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[RP] Le lac de Sarlat

Coucou
Heureux d'être revenu à Sarlat pour y fonder une vie, un amour avec la femme de ses rêves, coucou alla de suite prèes du lac ou il y avait laissée tant de souvenir.

Il repensa à sa chère et tendre qui allait surement le rejoindre, mais en l'attendant il se promena le long de la berge et alla jusqu'au rocher ou il avait l'habitude de chercher quelques coquillages afin d'agrémenter ses repas quand derrière les rochers il entendit une plainte, c'était la voix d'une jeune femme.

Alors tout doucement, en essayant de faire le moins de bruit possible il vit que c'était cerise qui pleurait seule dans son coin. Cerise, sa Cerise, son amie !!

Que faire pensa t-il ?

Aller la voir, la consoler
la laisser seule avec son chagrin


il était tourmenté de la voir ainsi mais ne pouvait pas s'immiscer dans sa vie comme ça après tant d'absence.

Il se résignait à la regarder pleurer en silence quand tout à coup une pierre roulait et alors leur regard se croisèrent.

Coucou fit un petit sourire gené et resta cloitré dans son silence
Thworn
Thammas ne savait que faire dans ce village, où il ne connaissait encore personne, et où les amis qu'il avait revus etaient partis. Ayant demandé aux habitants ce qu'il y avait à faire ici, tous lui on repondu d'aller voir le lac. Et ils avaient bien raison.

Il déambulait lentement et sans but précis sur les berges du lac, perdu dans ses pensées, admirant le paysage bucolique, les reflets du soleil sur l'eau, le clapoti de cette dernière contre les cailloux ...
Cerise
Griotte était toujours repliée sur elle même, le regard fixé sur ce lac qui ne cessait de l'appeler, de l'attirer... Ce lac ou la lune commençait à se refléter dedans petit à ptit.. Ses larmes continuaient à couler sur ses joues, mouillant au fur et à mesure toute sa chemise.. Elle avait beau essayer de ne plus y penser, de s'occuper en travaillant et travaillant comme ses derniers jours... Mais rien à faire.. Cette douleur, cette souffrance était toujours aussi présente et empirait chaque jours..

Griotte n'en pouvait plus.. Elle baissa les bras, elle n'avait plus la force de se battre face à eux, face à des murs qui se dressaient devant elle, face à tous, ceux qui la prenait pour une "conne".... Que se soit dans son activité... Ses amours.... Ses amitiés... S'en était trop... Pourquoi continuer ainsi à souffrir se répéta-t-elle en boucle dans sa tête... Pourquoi !! Pourquoi !! C'était fini elle ne croyait plus en rien... Mais vraiment plus....

Elle essaya ses yeux avec le dos de sa main tout en soupirant, ne sachant que faire, elle était perdue... Si triste.... Si Déçue... Elle ferma ses yeux un ti moment pour les ouvrir quelques minutes plus tard..

C'est là qu'elle vit face à elle, à sa hauteur, son ami Coucou.. Elle se demanda au fond d'elle même depuis combien de temps était il là? Elle n'avait point entendu sa venu ici.. Il la fixa sans rien dire, lui adressant un sourire.. Griotte ne pouvait le lui rendre, cela lui était impossible.. Elle lui fit comprendre en détournant la tête qu'elle voulait être seule.. Ce qu'il fit en la laissant, pour retourner longer la berge et repartir d'où il venait...

Cerise remit sa tête dans ses genoux pour étouffer ses pleurs....

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[De retour, doucement...]
Makknoh
Grant déambule le long du lac. Comme tout les sarladais, il aime de temps à autres faire une petite ballade en solitaire le long du rivage. Le calme des lieux, la douceur de la lumière, le léger clapotis des eaux, tout cela l'aide à la méditation.

Il flâne ainsi un moment , le nez en l'air à muser dans différents coins qu'il affectionne particulièrement. Au détour d'un sentier, il aperçoit non loin de lui une silhouette familière. Un petit sourire lui monte aux lèvres et il commence à se rapprocher de son amie. Sa posture l'intrigue et arrivé à ses cotés, il se rend compte qu'elle sanglote.

