Syuzanna.
Un large sourire se dessine sur les lèvres pleines de la rousse. Elle serre brièvement la jeune fille contre elle, déposant un baiser sur sa chevelure.
- Merci, murmure-t-elle à voix douce.
Puis, d'un bond, elle plonge dans l'eau. La froideur du luc ne l'empêche pas d'y patauger allègrement. En trois pas, la voilà totalement immergée. Nageant tel l'un des nombreux poissons qu'elle croise, elle effleure des doigts les galets enfouis à moitié dans la vase.
Il lui faut cependant reprendre une goulée d'air, puis de nouveau s'enfoncer dans les profondeurs. Sondant le sol, un éclat particluièrement blanc attire son attention.
Puisant dans ses drnières réserves d'oxygène, la rousse parcourt les quelques pieds la séparant du galet, puis, d'un puissant cup de pied dans la vase, remonte en flèche vers la surface, qu'elle crève en une gerbe de goutellettes.
Inspirant à grandes goulées, elle esquisse un sourire, avant de regagner la berge, son poing fermement serré sur son butin.
Une fois sur la terre ferme, elle avise la chemise d'Enigma, vide de sa propriétaire. Elle sourit, avant de s'agenouiller dans la glaise, près de sa modeste construction de bois. Les mains jointes et ouvertes, elle contemple le galet. Aussi blanc que le plumade d'un cygne, et piqueté de mille reflets dorés. C'est exactement ce qu'il lui fallait !
Elle le dépose près de ses affaires. Elle le déposera en temps voulu, à un endroit qu'elle avait repéré avant de se mettre à ériger son triangle de bois.
Elle se plante ensuite devant le lac, guettant le retour d'Enigma.
- Merci, murmure-t-elle à voix douce.
Puis, d'un bond, elle plonge dans l'eau. La froideur du luc ne l'empêche pas d'y patauger allègrement. En trois pas, la voilà totalement immergée. Nageant tel l'un des nombreux poissons qu'elle croise, elle effleure des doigts les galets enfouis à moitié dans la vase.
Il lui faut cependant reprendre une goulée d'air, puis de nouveau s'enfoncer dans les profondeurs. Sondant le sol, un éclat particluièrement blanc attire son attention.
Puisant dans ses drnières réserves d'oxygène, la rousse parcourt les quelques pieds la séparant du galet, puis, d'un puissant cup de pied dans la vase, remonte en flèche vers la surface, qu'elle crève en une gerbe de goutellettes.
Inspirant à grandes goulées, elle esquisse un sourire, avant de regagner la berge, son poing fermement serré sur son butin.
Une fois sur la terre ferme, elle avise la chemise d'Enigma, vide de sa propriétaire. Elle sourit, avant de s'agenouiller dans la glaise, près de sa modeste construction de bois. Les mains jointes et ouvertes, elle contemple le galet. Aussi blanc que le plumade d'un cygne, et piqueté de mille reflets dorés. C'est exactement ce qu'il lui fallait !
Elle le dépose près de ses affaires. Elle le déposera en temps voulu, à un endroit qu'elle avait repéré avant de se mettre à ériger son triangle de bois.
Elle se plante ensuite devant le lac, guettant le retour d'Enigma.