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[RP] Le lac de Sarlat

Sherynne
Le soleil baissait, éclairant de mille feux les eaux calmes. Sherynne étala une couverture sur le sol et s'y assit, les yeux perdus.

Elle se sentait bien seule ici ...Quitter Castillon n'avait pas été facile pour elle et encore moins y laisser ses amis. Si seulement Buhr n'était pas sur ses traces, si seulement les routes étaient sures ..

Elle partirait demain, peut-être après demain voilà sa décision; elle avait besoin de voir des gens qui l'aimaient, qui l'estimaient, qui lui parlaient tout simplement.
Et même si elle tombait sur un brigand !

Sherynne ouvrit les yeux et sourit devant l'image d'une jeune femme pêchant au milieu du lac. Ce qu'elle aimerait être libre elle aussi ..

Soupirant, elle s'allongea sur le dos et croqua dans sa pomme.

_________________
Neige_


Les voila enfin a a l'entée de Sarlat , éreinter par une nuit des plus mouvementées.....Plus de quoi manger, plus d'écus et obliger de rester certainement quelques jours ici même......rester plus qu'a trouver un emplacement pour la roulotte ,Neige regarda autour d'elle , indiquant a Arzel un p'tit coin tranquille ou ils ne seraient pas trop envahissant et de quoi aussi faire paitre Orage..........

Dit mon adoré ? ici quand pense tu?......cela m'as l'air tranquillou et Orage serait bien non?.......en plus près du Lac ,nous pourrions pécher........

Elle le zieuta attendant sa réponse, lui pinçant le derrière en souriant
Arzhel_guilem
Arzhel boitillait un peu, souvenir de la nuit mouvementée.
Leur projet tombait un peu à l'eau d'un coup. Mais ce n'était rien, il savait qu'ils s'en relèveraient pour mieux repartir.
En plus, à Sarlat, ils avaient découvert un lac pour pêcher. Et pêcher, ils adoraient cela !
La roulotte s'arrêta et ils descendirent.


Dit mon adoré ? ici quand pense tu?......cela m'as l'air tranquillou et Orage serait bien non?.......en plus près du Lac ,nous pourrions pécher........

Regardant tout autour de lui, le blondinet barbu se mit à sourire. Ce serait parfait ici, oui. Il plongea son regard dans celui de Neige, sentit une main joueuse qui lui pinça le derrière.

Très bon choix mon adorée ! Tout est parfait pour qu'on soit bien installé durant les quelques jours que nous passerons ici. Même Orage semble heureux.

Le cheval trottait, libre, découvrant l'espace qui lui était offert.
--_lucie


Elle continuait de courir, ne voyant pas trop le chemin, les yeux remplis de larmes. Lucie savait qu'elle était trop petite, mais parfois elle se sentait si seule. Maman était changeante, et son papa enfermé chez les moines. Sa Tata Mari faisait la fête au village et ses frères étaient grognons. C'était tout de même pas sa faute à elle si ils avaient attrapé sa fièvre.

Lucie du Lac, haute comme trois pommes venait de prendre une grande décision, elle allait marcher très loin sur la route de Périgueux et aller retrouver Tata Bryn, elle au moins elle savait lui parler et pis tout le monde avait peur d'elle, elle se rappelait à l'église, au mariage, elle avait bien vu que personne n'osait rien lui dire.
Et pis d'abord elle aime le rose elle !!!


[La meute...]



Depuis qu'il était rentré, son temps s'était passé entre sa compagne et les petits. Une jeune louve couverte de cicatrice les avait rejoint et s'était faite accepter dans la meute, enfin le petit groupe qu'ils étaient. Le mâle était rassuré de que sa femelle ait une compagne et profitait de ses instants en famille avant de devoir repartir avec "Elle".
Il y avait un truc qui clochait, "Elle" n'était pas venue au lac depuis son retour, il l'avait guettée, il avait rodé près du moulin mais rien.

Cet après-midi là, il fait son parcours habituel, une buse passe en rase motte au-dessus de sa tête, mais il ne semble pas s'en inquiéter. Pour le commun des mortels ce manège était pour le moins surprenant, pour certains Sarladais, c'était juste "normal".
Le loup se fige, la buse commence à voler plus nerveusement, et le cri parvient du bord opposé du lac.


- Luciiiiiie, arrête de courir immédiatement ! C'est dangereux !

