Argawaen
Sentent la fraicheur se faire plus insistante il fit en sorte de faire chauffer la barque, pour cela ses hommes avaient élaborés un foyer couvert et ce dernier était constamment alimenté. Une douce chaleur s'emparait du lieu, il ne manquait plus que son épouse afin de réchauffer son âme.
Le vieil homme, pensif, entendit ses hommes s'agiter, on vint le prévenir que Madame La Canéda Dehuit de Malemort était en train d'arriver.
Souriant, le coeur battant à tout rompre l'homme se posta devant l'entrée de l'embarcation et admirait la rousse de haut en bas.
Son souffle se coupait, il avait du mal à déglutir, il sentait son coeur accélérer le rythme encore, elle était magnifique...
La voir dans cette magnifique robe verte, les cheveux détachés, il n'avait pas pu espéré mieux.
Il était conquit, sous le charme total, il devait faire paysan à côté d'elle, mais pour le moment il s'en fichait, hypnotisé par le spectacle que lui offrait son épouse.
Lorsque leurs lèvres se rencontrèrent pour un baiser des plus fougueux, le vieil homme soupirait de satisfaction. Lentement ses bras se glisser autour de sa taille, l'étreinte se resserrant petit à petit, en faisant sa prisonnière.
Ne quittant pas le regard de la vindicative le vieil homme posa son front contre le sien, heureux de la voir ici. Sa main droite remonta lentement le long de son flanc afin de venir se poser sur la joue de son épouse. Ses doigts glisser lentement sur cette dernière, profitant de ce calme au maximum avant de prendre la parole.
Je suis le plus chanceux des hommes...
Argawaen l'embrassa à son tour, mais avec tendresse cette fois-ci, il lui prit le bras et lentraîna à l'intérieur. L'on pouvait y voir des bougies disposées un peu partout, au centre se trouvait une petite table, une rose rouge posée délicatement sur l'assiette de son épouse.
La victuaille était en train de cuir lentement à l'extérieur de la tente, mais le vin de champagne en revanche, était déjà là.
L'homme tira légèrement la chaise de son épouse afin qu'elle prenne place, une fois fait, lui alla déboucher une fameuse bouteille de champagne et en remplissait deux coupes. Il s'installa ensuite à son tour, regardait son épouse droit dans les yeux et trinqua avec elle.
A cette journée, et à toi ma bien aimée.
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Le vieil homme, pensif, entendit ses hommes s'agiter, on vint le prévenir que Madame La Canéda Dehuit de Malemort était en train d'arriver.
Souriant, le coeur battant à tout rompre l'homme se posta devant l'entrée de l'embarcation et admirait la rousse de haut en bas.
Son souffle se coupait, il avait du mal à déglutir, il sentait son coeur accélérer le rythme encore, elle était magnifique...
La voir dans cette magnifique robe verte, les cheveux détachés, il n'avait pas pu espéré mieux.
Il était conquit, sous le charme total, il devait faire paysan à côté d'elle, mais pour le moment il s'en fichait, hypnotisé par le spectacle que lui offrait son épouse.
Lorsque leurs lèvres se rencontrèrent pour un baiser des plus fougueux, le vieil homme soupirait de satisfaction. Lentement ses bras se glisser autour de sa taille, l'étreinte se resserrant petit à petit, en faisant sa prisonnière.
Ne quittant pas le regard de la vindicative le vieil homme posa son front contre le sien, heureux de la voir ici. Sa main droite remonta lentement le long de son flanc afin de venir se poser sur la joue de son épouse. Ses doigts glisser lentement sur cette dernière, profitant de ce calme au maximum avant de prendre la parole.
Je suis le plus chanceux des hommes...
Argawaen l'embrassa à son tour, mais avec tendresse cette fois-ci, il lui prit le bras et lentraîna à l'intérieur. L'on pouvait y voir des bougies disposées un peu partout, au centre se trouvait une petite table, une rose rouge posée délicatement sur l'assiette de son épouse.
La victuaille était en train de cuir lentement à l'extérieur de la tente, mais le vin de champagne en revanche, était déjà là.
L'homme tira légèrement la chaise de son épouse afin qu'elle prenne place, une fois fait, lui alla déboucher une fameuse bouteille de champagne et en remplissait deux coupes. Il s'installa ensuite à son tour, regardait son épouse droit dans les yeux et trinqua avec elle.
A cette journée, et à toi ma bien aimée.
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