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[RP] Le lac de Sarlat

Octavi_levasseur
Avant de prendre la route avec la troupe pour une direction inconnue de tous sauf de lui, il avait prévenu chacun de faire seller les montures et qu'au galop ce soir nous irions.

Pour le carrosse, il fallait prévoir quatre étalons afin que ce dernier puisse suivre la cadence et de faire installer en son sein suffisamment de couffins pour que son épouse amaigri n'étant plus que l'ombre d'elle même souffre le moins possible de ce voyage.

Sa seule raison d'être était cette ébène qu'un jour de septembre sur une plage abandonnée, il avait rencontré avec sa puce Lola, devenue grande aujourd'hui elle lui manquait et songeait à cette petite rouquine qui faisait son chemin accompagné du petit prince.

Alors qu'il ordonnait les derniers préparatifs, le comte de Corbières pris congé de tous, passant embrasser son épouse et lui murmurant.

Je vais faire un tour au Lac ma bien aimée, votre frère veillera sur vous pendant ce cours temps où j'irai promener mes souliers.

Promener ses souliers, voila bien ce qui lui restait en ce moment. Il se retourna puis lentement d'un pas morne, il se dirigea vers le Lac, parcourant les chemins qui le séparer du campement improvisé, observant les bosquets et la nature, son visage se tourna vers les Etoiles et le coeur assombrit se serra songeant qu'un jour viendrait il irait la haut les rejoindre.

Ses pieds raclaient le sol et les cailloux parfois virevoltaient, à l'aune d'un dernier chemin, le lac enfin se dessinait, pas un souffle de vent, il était d'huile. Arthur se dirigea en son bord et se déchaussa afin d'y mettre les pieds dans l'eau comme il aimait le faire Jadis sur la plage de Narbonne.

Son soleil s'était assombri un jour de mai et depuis le comte qui avait pourtant d'habitude solution à tout, ne trouvait ni les raisons ni quoi lui rendre la joie de vivre. Son poing rageur frappait au grès de sa marche sur sa cuisse en se demandant bien ce qu'il avait pu jamais faire. Son épouse semblait en pire état qu'en mai de l'année dernière et pourtant cette fois il n'avait lui rien fait pouvant causer pareille supplice à sa belle. La grossesse sans doute était ce souffre douleur qui l'avait accompagné ces derniers mois... L'enfantement n'avait pas été l'espoir qu'ils y portaient tout comme leur vie en BA, si Arthur avait su se faire reconnaître au point de lui proposer d'aller plus de l'avant, son épouse elle n'avait su s'y faire... Alors à son aimée, il avait dis une nouvelle fois allons allons au bout du monde mais ensemble... Ensemble...
Un large soupire se fit entendre alors qu'il ruminait, il s'était cru redevenu fort pour sa famille mais il du constater lamentablement qu'il était aussi faible que l'année passée, aussi faible que ce jour où il lui avouait une faute qu'il n'avait jamais commise, que des ragots insidieux avaient dressé dans l'esprit de son épouse... Et que dans la tourmente plutôt que de tenir tête comme il le faisait maintenant, il avait baisser les armes comme un c*on
Faible voila quel était le mot qui pouvait caractériser le comte en ces jours de Juillet Faible, il était redevenu et pourtant il tentait tant bien que mal de paraître fort et audacieux afin qu'elle puisse y trouver le réconfort nécessaire.


Parfois l'on fait des choix douloureux, on pense qu'ils seront les bons mais les résultats ne sont pas ceux escompter alors dans l'espoir de mieux on se réfugie pour espérer faire avancer les choses, dans la foy on prie pour y parvenir mais surtout par le courage nous pouvons seuls y parvenir par l'amour porté. Un jour notre père à Albyn et moi nous disait ceci : "Quand on veut on peut tout faire jusque soulever les montagnes" !

Arthur se redressa songeant qu'il fallait revenir jusqu'au campement et donner l'ordre de faire route à vive allure, alors d'un pas un peu plus alerte il repris le chemin jusqu'à retrouver le carrosse et monta en son intérieur rejoindre sa bien aimée qu'il prit simplement dans le creux de ses bras la protégeant de son corps des soubresauts qui ne manqueraient pas tout au long de la route.
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Garance..
    Après quelques heures de marches, ils arrivent enfin à Sarlat, chez Aleks. Elle les quitte pour se rendre au lavoir puis se dirige vers le lac. Rien de tel qu'un bon bain pour se réveiller et dénouer ses muscles. Personne aux alentours, une vaine !

