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[RP] Le lac de Sarlat

Syuzanna.
Il y a probablement un temps pour tout. Un temps pour rire, un autre pour pleurer. Un temps pour enseigner, un autre pour apprendre. Un temps pour être plusieurs, un temps pour être seul.
Quel temps est donc venu, en ce jour ? Celui de la solitude, sans doute.
C'est du moins ce que pense Syu, tout en arpentant lentement, les berges du lac. Elle songe à ses cours d'herboriste, sa formation de maréchale, qui lui occupent agréablement la vie. A Eilidh, endormie devant la cheminée, sous la protection de Touffu. A Søren, se remettant de ses blessures. Au mariage, qui approche lentement, mais sûrement.

Le mariage... Cette fois, le fiancé ne finira pas pendu. Rien ne se passerait comme l'autre fois. Elle s'agenouilla dans l'herbe, extirpant de sa besace un croquis. Sauf pour cela. La robe. Elle l'avait dessiné, de mémoire. Les talents de la rousse en dessin, ne sont certes pas formidables, mais grâce à quelques modifications de son amie alençonnaise, il représente désormais très bien ce dont elle se souvient. Souriante, elle le range avec précaution dans sa gibecière.

Joyeusement, elle poursuit sa promenade, inspirant à grandes goulées l'air de cette fin d'après-midi. Son avenir s'annonce étrangement... radieux. Elle élève une fille qui n'est pas la sienne, mais qu'elle s'est surprise à aimer sans borne ; va épouser son Danois, sera bientôt une herboriste à part entière ; accueillera sous peu son barbu de cousin en sa demeure... Que demander de plus ?
Se laissant tomber dans les herbes hautes, elle ferme les yeux, sourire aux lèvres, mâchonnant une marguerite. Parfaite image de la quiétude.
--Lavandine


Pensive qu 'elle était, le doute s 'installait en elle, telle une remontée d 'aigreur d 'un estomac qui se battait entre la nausée et le vomissement.

De quel matière sont ils faits...Dénués de fidélité, l 'arrogance au bout de leur sexe, pointe la victime désignée. Jamais elle n 'acceptera la trahison, plutôt mourir qu 'abdiquer. Sa fierté ancrée dans son esprit, lui disait au fond de son âme : Tiens toi droite, relève toi, ne les regarde pas, le mépris est le plus grand des affront.

Un monologue s 'installait entre elle et sa raison : Oui Je suis droite je regarde l 'horizon, les yeux secs, je le quitte sans regrets, la trahison est inacceptable.

Elle releva sa tête, puis profita du moment présent, la lune était pleine sa lumière permettait une promenade nocturne sans embûche. Quelques éclats de voix lui parvinrent aux oreilles, elle sourit : il y a des gens heureux qui se baignent cette nuit...Heureux qui sait ? Beaucoup font semblant, tiens les deux là....

Lavandine songea à ce qu 'elle avait vu la veille, une presque mariée, amourachée d 'un autre, lui coureur de jupons, enfin c 'est ce qu 'il se dit dans les tavernes... Vengeance vont crier les cocufiés, pour avoir misé sur des bourricots enclins à l 'infidélité
Pattricia
A peine éloignée des bâtisses composant Les Mures, la vindicative longe le chemin en direction du port. Petit à petit le boucan du moulin à eau s'estompe, et le bruissement des feuilles dans les arbres reprend ses droits. La main posée contre le front, protégeant ses yeux des rayons du soleil, elle observe le bal incessant qui se déroule sur les eaux miroitantes. Les barques dansant sur les vaguelettes du lac, occupées par des pêcheurs immobiles, les bêtes à plume en tous genres, suivies de leur progéniture, qui se laissent glisser en émettant quelques protestations face aux envahisseurs.

La môme au loup sourit, remarquant ça et là quelques baigneurs timorés qui nagent près de la rive. Mais la vie grouillante sarladaise reprend vite ses droits lorsque ses pas l'a font passer devant le port, les hommes qui s'interpellent sur les quais, les lavandières qui reviennent portant d'énormes paniers de linge qu'elles vont aller étendre dans les prés fleuris et odorants. Elle dépasse cette foule disparate, saluant ça et là quelques connaissances et continue de s'éloigner, en direction de ce qui pourrait paraitre au nouveau venu être une plaine de roseaux.

