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[RP] Le lac de Sarlat

Jmw
Il sourit en entendant Luaine, et s'essuya les mains sur ses braies avant d'enlever son mantel, et son gilet pour s'en servir de coussin. Il s'allongea, la tête poser sur ses quelques habits enlever, et les mains croiser derrière la tête.

Moi aussi j'bien manger... J'vais vous engagez comme cuisinière chez moi.

Il sourit en coin.

Le sommeil léger ? Non... Non pas du tout... Z'allez vous cailliez soldat. Par contre j'espère que vous, vous avez le sommeil profond, parce que je ronfle plus qu'un ours... Si les ours ronfle la nuit bien sûr...


Il sourit, croisa les jambes et regarda le ciel. En entendant Luaine, il ne put s'empêcher de sourire en coin. et ajouta sur un ton amical, et un peu provocateur.

Aller vous faire voir soldat, je me réveille pas avant midi moi.

Il rit.
Luaine
Allons bon qu'il allait la faire pouffer de rire et la couper dans son sommeil. Luaine ne put se retenir de pouffer de rire aux dire de son chef. c'était la première fois qu'ils s'accordaient, qu'ils étaient en phase. D'ordinaire il lui balançait une bonen vieille vacherie toute pourrie et bien humiliante et elle prenait la mouche et claquait la porte des tavernes mais ce soir là ils avaient partagé non pas le pain de la réconciliation mais le poisson de la pacification.

Tournée de son côté, son visage était paisible. Elle dormit du sommeil du juste jusqu'au matin. Le Comte devait arrivé dans la ville et ça serait surement encore les flon flon, les buffets et l'ALCOOL à flots. Sans nul doute, avant cette escorte Luaine ne buvait que très rarement mais à la fin, on fera surement un parfait foie gras avec le sien, imbibé d'alcool à souhait. La tournée comtale n'avait jamais si bien portée son nom.

Le petit matin se leva sur la berge du lac variant les bois de bois flottés mais aussi la fraicheur. Le mantel presque jusqu'aux yeux, Luaine ouvrit un oeil puis s'étira, faisant descendre le mantel en ressentant l'humidité ambiante.

MORTE COUILLE....Je me les gèle!!!
Oups. Ben on va devoir y aller, le comte est bon!!! Il a du arriver.

CHEEEEEEEEEEEEEEEEEEEF debouuuuuut!!!!

_________________
Jmw
Dormant comme un bébé, le sourire aux lèvres, l'air paisible. En entendant Luaine, il se retourna, et lui tourna le dos, avant de lui dire, à moitier endormis et toujours le sourire aux lèvres.

Laissez moi dormir en paix, faudrait qu'le Comte lui même viennent me réveiller... J'ai encore quelques semaines de sommeil donc!

Il ouvrit un œil, jaugea l'heure grâce au soleil, et le referma avant de ronfler doucement.
Luaine
La brune se leva d'un bond et alla se mettre de l'eau sur le visage histoire d'enlever les stigmates de la nuit.
Jmw dormait comme un bébé et ne semblait pas vouloir se réveiller.

C'est bon chef debout, je vous ferais pas le déjeuner.....On va être en retard.
Si le comte est arrivé avec tout le conseil, on va avoir l'air fin d'arriver après le début de la bataille pour des personnes qui sont là pour le protéger. Héhoooooo!!!!!


Jeune novice, elle faisait ses preuves et d'un rare sérieux, elle ne voulait pas manquer à l'appel. Son travail la tenait à coeur et son souhait était d'être un des meilleur soldat. I fallait de la rigueur et ça commençait par ne pas arriver en retard.
Elle alla tirer le mantel de Jmw pour qu'il se réveille avec l'humidité qui tombait soudain telle une chape de plomb. Vive la rosée du matin surtout quand on est pas une plante....

Héhooooo je file sans vous si vous vous levez pas!!!!

_________________
Arami.le.sombre
[Une peu plus loin que la scène de ménage: comment il n'y en pas? Sisi r'gardez la au dessus ]

