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[RP] Bordel'Hydre!!!

Gwennie
Elle sifflotait gaiement dans les rues, slalomant d’un air aimable entre les groupes de maréchaux divers et de soldats sentant bon la lavande…en fait non, reflexe d’herboriste, à trop forte dose la lavande ça puait…et ça filait des migraines.. Mais ne pas se départir de son sourire aimable, après tout, le soleil brillait, les tavernes étaient confortables, la bouffe plus que correcte, et les tavernes…Elle trébuche sous la rêverie. Bref…Malin ça elle s’était perdue et se trimballait dans un quartier inconnu où les soldats semblaient bien moins sympathiques d’un coup. Elle renifla…tudieu…ça sentait…le fromage trop fait…Son instinct lui conseilla de se carapater fissa avant d’être cataloguée bretonne…Elle prit son air le plus innocent pour filer hors de vue lorsqu’elle s’arrêta net.

Dame de Coulvain, recherchée…pendre en Normandie…

Elle connaissait ce nom…Mais où ?? Elle se baissa pour faire mine de relacer ses bottes et tendit l’oreille.

Oh bordel…

Elle siffla entre ses mâchoires serrées. Voilà autre chose…Retourner au campement…Déjà qu’elle était en retard, là Garance allait lui tailler les oreilles en pointe…Elle marcha plus vivement vers le campement.

Elle arriva dans une volée de kilt, échevelée et rouge de rage.

GARANCE !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Elle la trouva l’air dépité adossé à un arbre . Ô punaise elle avait pas l’air ravie de son retard…Oups…

GARANCE !!!!!!!!!!!Y a des soldats qui veulent te faire la peau en ville…Ils puent le fromage trop faits..et certains ont des tronches de Pipiolits !!!!!!!! T’as fait quoi pour mériter ça ????


Euh, j’voudrais pas dire mais ça craint de plus en plus dans ce bled…Sans vouloir faire la trouilleuse, ça me parait mal engagé…

Elle ouvrit la bouche et poussa une exclamation désolée.

Mince, j’ai oublié les herbes…

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Garance
Elle pestait mais pestait et passait son énervement sur les cailloux. Vacances ratées, Visite du château annulée..

GARANCE !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Allons bon, y a des jours comme ça où rien ne va et le ton de Gwennie , c'était la goutte, la cerise, le grain, l'ergot qui allait réveiller les allergies de Garance. Pire que les procès.

Oui Quoi Gwennie? Des soldats qui puent le fromage.. C'est normal ça.. D'ailleurs..Y a trop de latrines ici.. faudrait voir à camper ailleurs.
Et ils veulent me faire la peau? .. Eh bien, comme à nous tous non? Qu'ils viennent en découdre plutôt.. je manque d'exercice moi .


Voyant la mine de Gwennie..

Des herbes..; Hum, tu veux qu'on demande à LaFouine de les cuisiner.. Ca serait une bonne idée ça.. J'ai jamais mangé du soldat.
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Pas de réponse HRP à du RP. "Rôlistes restez. On viendra à bout du "clic"! (Breiz24)
Chewby
Quel bonheur de se sentir en famille! pensait chewby.
Il était arrivé dans ce campement plus tard que les autres et donc ne connaissait pas énormément de monde! sa tantine était la, bien sur mais bon... devoir compter sur ses bons jours pour ne pas recevoir un coup de pelle a tarte ce n'était pas une vie... et elle semblait vraiment occupé, de plus je ne l'avais pas quitté tout jeune pour maintenant revenir dans ses jupons!

Pas dans les siens pensa t il amusé...

Donc aujourd'hui ma mission se résumerait à deux objectifs:

se trouver un numéro de cirque, et faire la connaissance du groupe....regardant les alentours...en commençant par la gente féminine pourquoi pas... souriant enthousiaste.


Donc se trouver un numéro.... première question: en quoi suis je doué...réfléchissant...boire des bières....non ca ferai un peu redondant avec sa Tante....cherchant mais ne trouvant rien....

bon sang....!!!!
Comment faire pour trouver un numéro qui puisse être suffisamment intéressant et impressionnant.


