[RP] Le lac de Sarlat

Robiin..vûrent sa petite sirènes sortir..de l eau.. lui sourit et l enroule dans la couverture tu es folle elle es glaçé.! lui diser t-il d une vois douce...la prend doucement dans sont bras..Et lui frotte le dos.. la réchauffe comme il peut !

sont regard ce posa sur elle...je crois que..tu devrez rentrer..au chaud ! tu es toute glaçés !.. ces mots..son tremblant..il appelé Orion qu'il vienne sur la petite blondinette.. puis la garde dans ces bras..pour la réchauffer

Leurs regard ce croisères..mais peut de parole n était présente..il voulez pas la faire souffrire comme lui même souffre..il ce contenta juste..de la réchauffer.. lui pris..la main..toujours sans aucun mots..et regardis le lac..

après des minutes de contemplements ..robiin.. pose sa tête sur son épaule..
et lui disa..

Pardonne..moi granta..ces yeux perlent.. ces joue rose.. et continua,
Je ne peut t aimez comme tu m aime..j arrive plus a aimez..sa gorge ce noue a chaque mots..

la vielle avait passer la nuit sur la route.

j'avance pour allez a la rencontre de mes petite filles cela fessais des année que je ne les avait pas revu et je n'attendais que sa.
j'espérais qu'elle soie assagit, mais cela j'en doutais elle devais être toute les deux toujours aussi chipie que dans leur enfance.

j'avançais a grand pas mais avant toute chose je passa par le lac je voulais voir si la jolie blondinette ne s'y cachais pas.
sa avait toujours été son endroit ou elle se cachais petite surtout quand elle avait fais une bêtise.

je lui envoya brume que j'avais rencontré a la maison je savait qu'elle était a elle je le lui avait offert elle était encore toute jeune vu qu'elle envoyais des parchemin a pas mal de monde moi même je ne savais pas a qui.

au loin j'apercut une silhouette j'avance rapidement pour voir qui se trouvais comme cela. et la reconnut la chevelure blonde de la jolie blondinette mais que se passais t'il encore.....

Mais que fais tu ici ma petite chérie, et dans cet état que ses t'il passer qui ta fais sa???

je ne lui laissait pas le temps de répondre je parlais paniquer mais je l'aida a se relever et elle me montra le chemin du camps.

[un dimanche matin... ]

Elle était arrivée la veille en la ville de Sarlat... la fatigue de la route ayant eu raison d'elle, elle n'avait guère fureté et visité. Elle avait préféré trouver refuge dans une auberge, sous un édredon douillé.

Une nouvelle journée s'offrait alors à elle... elle s'habilla chaudement, enfila ses bottes, et le nez sous un col de laine, elle sortit...

[au bord du lac]

Ses pas l'avaient guidé au bord d'une large étendue d'eau... le lac de Sarlat. L'eau était paisible en ce temps d'hiver... la neige laissait quelques traces sur l'onde .... Des pêcheurs avaient osé s'aventurer, attraper quelques poissons... Lona resserra sa cape autour d'elle et remonta un peu plus son col. Elle visa un tronc d'arbre et s'y asseya. Elle laissa errer ses pensées... Le calme était à peine perturbé par quelques bruits de la nature... un oiseau par ci, un autre par la.... le froissement des feuillages, le vent dans les branches. Elle sourit à ce calme naturel... une fois n'était pas coutume, la bavarde restait silencieuse...
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[Vendredi matin câlin et nuages au loin]

Les nuages, tous ces nuages qui la suivaient depuis des mois, semblaient enfin s'éloigner. On dit qu'il y a des lieux magiques, on dit qu'il y a des mots qui apaisent, on dit que...

Elle savait que le Périgord pour elle en était un.

Elle avait dormi d'un sommeil encore agité mais réparateur. Le tout premier depuis longtemps qui l'avait reposé réellement. Sur son visage trainait une douce mélancolie, un air rêveur en somme qui cependant, l'éloignait encore plus du monde qui l'entourait. Qu'importe, elle se sentait comme enveloppée de coton, douce ouatine qui la protégeait des chocs, qui lui laissait un sourire à demi esquissé sur les lèvres, mais un sourire quand même.

Qui avait bien pu réaliser un tel miracle ? Quels mots avaient soufflé sur son esprit pour qu'il retrouve une étincelle de vie ?

