qu'il faudrait fleurir un peu cette église...

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Arbalett
Arbalett poussa la porte de l'Eglise, qui ne grinçait plus, un bouquet de roses fraîchement cueillies à la rosée du matin, dans la main. Il entra, trempa ses doigts dans l'eau bénite et se salua. L'Eglise avait été nettoyée impécablement et un doux parfum de cire lui rappelaient des souvenirs d'antan. I l traversa la nef et fit une génuflexion devant l'autel. Aprés avoir récité une courte prière, il alla disposer le bouquet dans une jolie jarre de terre cuite.



Il alluma ensuite un cierge, pour que la lumière divine éclaire le chemin de tous ceux qui sont dans l'obscurité, s'installa sur un banc et pria.



Tu m'as donné un corps,
Dieu créateur,
Et je te loue Seigneur
Pour cette liberté,
Pour ce regard donné,
Et ce regard reçu,
Tu m'as façonné Seigneur,
Toi l'Amour infini,
Et je te loue Seigneur,
Pour cette main tendue,
Pour cette tendresse reçue.
Donne moi Seigneur,
Tous les jours de cette vie,
D'être par mes mains et mon regard,
Etincelle de ton amour,
Porteur d'espérance,
A ceux qui n'ont plus rien,
A qui l'amour n'est plus,
Pour qui ce corps reçu
N'est que peine et souffrance.
Fais de moi Seigneur,
La flamme ténue,
Le regard aimant,
qui donne accès à Toi...
Hyannos
Hyannos fut fort content de trouver en ce village une église accueillante et entretenue.
Comme à son habitude en voyage, il mit un cierge à Saint Christophe et le remercia pour ce début de périple calme.
Cette fois, en plus il ajouta un cierge et une prière à Saint Lazare d'Autun, patron des joueurs de soule.
Ceci fait, il parti déambuler dans ce village en attendant les consignes de son Capitaine.
_________________
Hyannos Maître Boulanger à Lectoure
Etudiant en droit et en navigation
Fantik37
Fantik avait besoin de faire le point et comme toujours c'est devant la statue de Maria qu'elle se retrouva.

Maria...Fantik avait toujours eu un faible pour la mère de Christos.
C'est vrai... on ne parlait que d'Aristote et Christos...mais sans Maria...il ne serait pas né Christos !
Fantik pensait qu'il serait bon qu'on y réfléchisse un peu là-bas...à Rome !
Et puis il y avait tant d'autres gens qui avaient fait beaucoup pour que le message d'Aristote et de Christos soit connu...On pourrait les honorer un peu aussi !

Enfin...ce n'était pas pour çà que Fantik était venue...
Elle avait de nouveau des doutes...tellement de doutes !
Rien ne marchait comme elle l'aurait souhaité.
Tant de contretemps...et sans doute jamais leur rêve ne se réaliserait.
Elle ne savait que faire. Il fallait bien prévenir les amis que tout allait être reporté.
Reporté ou définitivement annulé...elle n'imaginait pas comment l'obstacle allait être surmonté.
Elle laissa son esprit vagabonder...c'est souvent de cette manière que la prière s'impose à elle...spontanément.

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Euphrasie
Zie arriva devant l'église, comme elle était belle et majestueuse, elle n'était pas entrée dans une église comme celle-ci, depuis bien longtemps, elle se recueillait bien souvent dans les petits chapelles, qu'elle trouvait sur les chemins au hasard de son voyage.

C'est avec émotions, qu'elle poussa la porte de l'église Saint Jacques, elle alla chercher un cierge, ses yeux s'habituèrent peu à peu à la pénombre, l'intérieur était magnifique, et bien fleuri.

Elle s'avança devant la statue de cette belle dame, elle aimait son sourire et la tendresse de son regard, elle lui était venue tellement de fois en aide, qu'elle ne pouvait que la remercier de tout ce bonheur qu'elle vivait en ce moment auprès de son bien aimé.

Elle alluma son cierge...!




Le déposa au pied de la Bienheureuse, sortit son chapelet de sa besace et se mit à genoux en égrenant doucement les grains sous ses doigts.

Elle se releva, son âme et son coeur étaient comblés d'une joie immense, elle regarda une dernière fois la Dame au joli sourire, puis reparti sans bruit vers la sortie.
Arbalett
En ce Dimanche, Arbalett poussa la porte de l'Eglise, désertée depuis trop longtemps. Il s'agenouilla devant l'autel et pria.