Il s'assoit alors à coté d'elle sans rien lui dire, se contentant d'un large sourire et d'un petit coup d'épaule contre la sienne. Toujours sans un mot, il ouvre sa besace et en tire une bonne bouteille d'eau de vie de prune. Il en enlève le bouchon avec ses dents et le crache au loin. Un profonde rasade lui brûle rapidement la gorge, et après un claquement de lange, il la passe à Cerise.


« Tiens ma belle... j'étais venu régler quelques vieux comptes avec le passé avec cette bonne amie... mais je crois qu'on sera pas trop de deux pour lui casser la tête... Si tu as envie de causer je suis là... pour n'importe quel sujet ... si tu n'as pas envie je comprend aussi et on peut se la finir sans un mot »
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Cerise
Griotte était toujours recroquevillée sur elle même à pleurer, elle n'arrivait pas à s'arrêter, trop de souffrances, trop de trahisons, trop de déceptions, trop et encore trop... Ses derniers temps tout se cumulaient.. Elle avait beau essayer d'encaisser jours après jours voulant montrer force et aucunes faiblesses.. Mais elle n'y parvenait plus.. Elle n'en pouvait plus et avait préféré venir ici près du lac à son endroit habituel rempli de souvenirs des bons comme des mauvais.. Elle savait qu'en ce lieu elle serait tranquille à l'abri de tout regard, pour que personne ne la voit craquer..

Enfin personne, presque.. Puisqu'elle venait de refuser le réconfort de son ami Coucou, elle espérait qu'il ne lui en tiendrait pas rigueur.. les larmes coulaient sur ses joues pour finir leurs courses sur sa robe au niveau des genoux... Elle sanglotait toujours n'ayant pas fait attention qu'une personne venait de prendre place près d'elle.. Un peu plus tard elle sentit une présence, elle pensa au retour de Coucou, mais n'avait pas la force de relever son visage avec ses yeux humides.. Quand cette personne près d'elle lui donna un coup de coude..

Elle redressa la tête et vit un large sourire de son ami Grantounet.. Elle ne rêvait pas ce n'était point Coucou, mais le troll.. Elle se demanda ce qu'il faisait là lui qui venait de partir pour combattre.. Elle ne put s'empêcher de lui rendre un sourire même si celui ci faisait forcé, tout en se blottissant dans les bras de son ami de toujours..

Les Yeux fermés à continuer de pleurer elle sentit le Troll bouger sans doute pour fouiner dans sa besace.. Puis un "ti glop" se fit entendre suivit d'un léger cracha.. Elle ouvrit ses yeux gonflés et vit au loin un bouchon.. Elle ne s'était point tromper sur le bruit c'était une bonne bouteille d'eau de vie de prune que son ami avait en main, enfin le temps que Griotte se redresse complètement il l'avait plus à la bouche... Elle n'eut le temps de dire "donne à moi" que son Grant lui tendit en disant..

« Tiens ma belle... j'étais venu régler quelques vieux comptes avec le passé avec cette bonne amie... mais je crois qu'on sera pas trop de deux pour lui casser la tête... Si tu as envie de causer je suis là... pour n'importe quel sujet ... si tu n'as pas envie je comprend aussi et on peut se la finir sans un mot »

Elle ne prononça aucun mot, l'envie de parler n'était point là.. L''heure aux confidences seraient pour plus tard.. Elle savait qu'elle pourrait compter sur son ami.. Donc elle empoigna d'un geste brusque la bouteille pour la conduire à sa bouche tout en levant son coude pour boire, et boire... Elle ne s'arrêta pas... Cerise ne voulait plus penser, plus souffrir même un court moment, elle savait qu'une bonne dose d'alcool était une excellente solution... Elle finit par liquider d'une traite toute la bouteille sans que Grant ne puisse agir, pour se reprendre une gorgée.. Elle lâcha deux trois mots..
Mouarf !! Di diou ce que ca fait du biennn... Léger sourire avec une haleine imbibée d'eau de vie elle rajouta.. Heyyy !! Mon Troll à mouââ !! Dis mouâ.... t'en as d'autre?? J'ai encore Soiffffffffffff

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[De retour, doucement...]
Makknoh
Avant que Grant n'ait plus faire le moindre geste, Cerise a vidé le premier flacon d'alcool.