Ses pieds l'avaient guidé vers le lac. Elle aimait à s'isoler, à écrire, à déverser son âme à l'aide de sa plume. On disait que les écrivains entamaient un long dialogue avec eux-mêmes....

Voilà une éternité qu'elle se parlait, voilà deux mois qu'elle ne s'écoutait plus !

Et puis elle avait entendu des voix dans la nuit, dans ses ténèbres... là, elle avait fini par percevoir une lueur, non pas un espoir, elle n'espérait rien, mais... juste une chandelle qui semblait avoir été allumée pour elle.

Pour elle ! Elle sourit en s'asseyant sur un tronc d'arbre givré, ce matin le soleil diffusait des rayons ors et ocres qui lui réchauffaient le cœur. Ce matin les oiseaux chantaient et ce matin, elle le remarqua.

Elle sortit sa plume fichée dans le lacet de la couverture de cuir qui enfermait ses parchemins. Une blanche et grise de goéland, taillée avec maitrise, trouvée en Normandie. Elle l'avait ramassée sur le bord d'une falaise où un jour, l'idée de s'y jeter lui avait traversé l'esprit.

Et puis comme sa plume écrivait toute seule, ce qui l'étonnait toujours, elle écrivit ceci !

A l’aube

A l’aube de ma nouvelle vie
Doucement je me penche
Et dans la chaleur de mon abri, ravie,
Je souris dans mes nuits blanches !

Mille questions submergent ma tête,
Mille données, trouverai-je la solution ?
Et mon cœur lui chante à tue-tête
Me disant sois heureuse enfin et vie pour de bon !

Ne pas abandonner, tenir coûte que coûte,
Gardez la tête froide, trouver un équilibre...
Je suis en survie pour l‘instant, mais n’ai aucun doute,
J‘irai jusqu‘au bout de mes rêves pour être libre.

Pour pouvoir vivre, écrire et pourquoi pas aimer ?
Un vicomte, un paysan ou bien encore un vagabond.
Qu'importe l'homme, ce que je vais devenir ou le prix à payer
Je n'ai aucune chaine et n'en aurai jamais de toute façon !

A l’aube de cette nouvelle vie
Doucement je me débats...
Mais j’efface le chagrin d’un mariage qui a péri
Pour sourire enfin... à cet avenir qui me tend les bras.

Sashah
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[Dimanche au campement... en debut de matinée]

Stell etait face au lac, assise sur une grosse pierre, emmitoufflée d'une couverture et sa fille calée dans ses bras a l'abri en train de téter. Elle regardait rêveuse l'onde calme, les pêcheurs au loin dans leurs barques. Le bruit de succion et les petits coups de sa fille sur sa poitrine lui font baisser les yeux et elle sourit tendrement.

Doucement toi, abime pas la marchandise ton pere risque de pas etre d'accord..

Elle rit doucement et se penche pour l'embrasser sur le dessus de la tête avant de se redresser et de soupirer soulager.
Bikko etait arrivé a l'aube et les avait rejoint sous la tente, la reveillant a moitié. Le voyant épuisé, elle n'avait pas cherché a avoir des explications et s'etait lové contre lui pour finir leur nuit.

A cette heure matinale, il dormait encore sous la tente pendant qu'elle nourrissait leur fille. Sergent etait parti en vadrouille, certainement qu'il ramenera son dejeuner plus tard, quand a Kris et Vanu elle n'entendait rien venant de leur coin et ne savait pas si ils etaient deja debout pour aller a la messe ou toujours a dormir.

Redressant sa fille pour la faire roter, elle lui caresse doucement le dos d'un geste circulaire jusqu'a ce qu'elle eructe bruyamment la faisant rire amusée.

Et bien ma belle tu es pire que ton père toi !!

Puis elle la bise sur le nez et la change de coté pour continuer a la nourrir. C'est que c'est une morfale...une vraie gourmande... comme sa mere faut l'avouer.

En fin de compte rien de s'était passé comme prévu, elle n'avait pas glissé sur le lac gelé avec les enfants, et la glace commençait déjà à fondre... D'abord il y avait eu l'entrainement avec Mari et sa clavicule cassée, la punition des triplés, sa presque dispute avec Bryn qui avait cru pouvoir intervenir entre la mère et les enfants, pis y'avait eu la visite de Lub à la distillerie, les complications parce qu'elle voulait voir les comptes, et le tout avait fini sur l'escorte de la Grande auprès de leurs amis, au bout du Comté.