Tout en réfléchissant chewby s'amusait avec son morceau de barreau de geôle usé qu'il avait trouvé sur les routes... le tordant dans un sens puis dans l'autre, se faisant des jeux avec: réussir a faire un nœud avec pour ensuite le défaire...cela lui occupait les mains.

Bon passons, je trouverai bien par la suite! Pas la peine de me faire siffler la théière pour ca!

Décidant de laisser ce point pour plus tard, chewby décida d'aller marcher dans le campement. Il était sur qu'il serait bien accueilli! Pour gérer l'inconnu il emporta son morceau de fer tordu...
Ahlatete
De mauvais poil, de très mauvais poils.... Elle n'avance pas à travers le campement, elle vole quasiment. Elle remarque bien qu'autour d'elle tout s'agite, mais elle a atteint un tel point de fureur qu'elle ne peut s'arreter pour participer a tout ça....

Deux jours..... Pendant deux jours elle a défendu le pouvoir. Elle.... Alors que la terre entière sait qu'elle déteste les militaires et tout ce qui s'en approche de près ou de loin.... Pendant deux jours elle défend un comté qu'elle a un jour aimé... Et pas un écu qui tombe dans son escarcelle... Elle a travaillé a l'oeil... Gratuitement, pour rien, nada, walou, rien quoi....
Et elle a faim. Elle comptait forcément sur ses deux jours de boulot pour pouvoir s'acheter de quoi manger, et voila qu'elle va etre obligé de se taper de la soupe de cailloux...... A mourrir de rire.

Malgrè toute sa colère, elle ne peut s'empecher d'entendre gwen prévenir garance qu'on la cherche pour la pendre.... un sourire éclaire faiblement son visage. Elle est bien obligé d'entendre la réponse de garance... Sourire un peu plus élargi cette fois. Quelle classe cette garance... Elle pourrait en remontrer à tous ces gros culs qui se prennent pour des nobles et affament le peuple en ne les payant pas pour leur travail....

Elle fait demi tour pour aller rejoindre les deux femmes et leur raconter ses mésaventures, elle croise chewbi en route, se retourne pour le regarder de dos. Elle ne voit pas le seau qui se trouve en travers de son chemin, elle se prend le pied dans le anse, court un peu pour récupérer un précaire équilibre, souffle en voyant qu'elle ne tombera pas, ne voit pas la flaque devant elle, et sombre dans la boue des cochons apprivoisées.....

Nan décidément, les éléments sont contre elle, elle ne se relévera pas.....

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Debba_1er
En voyage pour découvrir l'au-delà du Languedoc et du royaume, les nouvelles qui arrivaient du comté (Et oui, c'est un comté, qui a un comte ! Namého !). Les nouvelles qui arrivaient de sa terre natale n'était point bonnes. Une coalition de brigands qui s'en prendrait au Languedoc.

Dans le malheur, leur seule chance fut qu'ils étaient déjà dans la route du retour et que la capitale languedocienne n'était point loin. Mais chaque jour était un déchirement. Chaque jour, les nouvelles de la capitale étaient à moitié bonnes & à moitié mauvaises. Les malotrus étaient toujours présents & de plus en plus nombreux mais le bon côté, c'est que la capitale résistait toujours aux assauts, ainsi que toutes les villes du comté qui ont subi des attaques.

Le passage à Carcassonne, Narbonne & Béziers fut fait en éclair et ce n'est qu'à l'aube du vingt cinquième jour de Mai que les murs de Montpellier étaient en vue. La route fut calme, ce qui était assez logique; les ruelles des villes du comté étaient devenues plus dangereuses que ses campagnes, et deux cavaliers dont il reconnut la silhouette & les couleurs d'un des deux vu que c'était les couleurs de sa suzeraine.

Après quelques formalités avec le garde d'une des portes qu'il avait fini par connaître un par un, tête par tête, nom par nom. Il pénétra dans la ville. Sa première réflexe fut de mettre ses accompagnatrices en sécurité. Après une petite réflexion, il arriva à la conclusion que les auberges ou tout bâtiment comtal risqueraient d'être la cible de ces malandrins et que la sécurité n'y est pas forcément garantie. Il décida alors de se diriger vers la maison d'un ami, Antimond. Maison dont il a eu souvent l'occasion de visiter l'échoppe.

