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[RP] Le lac de Sarlat

Amarante.
Elle avait fait le tour de la chaumière en espérant, qu'il avait pris la plus proche sortie de la maison, celle qui partait en direction du lac. Kory manifestait son mécontentement d'avoir été réveillé et ballotter comme ça, et elle essayait d'aller aussi vite que possible sans trop la bousculer pour autant ...

Arrivant près du lac, elle le vit et les larmes lui montèrent aux yeux et elle l'appela encore et encore ...


Baudouin !!! BAUDOUIN !!!

Enfin il l'avait entendu, il s'était retourné et il avançait vers elle, vers elles deux. Il était là devant elle et il lui tendit les bras où elle s'engouffra sans hésiter, faisant attention de ne pas écraser sa fille ...

Je hais nos disputes.

Passant un bras dans son dos, elle enfouit son visage dans son cou ...

Je les hais aussi Amour ... Je t'aime ... Ne pars pas ... Ne me laisse pas ... Ne nous laisse pas ... Pardon ... Pardonne moi ... Je t'aime Amour et j'aime Cerd aussi ... Elle me manque ... C'est ma soeur ... Ma soeur de coeur ... Ne pars pas sans nous ...

Elle parlait entre deux sanglots, elle voulait lui dire tout ce qu'elle avait sur le coeur et surtout qu'elle l'aimait et quand il prit ses lèvres, elle s'abandonna sans résister à la violence de ce baiser rempli de rage, mais tend désiré, tant rechercher ... Oui elle l'aimait, ses sentiments n'avaient pas perdu en force, bien au contraire et les fautes du passé n'y avait rien changé ...

Mettons fin aux reproches, tu veux?

Elle hocha la tête. Oui, plus de reproche, elle prenait ce qu'il y avait à prendre. Il était là, avec elle et Kory. Il n'était pas ailleurs que là et elle était la plus heureuse des femmes en cet instant précis ...

OUINNNNNNNN !!

Elle s'éloigna un peu de lui et lâcha un rire nerveux ...

Je crois bien que notre fille manifeste son désaccord d'avoir été secoué comme un prunier ... Si c'est une râleuse, elle tiendra ça de toi ...

Elle regarda Baudouin, droit dans les yeux, avec un sourire amusé et lui caressa la joue, comme elle aimait à le faire ...

Je t'aime Baudouin de Brélidy ...
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Opaline.
Opale marche le long de la berge et cherche un endroit reculé pour se baigner. Elle s'éloigne des lieux qui semblent fréquenté et enfin après quelques temps trouve le lieu. Caché par un fouilli de buisson et d'herbes hautes, le léger renforcement de la terre ici lui fait comme une grande cuvette. Evidemment toute personne sur le lac pourrait la voir mais elle s'en fiche tant qu'elle n'est pas dérangé.

Posant bottes et vêtements sous un taillis pour les protéger. Elle remonte ses cheveux et les attache avec un pique. Puis prenant savon et linge, se dirige vers le lac et lentement, le corps frissonnant sous la fraicheur de l'eau s'immerge jusqu'aux seins et se frotte lentement passant le linge sur tout son corps. Elle fait une petite moue en voyant certaines marques et bleus... La nuit avait ete courte mais grisante et surprenante et le réveil calin et taquin jusqu'à son départ... Elle sourit amusée et se passe la langue sur les lèvres en repensant ensuite au quatre a cinq torride qu'ils avaient passé.

Elle profite de ce bain pour se detendre et quand elle commence a trembler de froid, sort de l'eau et va s'assoir sur la berge pour se secher. L'air doux est agreable sur la peau humide et elle s'essuie de ses mains avant de remettre sa chemise et de s'allonger pour se reposer un peu avant de retourner en taverne le rejoindre ou pas...
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Oxyane
La jeune flambée avait senti, ce besoin imperieux d'etre seule, avec elle meme. Naturellement, elle se dirigea vers le lac, et chercha un endroit caché a la vue de tous.
Un soupir. Trop de gens lui manquait,son ami Henry, Chanc, et les autres, ceux qui partaient, ceux qui n'était plus là pour elle.Nouveau soupir.
Elle enleva sa cape,ses armes et plongea dans l'eau, refroidit avec la nuit.
Oxyane resta un moment sous l'eau et remonta a la surface.
Des arbres et buissons cachaient son coin d'eau, mais de là, elle pouvait voir la lune.Ses cheveux roux flottaient en cascades dans l'eau, et des perles salées roula sur ses joues.L'eau gelée lui rentrait dans la peau, lui faisaient presque mal.La jeune femme s'en fichait.Cette douleurs là lui paraissait douce, par rapport a la déchirure qu'elle pouvait avoir en elle.
La flambée resta là, dans l'eau glaciale, a rester observer la lune....
Opaline.
Opale alla dormir dans le petit coin qu'elle avait decouvert quelques jours plus tot sur le bord du lac. Sa besace en guise d'oreiller et sa couverture en guise de protection du froid et de l'humidité de la nuit. Allongée sur le dos elle repense a tout ce qui s'est passé avant d'arriver là. Petit soupire de la blondinette qui regarde le ciel. On lui avait promis une soirée inoubliable, reservée pour elle, soirée ou elle allait mourir...de plaisir. Petite moue de la belle puis rire amusée. Pourtant elle avait plutot bien commencée...

