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[RP] Eglise St Jacques de Montauban

Erz_nerak
Massy entra un grand sourire aux lêvres, fraîche comme la rosée du matin , bien sur son 31, une jolie robe aux couleurs fauve , les cheveux flamboyants lissés, tombant de chaque côté de son visage d'où sortait deux magnifique yeux émeraude souligné d'un trait léger dans les même tons.. Elle sentait le lys.. S'avança doucement vers les evèques, les saluat d'un signe de tête poli, saluant d'un grand sourire Hadgen et s'avançant vers Bender lui prit les mains l'oeil pétillant de douceur prenant une grande inspiration, s'agenouillant devant lui, le regard doux lui demanda...

Bender.. Voulez vous m'épouser..?
Bardieu
Bardieu hallucinait. L'évêque de Périgueux était suspendu à la corde en train de sonner le glas.

Monseigneur !

Le bruit assourdissant de la cloche masquait le son de la voix du locataire de l'église.

Monseigneur ! Mais pourquoi avez vous sonner le glas ? La ville est en panique !

Après que la disparition de la résonance de la cloche, Bardieu reprit une voix plus normale.
Cette cloche a été coulé il n'y a pas très longtemps par mon prédécesseur, monseigneur Aqualung. Une commande spéciale qui est venue directement de la république sérénissime de Venise. Elle produit un son divin.

Mais venait donc dans l'abbatial, j'ai cru voir du monde avant de me diriger vers le clocher.


Sur ces paroles, l'évêque se dirigea vers la nef et y vit les frères Hagden et Rodriguez.
Mes frères, vous ici ! Quelle bonne surprise ! Vous arrivez de loin ?

Bardieu était extrêmement heureux de revoir les deux frères teutoniques venues en renfort pour braver et aider le pauvre évêque à rétablir un semblant d'autorité spirituelle sur son diocèse.

Prétextant de la visite, Bardieu en profita pour remercier dame Kindjal. En effet, vu tout se qu'il se passait, Bardieu ne pouvait plus continuer la confession.

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Odoacre
Accompagnant Bardieu, il vit deux hommes en armes des teutoniques.... et à leurs pieds, une jeune femme fort accorte et le vieux Grec parla en ne manquant pas de se rincer l'oeil tout son saoul

Ah des gossthaleur Hospitalteutoniker ! Bienvenue à vous chers frères !
Erz_nerak
Massy se dit d'un coup que ce n'etait peut être pas le moment elle embrassa Bender sur la joue et s'en alla sur la pointe des pieds..
Bender.b.rodriguez
Alors que Bender écoutait avec plaisir les paroles de son frère Hagden, il appréciait le ton et le cynisme de ce dernier, dépeignant avec justesse l'œuvre invraisemblable que s'échinait à reproduire encore et toujours les sicaires du lion, sorte d'armée du vice de la créature sans nom. Il n'avait pas eu le temps de répondre au Ritter que cette garce de Marquise osa pénétrer dans un lieu saint pour souiller une fois de plus d'un total irrespect sa personne.

Elle s'avança vers lui, souriant à Hagden et attrapa les mains du Grand Prieur pour, encore une fois, avec l'irrévérence qui la caractérisait et la vulgarité qui l'habitait, demander sans se démonter :


garce de service a écrit:
Bender.. Voulez vous m'épouser..?


Ce à quoi, avec un sourire cynique, Bender répondit sans hausser le ton :

Plutôt épouser une truie ma chère enfant, elle aurait probablement moins le goût amer de l'infamie. Mais peut-être n'êtes-vous point au courant, j'ai fais vœu de chasteté, pour m'éviter ce genre de déconvenues...

Le religieux retira abruptement ses mains de celles de Massy et ajouta d'un ton sec :

Vous devriez sortir d'ici, l'église n'est pas prévue pour accueillir ceux qui, continuellement, bafouent ses idéaux. Si après tout, comme vous vous plaisez à le dire, Rome et sa clique de babouins ne vous plait pas, pourquoi côtoyer ses institutions ? Allons, allons, retournez-donc à vos pillages habituels et à vos beuveries sans nom avec votre amiral de pacotille !