    Elle se debarrasse de ses vêtements, les met bien en tas, puis sans attendre plonge dans les eaux sans prendre le temps de défaire ses tresses. Qui a dit que les chats n'aiment pas l'eau.. Le souffle coupé par l'eau froide elle patauge plus qu'elle nage. Elle fait quelques brasses, savourant la fraicheur sur son corps nu, puis fait la planche, les yeux tournés vers le ciel sans nuage. Une chaude journée s'annonce. Même pas un mois en leur compagnie et un tas d'evenements les plus incroyables se sont produits.

    Elle sourit la petite blonde, offrant son minois au soleil. Elle espère juste que ce n'est un début.
    Garance nage vers le bord puis s'étend sur l'herbe pour se sécher avant de les rejoindre. Elle finit par s'endormir, bercée par les bruits de la nature et le faible clapotis de l'eau.
Ninon_suleyman
ninon était allé e baigner elle avait mise ses braies et sa chemise et enlevaé sa robe et son ruban
elle en avait besoin
je pose ma besace sous un arbre et vais plonger dans l'eau
je nage pour me détendre
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Mikasa_ackerman
La jeune femme venait d'arrivé en ville..elle était encore un peu perdu, mais cela ne la décourageait pas, bien au contraire ça lui donnait plus envie encore de visité les alentour de ce qui allait être chez elle pendant les mois à venir.

La nuit commençait à tombé et le soleil avait presque disparu, la lumière qui en dégageais été rougeâtre et ce réfléchissait sur le lac et les nuage. c'était un décors magnifique pour un début de soirée. Elle s'assit au bord de l'eau et scruta au loin respirant l'air doux et frais avec de grand inspiration.




Elle continua à regarder ce merveilleux coucher de soleil en songeant à ce que pourrai et allait être son avenir ici lieu, elle verrai bien une maison arborer d'arbre fruitier et un petit ponton qui partira de la maison pour ce terminer a quelque mètre dans l'eau.

Elle resta songeuse quelque minute avant de ce relever, elle joint les paume de ses mains les tenant bien droite et s’inclina très légèrement en avant remerciant la nature de lui avoir accorder un spectacle aussi magnifique.
Lantana
Ses muscles lui font encore mal de s'être acharnée à la mine pour chasser ses doutes. Ce voyage, elle l'a attendu pendant longtemps. Après les premiers moments d'euphorie, de joie innocente, vient le temps de la réflexion sur elle-même, qui elle est, ce qu'elle fait, ce qu'elle deviendra.

Après la pénombre de la mine, celle de la nuit. Elle ne dormira pas à l'auberge ce soir mais à la belle étoile, près du lac. Elle arrive donc lourdement chargée, épuisée. Pas de bain nocturne ce soir, juste se laver à la va-vite et enfiler des vêtements secs et chauds pour ne pas prendre froid. Son panier contient un peu de pain, du lait et de la confiture pour pouvoir reprendre des forces une fois que le soleil sera levé. Mais pour le moment : braies, chemise, bas, sous sa houppelande et ses chausses aussi au cas où elle devrait se lever à la hâte. Sa couche est prête, elle s'allonge, ses vivres à côté d'elle, une dague à portée de main, son écu sur son buste avant de se recouvrir totalement d'une lourde couverture sombre. Point de feu pour ne pas attirer l'attention. Moment qui lui rappelle ses débuts dans cette vie, quand elle avait fui l'orphelinat, évitant la route pour qu'on ne la retrouve pas.

C'était il y a une année et quelques jours... Que de chemin parcouru depuis. Son arrivée à Castelnaudary, puis son départ à Béziers peu de temps après, seule sur les routes. Insouciante elle l'était, le Très-Haut veillait déjà sur elle. Son installation, ses premiers amis qui ne le sont plus... Puis l'enchainement rapide à trois conseils comtaux successifs, sa rencontre avec Savian, l'annulation de leur mariage, l'Ost, la Régence et tout récemment son entrée au Parlement de Paris. Une année riche en évènements, en petits bonheurs et en blessures profondes qui se réveillent à présent. La fin d'un cycle peut-être, boucler la boucle pour repartir sur de nouvelles bases. Apprendre à faire confiance, arrêter de se méfier... Cela lui sera sûrement difficile tant elle a pu être déçue et en pressent d'autres. Mais à ce moment, peu de risque qu'il lui arrive quelque chose, la ville est si calme... Elle est plus équipée désormais, plus aguerrie aussi. Ses entrainements à l'Ost lui permettent de ne dormir que d'un oeil, de guetter le moindre bruit suspect. Elle se laisse donc doucement aller au repos, pense déjà à passer la journée prochaine dans cet endroit, au calme.