Quelques minutes plus tard, (*) Debba ressortait de la ville allant à la recherche & la rencontre des défenseurs de la ville, se demandant bien ce qu'il pouvait faire pour donner un coup de main.


[* : Ce qui se passe chez Anti restera chez Anti (halle de Montpel)]
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Lolvstein
Elle et lui avaient cheminé de paire, silencieux et complices. Ils connaissaient bien les hydreux pour en avoir été. Le voyage ne leur prendrait que l'allez-retour.
Le campement hétéroclite s'étalait sous leurs yeux. Des villageois les avaient suivi portant le tonneau où elle puisa la naphte.
"Doucement mon ange! je te laisse Bouba!"
Elle se faufila entre les roulottes dont montaient des ronflements avinés et epandit le liquide épais.
Puis elle prit du recul et tira de l'amadou une étincelle.
Enflamement général et panique parmi les brigands reveillés en sursaut tandis que s'embrasaient leurs roulottes.
Se poussant à l'écart, elle lui prit la main.
"Besoin d'aide pour la bestiole ?
... ça à l'air bon! sont cramés!.... ou pas loin..."
Valkyrie
Tout brullait, les roulotes, les tentes et tout ce qui était enflamable. Il alla prévenir les autres mais ...
Il se réveilla, il sortit de sa tente et jeta un coup d'oeil aux alentours. Tout ça n'avait été qu'un rêve. C'est vrai que ça n'aurait pas pu se produire car le camp était surveillé en permanence ce fut donc d'un air tranquille qu'il alla se recoucher.

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Lolvstein
Jeta un regard au doux rêveur dont le pyjama fumait et eut un petit rire muet.
"Cramez les hydreux! et encore plus si vos rêves vous éloignent de la réalité et du moment présent!
Bc ? c'est bon ? t'as la peau de l'ours ?"
Elle l'enlaça le temps d'un baiser puis observa les alentours embrasés.
Valkyrie
Il alla se recoucher mais ressortit de sa tente juste à temps car il avait oublié de rendre le marteau que Sisley lui avait balancé suite à son sabotage Il traversa le camp puis croisa quelques "collègue" qui surveillait le camp d'une éventuel représailles de l'ennemie où de la stupidité de certains.
Il venait d'atteindre la roulotte en question mais rebroussa chemin. Après tout, elle lui avait balançé son marteau donc autant le gardé Elle serait donc obligé de s'en procurer un autre


De retour à sa tente, il entendit un bruit. Il s'approcha et vit ce que c'étais.

Hey, c'est pas fini de ronfler, y en a qui essaie de ronfler aussi ici !!!

Il avait été prévenu qu'il dormirait moins bien avec tout ces ronfleurs ^^
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Chewby
[Au campement]
Chewby marchait dans le campement à la recherche de barres à tordre pour se calmer les nerfs. Cela faisait deux jours qu'il bossait pour la maréchaussée et les écus ne tintaient toujours pas dans sa bourse... Il refusait et détestait se faire avoir de la sorte... ou alors cela ne se ferait pas dans le calme et le silence...
Il se posa quelques instants près d'une roulotte qui lui était jusqu'alors inconnue, pour réfléchir à une solution ou à défaut, une vengeance.

Tout à coup, un grognement retentit derrière lui.
Espérant que ce n'était pas encore Bouba qui cherchait à s'amuser avec lui, ni le loup de Sisley - car il avait suffisamment vécu de mauvaises histoires avec ce loup au crâne robuste -, Chewby se retourna prudemment.
Croisant les doigts, espérant avoir entendu l'estomac de Lab' et non pas celui de cet ours mal léché, il découvra, surpris, Sisley en train de ronchonner.


- Hey Sisi', qu'est-ce qui t'arrive ? Mal dormi ? Je vois que tu te tiens le dos ... ?
- Salut ... Oh non me provoque pas avec ça toi !! Tout est de ta faute et tu l'sais très bien ! persifla-t-elle
Bref, c'est pas l'sujet, pour l'instant. C'est juste que je n'aime pas qu'on m'utilise tu vois ? J'ai toujours pas été payée pour mon travail héroïque d'hier à la Maréchaussée...