Le grand mal fonce, comme si une proie alléchante risquait de lui échapper, la buse le quitte et entreprend la traversée du lac en direction de la silhouette humaine qui court et semble peiner dans l'amas de tissus qui la recouvre. Le loup lui fonce, ses sens le ramènent à son jeune âge, quand il avait foncé ainsi et que ça vie avait changé à tout jamais. Ses pattes ont des ailes -si ça s'peut d'abord !- il avale les chemins et file vers le fond du lac, la partie la plus sauvage. Il évite le camp de l'armée et floue les sentinelles de celle-ci avec une facilité déconcertante, et continue sur le sentier le plus éloigné du village. Combien de temps dure cette course, impossible de se rendre compte, mais une chose est sure, c'est qu'il arrive à couper la route de la blondinette et se met en travers de son chemin, les crocs visibles et son poil hivernal hérissé.
--Melie


La jeune nounou courrait le plus vite qu'elle pouvait, la mine décomposée par l'inquiétude et la culpabilité de ses dernières paroles. Mais pourquoi je suis allée lui dire un truc pareil ! Pourquoi !!! La petite, comme ses frères d'ailleurs, faisaient des cauchemars toutes les nuits, ou presque, leur mère était plus souvent sur les remparts que près d'eux et la présence de tous ces étrangers, que ce soit dans les villages, ou planqués dans les fourrés sur les bords des chemins, rendaient tout le monde nerveux. Mélie courrait à en perdre haleine, mais depuis l'attaque, le coup de bâton qu'elle avait pris dans les côtes lui rendait les choses difficiles. Pat avait beau la menacer si elle ne prenait pas contact avec Hiancy, la jeune fille n'avait pas voulu céder, voyant bien que son amie elle-même avait bien du mal à cacher qu'elle était blessée, et pas d'un coup de bâton elle.

Mais non de non comment fait-elle pour courir si vite ? Mais c'est quoi ça ??? C'est alors que Mélie réalise que Vindic est en train de voler en rase motte au-dessus de sa tête, poussant des cris plus que significatifs. Soulagée, mais n'arrivant pas à retrouver son souffle, elle fait de grands gestes à la buse.

- C'est bon je te suis ! Enfin à mon rythme, car là... j'ai plus de souffle...

Le poing de côté se faisait sentir, sa vue commençait à se brouiller sous l'effet de la douleur aux côtes, mais la nounou continua de courir vaille que vaille.
Arzhel_guilem
[Au bord de l'eau, proche de la roulotte]

L'après-midi touchait presque à sa fin en cette énième journée d'hiver. Le froid cinglant des jours passés avait laissé place à quelques rayons de l'astre solaire. Le ciel était parsemé de nuages moutonneux, dont un avait une forme qui ressemblait étrangement à un poisson.
Le nuage était presque de forme ovale, tel le corps d'un vertébré aquatique.
Arzhel, les pieds dans l'eau, la main sur sa barque, le fixait de son regard, comme l'enfant devant une part de gâteau qu'il désirerait dévorer.

L'eau fraîche lui arrivait jusqu'aux chevilles. Le barbu blondinet revenait de sa journée de pêche en barque sur le lac. Journée fructueuse comme la veille. Le fruit de sa patience l'avait récompensé d'une belle truite.
Il irait la vendre au marché afin de s'acheter un peu de viande.
Sortant de l'eau, les pieds nus, marchant sur l'herbe qui parsemait la berge du lac, l'air frais de la fin de journée lui fouettant le visage, il se dirigea vers la roulotte.
Ayant vu Neige avant de partir pêcher, il savait qu'elle ne serait pas là pour cause de travail sur un champ appartenant à un villageois.

Orage trottait près de la roulotte, secouant la tête en hennissant doucement. Heureux et libre, comme il aimait être.
Arzhel arriva près du véhicule, déposa sa truite sur l'une des marches de l'escalier qui permettait d'y monter, ayant prit soin de l'envelopper dans un bout de tissu, puis alla voir Orage.
De sa main il lui flatta l'encolure, lui tapotant gentiment dessus puis lui caressa le flanc avant de le laisser repartir, le regardant marcher au pas, broutant quelques touffes d'herbes qu'il pouvait trouver par-ci par-là.