Patt a vite fait de se faufiler parmi eux et de trouver le chemin de traverse. C'est là qu'il l'attend évidemment, surgissant des roseaux, comme aux premiers jours de sa vie d'adulte, manquant une fois de plus de la faire tomber, debout, les pattes posées contre ses épaules, sa grosse gueule s'approchant dangereusement de son visage.


Pouahhh !
Tu pue de la gueule tu sais !
Pis arrête de vouloir me lécher, t'as plus 1 an !


Pisser dans une vielle ça fait de la musique ? Naaan, ben c'est exactement la même chose avec Truffe. Quand ce dernier fait ses salutations, c'est le même refus râleur de la rousse et le même "cause toujours" du loup. Elle finit débarbouillée, grognon pour la forme et la fausse lutte au sol qui s'engage, faisant carnage parmi les pauvres roseaux qui n'ont rien demandé, n'est qu'un acte d'une pièce qui se joue à guichets fermés depuis bien des années, sans que les comédiens ne se lassent de ce scénario connu par cœur.

Une fois pleine de poussière, haletante et vautrée sur le loup qui cherche également son air, la Dame de La Force, -Ouais nul n'est parfait...- rit.
Non pas qu'elle soit prise de folie, mais rassurée plutôt sur elle-même, elle s'imagine certains seigneurs, si pleins de leur importance, qui la verraient se vautrer avec un loup et s'adonner à une bataille sans vainqueur, en sortir échevelée, pleine de poussière et les joues barbouillées d'un mélange de salive truffesque et de limon.
Le ton est donné, la rousse enlève ses bottes et ses bas, attache le tout à son bâton de marche, remue les orteils afin qu'ils s'enfoncent légèrement dans le sol humide, ravie de la sensation de liberté qui la submerge d'un coup, retrouvant l'époque d'une vie sauvage bien difficile certes, mais emprunte de joies intenses, d'aventures et de paysages sans fin.

Après un dernier grattouilli sur la tête du loup, elle reprend sa route où elle l'avait laissée avant cet intermède. Une fois sortie de la "forêt" de roseaux, la crique aux saules se livre enfin, scintillante du vert des arbres et des diamants qui semblent recouvrir l'onde au clapotis enjôleur. C'est presque en courant que la vindicative rejoint le noisetier seul et unique au milieu de ces silhouettes gracieuses aux bras penchés pour toucher l'eau. Les vêtements se retrouvent vite tous accrochés aux branches, le bâton posé contre le tronc et la besace accrochée prudemment en hauteur, délestée d'une bouteille qui va trouver immédiatement sa place entre deux pierres immergées.

Le reste n'est qu'un rituel immuable, le loup qui entre et sort de l'eau en courant comme un jeune chiot excité, la môme qui s'avance sur le promontoire jusqu'à la pierre plate, les émeraudes qui se perdent dans le bleu intense du lac, cette voix inaudible au commun des mortels qui semble l'appeler elle et pas une autre afin qu'elle plonge, la légère extension de son corps qui se tend.
Puis la fraicheur qui l'enveloppe, les bras invisibles du lac qui l'étreignent, la force vive qui l'envahit, le buste qui surgit hors de l'eau et l'éclat de rire...


Cette fois, je suis vraiment rentrée chez moi...
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Okwawi
Venant tout juste de sortir de Taverne ou il avait bien discuté avec Demoiselle Eva, il se dirigea vers le lac pour s'y promener avant de rejoindre sa cabane

Arrivé à ce dernier, il prit son temps pour en faire le tour ou du moins rejoindre sa cabane mais par un chemin qu'il n'avait pas l'habitude de prendre; les grenouilles coassaient et les grillons faisait leur chant si doux et agréable aux oreilles

Il ne se laissait pas de cette saison qui pour lui était un de ses préférés avec le printemps

Arrivé à mi-chemin, il se posa sur le rebord et contempla l'eau si calme, parfois des ondulations se faisaient voir, les poissons se régalant des moustiques qui ne prenaient pas garde




Il leva la tête et vit le ciel, ce ciel magnifique, il se demandait parfois ce qu'il y avait sur ces étoiles, y avait-il d'autres Etres, une autres vie? Il n'osait en parler à vive voix de peur de se faire brûler

Il se releva et reprit sa route, après quelques minutes, il vit sa cabane, ouvrit la porte puis raviva son feu pour y faire chauffer de l'eau et ainsi boire une tisane avant de dormir

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Je suis l'Alpha et l'Oméga
Le commencement et la fin
A qui a soif,
Je donnerais, moi, de l'eau de la fontaine de la vie
Gratuitement
Tiobbi
Tiobbi en sortant de la Taverne prit le chemin du lac, elle se remémorait chemin faisant des choses qu'elle avait vécue ici étant sarladaise, de son amie Lillie24 qui lui manquait tant des bons comme des mauvais moment d'ailleurs qui s'y étaient passés...