C'est à peu près à cet instant que surgirent du fond de la nef l'évêque Bardieu et son homologue Odoacre que Bender avait croisé une ou deux fois à Rome, en place publique. La réputation des deux hommes n'était plus à faire mais des présentations s'imposaient. Massy profita, une fois de plus d'un instant où Bender n'était pas vigilant pour lui voler un baiser de sa joue si creuse actuellement. C'est avec un léger tic d'énervement que le religieux réagit, se frottant le joue avec le revers de sa manche et lançant à cette dernière :

Argh...cessez donc vos familiarités, je réserve cela à mes amis...dont vous ne faites pas partie.

L'ordenkaplan délaissa cette créature perverse, pensant que c'était là lui donner plus de considération qu'elle ne le méritait puis dirigea son attention vers les deux hommes de foi qui venaient à sa rencontre et à celle de son frère. Il glissa néanmoins à Hagden :

Excuse-moi pour l'embarras que j'ai pu provoquer avec cette...enfin..ce...je n'ai pas de mots assez sages pour décrire cette créature qui vient une fois de plus de me manquer de respect. Tu comprendras que je ne lui torde pas le cou, en revanche, si l'envie t'en prenait mon frère, je ferais comme si je n'avais rien vu...d'ailleurs, je n'ai rien dit...

Enfin, Bender se déplaça pour aller à l'encontre des deux évêques et déclara :

Dominus vobiscum mes seigneurs ! C'est un plaisir pour moi que de vous voir ici. Veuillez m'excuser pour cette scène à laquelle vous avez assisté, la pauvre enfant ne sait pas ce qu'elle fait hélas, elle s'est abandonnée dans les turpitudes méphitiques de la bête sans nom.

Bender fit un sourire à Hagden à ses cotés et se présenta à Odoacre :


Monseigneur Odoacre, je crois vous avoir déjà croisé à Rome, je suis monseigneur Bender, grand prieur de l'Ordre teutonique, ancien évêque d'Autun, bourguignon de cœur.

Il répondit ensuite à Bardieu, le rassurant quand à leur voyage :

Ho, nous n'avons pas vraiment quitté les environs, nous étions en Béarn il y a peu. Ne vous inquiétez pas, nous avons fait bon voyage et n'avons croisé aucun malandrin sur nos pas.
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Kindjal
La vue de l'Évêque périgourdin en train de sonner les cloches vola la vedette à toutes les révélations que Kindjal pouvait bien faire. Elle laissa voir une petite moue, se doutant bien que cela sonnait la fin prématurée de sa confession. Déjà des hommes qu'elle ne connaissait pas entraient dans l'église, sans doute à l'appel de la cloche, et la messe ne saurait tarder. Kindjal cherchait désespérément à en placer une pour s'esquiver avant le début de la cérémonie et par chance, son Évêque semblait avoir pareille idée en tête. Elle s'inclina donc et répondit :
Je comprends, Monseigneur. J'espère que ce n'est que partie remise : j'ai sincèrement besoin d'être confessée. Faites moi quérir quand le moment sera mieux choisi.

Elle salua les présents et sortit de l'église, se dirigeant vers la mairie.
Odoacre
Lui serrant la main chaleureusement, familiarité dont il n'était que peu coutumier

Ah Monseigneur, vous avez ainsi préféré le Heaume à la Mitre !

Jetant un regard à la jeune femme qui s'éloignait... le vieux Grec plissa les yeux, ayant gravé ses traits dans sa mémoire.... affaire à suivre...

Retournant son attention vers les teutoniques


Et Frère Hagden si mes souvenirs sont bons. Grand Prieur, nous aurons à parler, car j'ai appris que vous aviez signé un traité avec le Comté de Périgord, traité que vous avez abusivement appelé concordat et ce avec un païen anticlérical, l'ex-comte Yodea... oui nous aurons à parler... de cela et d'une collaboration nécessaire entre vous et les prêtres présents en ce docèse de Cahors... car je ne peux imaginer votre présence innocente, pour la plus grande gloire de la Vérité !

