Labaiteuh
Les jours passés
Labaiteuh arrivé de bonne heure au abord de Montpellier avait installé sa roulotte sur la plage...
Voyant que le campement s'était installé à bonne distance d'un éventuel Tsunami, chose courante dans la mer méditerranée, il avait replacé la sienne auprès de celles de la famille.
Il avait passé ces derniers jours en divers endroits...Et tout ça en bonne compagnie.
Les tavernes pour l'esprit et l'esprit...
Les flaques de boue pour ressembler à un cochon...ah non! Pour dessaouler.
La plage pour se transformer en homard cuit à point puis découvrir l'insolation.
Les toits de roulotte pour partager sa pitance et plus si affinité...
Le tribunal pour voir ce juge qui lui avait collé un procès à distance...Oui le conté de Toulouse c'est loin!
Enfin, le campement pour la bonne humeur légendaire de Fernand, le ragout de la fouine, le plaisir de revoir ses amis et l'activité qui ne manquait pas en ce lieu...Pire qu'une fourmilière où l'on colle un pétard.
Les nuits étaient aussi agitées, il n'avait guère le temps de roupiller.
Il avait passé la première à l'hôtel chose qu'il s'octroyait rarement et chambre qu'il quitta dès le lendemain pour passer une nuit à la belle étoile dans les douves, histoire de profiter d'une constellation qu'il avait nommé W...va savoir pourquoi, sans doute sa nullité en astronomie...
Puis la troisième en charmante et nombreuse compagnie à taper sur la porte d'une maison, aux fenêtres éclairées, toute la nuit, en vain! On ne la lui ouvrit point.
La journée du 23 mai
Le réveil est difficile, le poing douloureux...
Il émerge du trou qui lui a servi quelques heures à récupérer de l'activité de la nuit passée.
La mairie non loin, il lui tourne le dos et décide rentrer au campement, il traverse la ville...
Passant devant le château et le tribunal il regarde les annonces sur le mur d'affichage... feuilletant rapidement, il voit moult noms connu dont le sien...
Pffff! voilà je tape à la porte d'une maison toute la nuit et on me colle aux arrêts...c'est quoi cet accueil!
C'est quoi cette maison d'ailleurs, les personnes présentes et moi même croyaient qu'il y avait une fête là dedans!
Pas idée de laisser les lumières allumées
Lecture en diagonale de l'avis, il ne lui faut pas longtemps pour comprendre que le chemin du retour au campement se fera en longeant les murs et évitant tout gens d'arme...
Putain! c'était la mairie...Non de diou...Et pas un bordel comme je l'ai cru!
(Bon je me fais censurer par le forum pour mer-de et il me propose défection...bon je préfère donc utiliser putain...J'aime pas trop la censure...surtout que le mot existe dans le dictionnaire de la langue française)
Ville, rempart et garnison traversés, il arrive au camp...
La vie à l'air de suivre son cour...bizarre avec ces nuits passées il aurait pu accepter même que la terre arrête de tourner...
(bon lab est un hérétique pour l'époque oui!)
Il voit un groupe autour de Garance qui ont tous un papier, semblable aux siens, dans la mains...
Sauf que Labaiteuh à la folie des grandeur et aime les collections...Lui en a deux!
Il se demande si ils entourent Garance pour voir ses dents, pour vérifier il s'approche aussi...
Il entend des bribes de conversation:
Labaiteuh arrivé de bonne heure au abord de Montpellier avait installé sa roulotte sur la plage...
Voyant que le campement s'était installé à bonne distance d'un éventuel Tsunami, chose courante dans la mer méditerranée, il avait replacé la sienne auprès de celles de la famille.
Il avait passé ces derniers jours en divers endroits...Et tout ça en bonne compagnie.
Les tavernes pour l'esprit et l'esprit...
Les flaques de boue pour ressembler à un cochon...ah non! Pour dessaouler.
La plage pour se transformer en homard cuit à point puis découvrir l'insolation.
Les toits de roulotte pour partager sa pitance et plus si affinité...
Le tribunal pour voir ce juge qui lui avait collé un procès à distance...Oui le conté de Toulouse c'est loin!
Enfin, le campement pour la bonne humeur légendaire de Fernand, le ragout de la fouine, le plaisir de revoir ses amis et l'activité qui ne manquait pas en ce lieu...Pire qu'une fourmilière où l'on colle un pétard.