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN


Depuis le départ de Wanvolk la Messe n'avait plus eu lieu. Plus aucun Baptème ni Mariage n'étaient célébrés en cet endroit jadis tant fréquenté! La Foi des Montalbanais était-elle en perdition? Quand allait-il y avoir un nouveau Curé?
Arbalett se signa et repartit semer son champ.
Lelouch
Apres avoir fini de regler quelques details le maire se rendit a l'église, il avait besoin de se receuillir et d'avoir le soutien du seigneur car il apprenait chaque jour des nouvelles de plus en plus sinistre.

Seigneurs, Je ne viens pas pour moi protegez ceux qui ont besoin de vous !

Lelouch finit la priere dans sa tete...

Amen
Bardieu
La cloche appela les fidèles à la prière en ce lundi 7 septembre de l'an de grâce 1457.
Les paroissiens furent acceuillis par le père Bardieu, qui était arrivé de Cahors exprès pour compenser l'absence du père Vanwolk.


[center][/center]

Mes frères et mes sœurs, bienvenue dans la maison du seigneur.


[center][/center]
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Bardieu
Mes biens chers frères, lisons ensemble le livre des vertus et voyons la parole divine.

Sypous, dans sa grande sagesse a écrit...


Citation:
Alors que la petite pièce où je me trouvais avec cette étrange inconnu montait, j’avais la sensation désagréable d’être plus lourd qu’à mon habitude. Mais, lorsque elle s’arrêta, je me sentis un instant extrêmement léger. Je n’avais pourtant ni grossi ni maigri pendant ce court laps de temps. La porte s’ouvrit en deux, comme je l’avais vu plus bas. L’inconnu se retourna alors vers moi et me dit: “Vous êtes arrivé.”. Il arborait un sourire plein de gentillesse et de douceur. Cela me redonna un peu d’entrain et j’osai enfin lui demander: “Mais qui êtes-vous donc ?”.

Il me répondit: “Je suis le passeur, le seul ange à rester pour l’éternité en dehors du Paradis. Mon rôle est d’accompagner jusqu’ici ceux qui n’ont pas encore fait le choix.”. “Quel choix?”, m’écriais-je, interloqué. Mais, sans me répondre, il afficha encore un de ses beaux sourires et tendit sa main vers l’extérieur de la pièce pour m’inviter à avancer. Voyant que rien ne pourrait lui soutirer plus d’informations, je décidai d’avancer. Une fois sorti, la porte se referma derrière moi, ses deux parties se rejoignant, et j’entendis la pièce redescendre.

Je m’attendais à trouver un paysage idyllique, mais, au lieu de ça, j’avais encore et toujours cette détestable pierre bleue qui composait le pic infernal. Elle avait été taillée pour obtenir une sorte de terrasse. Je me demandai comment sortir de ce que je croyais alors être un ignoble traquenard. En effet, j’avais atteint le sommet et n’avais aucune chance de ne pas tomber si j’essayais de descendre par la paroi du pic. Quant à l’étrange porte, je ne savais pas comment l’ouvrir. Je m'asseyais donc, en pleurs, me demandant quel horrible péché j’avais pu connaître pour être ainsi puni.

Quelques instants plus tard, j’entendis un concert de battements d’ailes. Je levai les yeux et vis un magnifique spectacle: sept anges étaient en train de se poser sur la terrasse bleue. Je reconnu l’Archange Michel, saint patron de la Justice, en armure, tenant en main une magnifique épée et un grand bouclier aux merveilleux ornements. Mais mes connaissances théologiques étaient limitées et je demandai, non sans honte à qui j’avais affaire. Je m'attendais à entendre quelque reproche, mais ce ne fut pas le cas. Tous me regardèrent d’un regard plein de douceur et d’amour.

L’un d’eux s’avança et me dit: “Je suis Georges, Archange de l’Amitié. Et voici Gabriel, Archange de la Tempérance, Michel, Archange de la Justice, Miguaël, Archange du Don de soi, Galadrielle, Archange de la Conservation, Sylphaël, Archange du Plaisir, et Raphaëlle, Archange de la Conviction. Nous sept, sous les ordres du prophète Aristote et du messie Christos, sommes chargés de guider les humains sur le chemin de la vertu, qui les mène vers Dieu et Son Paradis.”