Le Arami, vagabond aux odeurs assez prononcé de son état, gratte sa croute d'ou quelques puces s'évadent visiblement agacé par l'agitation continue. Son esprit vif comme un homme qui n'as pas mangé depuis plusieurs jours et donc les facultés ont été quelques peut influencé par quelques coups au niveau de la caboche, analyse la meilleurs manière de s'attaquer à la tache ardue qui se profile devant lui. Son regard ne quitte pas des yeux le morceau carré qu'il à dans la main au senteurs lui rappelant par ses émanations, les odeurs des champs dans lesquels il avait courut il y a fort longtemps. Bien que la femme lui ai expliqué comment ce servir de ce savon, il n'arrive pas à prendre sa décision.
Et si effectivement, en se plongeant dans l'eau, son corps se dissolve, il aura l'aire malin. D'autan que sans corps, plus besoin de frusque pour éviter les courant d'air. Mais il y a plus de corps non plus alors que deviendra t'il?
Le mieux est de tremper un doigt de pied dans l'eau pour voir. envore qu'un doigt de pied c'est utile quand on a plus de doigt de main pour compté, par exemple jusque 11. Enfin si il ne lui en manque qu'un il peut toujours compté jusqu'à 19, mais comme quatre a l'un et cinq à l'autre c'est pas super beau.
Et puis elle a dit qu'il devait enlever ses frusques, mais elles sont aussi sales que lui, donc l'odeur. Décidément, ce laver, ce n'est vraiment pas facile. Puis ci cela tombe, c'est juste pour lui volé ces frusques qu'on lui demande de se dévêtir, au vu de leur ...... euh ....... disons authenticité.
Des habits de vagabond de premier choix, vraiment prêt pour une séance de mendicité.
Bref que faire!

Étrangement, on lui a toujours dit de se tenir à l'écart des femmes, elles vous posent toujours des problèmes dont la résolution entrain forcément un casse tête et la migraine qui l'accompagne. Pourquoi n'avait il pas écouté ce précieux conseil!
L'idée lumineuse lui vient à l'esprit après un long moment de réflexion. Si il enlève ses frusques et qu'il essaie de les trempé il aura la réponse! Si elles se dissolvent ben faut pas y allez. Le problème étant que si elle disparaissent, il sera confronté aux vents, l'oiseau voudra s'envoler et les oeufs se faire becquette par le premier serpent venu. Enfin pour ce qu'il en reste (ici je parle des vetements hein! pas de mal entendu).

La décision est prise, il regarde à gauche puis à droite pour voir si personne ne le regarde. Il a beau être un vagabond sale et tout et tout il a un peu de pudeur quand il veut bien.

Personne en vue, On peut y aller p'tit gars

Sans plus tarder, il enlève les lambeaux de tissus qu'il déverse dans l'eau. Ceux ci n'ont pas l'air de se désintégrer bien qu'une nué noir semble s'échapper de son linge. Curieux, il y mélange le savon allant jusqu'à mettre ses mains dans l'eau sans qu'elle se dissolve. En frottant l'un et l'autre le tissus se retrouve brun foncé au lieu de sa couleur noir fond de cheminée.
Le constat suivant s'impose donc à lui: c'est pas si dangereux et les vêtements sont plus claire. C'est donc tout naturellement qu'après le nettoyage sommaire du tissus si l'on peut encore l'appeler ainsi (oui sommaire, c'est un mec pas une bonne femme, on s'entend bien la dessus, il a déjà du mal a comprendre l'utilité du savon faut pas trop lui en demander!) qu'il se laisse choir lentement dans l'eau.


Le froid, saisit son corps car oui elle n'est pas encore très chaude mais bien qu'il y fasse attention rien ne se dissolve dans l'étrange liquide. Il parvient même a confondre ce liquide et celui qui lui tombe sur le coin de la g..... quand il marche sur les routes à la recherche de piécettes.
Tout ce passe pour le mieux excepté deux ou trois tentative de noyade en essayant de rattraper le bout de lavande qui lui glisse entre les doigts.

Il sort enfin de l'eau après un bon quart d'heure de combat acharné avec lui même constatant sa peau frippé


J'l savais que j'allais m'dissoudre!!!

Sur cet air dépité, il entreprit de se sécher au vent, cherchant dans un petit périmètre quelques bricoles (racine, fruit , plante grasse) à se coincer sous la dent.

Tout ça l'cause d'une femme et de son arme secrete! J'avo du me méfier plus!
Jmw
Ouvrant les yeux, il ne vit pas de femme, soldat, juste des arbres, de la flotte, le décor habituel d'la nature quoi. Il ce leva en grommelant, enfila son gilet et son mantel avant de prendre la direction de la place, le Comte devait être arriver depuis pas mal de temps.
Arami.le.sombre
L'arami est couché sur le ventre depuis un moment maintenant. L'humidité de la nuit commence doucement à l'engourdir alors qu'elle s'échappe depuis les herbes grasses et douce. Le vent quand à lui, soufflant de manière à bercer les blés qui eux non pas encore poussés, s'amuse a congeler les trois poils qui dépasse de son séant pour rester poli. La peau se teinte doucement d'une couleur bleuté qui n'aurait pas été désagréable à voir dans le ciel mais sous une chaire abimée et poilue de surcroit. S'imaginé le yeti! Ben vous prenez le yeti et vous lui épile le visage, vous aurez une description un peu près correcte de notre vagabond. Le vent et le froid ça poil énormément, c'est bien connu.
Enfin bref, la tête sorti de son coussin d'herbe, les marques de celles-ci lui sculptant le visage. Doucement, de peur de se casser, il se relève pour posé son derrière dans la verdure. et la c'est le choc! Aussi malin qu'il puisse être, il a complètement oublié d'étendre ses affaires, ne laissant qu'un boule chargé d'eau savonneuse.