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Pattricia
Cela faisait si longtemps...
Que de passage, la rousse n'avait pas voulu mettre sans dessus dessous "Les Glycines" en y installant tant de monde. Elle avait préféré renouer avec le passé, boucler une boucle -appelez ça comme vous voulez- et conduire la tribu à la "Crique aux Saules" pour y installer leur campement.
Pendant que chacun y allait de ses activités, elle avait confié sa jument à un garde/palefrenier, laissé leurs gens installer la tente du couple et s'était faite aider pour retirer son pourpoint de cuir et autre cotte de mailles. Par cette chaleur, porter tout cet attirail était particulièrement pénible, mais cela aurait pu être pire si elle avait porté son armure.

Ayant besoin de détendre son corps de cette nuit de chevauchée et surtout de retrouver ses marques, elle marche jusqu'à la pierre plate et s'y pose. Fixant l'horizon qui englobe un paysage gorgé de souvenirs, il y a l'ile évidemment, les collines qui longent la route menant à Péri, tout près la zone des roseaux et au loin, l'endroit où une tarée avait installé sa place forte à une époque pour narguer les gens de l'ile. "Tout ça est si loin..."
A cet instant, ce qui manque c'est son âme sœur, le grand mâle avec qui elle jouait pratiquement tous les matins ici. Elle sourit en se souvenant qu'il détestait quand elle disparaissait dans les profondeurs, incapable de la protéger ou de la voir. Elle se souvient de ses hurlements dans les moments terribles de son existence ou de celle de proches de l'époque. Soudain un battement d'aile attire son attention, les jades se fixent sur l'agitateur et le sourire s'élargit "le héron est toujours là, incroyable..."

Une émotion très forte l'étreint et trouble sa vue. L'estomac se noue et des perles coulent sur ses joues sans même qu'elle ne s'en rende compte. Un barrage vient de se rompre, toute une somme de douleurs accumulées en moins d'un an finit par enfin s'échapper de cette âme recroquevillée sur elle-même en éternelle représentation, simulation, certains appellent ça de la pudeur. Ce que personne n'avait réussi à faire, même pas les drogues, vient de se réaliser, la rousse se libère. Sans même réfléchir, parce c'est elle, parce que c'est lui, elle se déshabille sans se soucier si on la voit du campement et elle s'avance pour renouer avec "ses" bras salvateurs. L'eau est fraiche en comparaison de la chaleur matinale, mais elle n'en n'a cure. Celle qui s'était baignée dans ce lac avant qu'il ne gèle l'hiver, ou juste après la fonte de la couche de glace au printemps, chaque année de sa vie en ces lieux, plonge d'une traite vers le fond, à sa rencontre, aimantée par le chant provenant des profondeurs que peu peuvent entendre.

Ce qui se passe une fois le limon atteint est secret, personne n'en parle jamais. Certains l'appellent "la Dame", elle l'appelle "celui qui est". Cela n'a pas d'importance, ce qui compte c'est le pardon et la plénitude, la vérité et le baume guérisseur, la douleur et le futur. Après un temps qui semble long, l'ancienne môme au loup ressort de l'onde comme baignée d'une lumière intérieure, les jades sont redevenus limpides, ils ont perdu de leur innocence à jamais mais la tristesse les a quittés. Cette boule qu'elle avait au ventre en permanence depuis tant de mois a totalement disparue. Elle n'oubliera jamais, cependant elle avancera, plus sereine mais pas meilleure -faut pas déconner non plus-
Tranquillement, comme si rien ne s'était passé, elle rejoint la pierre plate et s'y allonge...