Arrivée devant ce lac, Tio s'adossa à un arbre, elle se mit à le contempler lui scintillant des reflets que le soleil venait si délicatement poser sur la surface.Tio venait puiser ce calme dont elle avait tant besoin, elle prit une grande inspiration puis ferma les yeux laissant son esprit vagabonder un long moment avant de retourner en ville.
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Pattricia
[Quelques jours plus tard...]

La tempête... Pas sur le lac non, mais dans le cœur de la rousse... Elle avait été raisonnable, encourageante, bonne copine, elle avait vraiment tout fait comme il fallait, mais hélas cela n'avait pas suffit... Tout ce qui faisait qu'elle resterait à jamais cette gamine de 15 ans blessée dans ses premiers émois l'avait rattrapée et submergée. Alors avait suivi l'envie de le croiser le plus possible, d'être gaie, drôle, d'être tout simplement là... Elle avait compris trop tard le danger de ce qui se passait et s'était retrouvée insomniaque et fébrile, comme cette gamine de quinze quand elle est tombée amoureuse de...

Elle allait devoir jongler entre ses nouvelles responsabilités et son besoin de solitude. La période était critique et elle devrait, à la fois ne rien montrer, être enjouée, et à la fois se protéger. Si elle n'avait pas été au conseil, elle serait allée se réfugier dans un autre village, mais là rien à faire, elle devait et rester là, et en plus être présente en taverne. Elle savait qu'il ferait tout pour lui faciliter les choses, mais elle aurait encore plus conscience de sa présence. Elle ne savait pas ce qui était le pire, le voir, ou le contraire.

Ce matin elle avait failli s’effondrer devant lui, malgré elle, elle avait montré et dit des choses qu'elle n'aurait jamais dû, elle avait faillit et elle avait fui. Elle se disait qu'il ferait tout pour s'éloigner au plus vite, elle se disait qu'elle le détesterait pour ça et, malgré tout, le chérirait également pour la même raison. Tout n'était qu’ambiguïté, torture et solitude. Si l'ours avait été là, tout aurait été plus facile, plus simple, plus clair. Mais elle ne pouvait même pas lui en vouloir de ça, rien ne l'avait empêchée de faire demi-tour, de repartir en Limousin et de le retrouver, non rien. Elle avait fait le choix de rester un peu chez elle, de fêter l'anniversaire des enfants pour une fois dans la joie et la sérénité, d'aider la municipalité du peu qu'elle pouvait faire pour elle, etc.

Tout était irrémédiablement de sa faute à elle et à personne d'autre, et ce matin là, tout ce qu'elle désirait, c'est de se réfugier au fond de la forêt, de retrouver la meute et de pleurer, loin des regards. Elle passe donc le lac, s'arrête pour se déchausser, et file, pieds nus, comme celle qu'elle n'avait jamais cessé d'être...

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Okwawi
Et voilà ce qui devait arriver arriva, il avait crée une confusion au sein des personnes qu'il appréciait

Il se posa sur l'herbe et frappa fermement le sol avec son poing, il avait mal mais la douleur dans son coeur était bien plus importante

Qu'ai-je fait pour mérité ça?

Il regarda le lac, si paisible et si beau, il se disait si les poissons avaient autant de soucis que les Hommes et si oui comment ils les géraient

Pourquoi est-ce que j'ai voulu revenir en taverne, j'aurais du m'en douter...je veux le bien pour tout le monde mais je fais tout l'inverse...