Baignade dans le lac, arrivée chez le sieur, surprise, tentation, decouverte et une premiere partie prometteuse. Petit inconvenient la perte de sa chemise mais bon elle en a recupere une plus grande et plus douce. Il avait du s'absenter et naïve avait accepté de l'attendre... mais la blondinette bien que patiente apres deux heures d'attente se decide a partir a sa recherche.
Et ou le chercher si ce n'est en taverne... Bingo ! Gagné et avec une dame... biensur... Soupire de la blonde qui sans se demonter entre salut la dame poliment et signale au sieur qu'elle allait se coucher..seule... Tentative de la retenir...Opale refuse lassée d'attendre pour rien... il a eut sa chance il l'a raté... tant pis...


Voilà la boucle est bouclée. Commencée et terminée pres du lac... seule. Opale se pelotonne sous sa couverture et apres quelques baillements glisse dans les bras de morphé qui lui ne lui fait jamais defaut...
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Celenia
Célénia avait chevauché toute la nuit. L'air froid lui avait rempli les poumons à chaque respiration. C'était comme mourir un peu...
L'aurore venait de poindre lorsqu'elle descendit de son cheval, face au lac de Sarlat. Elle regarda l'horizon. Cela lui parut si magnifique, si enchanteur.
Elle n'avait jamais vraiment pris le temps de revenir ici. Elle savait que sa mère adorait cet endroit. Elle l'imaginait assise sur la berge ou peut-être se baignant dans l'eau...Des sons lui revinrent, des images aussi... Le sourire discret et la voix claire et limpide de sa mère, le rire éclatant et prenant de son père... Leurs années de Bonheur étaient là devant ses yeux...
Elle ne prit pas le temps de s'asseoir, il ne fallait pas s'endormir céans, l'herbe était encore gelée de la couverture nocturne que l'hiver commençait à lui donner, chaque nuit.
Elle remonta en selle et partit pour le village... Elle avait de la peine de ce temps révolu...un manque au fond du cœur... un vide dans l'âme que rien ni personne ne comblait...
Valmer
La mandoline dans le dos, la lumière dans les yeux, Valmer arriva près du lac. Il vit, amarré là, un bâtiment à la démesure de ses rêves, gros galion doré des temps anciens, hérissé de vergues et dressé de voiles. Il sauta donc dans la barque qui n'attendait que lui, prit son instrument et le plaça avec délicatesse entre ses jambes, puis il plongea les rames dans l'eau et tira dessus avec détermination. Il maintint une cadence parfaitement régulière, ce qui lui procura une sensation de bien-être.

Arrivé au centre du lac, il s'étendit sur le fond de l'esquif et posa la mandoline sur son ventre, un bras replié sous la tête. Dans les dernier feux dardés par Phoebus, il joua un air destiné à celle qu'il aimait, Celenia.

Valmer rêvait cet amour-là, amour passionné, délicieusement épicé, glacé et brûlant à la fois. Il aspirait à s'élever avec cette jeune femme dans des strates plus hautes, dans les sphères de l'éther bleu et rose, là où le bruit du monde n'est plus jamais audible. S'élever avec elle, élancer cet amour jusqu'à la bouche de Dieu ! Lui aussi après tout, Il devait bien aimer les friandises douces comme les pétales de rose et sucrées comme le miel ...

Il resta un long moment entre ciel et eau, comme un trait d'union immodeste entre les éléments. Il songea alors ... qu'il voulait intensément ce qui unit, qu'il désirait ardemment ce qui engage vraiment toute une vie. Valmer prit sans doute à ce moment-là, dans la plus grande solitude spirituelle possible, la résolution de demander une chose très précieuse à Celenia ...
Vitali
A force de venir y pêcher tous les jours, Vitali connaissait par-coeur les contours du lac de Sarlat.