« HEEEEEEeeeey doucement la grande, c'est pas une boisson de donzelle... tu vas finir dans un sale état et j'ai pas de brouette pour te ramener au village. »


Il éclate de rire en entendant Griotte clamer son envie de boire.

Heyyy !! Mon Troll à mouââ !! Dis mouâ.... t'en as d'autre?? J'ai encore Soiffffffffffff

« Arfff arrêtes ça j'ai l'impression d'entendre ta cousine... paix ait son âme... une sacré soiffarde aussi celle là... Cherchons bien Je dois avoir encore ça... »

Il farfouille dans sa besace, mimant l'inquiétude sachant très bien ce qu'il y a au fond. Il en sort triomphalement une autre bouteille dont le bouchon est lui aussi rapidement propulsé dans les airs.

« Mais attention celle là c'est pas du tout venant... c'est une denrée rare... »


léger sourire en admirant dans la lumière au travers de la bouteille, la couleur du précieux liquide

« C'est de la poire de Lubna et depuis le départ des mumu ça court plus les rues ces bouteilles. C'est une des dernières qu'il me reste alors tu vas pas me la saccager comme une vile pocharde... »

Il refarfouille dans la besace et en sort un gobelet qu'il remplit de poire.


« Tiens toi le verre moi la bouteille c'est plus prudent »

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Opale
[Au lac, un peu plus loin]

Opale n'aurait pu retourner à Sarlat sans passer devant le lac.
De tous les coins de Sarlat, c'était son préféré, le témoin des petits et des grands bonheurs, le témoin des chagrins aussi.

Qu'il était beau ce lac avec son eau clair et apaisante ! Comme elle aimait entendre le doux bruit du clapotis , ou observer les oiseaux qui se posaient à la surface de l'eau.

Quel dommage que les enfants n'aient pu l'accompagner ici. Elle aurait eu moult anecdotes à leur raconter : les parties de pêche, les pique-niques organisés ou improvisés, leur père la demandant ici en mariage devant tous leurs amis.

L'émotion lui montait à la gorge. Opale s'accroupit et ferma les yeux pour tenter de refouler les larmes qu'elle sentait arriver. Lentement, elle inspira l'air parfumé. Une certitude s'affirmait : oui, elle aimait toujours autant cette terre.

Une fois ragaillardie, elle reprit sa route vers le campement de l'armée.

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Pattricia
Je courrais... Personne n'aurait cru que c'était encore possible mais je courrais... L'aube n'est pas encore levée, mais c'est avec impatience qu'à peine arrivée à la crique aux saules je me déshabille et me jette littéralement à l'eau. Elle me saisie mais qu'importe, le bébé doit s'habituer et moi j'en ai trop besoin.

Nager... nager et me retrouver... Le retrouver...
Lac de mes joies et de mes peines, lac empli de tous mes souvenirs, lac salvateur. Un coup de pied dans le ventre, je m'arrête suffocante, et le rire fuse. Oui... encore vivante malgré tout et de retour.

Je sors, me sèche et reste là à regarder l'aube se lever. Un loup vient me rejoindre et se couche tout contre moi. Mon visage enfoui dans sa fourrure presque hivernale, je laisse mes larmes discrètes couler, de joie ? De peine ? Quelle importance, nous somme ensemble et rien d'autre ne compte.


Je crois qu'il va falloir à nouveau tout recommencer mon beau. Toi, les enfants, le bébé à venir, Mélie et moi... Nous somme une famille, nous sommes ensemble, nous sommes...

L'émotion m'étreint, le premier chant des merles, un martin pêcheur qui passe, les mauvaises ondes qui s'estompent, une barque au loin avec une silhouette bien connue, mon sourire en pensant à sa lourde charge, mon sourire...

