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[RP] Le lac de Sarlat

Okwawi
Okwawi arriva sur les rives du lac, le printemps se faisait sentir un peu plus chaque jour mais son âme était toujours au même stade depuis maintenant plusieurs années, lui qui avait tant de projets, tant d'humour et de joie de vivre, plus rien n'était aujourd'hui

Il se posa un genou à terre et regarda l'eau bouger au grés du vent, tantôt une grenouille sautait de nénuphar en nénuphar tantôt un poisson remontait à la surface pour y respirer

AU milieu du lac des barques, de pêcheurs ou bien d'amoureux, il esquissa un sourire puis s'allonga et ferma les yeux quelques instants

_________________
Je suis l'Alpha et l'Oméga
Le commencement et la fin
A qui a soif,
Je donnerais, moi, de l'eau de la fontaine de la vie
Gratuitement
--Floris
[Toujours l'hiver...]


Viens !

Perdu dans l'observation de sa maman et du loup, de cette communion qui les liait tous les deux, le petit garçon sursaute presque lorsque les jades croisent son regard et qu'enfin un mot sort, impératif, libérateur.
Il ne réfléchit pas, il se contente juste de courir dans la neige, trébuchant presque pour s'écrouler à genoux face à cette femme si multiple, pas toujours facile à suivre, n'osant encore s'accrocher à son cou et se blottir contre elle.
Alors plus ténue et plus douce la voix de la rousse se fait entendre à nouveau après tant de silence.


Viens...

Il s'y laisse choir comme si il avait enfin trouvé la terre promise. Serrant de ses bras encore bien frêles et trop courts se corps tant aimé et si protecteur. Elle le serre à l'étouffer, et tout ce qu'il ressent à ce moment là c'est la joie sauvage du louveteau retrouvant sa mère après s'être égaré.

- Je... te... demande pardon Maman
- Chuuut...
- Je te promets de tout faire pour l'aimer, je ne recommencerai plus.
- Pour ce qui est d'Argawaen, c'est entre vous. Je ne me suis pas mêlée de vos rapports avec Michel, je ne le ferai pas cette fois encore. Je le connais assez pour savoir qu'il saura trouver le chemin de ton coeur.
- Tu dis ça mais tu es si triste
- Cela n'est pas à cause de toi mon fils, c'est...
- Mais dis-moi Maman !
- Ce jour là... quand tu t'es enfui... Il y a eu un drame
- Un drame ?
- Oui... Oxy est... il y a eu un accident... Elle a quitté ce monde
- Noooon !!!!


Dans le froid hivernal d'une aube pas encore levée, une mère en larmes berce son fils en pleure. Un grand loup mâle tourne autour de ces deux corps entrelacés, ne sachant comment faire pour soulager la douleur qu'il sent chez ces deux êtres.
Dans le froid hivernal d"une aube enfin levée, une mère et son fils ont pris le chemin des Mures pour annoncer le drame tu depuis plusieurs semaines au reste de la maisonnée.
Dans le froid hivernal d'une journée enfin terminée, les pleures ont cessé, ainsi que les prières, et une rousse s'est juré qu'elle ne retournerait pas au lac tant qu'un ours mal léché ne serait pas enfin à ses côtés...
Argawaen
Ce jour, le vieil homme se sentait un peu mal en point, malade ? Non. Triste ? Non plus. Il avait seulement besoin d'un petit moment de solitude.
Depuis bien des années il n'avait pas eu l'occasion de souffler un peu, depuis des années il avait parcouru le Royaume de long en large. Le vétéran avait besoin d'un peu de calme, il avait besoin d'un court moment pour souffler.
Aujourd'hui, il se sentait affaibli, son corps ne suivait plus autant qu'il le voudrait, l'âge ne l'aidait pas, mais heureusement que le caractère et les nerfs étaient encore là.

Cela faisait maintenant deux ou trois semaines qu'il était installé à Sarlat, le temps, il en avait perdu la notion, il était à peine arrivé qu'il avait déjà été sollicité, que ce soit pour l'armée, et depuis quelques jours, la mairie...
Le vieil homme se disait que la paix, ce serait le jour où il rendrait son dernier souffle. Secouant la tête légèrement Argawaen se leva de son siège de maire sous le regard des miliciens.