Revenant sur ses pas, Arzhel se rendit à la roulotte afin d'y prendre sa truite, direction ensuite le marché du village. Une fois fait, il irait attendre Neige dans l'une des tavernes qui bordaient les rues de Sarlat.
Neige_




De retour a la roulotte Neige avait décidée de la changeait de place ,vu qu'ils allaient rester quelques temps de plus a cause de certains brigands qui trainaient aux alentours.........
Elle jeta un œil pour trouver Pat, le palefrenier, pour l'aider a atteler Orage , Neige le vit au loin entrain de jouer avec lui justement.....

éhhhhhhh!!! ohhhhhhh !!!! Pat!!!!!! rapplique toi vite fait avec Orage !!!!! nous partons d'ici!!!

Prenant le cheval par l'encolure , il le ramena vers la roulotte le sourire aux lèvres......

Voici!! voici!! j'arrive!! mais.....ou allons nous ? est ou est Sev ? je part pas sans elle moi !!!


Punaise Pat !!! attèle moi Orage et arrête de poser des questions!!! mes aïeux !!!ta sœur et dans la roulotte entrain de tout ranger !!

Elle l'entendit bougonner , mais fit se qu'elle lui demanda......

Bon!!! allez en route j'ai vu un endroit un peu plus loin nous allons faire une surprise a Arzel espérant qu'il bougonne pas non plus!!

Sur-ceux ils partirent tranquillement.......

Lafavorite
C’est de bonne heure qu’elle arriva aux abords du lac.
Sa barque était là, bien amarrée. Elle dansait tout doucement sur les flots.
Pourtant, elle ne monta pas de suite dedans.
Non! Lafavorite attendait quelqu’un et, là….
Fav scrutait les alentours, se passant la main dans ses cheveux, un sourire aux lèvres.
Elle l’attendait. Elle l’espérait.

La jeune Fav se sentait légère depuis qu’elle l’avait rencontrée….
Et elle l’attendait encore.
Elle n’avait encore jamais éprouvé ce genre d’état d’âme?
Et elle ne cessait de penser à lui.
Parfois, elle murmurait son nom….Mattheus…Mattheus….et elle se mettait à sourire.
Ensuite, elle l’imaginait près d’elle. Il lui prenait la main….
Et elle souriait encore….en frissonnant doucement…
Mais qu’Est-ce qui lui arrivait?

Il lui avait dit qu’il la mènerait jusqu’au bout du monde, alors Fav lui avait proposé d’aller jusqu’au bout du lac de Sarlat, là, où chaque jour, elle aimait faire sa pêche miraculeuse….

Le temps passait doucement….
Et là bas….elle vit une silhouette qui lui ressemblait.
Son cœur se mit à batte un peu plus.
Elle regardait l’homme avancer vers elle.
--_lucie


- Outch !
- Grrrrrr
- Nan mais là c'est de la triche !


Jappements inquiets et coup de langue.

- Nan mais arrêteuuuu, c'est dégoutant, me lèche pas !

Lucie essaie de repousser le grand mâle, mais le cœur n'y est pas, c'est plutôt une grosse boule qui remonte et laisse tout d'un coup couler ses larmes. Elle agrippe fort le cou de la bête et cache son petit visage dans son pelage épais. C'est un murmure entrecouper de sanglots qui se fait entendre, étouffé par la fourrure de la bête.

- J'v... j'veux... aller... voir... Ta... Tata Bryn...
- Ben si tu m'avais laissée finir ce que j'avais à te dire, tu serais en train de te faire belle à l'heure qu'il est...
- Méliiiiiiie


La gamine quitte le loup pour se jeter dans les jupons de la jeune nounou, essoufflée, à moitié pliée en deux par l'effort fourni et au bord des larmes d'avoir eu si peur. A travers ses yeux embués, la jeune femme lance un regard reconnaissant vers Truffe qui s'est assis, attendant encore un peu, juste au cas où... Vindict, elle, s'est posée sur une branche et observe le drame qui se joue sous ses yeux d'un air réprobateur, ceci dit... elle a toujours un regard réprobateur la buse de tout manière.
Mélie s'accroupit pour être à la hauteur de la blondinette et lui essuie les joues mouillées de larmes.