Salté de bonne femme!!! j'vous jure elles ont de ses idées parfois!

Beaucoup plus facile de mettre ça sur le dos de la femme qui l'a convaincu de se laver que sur son imbécilité. Décidément le pouvoir de la gente féminine était bien plus puissant qu'il n'y paraissait.Et dire que certain s'amuse à appeler ça le sexe faible, encore des porreaux incapable de se rendre compte qu'elles les manipules comme notre vagabond en présence.
Tout ça pour en venir à la situation suivante:

Notre vagabond est tout nu, avec des vêtements plus trempé que si ils étaient dans le lac, la cher bleu et les pieds qui pèlent bien qu'il ne s'en soit pas encore rendu compte. bref la situation est mal barre pour une personne qui veux passer une bonne soirée.

Les chaires réanimées le picotent un peu mais une différence notoire est visible. Enfin visible, on s'entend: plus une seul piqure de puce depuis le bain. Comme le vagabonds, elles non plus n'avait pas prisent de cours de natation ou alors elles étaient dernière de classe, le résultat étant une paix totale. Plus de grattouilles. Il se masse délicatement le corps pour se réchauffer quand ses yeux se posent sur les peaux ballantes sur les plantes de ses pieds.


Et v'là qu'l dissolution avo commencé! Et M....!!! M'apprendra Dju!


et voila notre clochard professionnel dans la vaste campagne contre ses peaux décomposées. Avec un intérêt quelques peut évanouie pour le sujet, il retire chaque morceau afin de laisser une peau lisse et douce apparaitre. Alors c'est ça l'effet du savon, nous transformer en une espèce de reptile échangeant sa peau contre une autre toute molle. Et dire qu'il lui a fallut des années pour obtenir ces belles cales sous ses pieds. Enfin tant qu'il ne se mets pas a pondre des oeufs et à les enterrer ensuite, tout va bien.
Il se redresse afin d'étaler ses breloques sur les branche d'un arbuste avant d'aller faire le tour des environ à la recherche d'un casse croute tout en soutenant le matériel , vestige de sa masculinité disparue de peur que lui aussi se fasse la mal.
Pattricia
Un dernier passage avant de partir... Cela faisait deux jours que je me disais ça et j'étais toujours là. Le travail à la caserne, et au campement ensuite, m'avaient retenue bien plus tard que prévu et, il faut bien le dire, je m'étais assoupie dans ma tente, attendant quelques nouvelles qui n'étaient pas venues. La lune était haute dans le ciel lorsque Truffe et moi quittons le campement. Mon esprit est ailleurs, mon cœur est déchiré, ma joie est immense...

Certains soldats avaient réintégré leur demeure pour la nuit, d'autres avaient préféré s'installer au camp, entretenant le tout venant, bichonnant les montures déjà parquées et moi j'étais indécise. Avec les derniers évènements, l'annonce de l'agrandissement de la famille, le départ de Mari vers sa maison qui nous avait tous laissés sans voix et cette lettre...
Seul Michel était au courant de la maisonnée, j'avais peur que ce ne soit un canular et je voulais protéger les enfants.

C'est troublée que je quitte le camp avec mon âme sœur et que nous nous rendons naturellement vers lui. Je regarde mon loup, mon compagnon des premières heures, celui qui avait sans doute changé le cours de ma vie, je le sentais fébrile, le départ sans doute...
Nan il a deviné quelque chose de nouveau et il lui est impossible de mettre la patte dessus... J'avais raconté notre histoire deux fois en si peu d'heures, à Michel et dans une lettre... Le pigeon s'était envolé vers Villefranche, emportant avec lui tout mon espoir, serait-il récompensé ?