Je m'absente un moment, je n'en ai pas pour très longtemps. Si jamais on me cherche, dite que je suis au lac.

Sans un mot de plus le Dehuit de Malemort quitta la mairie et erra dans la ville tel un chien sans maître jusqu'au lac.
A l'approche de ce dernier Argawaen soupira de soulagement, la route séparant la mairie au lieu de destination lui avait semblé durer une éternité.
Lentement il retira son armure, laissant tomber le tout lourdement et resta là à contempler l'endroit. Le bruit de l'eau était comme une douce berceuse et il ferma les yeux afin de profiter de ce moment de calme...

Sentant le sommeil arriver à grands pas il s'allongea délicatement dans l'herbe, échappa un grognement de bien être, croisa ses bras derrière la tête, plia une jambe et se mit à chantonner doucement...


" Belle qui tient ma vie... "
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Alix.
Trois jours que la vagabonde était arrivé a Sarlat. Trois jours qu'elle avait employé a tirer cette fichue barque a la force de ses bras pour aller a la pêche. Trois jours où, elle n'avait réussit a n'avoir qu'un malheureux poisson. Une perte de temps qu'il la mettait dans un drôle d’état. Une boule de nerf voilà ce qu'elle était !

Trainant donc sa barque pour le quatrième jour d'affilé, la jeune Viennoise grommela, pesta tout ce qu'elle pouvait et dans un langage peu fleuri. Elle n'était pas vulgaire et ne parlait pas comme les paysans du coin mais elle savait râler comme il se devait.

Tirant encore sa barque, la jeune femme ne remarqua pas la racine sous ses pieds qui la fit s'étaler de tout son long au bord de l'eau. Le nez dans le sable, Alix se redressa au bord des larmes de colère.

Rien n'allait ! Comme toujours, quoi qu'elle faisait ça n'allait jamais...

S’asseyant, elle grommela encore et jeta un regard au tour d'elle pour vérifier que personne ne l'avait vu... Et là... Son cœur fit un saut périlleux dans sa poitrine. Il fallait qu'un homme soit là. A moitié assoupie ou peut être faisait il semblant pour ne pas la gêner ?

Rougissant, elle baissa les yeux. Voilà qu'elle faisait la potiche. Voilà qu'elle avait l'air maladroite alors que c'était plutôt l'inverse. Ronchonnant, la jeune femme tourna les yeux vers sa barque qui le nez en l'air posé nonchalamment sur sa racine avait l'air de la narguer.


Oh ça va toi !

Mettant une main devant sa bouche, elle comprit qu'elle venait de parler a voix haute... Elle devait paraitre encore plus bizarre... Se redressant, elle essaya de faire tomber le sable de ses vêtements et de ses long cheveux noir. Chose qui paraissait simple et aisé mais qui en réalité était interminablement long...

Alix, n'osait pas vérifier si l'homme présent dormait toujours ou non... Elle essaya de l'ignorer mais l'envie de regarder était plus forte qu'elle. Essayant d'être discrète, elle jeta un regard au travers de son rideau de cheveux...
Pattricia
Les évènements se suivent mais ne se ressemblent pas. Il voulait se battre il était maire, il voulait être à la retraite, il entrait dans l'armée du P.A., il voulait se marier rapidement et l’Évêque se barrait à un colloque loin du Comté. Elle avait bien senti qu'il en avait gros, mais elle était pas mal tiraillée de son côté, il allait falloir louvoyer, une fois n'était pas coutume, plutôt que de mettre un coup de pied dans la fourmilière... Et la rousse, les faux-semblants, les manipulations et les mensonges, c'était pas son truc, elle avait toujours laissé ça à d'autres, mais là il s'agissait de son couple, de son bonheur, de son avenir...

La vindicative passe donc à la mairie, espérant retirer son homme à la morosité qui semble l'étreindre depuis quelques jours, mais on lui répond qu'il est au lac. La nouvelle la contrarie légèrement, elle lui avait dit qu'elle souhaitait lui faire découvrir elle-même ce lieu dans toute sa splendeur, même si la vue qu'ils avaient des Mûres était déjà très belle. "Au lac, au lac, ben vu la taille de la flaque, j'suis pas rendue franchement ! Fait ch... !!!"