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Argawaen
Un ours avait besoin d'un peu de calme, et de repos. Il avait besoin de se ressourcer. Quoi de mieux que le lac ? Le vieil homme ne passait pas inaperçu avec sa hache calée sur son épaule, il ne s'en séparait plus, ce cadeau fait de sa suzeraine Erwelyn était devenu une habitude, une sorte de toc. Il avait besoin d'avoir sa hache près de lui. Tant de souvenirs... Argawaen parcourait un petit chemin, laissant le léger vent caresser son visage, un soupir de bien être s'échappa de sa gorge et il en profita pour s'allonger quelques temps dans l'herbe. Ce moment de plénitude lui rappelait vaguement Valence. Lorsqu'il était encore jeune l'homme adorait se rendre au bord du lac, et plus particulièrement le vieux moulin qui s'y trouvait. Ici, pas de moulin, mais un lac, cela lui suffisait amplement. Argawaen, s'aidant de sa hache comme appui, se releva avec difficulté et poursuivait sa lente marche le long du lac, après tant d'émotions, de tumultes, Sarlat avait comme un arrière goût de paradis sur terre. Cette ville, il avait toujours du mal, en cet instant précis cependant il apprenait à l'apprécier...

Le noble, d'un pas tranquille alla s'asseoir au bord de l'eau, il planta son arme dans le sable, retira ses bottes et en profita pour caler ses pieds dans l'eau. Se baigner ? Pourquoi pas, mais il n'en ressentait pas forcément le besoin. Il s'allongea, croisa les bras derrière sa tête et regardait le ciel pensivement. Une longue remise en question fut présente, sur sa vie, sur ses actes, sur ses choix. Avait-il eu raison de profiter à outrance ? Aurait-il du être plus sérieux ? Et actuellement, sa vie lui convenait-il ? Il n'en était pas certain, cependant il savait qu'il avait le meilleur choix pour lui. Malgré de nombreuses pages tournées, il y avait toujours des fragments du passé qui étaient présents, ces fragments qui le hanteraient à jamais...
Avoir revu sa fille Alcimane a été pour lui bénéfique, il s'était sentit revivre soudainement, il s'était rappelé qu'il devait se battre pour que ses enfants puissent grandir. Bien qu'en grandissant ses propres enfants se débrouillaient, il se sentait coupable et redevable pour son absence, et le mal qu'il avait semé. Sa fille ne semblait guère lui en vouloir, son fils cadet en revanche, cela était une autre histoire. Il ne perdait pas espoir de le revoir et de pouvoir de nouveau le serrer contre lui...

Le vétéran connaissant les sentiments que son épouse portait à ses enfants, il se doutait plus ou moins ce qu'elle ressentait, le côté protecteur, etc... Malgré lui, il devait l'admettre, il était pareil, mais cela, il l'avait compris bien plus tard. Il avait d'abord pensé à ses propres intérêts et avait fait comme bon lui semblait. En ce jour il regrettait amèrement, faire marche arrière était impossible. Il devait faire avec.
Après avoir soupiré un grand coup et s'être reposé il se releva, remit ses bottes, attrapa sa hache et reprit sa marche.
Au bout de quelques minutes il parvint à l'endroit où son épouse prenait le temps de se ressourcer, et il la vit, se faisant discret il l'observait, n'échappant à la moindre miette de ce qui était en train de se passer. Le Dehuit de Malemort, lorsque son épouse vint s'allonger sur la pierre plate s'avança lentement, derrière elle. Il se doutait déjà qu'il lui ferait sans doute peur mais il prenait le risque quand même...

Les mains du vétéran vinrent se poser sur les épaules de son épouse, exerçant une légère pression afin de montrer qu'elle n'avait rien à craindre, puis il fit remonter ses mains à son visage avant de lui caresser les joues de ses pouces. L'homme se pencha à son oreille et d'une voix tendre murmura quelques mots...


Je ne fus pas le meilleur époux qui soit ces derniers temps, sache que je m'en veux... Et que je t'aimerais jusqu'à mon dernier souffle...


Il retira ses mains lentement, regardait droit devant lui avant de s'accroupir et de se tenir au rocher...
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Doc.
Le maire s'était approché du Lac.
Il faut dire qu'en ces temps de grandes chaleurs, le Lac étant un des coins les plus fréquentés de la ville.

Lors de sa ballade, il reconnu au loin ses Amis Arg et Pat" ! Il semblait dans un de ces moments ou il était délicat de les déranger, d'ou il n'avança pas plus vers eux.