Passé les roseaux, la crique aux saules nous offre sa splendeur sous un ciel lunaire, les bruits ténus de la nuit nous enveloppent et le lac se profile sous une lumière argentée.
Tu es si beau....
Je me déshabille et pose mes vêtements sur la branche du noisetier, je frissonne sous la fraicheur de la brise et je m'avance dans ton eau sombre. La chair de poule continue son chemin le long de mon échine, mais je m'enfonce dans ton onde bienfaitrice. Je nage... Jusqu'à l'épuisement... Recherchant des réponses dans tes bras salvateurs.

Lorsque je ressors je suis plus sereine, je me sèche et me rhabille. La recherche de petit bois pour allumer un feu, la préparation de ce dernier, la pitance sortie de ma besace, tout n'est qu'un rituel profondément encré en moi et ces gestes anodins finissent de m'apaiser. Nous partageons la viande séchée, la miche de pain et les fromages.
Je n'ai plus qu'à attendre, si c'est bien lui, je le saurai vite.
Nous nous blottissons l'un contre l'autre à l'écoute des sons nocturnes, chacun perdu dans les méandres de ses angoisses et de ses rêves.
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Cerise
Cerise qui passait un bon moment avec son tendre Bichon, le regarda toujours afin qu'il lui parle.. Que voulait il lui dire de si important? Mais il n'arriva pas à lui causer, Griotte lui déposa un doux baiser en souriant..

- Mon ange, prend ton temps, tu me parleras quand tu seras plus prêt, mais ne tarde pas trop non plus, hein !! Car tu sais comment je suis curieuse, donc pas très patiente !!

Cerise se leva en lui lâchant les mains, et commença à se dévêtir.. Enfin, façon de parler, elle ôta son épée, sa chemise, son chapeau, ses bas et bottes.. Puis elle se mit à courir vers le Lac, en y plongeant..
Il faisait tellement soleil, que la chaleur était limite supportable.. Alors rien de tel qu'un bain à la fraîcheur...

Griotte se mit sur le dos, et flotta sur l'eau, elle ferma ses yeux en pensant à son amour qui était sur la berge, elle aimerait bien qui la rejoigne et qu'il arrive à lui parler... Cerise lui avait dit de prendre son temps, mais elle ne tenait plus elle voulait savoir, ce qu'il pouvait bien vouloir lui dire de s'y important...

Mais elle n'avait qu'à attendre...

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[De retour, doucement...]
Lolodrogba24
Il la vit partir vers le lac , la chaleur devenait étouffante, il se déshabilla aussi et prit la direction de Cerise.

Bon, voilà, je crois que je vais demander à ma soeur la main d'une jeune fille et je crois que c'est toi.

Pendant qu'il parlait , il s'enfonca dans le lac et regarda la réaction de sa Cerisette.

Voilà.
Matalena
Des bruits de mouvement se font entendre dans les buissons prêts du lac, les hautes herbes secouées malgré l'absence de vent, sans doute par la présence d'un petit animal.

Raaa ! C'est toujours dans ce genre de situation qu'on tombe à court de parchemins...

Tandis que le couple de bienheureux batifolait gaiement dans la fraîche ondine, une petite main bronzée s'échappa des fourrés, tantonnant aux hasard dans la pelouse, et s'agrippa au premier linge de corps sur laquelle elle se posa, à savoir une chemise pour femme.

La divine providence est avec moi ! Encore merci seigneur pour tes bienfaits inattendus de chaque jours, qui savent s'illustrer jusque dans mes plus bas besoins quotidiens, Amen.

Et, après avoir soigneusement débarrassé son conet de tout les résidus organiques qui pouvaient s'y trouver des suites du soulagement de ses intestins, la damoiselle rajusta ses braies, et s'en fut.
Rosalina_
Il était temps de partir, la troupe de l'amiral était partie depuis un moment, et n'allait pas tarder à rentrer, elles avaient quitté la Guyenne mais en étaient encore proches. L'idée de se retrouver nez à nez avec lui ne l'enchantait guère, comment justifier sa présence en Périgord, il était fin il comprendrait de suite.

Elles s'étaient reposées à Sarlat, c'est que la route était longue encore, et la bidouille arrondie lui tirait sur la paillasse, elle était pas bien grosse pourtant, elle ne se faisait que dégobiller dés qu'un truc lui tombait dans l'estomac.

Fallait qu'elle aille chercher la Cyrinéa qui s'était réfugiée au couvent pour on ne sait quelle raison qui lui mettait le coeur en vrille, mais il était temps de l'en sortir, avant qu'elle ne se décide à devenir carmélite...puis la route les attendait.