Patt se rend donc à grandes enjambées du côté que les néophytes préfèrent, là où se mêlent les rochers et les pentes herbeuses, non loin de l'embarcadère des Escotes, elle longe un chemin qui est parallèle à la route de la capitale, surplombant la rive, et commence à guetter les silhouettes en contrebas. Soudain, le poids qu'elle se prend par derrière manque de la faire tomber en avant.


Nom de ... !!!!

Et que ça grogne, que ça repart en courant autour d'elle, jappant presque, tout à fait fier d'avoir réussi à la surprendre, pendant qu'un rapace lance un cri du haut d'un arbre, qui pourrait ressembler à un ricanement.

Maudites bestioles !!!

Evidemment, le loup et la buse s'en tapent grave de ses jurons, tout ce qu'ils voient, c'est qu'elle a repris le dessus depuis quelques semaines et qu'elle est enfin sortie de sa torpeur. Continuant de maudire Truffe qui lui a défoncé le dos, la môme au loup reprend sa recherche de la fameuse silhouette. "J'espère qu'il a pas encore piqué une barque comme à Paris cet idiot..." Et c'est là qu'elle voit une jeune femme se vautrer sur la rive, elle ne peut s'empêcher de rire une fois qu'elle est sure que la donzelle a eu plus de vexation que de mal, mais sa manière de regarder sans arrêt dans une certaine direction attire les jades vers le coin en question et c'est là, que grâce à un des rares rayons de soleil de la saison, elle voit l'éclat de métal de l'armure et, juste à côté, le corps massif de son amant, vautré dans l'herbe.

Avec un vilain petit sourire, et surtout parce qu'elle a un grand sens de la propriété quand il s'agit de l'ours, Patt s'accroupit et tend les bras vers Truffe. Evidemment, le loup ne se le fait pas dire deux fois et se rue vers elle, lui barbouillant le visage à grands coups de langues.


'tain !!!
Un jour je me badigeonnerai d'un truc dégueu, j'vais t'la faire passer moi l'envie de me lécher vilain loup !


Elle sort un flacon de lavande de sa besace, en dépose quelques gouttes sur un mouchoir et se débarbouille le visage en jetant des regards assassins au grand mâle qui la zieute, remuant la queue, et pas perturbé pour deux deniers.

Tu vois l'ours là-bas ? Tu vois la fille ? J'te veux entre les deux, pas question qu'elle l'approche ! File !!!

Bon évidemment... les subtilités de langage de rousse chez le loup... 'fin j'vais pas non plus vous faire croire qu'il comprend tout le truc en poils, mais il a suffit que la main lui montre la silhouette endormie, et qu'il entende le mot ours, pour savoir ce qu'il avait à faire. 'fin... en gros pour lui c'est "va donc faire de grosses léchouilles à la silhouette amie couchée au sol". Pour la Sarladaise, l'arrivée en trombe d'un grand mâle dans son périmètre de sécurité, devrait faire réfléchir à deux fois la jeune demoiselle, avant de tenter de s'approcher de la "chasse gardée" de la fiancée...

Laissant Truffe faire son ouvrage, Patt commence à entreprendre la descente en direction de son homme...

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Argawaen
Après avoir terminé de chantonner son petit air Dauphinois le vieil homme s'était endormit, tout autour de lui n'était que le vide absolu, et à vrai dire tant mieux. Cela faisait un sacré bout de temps qu'il n'avait pas pu se reposer un peu, et là était l'occasion rêvée.
Argawaen était dans un sommeil paradoxal, rêvant de tout et n'importe quoi, et soudainement il sentit comme une masse se fondre sur lui, puis quelque chose d'humide sur le visage, était-il en train de se laver ? Etait-il sous une cascade ? Subitement le poids se faisait de plus en plus lourd, il avait une sale image en tête, il ouvrit les yeux subitement et échappa un râle des plus bruyants en repoussant la chose qui était sur lui.


