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[RP] Eglise St Jacques de Montauban

Zorgl
Les cloches n'avaient pas encore résonné, et dans la brume qui envahissait encore les ruelles , elle apercu une silhouette qui montait les marches du parvis.
Elle reconnu sans peine celle d'Arbalett, peu étonnée que le pélerin s'y rende de si bon matin.

Entrant dans l'église à son tour, elle s'avanca à sa rencontre.
Sur une tablette de fer forgé, étaient déposées quelques bougies éteintes
Seule une flamme hésitante eclairai son visage.

Bien le bonjour , Arbalett, comment va tu mon ami?

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Zorgl d' Adventac Dame de Meauzac

Vezer lou cinhe , per Meauzac , dos aitans, Deu vos gard
Bender.b.rodriguez
    Le curé accueillit les quelques fidèles s'étant donnés la peine de se rendre à l'église St Jacques. Il sourit alors à Arbalette et Zorgl et leur indiqua de prendre place au sein de la bâtisse.

    Il pénétra ainsi derrière eux et traversa toute la nef pour se rendre à l'autel central où il se posta. Là, avec un large sourire et un air guilleret, il lança :


    Bonjour à vous chers amis, et bienvenue dans le demeure du Tout Puissant en ce jour froid et grisâtre. Prenez place et installez-vous confortablement, je vais officier. J'ai disposé quelques couvertures propres sur les bancs pour les frileuses et les frileux.


    Puis, Bender regarda attentivement ceux qui avaient rejoint l'église pour écouter sa messe. Il attendit quelques instants et demanda :

    Mes chers amis, voulez-vous vous lever et réciter avec moi la prière du pardon ? Car oui, nous ne sommes pas parfaits ainsi, il nous arrive de pécher. Allons-y...



    Après avoir, avec les autres, demandé pardon au Très Haut pour ses offenses, le religieux fixa du regard l'assistance. Il ajouta d'un ton ferme :

    Vous le savez parce que je vous l'ai déjà dit, certaines fautes demandent plus qu'une simple prière. Certains d'entre vous aimeront à croire que réciter une courte prière suffira à racheter leurs péchés, mais il n'en est rien. Moi-même, je sais qu'il me faut faire confession car certaines de mes pensées ont été trop lourdes. Ce n'est qu'en se rachetant aux yeux du Très Haut qu'il nous pardonnera. Alors, je vous le dis une nouvelle fois, vous pouvez vous rendre au confessionnal pour être entendu, mais rien ne vous sera jamais imposé, ce sera votre décision, pas la mienne.

    Une fois de plus, le curé se tût quelques instants pour que chacun puisse comprendre la portée de ses paroles. Puis, dans un silence religieux, il repris pour proposer :

    Mes chers amis, réaffirmons notre foi au Très Haut en récitant le crédo, symbole de notre attachement aux valeurs aristotéliciennes et à la Sainte Eglise.


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melior
Jour du Très Haut, Melior se rendit à l'église pour prier.
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Fantik37
En ce dimanche, Fantik et Lachainep s'étaient dirigés vers l'Eglise comme à leur habitude quand le Padré annonçait un office.

Il ne faisait pas bien chaud ce matin là et Fantik frissonnait malgré la cape dont elle serrait étroitement les bords pour empêcher le vent de la lui ravir.

En entrant elle vit avec plaisir qu'Arba et Zorgl avaient déjà pris place et les salua de la tête.

Prévenant, le padré avait disposé quelques couvertures sur les bancs.
Comparativement à l'extérieur, le lieu semblait plus chaud, le vent ne s'y engouffrant pas.

La messe débuta et Fantik répéta la prière du pardon, après avoir fait une liste non exhaustives des fautes commises depuis la dernière fois.



La confession...il fallait qu'elle trouve un moment pour le faire.

Puis, à l'invitation de prêtre, Fantik récita le credo appris laborieusement lors de sa pastorale.



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Bender.b.rodriguez
    Le religieux avait chanté le crédo avec ferveur, en ces jours qui s'annonçaient bien sombres, il y avait mit toute sa verve et lorsque la récitation prit fin, il souffla fortement.

    Il regarda ceux présents et leur fit un sourire qui laissa tout de même transparaitre le désespoir dont il était épris ces derniers jours. Il se déplaça dans la nef pour monter sur la chair afin d'y faire son sermon.




    Ayant monté avec lenteur les quelques marches le conduisant sur son promontoire, il se plaça avec les mains appuyées sur la rambarde. Il ouvrit ensuite le livre des vertus sans avoir eu besoin de chercher, comme s'il le connaissait par cœur ou presque.