Il pris un autre chemin pour les contourner et regagna le bord.
S'asseyant , il retira ses chausses , et plongea les pieds dans l'eau


Ahh !
Quel bonheur !!


Il regardait autour de lui ..
Les uns balladaients, D'autres Nageaient...

Sans doute pour ça qu'on ne voit personne en ville, sont tous là ! se dit il.

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Pattricia_lcddm
Avec le soleil qui s'élevait dans ce ciel matinal, les gouttelettes qui recouvraient son corps il y a encore une demi-heure avaient séché. Elle entend des pas s'approcher mais Vindict toujours à veiller à la cime des arbres n'avait poussé aucun cri d'alerte, il s'agissait donc d'une personne "amie". Elle ne cille même pas quand des mains calleuses et puissantes se posent sur ses épaules. Elle connait chaque millimètres carré de cet homme, seul un léger sourire étire ses lèvres quand il se penche et murmure à son oreille.

Paradoxalement, elle n'avait jamais été jalouse avec son époux, elle n'avait jamais douté de ses sentiments pour elle, même quand leurs disputes étaient à leur paroxysme. Avec Michel, il était le seul homme digne de confiance avec qui elle avait tout partagé. Par contre, l'ours était jaloux comme pas possible, de ses ex, de ses amis, amies, etc. Il ne pouvait s'empêcher de jouer les exclus si elle partageait un moment de discussion avec quelqu'un d'autre que lui. Alors parfois, forcément elle poussait le bouchon un peu trop loin, comme par exemple proposer à Milo de faire le chemin avec eux sans en parler à son époux. Suivant le cours de sa pensée alors que l'ours a retiré ses mains de ses épaules, elle pouffe. Elle était vraiment insupportable parfois, mais la rousse, contrairement à son vin, ne s'améliorerait pas avec les années "que ça lui plaise ou non il m'aurait déjà trompée depuis longtemps si j'avais été autre... Y'a qu'à voir ce que cela a donné avec celles qui m'ont précédées...".

Logique toute féminine me direz-vous ? Peut-être -ou pas- Sans doute avait-elle raison, Argawaen n'avait jamais le temps de s'ennuyer avec cette rousse égoïste, de mauvaise fois et au caractère difficile. Leurs disputes donnaient lieu à des retrouvailles câlines qui n'étaient pas pour leur déplaire et puis la vindicative savait faire durer le suspens "ours pardonné", "pas pardonné ?", cela pouvait durer des jours de bouderies en tous genres. Toute en paradoxe, elle aimait le sentir autoritaire comme elle ne le supportait pas, ambivalence d'une femme écorchée vive avec surement quelques cases de vide, ne nous leurrons pas.

C'est donc toujours nue comme un ver qu'elle se retourne sur le ventre, appuyée sur ses avant-bras, elle lève vers lui son museau plissé.


Mon amour, tu as besoin de prendre un bain, ça fouette !

Ah parce que vous croyez qu'elle allait roucouler aux mots tendres qu'elle venait d'entendre ? Peut-être même venir lover son corps entre les bras puissants de son époux ? Ou encore minauder en gloussant comme une dinde ? Tss... On parle de Pattricia là, de celle qui lâche rien la plupart du temps et qui tient la dragée haute à son homme parce que sinon, il pourrait croire que l'affaire est dans le sac, qu'elle serait vraiment devenue douce et ronronnante. "Quand je serai sénile et encore ouais !".
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Argawaen..
Admirant la moindre courbe de son épouse, étant à la fois impressionné par la conservation de la rousse, et à la fois comblé, il se demandait tout de même si la rousse ne s'amuser pas à prendre les scalps qu'il lui offrait afin de se les greffer sur les plis. -la peau hein -
Le Dehuit de Malemort l'observait se mettre sur le ventre et ne quittait pas son regard des yeux. A la remarque de son épouse concernant son odeur corporelle il ne dit mots, Argawaen se contenta de se mettre à sa hauteur, de s'appuyer contre le rocher et de laisser le bout de ses doigts caresser le bras de la vindicative.
Ce genre de silence ne lui ressemblait guère, il avait cependant une idée derrière la tête. La rousse voulait être taquine, parfait... A son tour de l'être également.


Mon coeur, cette odeur certes malodorante fait de moi un homme bien plus désirable.
Il a été conclu il y a bien longtemps que l'odeur que dégageait un homme attirait bien plus les femmes qu'un homme parfumé... Ma foi il va de soi qu'un bain est toujours de bonne augure. A ce propos je vais y aller de ce pas...