BORDEL MAIS CASSE TOI LÂCHE !!!! TRAITRE ! FÉLON ! ANGEVIN !!!!!

Il roula sur le côté tant bien que mal et se redressa, il fut stupéfait lorsqu'il tomba nez à nez face à une bête poilue. Plus poilu que lui ? C'était possible ça ?
Face à la bête méfiante désormais le Dehuit de Malemort regardait autour de lui, s'essuyait le visage au mieux et aperçut une silhouette connue.
Souriant légèrement en reconnaissant sa future épouse le Dehuit de Malemort alla à sa rencontre, tout en jetant un regard derrière lui afin de surveiller le loup.


Bonjorn ma douce, euh... Je ne t'embrasse pas, disons que j'ai l'odeur fétide à cause du loup... Je m'en voudrais que tu tombes dans les pommes !
Tournant le regard il aperçut une autre femme, il haussait un sourcil, regardait le loup et sa rousse.

Me dis pas que ?...
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Pattricia
Tout en descendant tranquillement le sentier, Patt est hilare. Quelle douce vengeance que quelqu'un d'autre subisse la "tendresse" envahissante de Truffe. "Après tout il m'épouse, donc il épouse également les croix que j'me porte sur le dos depuis des lustres !" Une fois qu'elle se sent repérée, elle opte évidemment pour un sérieux et se pare de l'innocence. Evidemment, elle plisse le nez quand il s'approche, mimant la gène alors qu'elle n'a qu'une envie, pouffer comme une gamine satisfaite de sa farce.

je comprends mon amour, laisse-moi donc arranger cela... Je crois savoir que la lavande est un parfum qui te plait non ?

Petit sourire taquin en souvenir de leur dernière chicanerie, et de sortir le mouchoir et le flacon en question... Mais déjà l'ours repère la jeune fille et lui jette un regard suspicieux...
Elle s'emploie donc à nettoyer le visage de son homme et de l'embaumer de lavande, haussant un sourcil interrogateur et rencontre son regard.


Quoi donc mon amour ?

Evidemment, ressembler à l'agneau qui vient de naître, implique de ne pas déjà avoir un loup qui vient se mettre contre vous et vous pousse de la truffe genre "alors c'est bon ? J'ai fait ce que tu voulais ? Tu vas me faire un câlin ?"...
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Argawaen
Le voilà donc en train d'être embaumé de lavande, mais il se demandait bien pourquoi le loup était venu le léchouiller de la sorte. Connaissant un minimum la bête elle n'aurait pas agit sans un ordre express de sa maîtresse. A moins que...
Le Dehuit de Malemort fermait les yeux le temps que sa rousse termine de lui barbouiller le visage et les rouvrit une fois qu'elle eut terminée.


Pourquoi Truffe m'a attaqué aussi sauvagement hein ? Et puis c'est qui cette donà là-bas ? Je suis sur que c'est un coup monté !

Il avait envie de rire, mais il gardait son sérieux tant bien que mal.
Argawaen sentait la lavande à plein nez, au moins si une femme s'approchait de lui elle pouvait être certaine de faire demi-tour, il les ferait fuir en un claquement de doigts.
Haussant les épaules légèrement le vieil homme regardait de nouveau sa dulcinée et attendait une explication.

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Lubna
balade au bord du lac
une odeur non loin
une odeur qu'elle avait déjà reniflée dans le sud

Elle s'approche un peu plus près

Tiens la rousse avec son Ours

Toussote genre j'arrive j veux pas déranger...Puis


Le Bonjour!
Dites c'est quoi cette odeur?


Les doigts dans son collier histoire de faire bisquer la rousse qui montre a tout le monde sa bague! Tss

Puis vois une jolie donzelle pas trop loin?


Une amie à vous? Vous me présentez!

Sur qu'elle aurait préféré voir un beau jeune voyageur!
Pattricia
"Bon là franchement, il commence à être agaçant avec toutes ses questions!" Mais à rusé, rusée et demi, elle prend donc le temps de bien ranger ce qu'elle avait sorti dans sa besace et s'accroche à son coup pour lui voler un baiser avant de regarder Truffe et de lui grattouiller le haut du crane.