Tout est bien, nous sommes à la maison.
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Pattricia
Assise, Truffe couché à mes côtés, je regarde les étoiles parsemer petit à petit le ciel presque hivernal. Sortir et voir du monde m'a fait du bien, mais une fois seule... Iris nous a rejoint avec The Cat, ma famille de départ. Tout avait commencé ici, tout...

Je pense aux Mures, cela avait été un toit rempli de femmes, restant, partant, revenant. Elles me manquaient toutes, les vivantes, les mortes... Un petit être les avait rejoint et je savais qu'elles en prendraient soin. Sarlat... Village haut en couleur et pourtant si cruel parfois. Sarlat... Mon cœur était ici à jamais, peu importe l'avenir, où que j'aille, j'y reviendrai toujours, oui toujours...

Et toi, toi qui a recueilli bien des corps dans tes bras, toi qui les a bercés, laissés faire les pires bêtises dans tes eaux. Toi qui a entendu bien des confessions, bien des pleures et surtout bien des rires. Toi qui m'a bouleversée dès ce premier matin d'hiver. Toi, moi, eux...

Demain... Encore fragile, épuisée et pourtant déjà prête à partir. J'allais encore entendre des reproches, mais je suis faite ainsi et rien ne me changerai. Les Mures étaient mon toit, Sarlat mon cœur et toi mon tout. Les enfants allaient rentrer, je ne pouvais les laisser en Guyenne, les foules s'agitaient et je devrai expliquer, faire face à cette nouvelle vie et espérer qu'ils n'en souffriraient pas trop.


- Comment leurs expliquer qu'une fois de plus ils n'ont plus de père, que tout a encore changé, que j'ai échoué...

Mon âme sœur lève sa truffe vers moi au son de ma voix, nos regards se croisent, je souris. J'y arriverai !
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Makknoh
Apres avoir fuit son échoppe les pas de Grant le mènent droit devant lui. Le visage plein de larmes et la démarche chancelante il avait traversé le village sans voir personne, en bousculant même certains sur son passage, avant que de se retrouver ici face au lac.

Face à l'eau, il doit arrêter ses pas. Ce n'est qu'alors qu'il reprend peu à peu ses esprits. Les yeux toujours pleins de larmes, il est là les bras ballants, la lettre toujours à la main à contempler les reflets du soleil sur la lac. La colère qui le tenaille lui vrille le ventre, la douleur l'égare. Un profond crie de rage le gagne et impuissant face à la tristesse qui le frappe il ne peut que hurler son désespoir.

« NNNNOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOONNNNNNNNNNNNNN !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! »

Brutalement comme si avec ce cris, ses forces le quittaient aussi, il sent ses jambes se dérober sous lui et il tombe à genou dans l'herbe. Il se sent vide , anéantit, brisé en tous les os de son corps, incapable du moindre geste. Juste un léger murmure qui s'échappe de sa bouche et qui semble prolonger la violence son cris par un chuchotement qui sonne comme une résignation et une reddition.

« nooooonnnnn... »


Il reste ainsi un long moment à laisser couler sur son visage toutes les larmes de son corps, incapable d'autre chose. Il sert toujours dans la main gauche cet affreux courrier. Il a l'impression que ce parchemin lui brule la peau de la paume de la main mais en même temps il est tout à fait incapable de le lâcher, comme si c'était là son dernier espoir, un fil tenu, un dernier lien qui maintenait un peu de vie... mais il le sait, il le sent au plus profond de lui... ils ne sont plus...
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Aleen_de_pastre
Josse et Aleen arrivaient aux abords du lac, bien que l'on soit en milieu de matinée l'air piquait, les joues de la jeune femme étaient toutes roses, elle remit sa capuche en place et admirait le superbe paysage, un héron cherchait pitance dans l'eau glacée, elle regardait son compagnon qui avait l'air intimidé, pour rompre le silence elle ne put que dire

Belle matinée n'est-ce pas ?

Elle regretta aussitôt d'avoir prononcé cette phrase d'une banalité déconcertante

Il va me prendre pour une idiote pensa t'elle
Josse...
Ils marchaient cote à cote, l'air était vivifiant, son bel ange en avait les joues rosies ce qui la rendait encore plus belle.
Elle rompit le silence.