Les nuits étaient aussi agitées, il n'avait guère le temps de roupiller.
Il avait passé la première à l'hôtel chose qu'il s'octroyait rarement et chambre qu'il quitta dès le lendemain pour passer une nuit à la belle étoile dans les douves, histoire de profiter d'une constellation qu'il avait nommé W...va savoir pourquoi, sans doute sa nullité en astronomie...
Puis la troisième en charmante et nombreuse compagnie à taper sur la porte d'une maison, aux fenêtres éclairées, toute la nuit, en vain! On ne la lui ouvrit point.
La journée du 23 mai
Le réveil est difficile, le poing douloureux...
Il émerge du trou qui lui a servi quelques heures à récupérer de l'activité de la nuit passée.
La mairie non loin, il lui tourne le dos et décide rentrer au campement, il traverse la ville...
Passant devant le château et le tribunal il regarde les annonces sur le mur d'affichage... feuilletant rapidement, il voit moult noms connu dont le sien...
Pffff! voilà je tape à la porte d'une maison toute la nuit et on me colle aux arrêts...c'est quoi cet accueil!
C'est quoi cette maison d'ailleurs, les personnes présentes et moi même croyaient qu'il y avait une fête là dedans!
Pas idée de laisser les lumières allumées
Lecture en diagonale de l'avis, il ne lui faut pas longtemps pour comprendre que le chemin du retour au campement se fera en longeant les murs et évitant tout gens d'arme...
Putain! c'était la mairie...Non de diou...Et pas un bordel comme je l'ai cru!
(Bon je me fais censurer par le forum pour mer-de et il me propose défection...bon je préfère donc utiliser putain...J'aime pas trop la censure...surtout que le mot existe dans le dictionnaire de la langue française)
Ville, rempart et garnison traversés, il arrive au camp...
La vie à l'air de suivre son cour...bizarre avec ces nuits passées il aurait pu accepter même que la terre arrête de tourner...
(bon lab est un hérétique pour l'époque oui!)
Il voit un groupe autour de Garance qui ont tous un papier, semblable aux siens, dans la mains...
Sauf que Labaiteuh à la folie des grandeur et aime les collections...Lui en a deux!
Il se demande si ils entourent Garance pour voir ses dents, pour vérifier il s'approche aussi...
Il entend des bribes de conversation:
Garance a écrit:
Sisley, Labaronne, nous allons avoir droit à une visite du château.
Sisley, Labaronne, nous allons avoir droit à une visite du château.
Sisley a écrit:
- Une visite au chateau ? Ah oui ? Génial ça !
Valkyrie a écrit:
Ah ben moi aussi, je vais y avoir droit Qui c'est qui améne les cartes pour notre éventuel séjour en géoles ?
Et bien d'autres rêvent de visiter ce lieu...
Du calme les enfants, c'est pas pour aujourd'hui la visite on a bien le temps..Pour l'instant c'est un avis de recherche pas une invitation T.I.P. (Très Importante Personne)
Donc si vous voulez pas bouffer du rat cru dans le château restez à l'ombre ou utilisez ces techniques de combat pour pouvoir vous faire la malle si les maréchaux vous mettent la mains dessus.
Le regard de labaiteuh parcourt l'assistance pour trouver un cobaye...son regard s'arrête...Il a trouvé un devrais je dire une partenaire de choix...
Gwen viens là, s'il te plait, je veux faire une démo...
Gwen avance en trainant des pieds...
Labaiteuh montre les parties sensibles des femmes en utilisant le corps de celle ci et en mimant des coups portés aux seins, bas du ventre...Bien sur il ne tape pas juste les frôle.
Bon gwen...ah toi...Montre nous comment faire si c'est un homme, le maréchal, qui essaye de nous attraper
A peine retourné face à gwen au milieu du cercle d'étudiant en close combat...Labaiteuh reçoit un coup de pied, fort bien placé pour l'exemple qu'il n'a pas le temps d'esquiver!
Il tombe genou à terre, hurlant:
AÏEEEEEEEEEEEEEEeeeeuh...
Puis d'une voie beaucoup plus, enfin comment dire! Beaucoup moins virile:
Putain! Maman...
La leçon est finie....Gwen tu passeras me voir un peu plus tard...
Labaiteuh se redresse et marche difficilement jusqu'à son foutoir de roulotte...
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