    Bender toussota légèrement et lança son regard sur les fidèles réunis. Là, il débuta en ces mots :

    "Mes chers amis, oui, amis. Le mot n'est pas galvaudé. Nous sommes une communauté, une fraternité, solidaire, égale, libre. Vous le savez, dans deux jours, nous aurons un nouveau maire, et ce dernier sera peut-être le pire ennemi de la Foi en Dieu. C'est pourquoi, aujourd'hui, je souhaite vous relire un passage précis du Livre des Vertus."



    Livre II - Vita de Christos, chapitre VII a écrit:
    Ah, je me souviendrai toujours de ce jour mes amis. Après être sortis de la Basilique, nous nous sommes retrouvés face à un groupe de badauds qui s’invectivaient vertement. Nous avons essayé de retenir Christos mais celui-ci ne nous écouta pas et s’approcha de ce groupe de querelleurs.

    Il comprit bien vite la cause du conflit ; Face à lui, un mouton se trouvait perdu, terrorisé par les cris qui venaient de toutes parts. A sa gauche se trouvaient des adeptes des cultes païens, leur prêtre en tête, tenant à la main un long couteau. A sa droite, se tenaient quelques-unes de ces personnes déçues par le paganisme, et suivant les préceptes d’Aristote d’une manière moins détournée que les premiers, ils s’étaient massés pour dénoncer le sacrifice barbare qui se préparait en l’honneur des faux dieux. Chaque camp hurlait avec véhémence contre l’autre.

    Alors, Christos appela à lui, calmement, l’animal terrorisé, qui avança docilement vers lui. Christos le caressa, puis lui dit de s’en aller. Le mouton partit alors. Mais le prêtre païen était furieux de rage contre Christos et s’avança vers lui, le couteau levé. C’est alors que nous nous interposâmes, Titus, Paulos et moi, bientôt rejoints par neuf autres de ces déçus du paganisme qui s’étaient assemblés à droite. Mais Christos s’avança et fit face au prêtre. Celui-ci croisa alors le regard de l’être béni de Dieu, s’en détourna, et partit sans mot dire, la foule des infidèles le suivant d’un air penaud.

    Alors, nous autres, les douze qui avions voulu défendre Christos, hébétés par ce qui venait de ce passer, nous nous tournâmes vers ce mystérieux homme.

    L’un de nous, quelqu’un que je ne connaissais pas encore, mais qui se nommait Thanos, lui dit :

    " Mais qui es-tu donc, toi dont le calme et la douceur ont raison de l'infamie païenne? ".

    Alors, Christos lui répondit: " Mon nom est Christos, fils de Giosep et de Maria. Les gens qui me connaissent disent de moi que je suis le messie, car j’aime Dieu et j’aime mes semblables. "

    Alors, nous nous écriâmes :
    " En vérité, aucun de nous ne doute de ce fait. Grâces soient rendues au Très Haut de t’avoir envoyé à nous, afin que Sa parole illumine nos vies et que la prophétie d’Aristote se concrétise. "

    Et Christos répondit enfin:
    " En vérité, il est bien triste que tant d’enfants de Dieu se détournent de Son amour. Il leur faut des guides afin que les erreurs passées soient effacées. Voulez-vous me suivre et vous faire apôtres de la parole de Dieu? "

    Les neuf qui ne connaissaient pas Christos se regardèrent, qui semblaient partagés entre la joie et l’angoisse. Ils demandèrent à celui qui se disait le messie ce qu’il fallait faire pour le rejoindre.


    Bender referma son exemplaire du bouquin sacré. Un bruit sourd se fit entendre dans le silence pesant qui succédait à cette lecture. Le religieux laissa encore le silence s'installer un peu plus, histoire que chacun prenne la mesure du sérieux de la situation. Enfin, il se lança dans son sermon qu'il voulait court et percutant.

    "Mes amis, si j'ai choisi ce texte, c'est bien parce que je crois fermement que la situation à Montauban est dramatique. Jusqu'à lors, nous formions une communauté unie et soudée dans l'amitié, à quelques exceptions près. Désormais, la situation s'est tendue à l'image d'un fil sur le point de rompre."

    A l'image de Christos, Bender tendit la main vers les fidèles, il leur adressa un regard plein de compassion et de bienveillance, il poursuivit d'une voie calme mais forte.