Tout s'était précipité et maintenant cette missive...

La vindicative regarde le lac encore enrobé de la nuit agonisante et soupire. Allait-elle encore partir sur les routes pour aller chercher quelqu'un ? C'était loin, c'était très loin même et elle avait tant à faire ici... Les Mures avaient besoin de petits travaux de rénovation, elle devrait les faire elle-même avec Souffredoul et Mélie, la guerre laissait bien des stigmates, et pas seulement sur les soldats...

Je vais leur écrire, il y en a bien un qui est dans le coin, je ne peux pas repartir si loin maintenant, je dois m'occuper des miens.

Une fois sa décision prise, la môme au loup reprend le chemin des Mures, commençant à rédiger dans sa tête les missives qu'elle va devoir adresser aux quatre vents...
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Il est des rayons de soleil qui semblent plus revigorants que d'autres, plus chauds, parce que plus attendus au sortir de l'hiver. Et c'était le cas aujourd'hui. Un soleil magnifique, un ciel bleu azur, un lac, une berge verdoyante, il n'en fallait pas plus à Ouzzy pour décider que c'était un bon jour pour un premier pique-nique.
Marie venait à peine de se réveiller quand elle découvrit son invitation à les rejoindre, Robin et lui au bord du lac.
Elle passa tout d'abord par le marché pour s'enquérir de fruits, de pain, de lard, de fromage, de lait et d'une bouteille de vin.
Puis elle arriva, installa la nappe, y déposa son panier.

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Bien que le fond de l'air fut encore frais, le soleil à son zénith à l'heure du déjeuner donnait une impression printanière. Marie s'installa, adossée à un arbre, cherchant des yeux les deux hommes de sa vie.
Elle se mit à repenser à ce que Sarlat représentait pour elle. Elle avait tant rêver de revenir ici, et elle y était. Si elle avait pu en deviner les conditions elle se serait prise pour une folle. La vie était vraiment un livre de suites d'histoires avec chacunes son début et sa fin. Mais elle espérait bien ne jamais devoir écrire la fin de celle-ci.
Des cris, des pas qui se précipitent, Marie ouvre les yeux, les abritent du soleil à l'aide de sa main posée sur le front et les voit arriver. Elle sourit et tend les bras .....

Robin vit de loin, sa maman se reposer contre un arbre, il se mit à gesticuler, à lacher la main d'Ouzzy et à courir vers elle. Elle tendait les bras et il savait qu'ils étaient pour lui. Il s'y précipita sans aucun ménagement riant même de voir sa mère bousculée par son assaut.

Maman ! Maman , Ouzzy m'a appis à pêsser. Z'ai vu des grooos poissons comme çaaaa !

Et d'ouvrir ses bras tout en grand pour en montrer la taille.

Dis Maman on pourra prendre la barque là bas pour aller pêsser tous le trois ? hein on pourra ?

Oui mon ange mais il te faudra rester calme dans la barque, j'ai pas envie de plonger pour pêcher un petit garçon moi !

**il se mit à rire, et regardant le panier ** On peut manzer tout ça ? c'est tout pour nous ?

Bien sûr mais attendons Ouzzy pour commencer et peut être que Nym nous rejoindra tout à l'heure.

Ouzzy sentit la petite main de Robin lacher ,la retient un peu mais vit que son coeur arriver avec un panier bien remplit , sourit et pose sa canne a peche pour aller rejoindre son coeur
bonjour mon coeur , je suis content te voir on attrape faim nous , ç une belle journée tu trouve pas pour un pique nique ? un beau soleil , un beau lac et vous deux ç super
il prit le panier des mains de Marie et l invita a s instalé

Oui tu as eu une tout à fait bonne idée ! On va s'instaler là si tu veux bien, en plein soleil, pas question d'en gâcher si peu que ce soit.

Marie lui vola un baiser puis ils prirent le repas, en discuttant, en riant, en chatouillant Robin que ne cessait de réclamer d'aller sur lac, ce qu'ils firent après s'être rassasiés. Ils revinrent sur la berge sans incident, quelques chemises mouillées, trop tentant de s'arroser, impossible de résister. Cette nuit ce serait le départ, Marie regardait autour d'elle, comme si ellle voulait éterniser cet instant. Reviendront-ils un jour à Sarlat ?