Chewby qui souriait à ses dires, réalisa soudain qu'il venait de trouver là une alliée de taille pour l'aider à satisfaire sa vengeance.

- Hé bien... écoute... j'ai une envie de vengeance... il m'arrive la même chose depuis deux jours. J'ai bien envie de foutre un peu le bordel ici... Des
idées ?




[Plus tard, en taverne]
Il y avait beaucoup de monde, comme d'habitude.. D'autant plus que certains ne sortaient qu'une fois la nuit tombée. Mais un personnage, et particulièrement celui-ci, retint leur attention :

- Vous êtes artiste ?! Hein quoi, peintre ?! Bon sang super ! Et vous auriez pas deux ou trois pots de peinture à nous dépanner pour une oeuvre monumentale par hasard ?

Après avoir parlementé avec le peintre en question et obtenu trois pots de peinture, dont deux roses et un jaune poussin, Chewby et Sisley s'en allèrent, près à mettre leur plan à éxécution.



[Quelques minutes plus tard, devant la maison de la mairesse]
Chewby s'appliquait du mieux qu'il pouvait à ne pas dépasser sur la façade criarde de la maison. Comme quoi, peindre des volets en jaune poussin demandait plus de concentration que prévu...
Sisley elle, pendant ce temps, flanquait des couches de rose ici et là, laissant certains endroits dénués de couleur...


- Dis, tu pourrais pas t'appliquer un peu ?
- Et pourquoi j'm'appliquerais hein ? Le but c'est pas que ça soit beau mais qu'elle ait l'air ridicule, j'te signale ! dit-elle en faisant un petit point rose sur le volet jaune
- Hey ! Attends... tu vas voir toi !

Sisley se contenta de sourire de toutes ses dents

- Ah bon ? Voir quoi ?

Chewby, qui était jusqu'alors resté plutôt impassible, eut un rictus, lâcha son pinceau et s'avan�a vers Sisley.
Prenant un pot de jaune il le versa pour moitié sur son crâne...


- Voila mon poussin! comme tu es mignonne, tiens il te reste une pointe de rose la!...pointant son bout de nez..

Sen suivit alors une bataille de peinture, a tel point qu'a la fin on ne savait pas ce qui était le plus coloré...les murs ou les deux complices...
Ils s'étaient même amusés à se lancer les pots de peintures à la tête en se mettant dos au mur, laissant leurs silhouettes y transparaître...
Bc_rich
.....Il avait laissé Lol à l'approche du campement, se mettant à la recherche du redoutable ours. L'animal pouvait être un handicap pour les projets de Lol, il allait s'en occuper. Rampant parmi les herbes, il le trouva un peu en retrait. Il ne pu s'empêcher d'attendre un peu devant le respect que lui imposait l'animal.
Alors qu'il observait la bête, son esprit revint à ces heures pas si lointaines. Il avait poussé la porte de l'apothicaire, attendu patiemment que la boutique se vide et demandé l'air mal assuré la potion qui l'aiderait à terrasser l'animal.
"Mais vous voulez tuer quoi?" avait demandé l'homme..." "ho un gros animal!" lui avait répondu BC
"De l'aconite, avec ça normalement la victime vomit tripes et boyaux avent de succomber la bave au lèvres."
"c'est que j'aurais besoin que ce se soit rapide..."
"ho et ben je vous rajoute de la belladone rehaussée d'une pointe d'arsenic!, humm combien de kilo la bestiole? ".."heu 1 ou de tonnes peut être" répondu BC de plus en plus gêné par les client qui étaient entrés..."
Après une attente qui lui parut interminable il échangea quelques écus contre la fiole et sorti à la hâte. Il s'en était retourné chez lui après avoir acheté de la viande. Il s'enferma préparant des boulettes assaisonnées pour son futur ami.