Son chien sur les talons elle cheminait sur le sentier qui longeait le lac, le couvent des dames toutes grises se situait non loin, un fois le sous bois traversé.
Plongée dans ses pensées, elle sursauta, étouffant un juron lorsque que quelqu'un sorti de nulle part apparu devant elle, braies en bas des jambes, s'acharnant à la hate de cacher le posterieur à nu.
La main sur le coeur battant, elle cria sur chien qui se précipitait déjà sur la donzelle en aboyant, percevant la frayeur de sa maitresse.

" Brigand !!! Reviens ! ...Au pied !"

Une chance que le dit clébard l'écoutait au doigt et à l'oeil, les petites fesses rebondies en auraient gardé quelques traces, Rosa agrippa le chien par les poils du collet, le faisant s'assoir.

" Là calme !"
Matalena
AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHHH !

Et ba ? Aurait-elle peur des chiens ? Ou la perspective de se faire perforer les joues arrières par des canines acérées ne l'enthousiasmait guère ? Les deux ?
Sortant tout juste des buissons, son visage illuminé par le sourire béat que procure les tâches accomplies au moment opportun, la donzelle n'eut que le temps de se mettre à trotter, ses braies bringuebalant entre ses deux chevilles, pour éviter l'assaut de l'animal... Hélas, ses grandes jambes empêtrées dans le tissu de son vêtement ne lui furent guère d'un grand secours, et c'est dans un nouveau :


AAAAAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHH !

Qu'elle s'étala de tout son long dans l'herbe, les fesses à l'air, avant que dame Rosalina ne vole à son secours. Rougissante comme la pucelle qu'elle était à la pudeur roulée dans la boue et culbutée par une horde de chameaux, elle se redressa d'un bond, remontant ses frusques au niveau de la taille en les maintenant de la main.

O merci, j'ai bien cru que j'y laissais la peau de mon... Mes... Euh... Dame Rosa ?! Vous ici ? Oh comme ça fait plaisir de vous voir !

Et oubliant en moins d'une seconde l'évènement malheureux qui venait de se produire, elle étreignit celle-ci avec toute son insatiable l'énergie... Rattrapant de justesse cet indécent vêtement avant que celui-ci ne décide de se faire la malle de nouveau.

On peut dire que vous m'trouvez dans une position plutôt délicate, héhé...
Rosalina_
Comment garder le sérieux devant la scène ses plus saugrenue, ce n'était un lièvre qu'ils débusquaient mais la languedocienne croisée à Montauban fesse à l'air. Non, impossible c'est pouffant de rire qu'elle regardait la pauvre Matalena se battre avec ses braies, maitrisant maintenant son chien apaisé à ses pieds.

Moment d'hilarité passée, elle accueillit avec surprise l'étreinte de la donzelle, nature et spontannée, elle était surprenante la petite, Rosa appréciait même si elle voyait d'un mauvais oeil la rencontrer hors de la Guyenne...Le monde était petit et les secrêts jamais gardés bien longtemps, elle savait que sa fuite dés lors ne serait plus un mystère...


Dame Rosa !..On peut dire que vous m'trouvez dans une position plutôt délicate, héhé...


Elle rit de bon coeur avec elle.

" Il y a des postérieurs plus désagréables à regarder, t'as pas à rougir du tien. Mais ce n'est que moi ! Un gueux l'aurait apprécié plus que moi encore ! "


Elle plongea ses yeux sur la brunette " Qu'est ce que tu fais loin de Montauban ? "

Elle devinait la réponse, elle semblait intéressée par La compagnie et son chef, comme toutes les donzelles de passage à Montauban, Sarlat était une étape...
Ladyelysa
Le couvent. Elle venait d’en fermer la porte, après y avoir passé les heures les plus longues et les plus difficiles de son existence. Elle grimaça en réalisant que ces heures en question elle ne les laissait pas derrière elle mais qu’elles allaient désormais devoir l’accompagner, où quelle aille. Putain ! jura-t-elle par devers elle, l’amour, quelle saleté !

Elle accompagna son juron d’un coup de pied dans un arbre lorsque toute préoccupée par ses funestes pensées, elle tomba nez à nez avec Rosa et Matalena qu’elle n’avait bien entendu pas vues. Elles se tenaient debout, enlacées....diantre, que se passait-il ? Mais son inquiétude fut vite apaisée. Elles étaient tout sourire et rien dans leur mimique ne semblait annoncer la mauvaise nouvelle.


- Bonjour Mesdemoiselles !

Elle se joignit sans pudeur à l’accolade, et leur donna à chacune un énorme bécot sur la joue.
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Image trop lourde.
Enlevée par Mouchette admin forum.
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