    "Notre communauté se déchire, entre ceux qui pensent que l'Eglise Aristotélicienne terrorise les population, dicte ses choix et impose sa volonté. Preuve en est qu'il s'agit là d'âneries sans nom, le conseil ducal a-t-il interdit la candidature du sicaire du Lion de Juda ? Notre Eglise a-t-elle brûlé le fauteur de trouble sur le bûcher ? Non."


    Le curé baissa furtivement son regard avant de relever la tête.

    "Que nous reste-t-il alors ? Nous avons lutté avec nos mots contre ces maux qui nous assaillent. Nous avons démontré par nos comportements que nous laissions vivre ceux qui nous sont différents, opposés, ceux là même qui veulent détruire tout ce en quoi nous croyons !"

    Faisant un geste rassembleur avec ses bras, l'officiant continua.

    "Il ne nous reste qu'une chose, à l'image du Messire de Dieu, nous devons nous rassembler et être plus solidaires que jamais. Je vais donc le paraphraser et vous demander :

    Voulez-vous me suivre et vous faire apôtres de la parole de Dieu ?"


    Bender se tût, sa parole était lourde et pleine de sens. Ses yeux s'étaient emplis de larmes qui ne coulèrent pas, sa voix ne trembla pas lorsqu'il enchaina.

    "Oui, mes amis, je vous le demande, aidez-moi. Qu'ensemble nous faisions renaitre cette amitié, cette liberté, cette justice qui faisait le ciment de notre communauté ! Si chacun d'entre nous prend la plume pour appeler à l'amitié, alors, nous convaincrons que notre combat n'est pas vain."

    Bender s'arrêta avec ces mots, il tourna le dos aux fidèles et descendit de la chair pour se retrouver sur la terre ferme. Il traversa le chœur pour se rendre une nouvelle fois à l'autel central. Là, il saisit la bouteille pour emplir le calice argenté qui allait servir à partager ensemble le vin. Il attrapa la miche de pain pour la déchirer de ses mains, il disposa les morceaux sur l'autel puis leva son visage pour demander aux fidèles et aux croyants.


    "Chers amis, voulez-vous me rejoindre et partager le pain et le vin dans l'amitié ? Voulez-vous souder cette amitié à jamais dans cet acte qu'Aristote lui-même institua ?"




    L'officiant attendit alors que les fidèles se rendent auprès de lui pour partager l'amitié...

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Bender.b.rodriguez
    Bender termina par lui-même le godet de vin qu'il avait offert aux quelques personnes s'étant donnée la peine de se joindre à lui, il engouffra un morceau de pain tendre et moelleux. La bouteille était à peine entamée et le curé pensa qu'il était lamentable de gâcher un si bon picrate si bien qu'il calfeutra discrètement la bouteille derrière l'autel. Enfin, il se tourna vers les fidèles et les croyants et déclara : "Mes chers amis, n'oubliez pas ce que je vous ai dit. Dans quelques jours, nous aurons à la tête du village, un nouveau bourgmestre. Selon celui qui gagnera les suffrages montalbanais, la situation des fidèles aristotéliciens pourrait être fort compromise et bien tendue. Je vous encourage ainsi à venir ici communier avec moi pour l'Amour et la Grandeur du Très Haut. Ne vous laissez pas faire, résistez aux pressions qui voudront vous faire partir ou qui voudront vous empêcher d'écouter les sages paroles du Tout Puissant. Quand à moi, je serais là, fier et debout devant l'oppression si elle se manifeste".

    Le curé regarda une nouvelle fois l'ensemble de l'assistance et conclut :
    "Que le Très Haut nous protège mes amis. Rentrez chez vous et mobilisez ceux que vous pourrez pour protéger ce en quoi vous croyez".

    Il raccompagna les quelques personnes jusqu'au parvis de l'Eglise, le regard inquiet et la démarche légèrement dépitée.



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melior
Jour du Très Haut, Melior ne rompit pas avec ses habitudes, et s'en alla prier au sein de l'église de Montauban.
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Asophie
Arrivée juste après la Duchesse, la Duchesse entra dans l'Église et prit place à ses côtés...
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Chronique et Galerie "L'Escarboucle" / Atelier Rose Noire
Bender.b.rodriguez
[Placardé bien en vue sur la porte de l'Eglise St Jacques]

Sur la porte de l'Eglise Saint Jacques, un message avait été placardé par le curé, excédé par le comportement inadmissible d'un homme à qui il avait donné sa confiance. Ainsi, on pouvait lire sur le parchemin :



Citation:


    A l'attention de l'ensemble des fidèles aristotéliciens de Guyenne,

    En ce jour je vous exhorte à pardonner les erreurs et les fautes commises par celles et ceux qui voient dans l'hérésie, l'exutoire à leurs péchés les plus vils.