Les saluant tous à nouveau

Mais nous en reparlerons d'ici une semaine, car je dois m'aller cloîtrer pour méditer en des exercices spirituels de ma conception qui me permettront d'atteindre l'état de clairvoyance nécessaire pour démêler l'immonde écheveau guyennois qui se révèle à moi un peu plus chacun jour ! Sur ce frères et sires, recevez ma bénédiction !

Et, tel un grand seigneur, le vieux Grec s'en alla tranquillement vers la sortie de l'église.
Jacquot
Jaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaacquot! Jaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaacquot!

Pouf!

Une lourde chute du haut de son arbre adoré, le Jacquot regarde droit vers la baraque de ses parents. Encore une fois, la mère gueulait à s'en faire sortir les tripes....


Jjjjjaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaacquot! Les cousinssssssssssssssssssss germains sont arrivééééééééééés!!!!!!!!!!!!!!!


La saucisse! Ils sont arrivés avec la saucisse du Thüringen!!!!

Tel un forcené le petit Jacquot fonça vers la maison familiale! Et c'était vrai!
Ils étaient là et la saucisse aussi!

Un peu plus tard, repu de la bonne saucisse, le Jacquot écoutait distraitement la conversation des adultes...
Et puis ils chantèrent... L'image de l'oncle Peter, buvant direct au Fass, la chanson dans les oreilles, le petit Jacquot s'endormit...


Plusieurs années ont passé, mais le souvenir tient bon... La chanson dans la tête pensant à la tranquillité précaire de Montauban et voulant gouter un peu à l'architecture de Guyenne et n'étant jamais entrer dans une maison d'hérétiques la curiosité l'emporta.

Un pas puis deux suffirent à faire resurgir la chanson de l'oncle Peter...

Les mots collaient...trop parfaitement...

Ils lui vinrent à l'esprit...


Alles hat ein Ende nur die Wurst hat zwei

Et bien et bien, tous les protagonistes de Pau étaient sur place....

Décidément....

Regardant tout de même autour de lui, pour ne pas gâcher complétement sa journée, il fit un petit tour de l'Eglise, ignorant ses habitants.

Et comme tout à une fin... et que le Jacquot ne tenait plus en place à cause d'une augmentation de son taux de testostérone... il chatonna en finissant sa boucle touristique...


Je rêvais d'un autre monde.... ooooooooooùùùùùùùùùùùùùùù la Terre serait rondeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeuh....
[/url]
Hagden
Hagden n'avait pas eu le temps de dire "Bonjour, euh... mais encore rien n'est fait en PA" que Odoacre s'était éclipsé... Tout comme la malotrue... soit disant Marquise dont elle avait le nom, pas les manières. Encore une preuve du manque de respect des hérétiques envers tous et tout ce qui les entouraient.

Puis il se tourna vers Bardieu... La Porte s'ouvrant, il entendit un dingue... Mais elle se referma vite sur ce bruit nauséeux...

Monseigneur Bardieu, vous appelez, nous accourrons, vous voyez. Je ne laisserai point de répis à ceux qui profèrent obscénités et ceux qui souillent un sol sacré... ! Nous sommes venus vous apporter notre soutien spirituel, et avant tout amical à vous et aux fidèles de Béa... euh de Guyenne. pardonnez mon lapsus mais j'ai tellement foulé le sol Béarnais et cotoyé des gens charmants là-bas que je m'y crois toujours un peu... Il parait que je viens aussi avec un peu de cet air des Pyrénées qui a bouté le Lion hors des terres du Sud, il ne peut être que bénéfique. J'ai déjà entendu dire que cet air avait balayé la ville récemment, nettoyant un peu de cette crasse hérétique qui venait s'y coller, ici et alentour. Mais l'hérétique est couard, dès qu'un petit vent se lève, le vent de la Liberté, et de la Foi inébranlable de ceux qu'ils viennent tromper, piller, il ne peut que s'incliner... ou fuir, devant cet Amour qui fait battre le Coeur des petites ou grandes gens pour leur terres, leurs familles, pour leur Foi, la Vraie, l'Universelle Aristotélicité. Mais il y a encore tant à faire...songeant à la malotrue...