- Mon cœur... faut plus me faire des peurs pareilles, et surtout te mettre dans un tel état ! Si tu m'avais laissée finir, j'aurais pu te dire qu'aujourd'hui, ta mère et toi, alliez partir toutes les deux à cheval pour vous rendre à Périgueux chez Bryn.
- C'est vrai ? Rien que nous deux ?
- Oui, rien que vous deux et pour plusieurs jours. Je sais pas encore si c'est possible, mais je crois que tu vas vivre chez Bryn quelques temps, enfin le temps que ta mère reste à Périgueux et Franck et moi allons nous occuper de tes frères.
- Rhoo vite Mélie, faut se dépêcher et pas faire attendre Maman !


Levant les yeux au ciel, et après un soupire "patochien" -si si toute la famille est contaminée- Mélie prend la main de la petite et entame le chemin du retour à un rythme, cette fois, bien plus raisonnable.
Mattheus
Lafavorite a écrit:
C’est de bonne heure qu’elle arriva aux abords du lac.
Sa barque était là, bien amarrée. Elle dansait tout doucement sur les flots.
Pourtant, elle ne monta pas de suite dedans.
Non! Lafavorite attendait quelqu’un et, là….
Fav scrutait les alentours, se passant la main dans ses cheveux, un sourire aux lèvres.
Elle l’attendait. Elle l’espérait.

La jeune Fav se sentait légère depuis qu’elle l’avait rencontrée….
Et elle l’attendait encore.
Elle n’avait encore jamais éprouvé ce genre d’état d’âme?
Et elle ne cessait de penser à lui.
Parfois, elle murmurait son nom….Mattheus…Mattheus….et elle se mettait à sourire.
Ensuite, elle l’imaginait près d’elle. Il lui prenait la main….
Et elle souriait encore….en frissonnant doucement…
Mais qu’Est-ce qui lui arrivait?

Il lui avait dit qu’il la mènerait jusqu’au bout du monde, alors Fav lui avait proposé d’aller jusqu’au bout du lac de Sarlat, là, où chaque jour, elle aimait faire sa pêche miraculeuse….

Le temps passait doucement….
Et là bas….elle vit une silhouette qui lui ressemblait.
Son cœur se mit à batte un peu plus.
Elle regardait l’homme avancer vers elle.

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Ne parvenant pas à entrer dans le lieu où il la rencontrait habituellement, Mattheus, triste et mélancolique à l'idée d'avoir une fois de plus manqué sa muse, pensait à Elle, et ressassait en ses songes profonds, le bonheur qui l'envahit lorsqu'il rencontra pour la première foisLafavorite... Safav', comme il dit désormais...

Un jour viendra où il réussira à l'y emmener, au bout du monde; au bout de leurs rêves en commun...

Observant ce lac si calme, si clair, et si vide à la fois, sans la précieuse présence de sa dulcinée, Mattheus se plaît à penser qu'il la retrouvera bientôt, lui tenant la main, l'épaulant ses soirs de fatigue après une dure journée de labeur.

Il aime tant la réconforter, se sentir proche d'Elle, ... Il ne peut décidément plus se passer de Safav'... douce et forte à la fois, sincère en ces mots, tout simplement Belle et Ensorcelante.

Tout à coup, Mattheus se fait une promesse en silence :
""Je la retrouveri, et l'emmènerai comme promis ! Elle le mérite bien, Mafav' !""

Puis, dans un élan de courage, Mattheus réalise que ce ne sera malheureusement pas encore pour ce soir... Il se relève, regarde les alentours, et ne la voit que dans ses rêves.

Finie la soirée qu'il espérait tant dans les bras de sa bienaimée, fini ce doux rêve... Mais demain, vers les 21h30/22h, il se rendra plein de cet espoir et de ce désir, dans cette fameuse taverne, où il la vit pour la première fois, délicieux souvenir...

Mattheus prend le chemin et s'en remet à sa couche, seul et mélancolique plus que jamais...
Oilarazabal
Balade autour du lac

En cette journée du 27 Février de l'an de grâce 1459, notre voyageur Berrichon avait fait halte dans la cité de Sarlat en terre Périgourdine.

Son périple touchant à sa fin, Oîl avait malgré les problèmes de frontières réussi à se dégoter un laissez passer afin de pouvoir traverser le Comté sans encombre. Sa monture étant très éprouvée par ce long voyage, car notre aventurier avait passé quelques temps dans le Royaume d'Espagne et depuis qu'il avait retraversé les montagnes, sa monture avait été mise à rude épreuve, mais Oïl avait toujours prit grand soin de son compagnon de voyage et faisait en sorte de donner pâture ou autres foin afin que son destrier puisse le ramener à bon port.