    Ainsi, je vous le dit et vous le demande, restez calmes et gardez la raison. Nul appel à la mort ou à la révolte ne saurait être digne. Nulle honteuse manipulation aboutissant à l'éviction d'un maire légitimement élu par la voie du peuple, quand bien même celui-ci est convaincu d'hérésie et de faute d'apostasie, ne saurait être tolérable.

    C' est pourquoi j'insiste et vous demande de pardonner cette Eglise qui préfère appeler au meurtre et à la Haute Trahison plutôt que d'aimer les siens et de les protéger du vice et du péché que représente l'hérésie galopante ayant jeté son dévolu en Guyenne. Resserrons nos liens, retrouvons la sérénité qui nous a toujours animée et reconnaissons la force que nous représentons.

    En mon propre nom, je vous demande donc de me pardonner et de pardonner à ceux qui se sont laissé aller au péché, fussent-ils religieux, fussent-ils prélats Romains. C'est un pardon au nom de l'amitié aristotélicienne que je vous demande, c'est un désaveu de notre Sainte Institution qui, publiquement, a osé laisser appeler au meurtre de l'un des enfants de Dieu, sans autre forme de procès. Je demande et exige que soit jugé celui qui a, sans aucune honte, bafoué l'Amour aristotélicien, bafoué toute règle théologique, bafoué l'honneur de nombreux clercs de la Sainte Eglise et de ses milliers de fidèles. Oui, vous pouvez avoir honte, oui, nous pouvons avoir honte, pire, nous devons avoir honte.


    Fait à Montauban, le deuxième jour du mois de Juillet de l'an de grâce MCDLVIII,

    Ad Claram et Sanctam Veritatem






      Curé de Montauban




    + S : QUIDQUID LATET APPAREBIT NIL INULTUM REMANEBIT
    Tout ce qui est caché sera connu, et rien ne demeurera impuni.

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Bender.b.rodriguez
                [Dimanche 4 Juillet 1457 - Baptême de Ricky et Susannah]


    Bender s'était levé bien tôt en ce dimanche d'été, mais, aujourd'hui était un grand jour car deux personnes allaient rejoindre la grande famille de l'amitié aristotélicienne. Le religieux avait donc, une fois de plus, revêtu sa soutane de cérémonie et ressemblait à s'y méprendre à un cureton.



    Ensuite, il avait préparé l'eau bénite, et aujourd'hui, il allait en avoir besoin car ce n'était pas un, mais deux croyants qu'il allait devoir noyer dans le baptistère. Il s'était également procuré les médailles qu'il allait leur refiler, non pas qu'elle fussent d'or mais leur signification au combien symbolique revêtait un aspect tout aussi riche. Enfin, les cierges aussi avaient été préparés et allumés histoire que la cérémonie soit parfaite ou presque. Il fut ainsi temps pour lui d'aller sonner l'appel festif du sacrement du baptême en l'église St Jacques.



    Enfin, le religieux alla se placer sur le parvis de l'église pour accueillir tout ce petite monde qui allait se précipiter pour partager dans l'amitié, l'entrée de deux êtres dans une communauté soudée et unie.


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Hagden
Hagden se présenta à l'Eglise. Il en avait besoin de se recueillir. La Guyenne voyait arriver de plus en plus de fêlés réformistes, et la rumeur persistante disait que Sanctus était dans la place...

Le Ritter entra dans l'édifice, se signa et alla s'asseoir après avoir salué discrètement son Frère officiant...

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Montbazon-Navaille, Ritter de l'Ordre Teutonique
Emi4218
Aujourd'hui était un grand jour, le baptême de deux de ces amis, il parait que c'est important.
Emi se leva tôt comme à son habitude. Montauban venait d'essuyer un orage, l'air était plus frais, plus respirable. Elle commença sa matinée par une promenade aux abords de la forêt avec sa fille avant dans se rendre au village.
A peine était-elle arrivée près des remparts qu'elle entendit déjà les cloches. Apparemment elle n'était pas la seule à avoir de très courtes nuits...
Elle s'approcha de l'église et vit le curé qui attendait déjà les "fidèles". Elle lacha la main de sa fille et la regarda courir jusqu'au parvis , un large sourire affiché sur son visage. Sa douce enfant...
Elle grimpa tranquillement les marches qui la rapprochait de Bender et fut étonnée de le voir ainsi. Ce visage si souvent enjoué était fermé. On pouvait ressentir une telle amertume émanant de lui que ça en était presque palpable. Pourtant, aucuns mots n'avaient encore été prononcés.
Elle n'aimait pas le voir ainsi, mais elle fit mine de ne rien voir, de ne rien sentir. C'est donc avec son sourire toujours marqué, qu'elle s'adressa à lui.