Il lança une boulette au pied de l'ours, sans réaction de l'animal..il recommença le touchant au museau. Grognement...le plantigrade huma l'air et trouva les boulettes qu'il dévora. Bc décida de l'attirer à lui jetant des boulettes, raccourcissant la distance qui le séparait de l'animal. Le contenu de son sac diminuait dangereusement. La bête flaira son odeur, faut avouer que face à la masse imposante qui se découpait dans la nuit, il n'en menait pas large le BC! Il se leva, l'ours hurla dévoilant sa machoire et se mit à courir vers BC. Ventre à terre se dernier pris ses jambes à son cou, maudissant l'apothicaire..."une dose à tuer un régiment qu'il disait". Et soudain une racine...BC vola face contre terre, la bête arriva. L'homme senti son odeur, son souffle et alors qu'il se voyait déjà dévoré, la patte lourde tomba sur son corps.
Bc rouvrit les yeux. Un parfum de cendre qu'il connaissait bien, une nuit rougeaoyant l'extirpèrent de sa torpeur...Le paradis? Non, Lol avit réussi! Le poison avait fait effet! Il se dégagea rapidement de l'étreinte de gros nounours et de son couteau, rasa le flanc de l'animal pour y graver en large lettres: B.C.
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Laurine.
Le séjour à la capitale se passait plutot bien. Bien que Philo était vraiment hargneuse. Laurine avait du l'empecher plusieurs fois d'attaquer les poissonnières vénales afin de faire éclater leur bulle spéculative.

Non ma Philo ! on doit se coordonner pour attaquer, on peut être mule sans être bourrine tu le sais pourtant ! Un peu de noblesse que diable ! Vont dire quoi à Beaumont ? Oublie pas qu'on porte désormais leur couleurs. Faudra d'ailleurs penser à recruter à notre retour.

Les jours se succédaient sans aucune monotonie. La capitale était animée comme rarement. De jour comme de nuit des chariotes quittaient les entrepôts comtaux, des hommes et femmes lourdement armés patrouillaient tandis que d'autres tentaient de se faufiler et se montrer discrets, trop discrets. D'autres encore ne l'étaient pas du tout, faisant preuve d'une bravache téméraire. Ils avaient sans doute oublié qu'ils étaient en Languedoc...

Laurine passait ses journées tranquillou entre le marché, le château où elle allait donner ses avis sur tel ou tel point, on l'avait même vu en taverne avant qu'elle ne monte sur les remparts ou devant la mairie. Une nuit elle eu l'occasion même de se défouler un peu et d'envoyer valdinguer quelques dents, trop longues à son goût. Et les assaillants repoussés s'en retournaient la queue entre les jambes vers leur campement à l'extérieur de la ville.

Pas mal de ses amis étaient là désormais, son frère d'arme Antimond, le Général, Fred et bien d'autres encore, à l'exception de Milou pour laquelle elle avait piqué une colère mémorable. Ce jour là Domenc était arrivé. Ca faisait un bail qu'elle ne l'avait pas vu et c'est avec un plaisir non dissimulé qu'elle le vit rejoindre le petit groupe hétéroclite.

Lors de leur tour de garde l'attention de la Garçonne fut attirée par un oriflamme qui battait au vent du matin levant.


Boudiou ! Faut pas laisser faire ca. Allons chercher les autres.

Après moults discussions le petit groupe se faufila hors la ville pour aller rejoindre le Commodore qui roupillait dans son coin.

Debout là dedans ! on a du nettoyage à faire !

Encore quelques points de stratégie à régler, Laurine adorait apprendre sur le tas et il n'est pas question ici du Commodore.

Non non c'est avec toi qu'on y va, le Vice Amiral des Abreuvoirs fait de la comptabilité ce soir. Puis ensuite il doit aller voir la mer, grande première il parait. Bref on y va ?

Et souvenez vous l'été dernier... la sale bête qui hisse son pavillon là bas a par deux fois attaqué Lodeve, ou en tout cas lui ressemble drôlement.


Et ca les languedociens ils avaient pas aimé. Que la Garçonne se trompe de personne ou pas ca ne changeait finalement pas grand chose... Les compagnons d'armes se faufilèrent donc, nombreux, très nombreux en direction de cet insupportable fanion.