Souriant en coin, le vétéran se redressa, délaçait sa chemise lentement afin que la rousse profite un peu du spectacle et se recula de deux pas avant de retirer ce haut fort gênant.
Tournant le dos à son épouse le vétéran se pencha afin de retirer ses bottes, il fit en sorte de prendre tout son temps, laissant le soin à la rousse d'en profiter également. A cet instant il avait l'impression d'être une fille facile, peu importe, c'était pour son épouse, et puis il n'était pas désagréable de faire baver la rousse un peu... Ses mains vinrent ensuite délier lentement les liens de ses braies avant de les retirer, se retrouvant ainsi nu. Lentement l'homme se retourna puis il croisa les bras.


Chère épouse, m'accompagnerez-vous ? Il se trouve que je ne parviens pas à me frotter dans le dos... Vous connaissez ma carure digne d'une armoire italienne... J'ai quelques problèmes de... Souplesses ?

N'attendant pas de réponse l'homme passa devant elle comme ci de rien était et alla lentement se glisser dans l'eau du lac. Un râle de bien être pouvait se faire entendre. Bah quoi ? Vous pensiez à quoi depuis le début ?
Phyladelphia


Le jours ce levait
Et ça allait être une journée chaude
Korn dormait encore elle ce leva doucement et sortit ce baigné un peu avant d'allé arrosé son jardin
Puis elle rentra préparer un panier de pique nique
Ils avaient décidé de ce promener le long du lac jusqu’à un bel endroit pour y passer la journée au frais

Puis elle alla réveillé ça montagne, elle s'allongea et ce glissa dans ses bras


Kikou Korn...
Il faut te lever si tu veux profiter un peu du frais...

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http://avalon.naturalforum.net/
Pattricia_lcddm
Un homme plus désirable parce qu'il pue ? Parfois les réponses de l'ours la laissait sans voix. Elle qui était si maniaque lorsqu'il s'agissait d'hygiène avait bien du mal à cet instant à comprendre le raisonnement de son interlocuteur. Amusée néanmoins, elle continue à le regarder nez froncé pendant qu'il s'essaie à une danse des 7 voiles. Quand elle pensait à son âge, elle ne pouvait s'empêcher de sentir son cœur se serrer. Ils avait un peu moins de vingts ans de différence et elle craignait de le perdre. Mais lorsqu'elle l'observe en train de faire son numéro, elle ne peut que constater que le grand air, les exercices quotidiens -en tous genres les exercices- avaient sculpté ce corps un peu massif de fort jolie manière. Évidemment des décennies à se battre avaient laissé bien des marques, sans parler de celles de la vie, du temps qui passe avec son lot de tristesse et de joie.

La vindicative se moque de tout cela, gourmande elle était de cette homme, gourmande elle le resterait jusqu'au bout. A la dernière phrase, relever se bâton tendu pour se faire battre est tentant, mais elle le sais hargneux quand on le taquine sur son âge, elle se contente de se mordre la lèvre inférieure, les jades pétillant de malice. Elle ne répond donc pas et le regarde "prendre les eaux. Prenant son temps -chacun son tour- elle se lève et s'étire face au soleil rose de l'aube puis descend la berge dans une lenteur calculée. L'observant entre ses cils, elle avance vers lui s'immergeant petit à petit. Une fois à sa hauteur, elle agrippe son cou et entoure son bassin de ses cuisses.


Où dois-je me frotter ? Aheum... où dois-je frotter ?

Elle papillonne des cils, lui balançant son sourire ravageur.
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Argawaen..
De l'eau arrivant jusqu'au torse le vétéran savourait cet instant de fraîcheur. Il avait toujours eu du mal à supporter la chaleur, et avec l'âge cela ne s'arrangeait guère. En observant son épouse il ne se rendait même plus compte qu'il était dans l'eau, une chaleur s'emparait de lui au fur et à mesure que la rouquine se faisait désirer. Argawaen avait été un coureur de jupons, un homme à femmes, il avait trouvé sa perle rare en la présence de Pattricia. Souriant face à tant de malices, il essayait de cacher son impatience, le corps menu de sa vindicative, bon sang qu'il l'aimait... Il aimait la sentir toute petite dans ses bras, malgré son sale caractère et les gestes déplacés qu'il avait eu le vétéran ne l'aimait pas moins, au contraire... Leurs conflits étaient toujours constructifs au bout du compte.