Il retapa le sol puis décida de partir en direction de sa cabane, il ne voulait plus faire de mal et décida de faire comme quand il était arrivé ici au début, ne sortir que pour aller à son echope, au marché ou à la mine, rien de plus


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Je donnerais, moi, de l'eau de la fontaine de la vie
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Phyladelphia
Phyla était de retour a Sarlat
Aprés avoir vendu son bois à la mairie, elle acheta une barque et partit au lac
Mais pour finir... pourquoi une barque... avant c'était en plongeant dans les profondeurs du lac qu'elle ramenait son poisson
Alors elle laissa sa barque a coté des autres et ce déshabillage ne laissant que ses sous vetments puis elle ce laissa envahir par l'eau...
Elle nagea un moment entre deux eau... remonta a la surface pris son air et retourna en profondeur
Elle retrouva les rochers ou elle nageait il y a bien longtemps
Elle fit plusieurs allé retour entre l'air et les rochers avant de ce choisir une proie et de la traquer...
Elle mit du temps avant de l'attraper
L'entrainement lui manquait ça ce voyait
Mais elle fini par remonté au bout de son harpon une bonne prise...
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Lucydiane
Lucy venait d'arriver à Sarlat. Une ville de plus traversée, une ville comme il y en a tant dans le royaume. Ce fut par hasard qu'elle découvrit le lac. Cette vision lui fit naître un sourire au coin des lèvres. Il était encore tôt et mis à part quelques pêcheurs au loin, l'endroit était assez désert. Lucy en fit le tour jusqu'à trouver un endroit reculé, discret, propice à la baignade. Elle ne portait que son haillon et par pudeur ne voulut pas l'oter. Elle entra donc ainsi vêtue dans l'eau. Elle nagea aussi longtemps que ses forces le lui permettaient, puis revint s'allonger sur le tapis que lui offrait l'herbe.
Le soleil la sécherait rapidement et Lucy profita de ce temps de repos forcé pour réfléchir.
Elle ne relut pas cette étrange missive qu'elle avait reçue, elle la connaissait par coeur. Sarlat ne semblait pas être encore la ville où elle devait se rendre ... elle devrait poursuivre encore son chemin. Mais jusqu'où ? Jusque quand ? Et quel serait le signe qui lui indiquerait qu'elle était enfin arrivée ? Saura t elle le reconnaître ?
Toutes ces questions la hantaient et lui donnaient le vertige. Elle les chassa d'un coup vague de la main, ferma les yeux et finit par s'endormir sous la douce chaleur du soleil.
Phyladelphia
Il était temps pour elle de monter son campement
Elle rejoigna l'arbre a Ranin et y installa sa tente
Elle prépara un foyer pour y cuire son poisson
Une fois que tout était fait, elle grimpa dans l'arbre et regarda Sarlat
Elle aimait vraiment cette ville elle s'y sentait bien... chez elle
Sarlat avait toujours eu cette force de reunir ses anciens habitants...
On fini toujours par y revenir...
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Newen
A peine arrivée, elle avait déjà appris que Sarlat possédait un lac et ne put s'empecher d'aller voir a quoi il ressemblait.

Elle arriva tranquillement et fut éblouit par la clarté. Le soleil se refletait dessus et on aurait dit que des particules d'or recouvraient le lac.
Elle aimait la tranquillité, le calme. Dailleurs, c'est pour cela qu'elle évitait les tavernes remplies. Passer du temps en bonne compagnie elle ne refusait jamais mais dès qu'il y avait trop de monde, elle se sentais mal à l'aise.

Son arrivée ici avait été parfait. Bien accueillit et bien conseillé. Elle avait bien discuter avec certain en particulier et avait appréciée ces moments. Tout en y repensant, elle avait tremper les pieds dans l'eau fraiche. Son corps frissona sous la différence de température. Puis regardant autour d'elle, elle finis par plonger dans l'eau.
Mariceleste
[ Bien des jours plus tard.....]

Il est tôt et la chaleur commence a se faire sentir, elle quittée les Glycines pour aller au marché et se ravitailler pour la taverne. Elle arpente le chemin qui longe le lac au coté de son étalon, pas la peine de se presser les gens dorment encore, a part les pécheurs qui s'éloignent sur leur barque au milieu du lac.

La Rouquine fait un arrêt sur la berge tenant les raines de Kerlo d'un main et de l'autre lui caresse le museau tout en lui parlant doucement. Bah oui elle parle a son étalon et alors elle en a le droit non....au moins, lui il ne râle pas.
"Regarde mon tout beau on est au calme, profitons de ce moment pour prendre un grand bol d'air pure.... Aller continuons notre chemin jusqu'au village"

Elle enlève ces chausses relève sa jupe avec une main et avance au bord du lac pour tremper ces pieds dedans, Kerlo marché derrière elle les pattes dans l'eau auusi " Ah qu'est ce quelle est bonne je vais m’accorder un autre jour de farniente aujourd'hui.... pic nic, baignade, sieste.... Elle sourit rien que dit penser.

