Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, ..., 5, 6, 7, ..., 50, 51, 52   >   >>

[RP] Le lac de Sarlat

Mimi.de.baneuil
Toujours accroché à un morceau de glace, Miquette esperait l'arrivée d'une personne.
Elle sentit une aide pour la remonter mais n'y croyait pas.

Qu'est ce qui t'a pris??????


Ne comprenant pas pourquoi ni qui, ni quoi
Mais rien la glace a cedée je penser etre pres de notre arbre...

Miquette regarda la personne sans la reconnaitre vraiment.
Tu aurais du me laisser là bas
_________________
Cerise
Cerise écouta Miki..
Mais rien la glace a cedée je penser etre pres de notre arbre...

Cerise la regarda avec de gros yeux
Non mais, tu crois que je vais te croire..

Cerise continua à tirer Miki de l'eau..
Tu aurais du me laisser là bas..

Mais ca va pas la tete.. Ti folle ou quoi !!
Bourrique..
Cerise fouilla dans sa besace et sortit une sorte de couverture et couvrit Miki..

Tu sais quoi? tu mériterais une bonne correction, allez ouste on file à ta taverne.. Je vais te remettre les idées en place mouaa.. ti va voir..

_________________
[De retour, doucement...]
Athos54
Athos ,qui passait par le lac ,toujours la tete dans ses penséés,vit cerise tenant quelqu'un contre elle ,enveloppé dans une couverture.
ILs'approcha des deux personnes et leur dis:

Bonjour vous deux !!
comment allez -vous?
besoin d'aide?dit il en voyant la personne grelotter sous sa couverture.

Puis demanda a cerise qui etait cette personna ayant si froid et ,il se demandais si elle n'etais pas tombéé dans le lac gelé.

[i]Toujours tourné vers cerise,il lui dit :

[b]Mais que c'est il passé ?


Il attendit la reponse en ayant froid rien quand regardant la mysterieuse personne qui etait semble t 'il glacéé.
Mimi.de.baneuil
Citation:
Non mais, tu crois que je vais te croire..

Miquette regardait Cerise
Mais je t'assure je crois que je vais ralentir la bière * rire*
J'ai vraiment pas vu ou j'étais assise.


Elle s'emmitoufla dans la couverture et essayait de se rechauffer au mieuxEntendant une voix familière, elle sortit la tête de la couverture et appercut Athos.
Elle lui sourit
Bonjour toi ca va ?
C'est rien je n'ai pas vu ou je m'asseyais et malheureusement c'etait sur la glace... Et elle a craqué
_________________
Mimi.de.baneuil
Citation:
Non mais, tu crois que je vais te croire..

Miquette regardait Cerise
Mais je t'assure je crois que je vais ralentir la bière * rire*
J'ai vraiment pas vu ou j'étais assise.


Elle s'emmitoufla dans la couverture et essayait de se rechauffer au mieux

Entendant une voix familière, elle sortit la tête de la couverture et appercut Athos.
Elle lui sourit

Bonjour toi ca va ?
C'est rien je n'ai pas vu ou je m'asseyais et malheureusement c'etait sur la glace... Et elle a craqué...

_________________
Athos54
athos apercut miquette sous la couverture ,et il lui dis :

coucou miquette ,bé alors que t 'arrive t'il?

Cerise et moi allons te ramener a la taverne pour que tu puisse t 'y rechauffer et te secher.

N 'est cce pas cerise? tu vas m'aider .


Puis se tournant vers miquette ,s'adressa a elle:

Si tu veux ,tu peux grimper sur mon dos ,comme cela tu pouras te rechauffer a l 'abri du vent derriere mon dos.


athos se mit devant miquette et se baissa legerement en attendant que mi grimpe sur son dos.
Cerise
Cerise écouta miquette..

Mais je t'assure je crois que je vais ralentir la bière * rire*
J'ai vraiment pas vu ou j'étais assise.


Mouais à d'autre.. Arrête de parler et réchauffe toi..

Puis se tourna vers Athos..

Cerise et moi allons te ramener a la taverne pour que tu puisse t 'y rechauffer et te secher.
N 'est cce pas cerise? tu vas m'aider .



Oui allons y, à la taverne de Miki.

Cerise regarda Miki monté sur le dos de Athos et on commença à avancer vers la taverne..

_________________
[De retour, doucement...]
Zoltem
Assise à la jonction de la Dordogne et du lac, la jeune vierge laisse couler ses larmes. Elle se sentait impuissante, juste partir à toute vitesse pour essayer de sauver les petits de Al et Survie.

Sa marraine était si mal. Al était sa valeur sûre en ce bas monde et lui aussi disparaissait. Zoltem avait peur, elle avait essayé d'expliquer à Mari son préssentiment mais c'était si flou et Pat si forte pour masquer ses décisions les plus sombres.

Zoltem n'avait pas la sensibilité aigüe de Pat pour le lac, elle était plutôt du genre cueillette de fruits et siestes dans l'herbe... Elle espérait juste que le fameux lac de Genève permettrait à cette femme poursuivie par le sort de trouver la paix, ou du moins de ne pas faire n'importe quoi.