Lorsque son épouse s'approcha de lui, lorsqu'elle se colla à lui, un long frisson parcouru son échine et ce regard... Le vétéran en étant dingue, il se mordait la lèvre légèrement et l'excitation se faisait sentir. Avalant sa salive, il essayait de brouiller les idées malsaines qu'il avait en tête et tenta de garder un self-contrôle.
Son bleuté fixait celui de la belle, lentement sa main droite venait caresser son dos tandis que l'autre était posée sur son fessier, souriant doucement il approcha son visage avant de débuter un baiser langoureux...


Il faut frotter tout ce que tu peux, tout en insistant bien sur la partie basse de mon corps. J'ai peur qu'avec l'âge cela ne se ramollisse vois-tu... Pour le moment je suis ferme, mais il ne faut pas trop tarder non plus...

Souriant amusé le vétéran laissait ses lèvres parcourir le cou de la rousse, il aimait la sentir hors contrôle. Autant dire qu'avec elle il n'avait jamais le temps de s'ennuyer ou de penser à autre chose...
Pattricia_lcddm
N'est pas femme ou alors endormie genre belle au bois dormant celle qui ne sait pas l'effet qu'elle produit sur son homme. La vindicative sait bien elle ce qui va se produire, l'ours également, cela rend leurs joutes verbales -Ou pas- des plus délicieuses. Elle sait qu'elle n'est pas l'épouse rêvée d'un homme ; égoïste, indépendante, pas particulièrement intelligente, rancunière et de mauvaise foi étant ses principaux défauts, il y avait de quoi se demander si son époux n'était pas un peu maso... Très à l'aise avec elle-même, un jour de court remord, elle s'était absoute en décidant qu'elle était la croix que l'ours devait porter pour ses péchés passés -et ils sont nombreux.

Mais pour le moment, l'important à ses yeux, ce sont les mains qui son posées sur sa peau, accompagnant délicieusement un baiser langoureux et gourmand. Les frissons qui parcourent son corps ne laissent aucun doute sur ce qu'elle ressent. Il y avait bien longtemps qu'elle avait renoncé à donner le change à son amant, il savait trop bien jouer de chaque corde pour qu'elle arrive à lui résister. Néanmoins elle n'obtempère pas et profite de cette bouche qui lui caresse le cou avec adresse.
Elle a beau le connaître par cœur, sa sortie la fait éclater de rire.


Ne pourrais-tu pas présenter les chose avec plus de poésie ? De romantisme ? Toi qui écrit poèmes et chansons, comment peux-tu ne pas t'en servir dans ces moments délicieux où nous retrouvons ?

Elle frotte son museau contre la barbe hirsute et mouillée alors que ses doigts remontent le long de son cou pour se perdre dans la tignasse brune. Les jades fixent entre leurs cils les saphirs et s'y perdent, les lèvres sont entrouvertes dans un léger sourire. "Pourvu qu'il ne me sorte pas une chanson paillarde !"
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Argawaen..
Souriant à la question de son épouse, savourant la main de la rousse, son regard, le vétéran prit quelques instants afin de réfléchir à comment faire preuve de romantisme.
Tout d'abord le vieil homme vint glisser sa main dans celle de son épouse, ses lèvres vinrent délicatement se poser contre l'oreille de la rousse avant de prononcer quelques paroles.


Depuis le jour où je t'ai vu, depuis la première fois que mon regard a croisé le tient, il ne se passe pas un jour sans que je puisse être loin de toi... Je peux te haïr, être totalement en colère. Je t'aime encore plus...

Lentement il vint mordiller l'oreille de la vindicative, le désir se faisant de plus en plus pressant. Argawaen essayait de retenir ses pulsions, mais face à la rousse il avait du mal à résister. Cette femme le rendait hors de lui, et pourtant il était toujours là...
Il y a quelques années il l'aurait prise, puis jetée, sans scrupules et sans remords. Avec cette femme, il a un équilibre, il a peur de perdre celle qui l'a fait aimer comme un homme devrait aimer une femme...


Douce épouse, fougueuse rousse, tu fais de moi un homme à la fois fou, et terriblement éprit...
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