Je crois qu'il sait que je suis heureuse, et tu que es la cause de mon bonheur, alors cette andouille qui oublie parfois qu'elle n'est pas un chien, t'a fait la fête, rien de bien étonnant de sa part tu sais... C'est un gros mâle, mais quand il s'agit de moi, il est parfois bien plus louveteau que chef de meute.

"Ça... c'est fait... la donzelle maintenant..." Patt prend un air étonné et tourne le visage dans la direction indiquée par l'ours, marquant un temps d'arrêt comme surprise du spectacle qu'elle a devant elle.

Elle s'est tâchée, tu veux que je lui passe mon mouchoir et mon flacon de lavande ? Elle semble avoir plongé le nez dans un bain de boue...

Puis, un peu plus fort en direction de la jeune demoiselle

Damoiselle un souci ?
Nous pouvons vous aider ?


Mais son regard est vite attiré par une nouvelle lueur qui semble se rapprocher. La lueur en question émane d'un collier, récompense royale, et la porteuse de ce collier n'est autre que SSB. "Humphr ! La voilà qui vient encore me narguer avec sa breloque Eusaïesque. M'agace celle-ci !"

Tiens tiens Lub... quelle bonne surprise...
De la lavande, tu aimes ?
Notre Maire se parfume un peu fort je te l'accorde, pour ça que nous sommes dehors, c'est moins entêtant...


"Et toc ! Prend ça mon amour... J'vais t'apprendre moi à exposer ta silhouette sexy sous les yeux des filles !" La vindicative se garde bien de regarder l'ours et semble parfaitement accaparée par sa discussion avec la blonde et son collier de "m'as-tu vue".

Je ne saurais le faire, je ne connais pas cette jeune demoiselle...
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Katarina_st_iane
Voilà trois jours maintenant que Snow était dans la ville de Sarlat. Sur ses trois jours, il y en avait deux ou elle attendait des nouvel de son frère Kelvis, se rongent les ongles temps l'angoisse la prenait au ventre. C'est que mine de rien, la petite Snow tenait a son frère plus qu'elle ne le laissait voir, elle était incapable de voir sa vie sans lui a ses cotés pour la guider. Non pas qu'elle n'avait jamais sue se débrouiller avant qu'ils se retrouvent nan, mais maintenant qu'ils étaient tout les deux réunie, elle était incapable de faire les bon choix sans lui. Elle lui avait envoyer un courrier lui demandant ou il était passer, ce qu'il faisait et si elle devait aller le récupéré. Pas de réponse, le silence absolue ce qui n'aidait pas notre chère Snow a calmer son angoisse. En cette soirée, elle avait donc décider de prendre l'air au Lac, histoire de s'éclaircir les idées et d'essayer de deviner ou il était tomber. Si seulement elle l'avait vue plus tôt aussi, elle serait pas là au bord du lac a essayer de savoir ou il était, tout du moins de deviner. Quand ils étaient a Albi, il lui avait dit qu'il était près pour partir, le voyage c'était donc fait sans problème, le lendemain ils avaient repris la route mais le jour d'après Snow avait remarquer que son frère n'était plus là. Elle lui avait envoyer une lettre mais aucune réponse, la jeune brune c'était mis a imaginer les pires situation possible. La première, enlever par des extraterrestre, kidnappée par des brigand, tuer par un loup et encore elle avait d'autre pensée mais celle là elle les foutait à la poubelle. Actuellement elle avait décider de continuer la route, mais elle informerait son frère de chacun de ses déplacement tout les jours. Elle lui avait juré qu'ils resteraient ensemble, tout les deux jusqu'à leur mort. Mais là elle risquait vraiment de mourir si elle restait un jour de plus a Sarlat. Observent le lac une dernière fois, elle se retourna et repris le chemin pour le village. Ce soir elle quitterai la ville en compagnie de ses amis. Son serment de ne plus jamais avoir d'homme dans sa vie ? Elle le tiendrai pour son frère.
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Rolland_
C'est une belle matinée, Rolland qui vient de Toulouse arrive à Sarlat accompagné de sa bien aimé Stella et de son ami Hereb tout deux rencontrés sur la route direction Alençon.
Les deux compagnons de Rolland sont fatigués de leur journée de marche.
Rolland voit un lac et loin et décide d'y faire un tour, il voit un couple de cygne, tout eux face la face, la forme de leurs longs cous faisant penser à un coeur.
Il pense donc à Stella, il est à la foie heureux de vivre cet amour particulier avec elle et à la foie triste qu'elle ne soit pas là avec lui.