En cette journée de printemps Oïl arriva sur Sarlat et en profita pour se restaurer et soulager son séant ainsi que son canasson qui en avait plein les sabots. Il délesta son bourrin et se dirigea en taverne afin de saluer les autochtones et autres voyageurs qui faisaient ripaillent en ces lieux.

Après avoir croisé le Maire de la cité et autres soiffards, Oîl fit la rencontre d'une créature sans pareil... unique, resplendissante et d'une beauté éblouissante. Son coeur battait la chamade, il ne pouvait détourner son regard et ne pouvait s'empêcher de lui parler... "sachant que notre séducteur en herbe n'avait pas sa langue dans la poche... un grand bavard, à condition que les discutions si prêtent" et là... une vrai découverte non seulement cette Dame avait de l'esprit mais en plus elle était drôle et enjouée... que du bonheur pour notre amateur de rencontre .

Après de longues conversations et d'échanges exquis, la rouquine qui lui avait tapé dans l'oeil lui proposa d'aller faire le tour du lac... quel plaisir se disait notre amateur de balade romantique. Sans aucunes hésitations il accepta la proposition de la belle et lui emboîta le pas puis ils prirent la direction du lac... quelle chance avais-je se disait il ! profiter d'une telle journée en si bonne compagnie... le plus délicat des guides rien de tel pour passer du bon temps.

La meneuse lui fit sont plus beau sourire et commença son historique concernant le lac et ces mystères, mais Oïl semblait en plein rêve éveillé et ne croyais pas que cette rencontre soit réelle. Il fit en sorte de ne rien laisser paraître de son attirance certaine pour elle et écoutait attentivement les divers propos et autres explications de la gardienne des souvenirs de la cité. Le lac était en proie à une lumière qui donnait au lieu un ravissement pour les yeux, les couleurs et les odeurs du printemps y étaient pour beaucoup et la balade prenait une tournure bien plus qu'amicale car les deux protagoniste semblaient avoir une attirance l'un pour l'autre, mais pour l'heure l'essentiel était de faire un promenade en toute innocence... en amies.

Le lac devenait un rendez vous incontournable pour les amoureux et autres couples en devenir et cela donnait une note romantique à cette escapade, car il n'y avait pas un instant sans que notre duo croise des amants qui étaient sous l'emprise de se merveilleux endroit qui semblait décider pour eux l'avenir de leurs sentiments et Oïl n'échappa pas à cette vision idyllique qui l'envahissait.

Après avoir marché des heures les deux complices qui étaient pressées par le soleil couchant, la lumière du jour s'éclipsent pour laisser place à une obscurité glaciale, l'heure était venu de repartir en direction de la cité afin de profiter d'une bonne flambé afin de se réchauffer car la fraîcheur était bien présente.

Nos deux cavaleurs pressaient leurs pas presque machinalement sans vraiment savoir quelle serait la suite de cette sublime journée, mais Oïl savait que l'instant partagé serait sans lendemain car il devait raison gardé et poursuivre son voyage de retour... il devait profiter pleinement de se bonheur partagé et ne se poser aucunes questions... seul l'avenir sera donner une réponse à cette rencontre divine.

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Ijay
Ijay, trouvant les tavernes trop vide, la compagnie manquante, sortie dehors faire un tour autour du village. La soirée était douce, un petit vent d'hiver soufflait sur le soleil couchant, c'était le moment le plus magique de la journée, le crépuscule. Un moment où l'on avait la sensation que tous pouvait arriver, que les morts pouvaient se réveiller, les fantômes apparaître, et plein d'autres phénomens innexplicables.

En cette douce fin de journée, Ijay se dirigea seul vers le lac de Sarlat, village dans lequel il ne risquait plus de rester bien longtemps. Il voyait à merveille la beauté du paysage malgré le soleil qui disparaissait, et pu admirer le lac quand il s'en approcha.
Cet endroit était sûrement le coin où les couples venaient se rejoindre, dans la journée, sous le soleil, tous cela devait être magnifique, encore plus qu'en ce moment.
Il s'imagina, l'été, les oiseaux chantant et les fleurs dansant dans le vent, lui, tranquillement allongé au bord du lac dans lequel il venait de tremper les pieds. Il sourit. Dans son imagination il rajouta auprès de lui son épouse.
Sortant de son rêve pour continuer de contempler le paysage, il longea le lac. Il y avait quelques pêcheurs, qui persistaient à rester là, pour attraper un poisson qui viendrait peut être. L'endroit était calme.