Elle continu son chemin jusqu’à l'entrer du village, direction le marché puis ça taverne
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Mystérieuse et indomptable !
Dame_margot
[quelque jours plus tard, le soir]

Margot était en taverne et suite a de mauvais mot, qu'elle n'aurais pas du prononcer, elle prit un Savon et partie vers le lac comme lui avait dit Flax.

Elle traversa la place et comtempla le calme de la nuit qui était tombé sur Sarlat, la fraicheur du soir faisait oublier les lourdes chaleur de la journée.

Sur le chemin elle repensa aux événements de ses derniers jour et eut un petit sourire en ce disant que tout n'etait pas si moche que sa bien au contraire.

Une fois arrivée sur la berge elle regarda le savon puis l'eau puis contempla l'obscurité face a elle.

Nan mais N'importe quoi celui là, ce Laver la bouche avec du savon

Elle eut un petite rire puis elle ranga le savon dans son petit sac.

Elle enleva ses chausses, s'asseya sur le bors de la rive et trempa ses petits pieds dans le lacs, l'eau était fraiche, juste comme il fallait, elle voyait quelque lumiére sur le lac, quelque pécheur qui profitait de la fraicheur pour pêcher surement.elle s'allonga dans l'herbe légérement humide et regarda les étoiles et la lune.

Puis elle commença a s'endormir...
Eadwin


Les cloches sonnaient les vêpres, Eadwin sortit de l'église où il avait passé la journée à travailler pour le curé. Il avait dû cirer tous les bancs et ranger les cierges en fonction de leur taille, et tout cela moyennant la modique somme de 5.00 écus. Certes c'était peu, mais pour le jeune homme ça représentait une partie de la liberté qu'il avait choisi de s'offrir. Il fit sauter les pièces dans sa main avant de les mettre méticuleusement une à une dans sa bourse.

"Encore une quarantaine comme celles-ci, et à nous deux messire conseiller du Comte."

Il avait le cœur réjouit. En quittant les siens il ne savait à quoi s'attendre, mais avait envisager de traverser des moments très durs, cependant, ses premiers jours à Sarlat se déroulaient à merveille. Tout le monde était si généreux, qu'Ed en oubliait qu'il n'était rien d'autre qu'un miséreux.

Il déambulait dans les rues et passa devant plusieurs tavernes, jetant un oeil de temps à autre au travers des fenêtres, mais il ne réussit pas à se décider d'entrer tellement il se sentait épuisé. Il poursuivit son chemin pour retrouver son lieu de refuge qu'il avait investit depuis son arrivée. Un gros chêne sur les pourtours du lac lui servait d'abri, et avec ses températures estivales il était aussi bien à dormir à la belle étoile. Il longeait le lac, des barques regagnaient la rive, signalant également la fin de la journée pour ces braves pêcheurs, des oiseaux évoluaient dans l'air, plongeant à tour de rôle. Ed s'écarta du sentier


"Salut vieille branche. il lança son baluchon dans le creux que formaient les racines. Je suis de retour!"

Il s'assied, sortit une miche de pain offerte par Enigma et mordit dedans à pleine dent.

Ce repas frugal avalé, il s'allongea sur le ventre, puis reposa son menton sur ses bras croisés et plongea son regard dans les eaux claires du lac. Les sillons formés par la brise captèrent son attention, il ferma les yeux, puis s'assoupit.
Rhea.
La blondinette venais de sortir de taverne, elle trainait des pied regardais pas ou elle allait, mais elle avait connut si souvent cette route qu'elle ne pouvais tomber.

Le regard dans le vide un parchemin a la main elle traversa les chemin terreux pour allez vers le lac.Elle chercha un endroit calme, sans regarder ou elle allait elle bouscula un homme, elle releva a peine la tête puis dans un regard vide dit.


Excusez moi messire, je ne vous avait point vu.

Elle s'inclina et repris la direction du lac mais elle n'avait pas fais attention que son parchemin était tomber. elle s’assit sur un rocher retire ses botte et mis les pied dans l’eau
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