Le bonjour Bender ! Tu es bien matinal, tu vas bien ?

Un pointe d'inquiétude à cette question pouvait se percevoir, avec un peu de chance il ne s'en rendrait même pas compte. Elle se posta près de lui, attendant son ami Ricky et sa future filleule, Susannah.
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--Alia


Alia avait encore sommeil, c'est en baillant qu'elle alla rejoindre sa mère dans la cuisine. Après un petit déjeuner copieux - lait, brioche, confiture - elle alla faire ce qu'elle détestait le plus, sa toilette. Pas grand chose, les mains et le visage, mais c'était déjà trop pour elle.
Et sa mère, toujours à lui mettre des robes, c'était pas pratique pour courir et souvent elle tombait sur les yeux du cochon quand elle lui montait sur le dos... Pas pratique du tout les robes...
Mais sa maman lui avait bien expliqué. "Aujourd'hui c'est le baptême de Ricky et Sue, tu dois être jolie. C'est le père Bender qui va les baptiser, tu l'as déjà vu, tu t'en souviens ?"
Là dessus elle avait acquiescé, mais elle ne se rappelait absolument plus.


Maaaamooooon ! J'ai fini ! On y va ?

Et elles s'étaient mises en route.
Le vacarme retentissait déjà, pourtant le soleil pointait que depuis deux petites heures.
Inconsciemment elle accélera. La curiosité enfantine, elle venait d'apercevoir quelqu'un devant la porte de l'église.
Elle courut près des marches et les grimpa aussi vite qu'elle le put, manquant de tomber bien plus d'une fois durant cette périlleuse ascension.
Arrivée en haut, elle reconnut l'homme et se rappela les paroles de sa mère "C'est le père Bender". Ni une, ni deux, dans sa tête de petite fille de 3 ans, elle courut vers lui et se jeta à son cou, du moins elle essaya, en criant.


Papaaaaa ! Papaaaaa !

L'homme la regarda étonné, mais ne broncha pas. Sa mère arriva quelques instant plus tard et ils se mirent à causer.
Ricky20
C'est Sultan qui me tira de mon sommeil;Comme tout les jours ce dernier avait prit l'habitude de monter sur ce qui me servait de lit et et venir me léchouiller jusqu'à ce que je me lève pour lui donner a manger et a boire.

"Oui voilà voilà!" dit je en me levant et en m'étirant "doucement"une dernière caresse et j'allumais le feu,Les nuits sont bien fraiche dans la grotte mais qu'importe j'étais chez moi.
Je fit ma toilette m'habillait très vite refermait la porte derrrière moi , et me dirigeais vers la ville encore silencieuse.En arrivant sur le parvis les cloches commencait a sonner j'aperçu de loin le padré et Emi et sa gentille fille Alia je me dirigeais vers eux.


"Bonjour Padré comment allez vous bien matinal on dirait"
je lui affichait un grand sourire puis me tournant vers Emi
"Bonjour Emi comment vas tu"
Emi4218
Emi prit alors conscience que sa fille était agrippée au curé. Oui, c'était le matin, le temps de réaction était assez limité, il fallait bien le dire.
Elle lui demanda de le lacher et de venir près d'elle. La réponse de la petite la surprit.


Non, moi je reste avec papa !

Ah elle était forte avec sa mine boudeuse, mais Emi ne pouvait décemment pas laisser faire ça. Elle s'approcha de la petite et lui expliqua plus clairement.

Ce n'est pas ton papa, c'est un curé.
On appelle certains hommes d'église "père"car c'est celui qui nous guide vers la foi. Un peu comme un père et/ou une mère ferait l'éducation générale de son enfant, le curé fait l'éducation de la foi.
Je vais t'expliquer plus clairement. Par exemple moi, je t'apprends certaines choses, comme grimper aux arbres sans tomber. Eh bien, Bender, le curé, apprend à croire en Dieu et à le respecter.


Face à l'air sceptique de sa fille

Tu comprendras quand tu seras plus grande... mais ne l'appelle pas papa, car il ne l'est pas...

Elle "décrocha" sa fille au moment où Ricky arriva.

Bonjour Ricky ! Prêt à franchir un cap ?
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