Il se posta à côté d'un arbre, regardant le soleil se coucher, entendant l'eau couler, et sentant la brise du vent souffler sur ses cheveux.
Elvarathiel



Elva n'avait cessé de se chercher un travail dans la journée. Ils auraient du reprendre la route le soir même mais leur amie s'était mise à travailler le matin trés tôt pensant qu'ils ne repartaient que le lendemain.
Elle venait de rater son époux en taverne et soupirait. Elle n'etait pas trés à l'aise étant donné qu'elle n'était pas dans ses lieux familiers mais son époux était avec elle et c'est ce qui comptait le plus. Son époux et son amie.
Elle n'avait pas envie de monter dans sa chambre à l'auberge où il n'y avait rien à faire. Elle arpenta les rues de Sarlat en se dirigeant elle ne savait trop où.Elle pensait à son frére qui était partit loin d'elle... Il lui manquait beaucoup..


Elle finit par arriver au lac d'un pas nonchalant, regardant sans vraiment voir tout ce qu'il l'entourait. Tout ce qu'elle avait envie c'était d'être avec celui qu'elle aimait, celui qui lui avait changé sa vie et qui la rendait heureuse. Elle passait prés des pecheurs qui se trouvaient là mais n'y pretait pas attention. Un héron finit tout de même par attirer son regard,il était là, dans l'eau avec son long cou comme si il la regardait. Il plongea la tête sous l'eau et la ressortit quelques secondes aprés avec un poisson au bec ce qui la fit sourire. Elle continua de marcher aux abords du lac. Le soleil venait de se coucher, elle cueillit un roseau et, la faim commencant à se faire sentir, elle se dit qu'il etait temps de retourner pour le diner imagineant son époux qui le préparait.
Elle commenca à hâter le pas quand elle apercut une silhouette qu'elle connaissait à côté d'un arbre. Elle hésita un peu avant de continuer, il faisait déjà sombre et n'étant pas prés de la personne elle avait un peu de mal à reconnaitre cette silhouette mais, plus elle s'en approchait mieux elle la distinguait et finit par sourire en reconnaissant son époux.
Arrivée à ses côtés elle glissa son bras autour de sa taille et l'embrassa tendrement. Elle se sentait mieux maintenant qu'il était là.


" Mon amour... tu me manquais ... je suis heureuse de t'avoir trouvé... moi qui t'imaginait entrain de m'attendre pour le diner..."

Elle posa sa tête sur son épaule et contempla le lac à la lueur de la lune...

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Ijay
Elvarathiel a écrit:



" Mon amour... tu me manquais ... je suis heureuse de t'avoir trouvé... moi qui t'imaginait entrain de m'attendre pour le diner..."


Ijay entrouvrit les yeux en entendant la douce voie de son épouse et en sentant ses lèvres se coler contre les siennes. Il était aux anges, c'était rare d'être aussi doucement réveillé.
Il lui souria et tourna sa tête pour regarder son visage posé sur son épaule.


Non ma belle, j'allais y aller. Mais maintenant que tu es là, je suis bien moins pressé de partir.

Il passa son bras à son tour son bras autour de sa taille.

C'est magnifique, n'est ce pas ?

Il souriait, se considérant comme le plus heureux de tous les hommes, assis contre un arbre, son épouse qu'il aime tant à ses côtés, un paysage magnfique, face à un couché de soleil, il souria et pensa pour lui même : "tel un compte de fée...".

Quand le soleil ce fut entièrement couché, que l'on eu pour lumière seulement la lune et les quelques étoiles qui s'étaient affichés, Ijay n'entendait plus que son souffle et celui de son amour, réguliés, et le bruit de la nature qui s'endort, et qui se réveille...
Il savait qu'il faudrait bientôt rentrer, mais il profitait de ces derniers moments de bonheur le plus qu'il pouvait.
Babour
Babour regardait au loin un couple d'amoureux. Elle déposa son regard sur le lac.

Elle soupira, cela faisait plusieurs semaines qu'elle n'était pas venue ici et de respirer l'air de cet endroit la remplissait de bonheur.
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