Rolland décida donc de rentrer en ville se reposer avec les autres et d'emmener Stella un peu plus tard au lac pour passer un moment romantique en tête à tête avec sa dulcinée juste avant de reprendre la route pour Tulle
Stella..
Tant de choses se bousculait dans sa tête
Elle ne savait plus trop quoi penser de cette histoire qui petit à petit se développait entre elle et Rolland mais si peur que ce sois qu'un rêve et une fois réveillée elle se retrouverait au point de départ...

Il avait Rolland doux attentionné tellement gentil ... il pourrait lui offrir la lune s'il le pouvait
La belle blonde était terriblement fatiguée assise adossée contre un arbre face a ce lac magnifique ...elle gribouilla sur un parchemin le nom a Rolland qu'elle écrivait a plusieurs reprises puis tout doucement elle se laissa aller, ferma tout doucement ses yeux laissant le vent effleurer sa peau puis s'assoupi en se laissant porter par le bruit de l'eau qui résonnait dans sa tête...
Lephil
Le gamin et sa douce Evana avaient posé la roulotte le matin même à la bordure du village.
Comme elle dormait encore, il se faufila dehors sans bruit.
La journée s'annonçait splendide en ce début d'après midi.
Des ses yeux embrumés de sommeil il remarqua le lac, magnifique et propice à la méditation.
Il se mit à courir vers la berge.
Arrivé au bord de l'eau il dégrafa prestement sa ceinture baissa ses braies.
Il s'accroupit pour déposer une généreuse offrande à la nature, tout en contemplant le lac si romantique avec ses cygnes blancs et ses nénuphars.
« Faudra que j'y amène Eva se dit-il »
C'est en se retournant pour chercher les plus douces feuilles pour son séant qu'il vit la belle blonde assise adossée contre un arbre.
Son visage s'empourpra aussitôt et tout en se rebraguettant à la hâte il bafouilla pitoyablement:

« euh... b'jour... euh... joli coin n'est ce pas? »
Malvyna
Une légère brise furtive fit voler quelques mèches de ses cheveux, Malvyna repoussa en arrière celles qui c’étaient glissées devant son visage. Puis, d'un large sourire elle posa ses yeux sur Aaron qui marché à coté d'elle en tenant sa main.

La dernière fois que nous sommes allez au bord d'un lac ensemble, ont y à passé la nuit...

De bon souvenir... Jamais oubliés, gravé pour l'éternité... Encore quelques pas pour atteindre l'arbre au pied du lac, petit coin de tranquillité éloigné des pêcheurs et des nageurs. Malvyna commença par étaler la nappe sur l'herbe verte et déposa le panier à coté. Elle s installa sur le bout de tissus et entraîna Aaron tout proche d'elle. Assise en tailleur, elle fouilla dans la panier pour en sortir une bouteille de nectar divin, quelques fruits et divers petits gâteaux à grignoter.

Je te laisse ouvrir la bouteille et nous servir.

Un pti clin d’œil à l'amour de sa vie... Puis Malvy se déchaussa et remonta ses braies aux dessus des genoux. Les jambes étendue en avant, elle s'amusa à les bouger légèrement pour faire jouer les rayons du soleil qui s'incrustés entre les petits espaces des feuillages de branches.

Elle resta silencieuse un instant, toujours avec le même sourire aux lèvres. Celui qui traduisait le bonheur présent. Puis, elle plongea ses yeux dans les siens....


Je suis vraiment heureuse... Heureuse d'être avec toi, heureuse d'avoir retrouvé ta main, heureuse de... De tout... De tout ce qui se passe depuis nos échanges de pigeons.
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