Hagden avait dit cela la main sur le Coeur.

Je suis si heureux de vois revoir... mon professeur et ami... frère... Il me semble lointain le temps où j'arpentais les couloirs de Noirlac, le jardin sous la neige... avec laquelle nous avons fait une bataille mémorable...

Hagden avait parlé avec son Coeur comme d'habitude... en somme. Il était heureux... L'Eglise de Montauban savait qu'elle avait un officiant de valeur, et paraissait plus lumineuse que jamais...
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Montbazon-Navaille, Ritter de l'Ordre Teutonique
Achille
Le jeune Achille rentre dans l'édifice religieux de Montauban , il s'avance vers le porte cierge , en prend un , allume grâce au cierge qui sont illuminé dans église . Le fils de Archidiacre de Cahors qui n avait pas écouté sa mère encore une fois, pour pas changé , n'était pas rester avec sa tante et ces frères et sœurs , pendant que sa maman et sont beau père allez a Montauban , je jeune homme qui sont peur avait traversé a travers la foret pour venir au plus vite rejoindre sont Archidiacre préféré . Mais le fière Saltimbanque avait sois était trop vite, sois ces parents avait eu des soucis sur la route ....
Achille en reposant sont cierge pris pour que sa maman et sont beau père arrivent a Montauban sain et sauf
Titca
[Messe Jeudi 11 Mars]


L'hiver ne semblait pas décider de céder sa place au printemps et le froid était malheureusement toujours présent, bien que quelques oiseaux courageux et téméraire chantaient joyeusement du haut de leur arbre, donnant un peu de chaleur dans le coeur des hommes. Ce jour-là une messe allait avoir lieu, nombreuses étaient les âmes à douter du chemin ou à considérer l'église comme un amusant, voir même ni plus croire en Dieu ! Impensable, mais vrai ! C'est pourquoi les portes du lieu Saint furent pousser et que Archidiaconesse entra dans celle-ci le sourire aux lèvres. Comme à son habitude elle longea l'allée et alla rejoindre le choeur une fois arrivée à destination elle se signa et demanda au diacre de sonner les cloches afin que les fidèles Aristotéliciens la retrouve ici-même.



Bienvenue chers fidèles, amis, frères et soeurs !

Elle sourit, appréciant ce moment ou la femme, grande bouche et au caractère bien trempée devenait une soeur et membres entier de la famille quelle avait choisi. Le moment ou ses convictions reprenaient place et ou le doute n'était plus que poussières, ce moment précis ou toutes sortes d'homme et de femme étaient mélangé de noble à vagabond et cela sans la moindre remarque désagréable, le moment ou le mot frère prenait toute sa valeur.

Je me présente pour ceux et celle qui ne m'ont encore jamais vu, je suis donc la soeur Typhanie dicte Titca, Archidiaconesse de Cahors, c'est moi aujourd'hui qui officiera lors de cette messe... Bien maintenant que les présentations sont faites ! Nous pouvons commencer.

Prenant le livre des vertus dans ses bras elle tourna les pages et toussa légèrement. Parfait !

Vous avez surement déjà entendu parler de Saint Barnabé ? Il a écrit onze médiations aussi, que j'apprécie énormément et qui d'après moi nous sont toujours utiles, aujourd'hui j'aimerais vous lire la deuxième médiation que nous retrouverons dans le dogme à la page des écrits des Saints. Écoutez plutôt.