Ce jour-là, et pour la dernière fois avant bien longtemps, le jeune aveugle vint se promener avec ses deux cadets. Il les portait comme à son accoutumée, c'est à dire blottis contre sa poitrine et emmitouflés dans de bonnes peaux de moutons.

L'air du lac venait lui fouettait doucement le visage et faire flotter sa chevelure mi-longue dans son souffle.

Tenant d'une main le bâton qui lui servait à repérer les obstacles et retenant d'un geste protecteur par son bras les jumeaux, le jeune père avançait lentement, non parce qu'il était hésitant, mais parce qu'il se sentait bien.

Il longeait ainsi donc la berge, attentif aux moindres mouvements de ses enfants. Tout était si tranquille...

Vitali ressentit l'envie de voir le lac... Il savait que c'était dangereux pour ses yeux à cause des scintillements des rais de soleil sur l'eau. Les réverbations engendraient en effet une lumière trop vive pour lui. Mais Vitali était trop tenté. Il voyait à peine et si mal. Mais il voulait quand même voir ces vagues lueurs.

Il fit dos à l'eau et releva lentement le bandeau qui protégeait ses yeux. La lumière du jour était encore trop forte, mais il ne voulait regarder qu'un bref instant. Il se retrouva éblouit. D'habitude, Vitali était plutôt du genre raisonnable, mais là, son désir était bien plus fort. Il se retourna et un éclair jaillit devant ses yeux, l'éblouissant.

Vitali tomba à genoux, complètement aveuglé par cette subite lueur violente. Ses yeux le brûlaient. Le Russe hurla puis se mit à pleurer, sous la douleur aiguë.

Il remit son bandeau, la lumière l'éblouissait toujours malgré l'obscurité. Pris de maux violents, il rentra vite à la taverne, tenant bien contre lui ses enfants et oubliant son bâton-guide sur la rive.

Il avait besoin de calme, de nuit totale... en espérant que sa vue ne soit pas définitivement pas perdue.

Il reviendrait plus tard au lac... à la fin du mois... mais serait prudent cette fois.
Pattricia
Depuis combien d'années le chemin était-il le même ? Depuis combien de temps les deux silhouettes traversaient-elles les roseaux sur le même sentier abrupte ? Depuis combien de saisons n'avait-elle pas fait un concours de glissades sur le lac ? Depuis combien de mois ses amis étaient-ils dispersés aux quatre coins du royaume de France ou encore pire, avaient-ils définitivement disparu ? Une éternité... La môme au loup se savait elle-même fautive à toujours courir par monts et par vaux, à se laisser enrôler sans arrêt dans toutes les batailles pour le bien Est-ce toujours le bien ? Mais rien n'y faisait, elle continuait. Mon épée pour mon Roy...

C'est toujours ainsi, les pas s'accélèrent imperceptiblement quand la crique n'est plus très loin. La cime des saules est en vue, le cœur de la vindicative bat plus vite et la vue se brouille soudain. Prise sous le coup de l'émotion, le scintillement du lac brille de mille feux au travers des cils mouillés et le loup se met à courir dans tous les sens, impatient, vient vers elle et repart dans sa course folle. Les paupières papillonnent, le temps de rendre à leur regard sa limpidité et les émeraudes se pausent sur Truffe, toute la tendresse du monde caresse à distance le loup agité et elle sourit.

Va !

Il s'arrête et la fixe, les pépites d'or se plongent dans les émeraudes, ou peut-être est-ce l'inverse, et le loup file comme le vent en direction du cœur de la forêt. Une horde de loup hurle au loin, la meute l'attend. Ils savent déjà... Patt se détourne de la forêt pour embrasser d'un seul regard le lac, chaque recoin visible à travers la brume matinale est visité à distance, chaque endroit a son souvenir. Comment chaque saison arrive t-elle à te rendre encore plus beau mon lac ? Elle avance à pas prudents dans la neige presque gelée de la rive et va s'appuyer contre le noisetier, perdu au milieu des saules de glace.

Alors elle regarde l'ile et sourit. Bientôt il ferait assez froid pour que la glace soit plus sure, bientôt elle pourrait y faire des glissades à n'en plus finir, bientôt les enfants auront le droit d'y faire les fous, bientôt l'ile ne serait plus une ile...


Oui... Très bientôt...