Un cry retentit dans la nuit


Totjorn tot drech !

Et ce fut un véritable massacre... qu'il ne convient pas ici de décrire afin de préserver les reliquats d'innocence de nos jeunes lecteurs.

Mais au vu de ce qui restait du corps de l'inconsciente, et encore la besace de Laurine dégoulinait d'autre chose que du jus de fruit, ses compagnons auraient bien du mal à la recomposer avant de l'inhummer... a moins que les clics-clics de la résurection n'interviennent à point nommé...

Un chant, victorieux s'éleva alors dans l'aube naissante.


Lien caché par la censure ce qui aurait dut être fait. {LeFaucheur}

Une bataille avait été gagnée, bien sur la guerre n'était pas finie, le Languedoc n'était pas encore tout à fait nettoyé ni desHydraté mais ne serait plus désormais le terrain de jeu des faquins et autres malandrins. Per totjorn !
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Lengadòc per totjorn !
(par soucis uchronique de cohérence, cette signature sera mise en conformité avec les édits héraldiques à la fin du rp de l'anoblissement de Laurine)
Garance
[Au campement la veille]

Hey, c'est pas fini de ronfler, y en a qui essaie de ronfler aussi ici !!!

La petite sieste réparatrice avant l'attaque était terminée.. Et de quelle voix!.. Couchée toute habillée dans sa superbe robe blanche immaculée. Ca commençait à lui coûter bonbon de la faire nettoyer chaque fois, Garance s'approcha de Val et lui mit la main sur la bouche.

Habille-toi vite.; On se rassemble et on part..

Le temps d'aller de roulotte en roulotte.. Une drôle d'odeur envahissait le campement.. laFouine avait encore laissé quelque chose sur le feu.. Pouah!

Bon, sans la reconnaissance de la veille, ils seraient obligés de passer par l'entrée principale ou pas d'ailleurs..

Garance avait quand même bien envie de trouver une entrée dérobée..

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Pas de réponse HRP à du RP. "Rôlistes restez. On viendra à bout du "clic"! (Breiz24)
Sisley
[Au campement, la veille au soir]

Sisley dormait à poings fermés dans sa nouvelle roulotte.. Il faut dire qu'elle n'avait pas chômé aujourd'hui... Entre la construction de ladite roulotte et le ravalement de façade de la maison de la mairesse... elle avait bien droit à un peu de repos, d'autant plus que la nuit risquait d'être longue.
On toqua à la porte, elle se réveilla en sursaut, s'étira et alla ouvrir. C'était Garance qui donnait le signal, c'était maintenant ou jamais !
Elle enfila une robe à la va vite et sortit les cheveux ébouriffés. Pas la peine de se coiffer pour ce genre d'action, personne n'y ferait attention.
Elle rejoint Val qui sortait de sa tente, lui adressa un bref sourire et regarda les autres qui se joignaient à eux petit à petit. Tout le monde était présent, excepté ceux qui étaient restés enfermés dans les geôles, bien entendu. Tant pis pour eux, on les délivrerait plus tard...

Elle fronça les narines, respirant une odeur qui lui était presque familière. Elle tenta de desceler quelle en était l'origine.
Certainement une blague de l'un d'entre eux, ou LaFouine qui avait laissé quelque chose sur le feu...

Secouant la tête, elle sortit de sa réfléxion et accélera le pas, il valait mieux rester concentrée.
Lolvstein
Elle se rapprocha de BC dont la sihouette se découpait sur fond de flamme au dessus de la masse noire du plantigrade trepassé.
"Ma foi il a bouffé sa dernière boulette celui là!"
Elle ne put s'empêcher de rire en voyant la signature sur le flanc de l'animal.
"Tu le depouilles mon Ange ?"
Le campement n'était plus que ruine où erraient quelques ombres aux paroles incompréhensibles et à la reflexion manifestement enfumée!
Elle n'avait épargné que les roulottes de Lab et Diab qui du coup semblaient rutilantes au milieu des fumerolles.
Elle hocha la tête en humant l'odeur du cramé.
"Ca devient trop puant içi! On rentre ?"
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