Citation:


Seconde Méditation

C’était un jour particulièrement ensoleillé. Barnabé marchait sur les routes depuis deux jour. Il arriva à Niort, et sentit l’atmosphère joyeuse. La place et les rues du village fourmillaient de monde, c’était la kermesse ! Une course, opposant tous les hommes forts du village, venait de se terminer, et le vainqueur était plébiscité et adulé par la foule. Les vaincus le portait sur leurs épaules sans amertume aucune. Barnabé fut littéralement happé et entraîné par la foule dans les farandoles qui se mettaient à tourner autour de la place. Quelques heures plus tard, en fin d’après-midi, quand les esprits se sont un peu calmés, Barnabé pris la parole, comme il le fit tant d’autres fois.

Mes amis, je dois dire que cette journée sera inoubliable pour moi, vous ne me connaissiez pas, pourtant, vous m’avez invité à partager votre joie, comme si j’avais toujours habité votre village, mais laissez moi, maintenant, vous conter une histoire :

Il était une fois une course de jeunes orphelins, dans un village, dans le sud du royaume.
L'objectif était d'arriver en haut d'une haute colline.
Beaucoup de gens se rassemblèrent pour les voir et les soutenir.
La course commença.
En fait, les gens ne croyaient pas possible que des orphelins, amaigris et chétifs, puissent atteindre la cime, et toutes les interventions que l'on entendait étaient de ce genre :
"Quelle peine, ils n'y arriveront jamais !"

Les enfants commencèrent à se résigner, sauf un qui continua de grimper.
Et les gens continuaient :
"Quelle peine, ils n'y arriveront jamais !"
Et les enfants s'avouèrent vaincus, sauf un, toujours le même, qui continuait à insister.

A la fin, tous se désistèrent, sauf un, qui, seul et avec un énorme effort, rejoignit le haut de la colline. La foule et les autres orphelins voulurent savoir comment il avait fait.
Un homme s'approcha pour le lui demander, et découvrit… …que l’enfant était sourd !

Barnabé s’arrêta et regarda son public rassemblé autour de lui. Certains, intrigués par ce prêche, s’étaient approchés, puis assis autour de l’orateur à la lueur des lampions. Il reprit :

Moralité, n'écoutez pas les personnes qui ont la mauvaise habitude d'être négatives, car elles volent les meilleurs espoirs de votre cœur !
Rappelez-vous toujours le pouvoir qu'ont les mots que vous entendez ou que vous dites.
Soyez toujours positifs !
Soyez toujours sourd quand quelqu'un vous dit que vous ne pouvez pas réaliser vos rêves.

Il laissa la foule pensive, referma son baluchon, et emporta les quelques fruits que les villageois lui avaient donné.


Reposant le lire sur l'autel, elle regarda l'assemblée et sourit doucement, amusée voir même touchée par cette histoire très vrais et pourtant si simple.

Que dire de plus ? L'avis des autres ne compte pas, nous ne devons pas écouter des personnes qui sont négatifs ! Nous devons nous écouter nous et notre coeur... Si nous voulons quelques choses, nous y arriverons ! Il suffit de croire en la force la plus belle et la plus importante de toute... notre âme, notre coeur, notre confiance en nous !

Regardant l'assemblée, elle joignit ses mains et fixa le sol.

Mes frères, mes soeurs en ses moments difficiles je vous demande de réciter tous ensemble notre crédo, restons unis et solidaire tous ensemble dans la joie comme dans le malheur.



Laissant chacun prier à sa guise, elle s'appuya contre l'autel et regarda le plafond, pensive, mais sereine quand au futur de l'église.

Avant de vous laisser repartir à vos activés, je voudrais remercier chaque personne qui lutte ou a lutté pour notre foy et notre Église, ce don de vous-même touche mon âme au plus profond et même si cela vous semble être une goutte d'eau dans la mer, croyez-moi cette simple goutte donne l'espoir et la force ! Merci, merci beaucoup... Soyez bénis !
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Fantik37
Les cloches avaient tiré Fantik de sa contemplation de son champ où travaillait un jeune ouvrier.
Elle s'étonna de les entendre sonner mais à l'instar de la dernière fois, il s'agissait de l'appel aux célébrations tel qu'il résonnait le dimanche et le mercredi soir d'habitude.