L'éclat de rire fuse et les oiseaux à moitié endormis s'envolent... Au loin, aux tréfonds de la forêt, la meute s'est tue...
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Neige_
Neige de passage à Sarlat continuait de se balader , ses pas la dirigèrent directement vers le lac.
La journée était belle quoique fraiche , l'hiver était la , la neige commençait a couvrir la nature d'un manteau blanc , elle décida d'en faire le tour.
Nombre de pêcheurs étaient déjà installés tout autour ou au milieu du lac dans leurs barques ,on n'entendait plus un bruit , les cris des oiseaux c'était éteint avec la venue du froid.
Arrivée à la moitié du chemin, elle trouva un coin tranquille au bord de l'eau, elle s'installa sur un vieux banc de bois tout au bord de la rive fixant le ciel , regardant le ballet de petits nuages.
Elle laissa le temps défiler, c'était tellement rare. Elle resta ainsi encore un long moment profitant des rayons d'un soleil bien pale .Elle se releva enfin, défroissa sa Jupe et repris doucement la promenade le long du lac , puis vint le temps de retrouver la chaleur des tavernes.
Zoyah
Assieds-toi au pied d'un arbre et avec le temps tu verras l'Univers défiler devant toi. (proverbe bantou)


Besoin de s’aérer l’esprit de mon matin....
Pour une fois seulement, de laisser courir le temps dont la course immuable est infinie.
Chercher à le rattraper n’est qu’illusoire dessein... autant courir après ça vie.
Le temps ne s’arrête pas, il ne nous attend pas et pour nous, la course a une fin.
Nul échappatoire possible si ce n’est survivre dans les souvenirs de ceux qu’on laisse.
Ce jour, la jeune femme avait envie de se laisser vivre.
Trop de temps à compulser parchemins poussiéreux et autres vieux grimoires. Le travail avançait sous le regard bienveillant et encourageant du héraut, certes, mais pas assez vite au goût de la chevaucheuse qui souhaitait vraiment en terminer avec cette Marche. Une pause serait bien accueillie. Elle ne s’y replongera pas aujourd’hui... c’était décidé.

Après s’être détendue dans un bain chaud et fumant, Zoyah s’était chaudement vêtue afin d’aller à la rencontre du lac. Autant le dire, elle n’avait pas encore pris le temps d’aller le voir ce fameux lac. S’engageant sur le chemin, elle venait de quitter les rues boueuses de la ville pour s’approcher des berges. Vision éthérée et polaire s’il en est, glacée et figée par endroits... vivante et grouillante à d’autres.
Emmitouflée dans un épais manteau rouge vif doublé de fourrure de loup noir, sur lequel était brodé au fil noir des courbes et autres arabesques, elle avançait lentement dans la neige. Les mains gantées, la tête couverte d’une toque assortie au manteau, à sa taille pendant son manchon de fourrure de geais et une sacoche rouge également. Un col enroulé autour du cou pour mieux la protéger ne laissant passer que son nez et des azurs. De la toque s’échappait deux longues nattes qui dansaient sur sa poitrine à chacun de ses pas.

Ici... le sol était par endroit encore immaculé, seules quelques traces de pas ou de pattes venaient le parsemer de petites formes sombres. Ici, l’hiver avait su conserver intact sa robe. Et la brune de sautiller sur ce tapis de cristaux de neige, le faisant crisser à chaque bond. Avisant un rocher, elle se décida à se poser... « pauser » et de regarder... simplement regarder.

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Rhea.
la blondinette sortit de la taverne, elle avait un regard triste mais ne voulais pas le montré.
la jeune femme laissa perler quelque goutte salé sur son visage,elle avait demander a Orion de raccompagner le petit au camps, elle puis la direction du lac.

elle retira ses botte au bord de l'eau puis assis et met les pied dans l'eau,elle regarda l'horizon, elle tapais des pied l'eau était plus chaude que extérieurs et tomber malade elle s'en fichais elle avait mal.

elle entra dans l'eau et avança vers l'horizon qui l'appelais;elle essaya de sourit quand un poisson vint le frôler la jambe elle passa la main dans l'eau essayer de le toucher puis plongea pour allez voir ou il se trouve et combien il y en a.

elle resta un bon moment sous l'eau en dessous elle ne ressentais plus rien du moins elle essaya, des image défilais devant ses yeux, les parole de son papounet se fit entendre, le sourire de la petite miyagi apparut devant ses yeux elle sourit a cette image.elle savait qu'elle dormais au coter d'oria qui veillais sur elle, puis nany qui allait arriver pour la garder elle qui avait veiller sur elle et sa sœur quand elle avait été abandonner, elle lui était redevable et lui préparais une tente bien douillette.