Elle savait qu'elle s'était préparée pour un bal et qu'elle irait, jouant la comédie comme toujours, mais seules celles qui avait dormi aux Mures connaissaient ses pleures nocturnes, ces marches incessantes dans le jardin sous les rayons de lune, ces disparitions soudaines dont elle revenait toute crottée. Elle était loin et personne ne la connaissait vraiment.

Une fois à bout de larmes, la jeune femme se relève et se dirige vers l'écurie, prête à en découdre avec les gens qui avaient recueilli les petits orphelins à Aurillac. Elle les ramènerai dans le giron familial et ensuite elle tirerait sa révérence à son tour...
Heleonore
Heleonore, jeune fille qui avait tout juste 16 printemps, cheveux blonds et un visage aux formes angéliques venait tout juste d'Arriver avec sa mère à Sarlat. La jeune noble avait toujours eu un tempérament difficile et où elle avait de la difficulté à retenir ses émotions. Elle n'avait peur de rien et avait toujours su qu'elle était différente des autres et qu'elle irait loin dans ses projets.

La jeune fille venait à peine de commencer à parler à sa mère sans méchanceté et même avec un peu de doucuer. Par contre, son frère jumeau et son père n'étaient toujours pas là et cela commençait à inquiéter la nouvelle venue.

Se sentant bien seule dans ce village inconnue, Heleonore avait décidé d'aller en promennade et c'était retrouvée au bord du lac aux eux gelées et où la neige et al glace prenaient toute la place. Elle prit la peine de resserer sa cape autour de ses frêles épaules. Ses cheveux blonds flottaient autour d'elle dans un joli mouvement. Si on la regardait elle n'était que grâce et douceur en ce moment.

Son coeur par contre était parfois lourd, car elle avait peur de ce qu'il allait se passer dans les prochaions mois, car elle venait de rentrer dans un monde incconu et vaste.

Helonore de Plantagenêt avait toujours gardé les moutons en irlande et rien de plus. Maintenant, elle allait devoir se comporter comme une vrai noble et ne pas faire honte à son nom qui n'était que noblesse et honneur.

Le vent devint un peu plus fort et cela la fit frisonner. Perdant son regard semblable à celui de son père dans le lac sans vie, la jeune fille s,installa près d'un arbre.

Qui sait peut-être que quelqu'un viendrait la voir pour la réconforter ou simplement se présenter.

Une larme coula sur sa joue et elle pria pour que tout ce passe bien et qu'elle joue son rôle que ses parents attendaient d'elle. Elle se mit à chanter d'une voix pure et magnifique une chanson de l'Irlande que ses parents adoptifs lui avaient montré quand elle était toute petite. On pouvait donc à travers Sarlat entendre une voix douce et mélodieuse.
Zoltem
Elle était revenue et avait ramener les enfants, elle attendrait demain. Elle avait fait une promesse. Elle l'avait prévenue qu'elle devait s'attendre à perdre sa meilleure amie et elle avait dit "j'arrive".

Elle lui remettrai ce que de droit et partirai le plus rapidement possible, juste au cas où elle pourrait la convaincre de ne pas faire de bêtise. Elle avait vu la pancarte de mise en vente et elle avait crier de rage.

Le lac, cette ile si précieuse à certaines, cette eau qui l'avait apaisée tant de fois mais là...

Retournant jusqu'à la maison, la jeune vierge tourne le dos au lac et à la Dordogne pour la dernière fois, elle ne reviendrait pas ici, à quoi bon...
Emili24
ce soir là, Lilie prit sa jument par la longe et se rendit au lac avec un peu de nostalgie. la nuit venait à peine de tomber et la splendeur du clair de lune refletait sur le blanc manteau de neige qui recouvrait le petit village de Sarlat.

marchant tranquillement, c'est arrivant devant la barrière qu'elle se souvient. Lilie avait pris ce meme chemin quelques jours auparavant aux bras de son bien aimé. elle sentit la longe s'agitait entre ses mains ce qui la fit sortir de sa pensé, Tornade trépignait d'impatience.

doucement ma belle, je sais que tu as besoin de galoper dit elle en lui caressant le chanfrein.

Lilie ouvrit la barrière, detacha la longe laissant ainsi sa jument cavaler. tout en l'observant, elle replongea dans sa pensée :

à ces moments tendres et affectueux ici à cet endroit, où il lui avait murmuré des mots doux, à ces fleurs qu'il lui avait offert dont une qu'il avait delicatement glissé dans ses cheveux, à ce fameu baiser echangé au dernier rayon de soleil

Lilie sortit de ses songes puis escalada la barrière. elle s'approcha du lac, Tornade vint la rejoindre donnant un léger coup de tete faisant comprendre qu'elle etait la.

il est loin le temps du voyage où nous parcourions les chemins seules toutes les deux ou bien accompagnées de nos amis. n'est il pas magnifique ce lac ?

elle se retourna face à sa jument deposant un baiser sur son nez lui caressant en meme temps l'encolure.

vient ma belle il commence à faire froid.