Frère Bardieu était-il revenu aujourd'hui seulement et se rattrapait-il de la messe manquée hier ?
Il fallait qu'elle aille voir ...

En entrant elle vit que c'était dame Titca, la diaconesse de Cahors qui officiait.
Après s'être signée, elle s'assit et écouta se dérouler la cérémonie.

Le texte qui était lu ce jour lui plut beaucoup.
Croire en soi et ne pas écouter ceux qui tentent de nous décourager...Elle devrait essayer !

Elle récita le crédo après la diaconesse, y mettant tout son coeur.


Après les remerciements et la bénédiction elle s'avançà vers Dame Titca.




Dame Titca ?
C'est à nous de vous remercier d'être venue jusqu'à nous.
Votre présence est un réconfort pour nous tous.

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Titca
Après la messe, Tit était là a contemplé l'église en silence appréciant le calme qu'il envahissait les lieux quand une dame arriva près d'elle, souriante l'Archidiacre l'écouta et rougit légèrement.

Bonjour Dame...euh... Fantik ? ! C'est cela ? Je suis très heureuse de vous revoir !

Les joues rouges, Titca pencha la tête sur le côté après tout venir à Montauban était un plaisir assez rare, mais un plaisir quand même et s'occuper de deux paroisses étaient assez compliqués c'est pourquoi elle cherchait à partager son temps plus ou moins équitablement.

Oh euh... Je suis ravie d'apporter un peu de réconfort dans le coeur et l'âme des fidèles de Montauban et j'espère pouvoir le faire encore au cours de mon séjour ! Enfin du moins je vous promets de faire de mon mieux.

La regardant, Tit posa son regard sur l'intérieur de l'église.

Mais dites-moi Dame, puis-je vous aidez ? D'une manière ou d'une autre ?
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Hagden
Hagden avait suivi l'Office... et attendit que l'Officiante l'eusse terminée pour aller la Saluer. A son attitude, le Teutonique crut reconnaitre celle que Bardieu lui avait décrit... Mais il ne se souvenait plus de son nom exact. Elle semblait occupée pour l'heure. Il espérait avoir une entrevue avec elle à l'occasion, pourquoi pas avec Monseigneur Bardieu, sur la situation en Guyenne, quant à l'arrivée du Lion de Judas. Ce dernier se complaisait à dire que seule Genève comptait à ses yeux. Mais ses "têtes" étaient toutes ici, en Guyenne étrange.

Il salua donc l'Officiante de loin, car elle était occupée avec une fidèle, sa Croix Teutonique bien en vue, pour qu'elle le retrouve plus facilement en ville... Un Teutonique en Guyenne, il n'y en avait pas des milles et des cents, il n'y en avait qu'un accompagné d'un chien visuellement affreux, mais profondément fin limier quant à pister l'hérésie...

Et il sortit...

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Montbazon-Navaille, Ritter de l'Ordre Teutonique
Titca
Pendant que l'Archidiacre bavardait avec cette jeune dame fort aimable, elle remarqua dans le fond de l'église en ''arrière plan'' un homme qui donnait l'impression de vouloir lui parler également, Titca l'aurait bien invité à se joindre à la conversation des deux femmes, mais celui-ci ne semblait pas vraiment prêt à affronter ce genre d'épreuve oh combien difficile pour les hommes. Pouffant doucement de rire elle la salua en retour dans un grand sourire, cependant avant qu'il ne quitte l'église elle eut la chance de remarquer la croix teutonique ! ! Oh ! Ben ça alors ? Leurs frères étaient en villes également ? Sa curiosité piquée au vif elle se promis de retrouver cet homme et bavarder avec lui dès que possible, elle aimait bien les teutoniques et avait même eux beaucoup d'entre eux en élèves, une grande relation de confiance et d'amitié était née entre la petite Archidiacre et cet ordre très religieux.
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