elle lui préparerais la tisane, puis elle lui ferais aussi des crêpe et des brioche elle était gourmande et sa nany elle l'adorait.elle lui avait si souvent écrit pour la remercier et prendre de ses nouvelle.et la on savait qu'elle allait arrivée elle avait même déjà du prendre la route pour la rejoindre,sur la lettre la blondinette lui avait annoncer qu'elle avais acheter deux champs pour le plaisir de la petite ou elle pourrait s'amuser tous en apprenant se qu'elle doit faire.

elle tait toujours dans l'eau le faite de sortir la tête elle senti le froid,qui lui rappela pourquoi elle était la et elle senti la pointe qui se fit ressentir dans son petit cœur.elle retourna sous l'eau ce lieu qui la détendais mais a coup sur ses doigt et tous son corps devais être geler elle sourit car elle entendit Orion assis a coter de ses vêtement se loups savait toujours ou la trouver, elle s'avança vers Orion restant dans l'eau, elle posa un bisou sur sa truffe.

sa va mon beau je prend un bon bain

il glapi comme si il lui répondais a ses parole et elle lui répondais comme si il se comprenais et discuter mais oui il se comprenait bien tous les deux depuis qu'il vivais ensemble.

oui je sais il fait froid mais l'eau est excellente et sa fais du bien,merci de me rassurer et de me dire qu'elle dort.
je sais que tu est la pour moi je t'aime aussi mon petit bébé


elle enroula ses bras autour de la tête Orion et lui posa un nouveau baiser sur la truffe, et replongea sous l'eau......
Robiin.descharmilles
Apres avoir passez de taverne en taverne a rencontre des gens..et des amie..robiin s'attristé peut a peut..son coeur ce refermer..Et perdu le gout..de s amusé...il marcha..tête baisser les yeux pétillant,

Il arriva dans le derrière du lac..ou il entendis des petits chuchotis


Citation:
sa va mon beau je prend un bon bain


Robiin tendis l oreille et reconnue la voie de Gantra..oh qu'es-ce qu'elle fait la dans ce froid..? ce diser t-il .
Il décendis le petit talus..Et s approcha il virent les affaires..Orion..mais le claire de lune.. pouver lui permettre de voir la silhouaîte de Gantra sous l eau il la regarda nager et s assoiya près de Orion..
Rhea.
la blondinette venais de bisouiller Orion se loup qui lui avait été offert par une amie.elle était dans l"eau son corps s'était réchauffer.

elle sourit au souvenir ou quand il neigais l'eau était geler mais on l'avait mis dans la fontaine, les jour de pluie elle y avait eu le droit aussi cela fit sourire pas le sourire qu'elle aurait eu en temps normale mais un sourire.

de nouveau orion glapi,elle reconnaissait se son présent. elle le connaissait bien s'est qu'il y avait quelqu'un. sur le coup la blondinette eu un frisson elle espérais que se soie pas nany sinon elle risquais de se faire gronder.

elle s'avança doucement, la ou se trouvais orion et la la blondinette fut surprise elle le regarda sans un mot
Robiin.descharmilles


robiin qui caresse doucement orion.. il vu que l eau ce remis a bouger..et aperçus une chevelure blonde sortir de l eau..son regarde s attendris..mais ces mots..n était pas ce qu'elle voulez entendre..il resta la la contemplé.
Elle était.. douce, belle..mais avez tellement peure de retombé de haut..puis entre ouvre ces lèvres..Et laissa sortir quelque sont.


Tu va avoir froid..sort de l eau . sur ces quelque mots.. rob.. pris une couverture... près de orion....et attendis qu'elle sorte de l eau.
Rhea.
la jeune femme s'était approcher du bruit et d'orion son fidèle amis,puis elle avait vu robin juste de le voir la fit sourire, mais il retomba assez vite, il voulais qu'elle sortent mais elle n'en avait pas envie. elle ne savais pu quoi faire,sortir accepter qu'il lui mette la couverture ou rester la ou elle était détendu.

puis elle vit la lune elle compris qu'il était temps de pour elle de sortir elle se devais d'allez préparé l'arrivée de nany.
elle sortit de l'eau et accepta la couverture qu'il lui tendais elle regardais ses vêtement au sol.

Il fais plus chaud dans l'eau que dehors

elle essaya de sourire mais sa joie de vivre n'était pas présente en ses moment la elle regarda Orion puis rob, frissonna en sortant de l'eau l'air était bien plus froids, mais essaya de ne rien faire paraitre elle s'assit a coter de lui......
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