J’avais en face de moi les sept humains les plus importants de l’histoire, exception faite d’Aristote et de Christos. Devant un tel privilège, je ne pus que me prosterner à leurs pieds, face contre terre. Mais Georges me dit: “Ne te prosterne pas devant nous : nous ne sommes en définitive que des humains. Seul Dieu mérite cela. Nous sommes Ses humbles serviteurs, accomplissant Sa divine volonté. Mais viens avec nous, car l’heure est bientôt venue de faire le choix. Nous sommes là pour te mener au soleil.”



Voilà, mes biens chers enfants, ce qui nous attend si nous respections les préceptes divins. Ce sont des choses belles et magnifiques, mais évidemment, ceux qui s'éloignent de Dieu, les hérétiques dont certains vivent à Montauban même finiront dans l'enfer lunaire.

Amen

Récitons maintenant tous ensemble le crédo aristotélicien.





Bardieu se recueillit pendant quelques minutes après la fin du crédo en silence et sourit aux paroissiens venues nombreux en ce lundi.
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Emi4218
Emi attendit la fin de la messe pour s'approcher du père Bardieu. Elle remonta l'allée centrale doutant d'elle même, de ce qu'elle allait dire.... mais ça c'était habituel chez elle. Plus les pas la rapprochaient, plus elle appréhendait. Elle n'avait jamais été une fervente de l'église et pourtant elle était ici aujourd'hui, elle avait pris une décision. Elle se plaça face au curé

- Euh... bonjour mon père. Je... j'aimerais être baptisé et je voudrais savoir si c'était possible d'entamer.... oh ce truc elle ne se souvenait jamais du nom pourtant Kindjal lui avait redit la veille, ah oui ça y es... d'entamer ma pastorale. Est ce que ce serait possible ?

Elle le regardait avec attention, ne sachant trop quoi rajouter mais attendant une réponse.
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Fantik37
Les cloches...
Fantik entendit sonner les cloches qui s'étaient tues depuis si longtemps.

Elle se rappela alors avoir accueilli Monseigneur Bardieu quelques jours auparavant.
Elle laissa en plan la préparation de son gâteau, fort heureusement elle n'avait fait que sortir ce dont elle avait besoin, et fila vers l'église.

C'est un peu essoufflée qu'elle écouta le texte choisi par Monseigneur, pas très rassurant pour ceux qui s'éloignaient de Dieu...
Après avoir récité le credo, Monseigneur fit une pause méditative, c'est à cet instant qu'Emi entra.
Elle ne vit pas Fantik un peu cachée par un pillier.

Fantik fut très étonnée de la voir se planter devant Frère Bardieu puis elle se décida à parler.


- Euh... bonjour mon père. Je... j'aimerais être baptisé et je voudrais savoir si c'était possible d'entamer.... d'entamer ma pastorale. Est ce que ce serait possible ?

Le Frère Bardieu était tout à sa méditation, Fantik sourit.



Pssitt !!!
Emi...la messe n'est pas finie.

Fantik retint à grand peine son fou rire.
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Emi4218
Emi attendait toujours une réponse lorsqu'elle entendit quelqu'un l'appeler. C'était Fantik.
Citation:
Pssitt !!!

Emi...la messe n'est pas finie


Elle sourit malgré elle, voyant bien que Fantik faisait tout pour se retenir.
Elle lui répondit avec sa discrétion légendaire


- Bah ! C'est pas grave comme ça c'est fait.

Elle haussa les épaules mais retourna quand même s'asseoir dans un coin discret.
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Bardieu
L'évêque entendit la remarque de la paroissienne mais préféra remettre à plus tard la conversation, pour mieux partager le pain d'après la tradition aristotélicienne.

Prenez, mes enfants et partagez, comme nous partageons tous ici notre foi.



Bien, mes enfants, la messe est finie, je souhaite vous revoir dans l'église dès la semaine prochaine.



Une fois la messe terminé, le frère Bardieu se rapprocha de dame Emi4218 pour lui donner quelques conseils.

Ma sœur, quelle idée formidable que de vouloir se faire baptiser ! J'apprécie beaucoup vos efforts pour que cela s'entendent pendant la messe, mais parfois la discrétion est de mise.
Donc, pour passer une pastorale, il vaut parfois mieux se former. Je vous propose de vous rendre à Noirlac, de s'inscrire et de dire au frère portier que vous souhaiter une pastorale.

Par contre, je vais m'absenter deux jours, je dois partir pour Cahors et revenir.

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