Belle matinée n'est-ce pas ?

Il lui sourit.

Très très belle, plus que vous ne pouvez l'imaginer, enfin pour moi.
Il appuya ses mots par une pression sur son bras.

Ils continuèrent le chemin longeant le lac, admirant le paysage, se sentant aussi gauche l'un que l'autre.

Josse aperçut un tronc d'arbre à terre, il la dirigea vers ce dernier.


Que diriez-vous de nous asseoir là quelque instant ?

Josse sortit son mouchoir afin d'épousseter, ils prirent place.

En riant il lui demanda :


Alors dite moi belle Aleen, à part de chanter dans la Cathédrale, que faites vous
d'autre ?
Aleen_de_pastre
Aleen sentit la main de Josse un peu plus appuyée sur son bras lorsqu'il lui répondit, il lui proposa de s'asseoir un instant et très galamment essuya la souche d'un arbre avec son mouchoir, puis lui demanda en souriant

Citation:
Alors dite moi belle Aleen, à part de chanter dans la Cathédrale, que faites vous d'autre ?


Et bien pour tout vous dire depuis que je suis à Sarlat je travaille beaucoup à la mine car le comté à besoin de minerai, jusqu'à présent j'étais militaire et avait en charge une garnison en Bourgogne, mais la trahison et la déception m'ont fait quitter ce Duché,

Un voile de tristesse assombrit une seconde ses yeux, elle se reprit très vite, et demanda

Et vous ?
Josse...
Josse sentait une grande déception, voir même une certaine douleur dans sa voix quand elle prit la parole. Il observa son visage, ses yeux confirmèrent son ressenti.

Il lui prit la main, lui en caressant le dessus de son pouce pour la réconforter.


Souhaitez-vous en parler ou est-ce encore trop douloureux pour vous ?

Doucement, en lui souriant il continua :

Et pour répondre à votre question, moi j'ai commencé ma vie un matin d'automne ou déambulant dans les rues, je suis entrée dans une Cathédrale.
J'ai fait une rencontre merveilleuse qui m'obsède jour et nuit.
J'ai correspondu avec cette personne en attendant son arrivée, j'attendais avec impatience ses missives portées par une petite colombe bien svelte au début.


Plongeant son regard dans le sien :

A t-elle reprit sa ligne ?

Josse essaya de redonner un sourire à ce joli minois.
Aleen_de_pastre
Aleen avait sa main dans celle du jeune homme, il la caressait du pouce, elle fit un mouvement pour la retirer... mais la laissa cette main était chaude et réconfortante, la jeune femme avait envie de s'abandonner, d'évacuer ce gros chagrin qui l'étouffait.... mais elle avait toujours été forte.... Elle sourit bravement lorsque Josse lui demanda

Citation:
Souhaitez-vous en parler ou est-ce encore trop douloureux pour vous ?


c'est comme vous le voulez, Messire... mais... en me racontant j'ai peur de vous ennuyer

et lorsqu'il posa une question sur la ligne de sa petite colombe, elle ne put s'empêcher d'éclater de rire

Oui elle est redevenue mince, il faut dire qu'elle travaille beaucoup ! Elle fait des va et vient entre Sarlat et l'Ouest du Royaume ou se trouve un ami en grande difficulté,

Elle le regarda droit dans les yeux,

Josse, vous permettez que je vous appelle Josse ? Jeudi matin je vais me mettre en chemin pour aller le chercher jusqu'à Angers, comme je vous l'ai dit il est en grande difficulté et c'est un gamin qui se reconstruit petit à petit, nous étions à l'armée ensemble c'était à Thiers en Bourbonnais Auvergne, et nous avons créés des liens très amicaux

Elle s'arrêta de parler un instant, lui fit un grand sourire, lui prit les deux mains

Ma petite colombe aura l'occasion de faire de l'exercice, j'espère que vous ne la gaverez pas trop ! car j'espère bien durant le voyage correspondre avec vous !

Le froid devenait de plus en plus vif, la neige n'allait pas tarder à tomber, elle eut un frisson, ajusta sa mante qui s'était entrouverte, remit une main dans celle de Josse
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