Lilie attacha la longe à Tornade puis s'en retourna chez elle suivit par sa fidéle compagne de voyage.
Pattricia
Une ombre parmi les ombre, un fantôme parmi les fantômes, une âme morte parmi les morts... Entre chien et loup, le fantôme et le loup avancent sur le chemin du lac. Le loup semble dérouté, le fantôme ailleurs... L'hongre par la force de l'habitude a pris le chemin de la crique aux saules comme si cela allait de soi. Les saules déplumés pendent tristement vers le lac, une légère pellicule de glace a pris sur les bords de ce dernier, mais rien de solide.

Le fantôme descend et regarde l'ile et détourne les yeux...

Dans son regard toute la désolation du monde, rien ne lui permet de voir la beauté du lac, presque gelé, sous le rayon de lune, nappe d'argent scintillante et prête à l'accueillir si il se décide enfin à s'ouvrir au monde.

Non le fantôme ne voit rien, plus tard peut-être...

_________________
Chrisglt
Chrisglt s'avançait vers le lac ou se reflètait la lune. Il releva le col de son manteau.
"Il fait froid ce soir" se dit il.

Il se souvenait du lac de Guéret et des promenades en compagnie de Tio. Il était nostalgique de sa ville.
Mais elle est quasi morte. Personne en taverne... Y a pourtant un maire et un tribun exceptionnels!

Non, il n'y retournera pas. Sa vie est ici désormais. Il est heureux en présence de sa douce Tio.

Comme il était heureux lorsqu'elle a répondu à ses baisers enflammés!
L'image de sa douce assassinée lui voila la vue un instant mais il savait qu'elle approuvait son choix...

Tio, beaucoup de caractère, belle, sauvage... une femme superbe!
Il l'aimait oui... Quasiment depuis le premier jour mais il n'avait pas osé lui dire encore.
Il lui a envoyé des fleurs à son anniversaire. Elle l'en avait remercié.
Et ce voyage qui n'en finissait plus! Il s'était langui d'arriver.
Puis enfin le bonheur! Elle était là, devant lui, merveilleusement belle et sauvage!

Il sourit et repris le chemin de l'auberge.
_________________
Libirou
Libi qui venait d'une ville forestière adorait les lacs et la mer, et ne rata pas l'occasion d'emmener Raphaël faire le tour du lac de Sarlat. Elle se rappelait toujours avec émotion des premiers pas qu'il avait faits 6 mois plus tot à La Rochelle..Fasciné par les vagues, il s'était mis debout, d'un coup, pour marcher comme un grand vers l'océan, riant aux éclats, et elle n'avait eu que le temps de le rattraper avant qu'il disparaisse dans l'eau....Son bébé, son amour de bout'd'chou de 10 mois, un futur marin????

Le lac était plus calme , surtout à moitié gelé comme il l'était....Un bon froid sec, du soleil..Raph lançait depuis la berge des gros cailloux qui crevaient la glace fragile et s'enfonçaient dans l'eau glacée avec de grands Plouuuuff qui le faisaient rire.
Libi tendit l'oreille et entendit venant de l'autre côté du lac une voix mélodieuse qui chantait dans une langue inconnue, mais d'une grande douceur. Elle croisa aussi un jeune homme, le col de son manteau relevé jusqu'aux oreilles et si perdu dans ses pensées qu'il ne répondit point à son bonjour, pas plus qu'il ne prêta attention à Raphaël et son joyeux tapage...

Le soir tombait vite et la fraicheur devenait froidure au bord de l'eau. Malgré ses protestations véhémentes, Libi entraîna le gosse vers la ville, pensant déjà à la douce chaleur du feu dans une taverne, et aux rencontres agréables à faire dans cette ville si accueillante aux voyageurs.
Fostine
partit a le decouverte de la ville,fostine s'eloigna vite du bourg et s'engagea dans un sentier quelques peu escarpe,les ronces et genets fouettaient ses jambes et de fines gouttes d'eau tombant des arbres lui caressaient le visage , au bout du sentier elle decouvrit un lac,un rayons de soleil timide perça un nuage et veint se refleter dans l'eau claire et paisible

fostine trouva un endroit quelque peu a l'ecart et se laissa glisser le long d'un saule,elle aima cet endroit,ici au bord de l'eau, a l'abris des regrds elle pourrai venir s'isoler quand elle aurai besoin d'etre seule,elle ferma les yeux ,quelques souvenirs ,ou plutot quelques brides de souvenir lui revenaient en memoire...

elle resta ainsi un moment ,quelques heures peut etre,elle ne saurai le dire...
la nuit tombait deja ,le ciel s'innondait d'etoiles qui venaient se projeter dans le lac le faisant briller tel une riviere de diamant

peut etre devrais je aller les rejoindre........
See the RP information <<   <   1, 2, 3, ..., 5, 6, 7, ..., 50, 51, 52   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)