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[RP] Le lac de Sarlat

Michel_de_cheynac
Pat se retourne et me souris.

Michel...

lui prenant les deux mains,je lui demande:

Pat;veux-tu faire ton chemin avec moi?veux-tu être ma compagne,mon soleil?
Pattricia
Je le regarde, un peu surprise par tant d'élan lui si introverti. Je me lève pour lui faire face. Un léger sourire espiègle sur le visage.

Ton soleil ? En plein clair de lune... Tu es sûr ?

J'éclate de rire en voyant son visage quelque peu interloqué.

Michel... Je suis une écorchée vive, je suis mère, tante et... je suis seule depuis si longtemps...
Peut-être pourrions-nous nous donner du temps, profiter de la vie sans se faire de promesses. Être tout simplement heureux. Je veux protéger mes enfants, si ça ne marchait pas nous deux ce serait eux qui en souffriraient le plus au final. Ils sont toute ma vie et je veux les laisser à l'abri de ma vie privée.


Soyons heureux sans nous faire de promesses. Est-ce que cela te convient ?

J'essaie de deviner ce qu'il pense à cet instant là mais malgré la pleine lune, difficile de lire dans son regard. Et si je l'avais blessé ? Et si j'avais encore tout gâché ?
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Michel_de_cheynac
Ton soleil ? En plein clair de lune... Tu es sûr ?

original...la j'avoue qu'elle m'a eu...mais faut pas lui faire voir..;soyons étonné...

Soyons heureux sans nous faire de promesses. Est-ce que cela te convient ?

Je m'attendais un peu a cette réponse...Pat est vraiment aussi sauvage que moi...

tant que je pourrais te voir comme ce soir seul a seul et profiter de ces bons moments ensembles;ça ira...je te promets...d'être patient...
Mais je t'aime vraiment et de plus en plus...mais chacun chez soi...mais si tu veux venir a la forge,il y aura toujours une place pour toi...même pour une soirée...

je pris Pat dans mes bras et sentit un lèger tremblement:voulait-elle de moi reellement?
Pattricia
Bon alors là arrêt sur image... Moi complètement étourdie par ce que je venais d'entendre. Il m'a dit qu'il m'aimait j'vous f'rais dire ! Et ça ben... On ne me l'avait jamais dit, oui je sais maman et pourtant...

Donc je suis là, ne sachant que répondre parce que surprise, troublée et tout à coup effrayée. La peur que ça aille trop vite, qu'il se rende compte qu'il se trompe, la peur quoi ! Cette fichue peur qui me ronge et me tient éloignée de tout et de tous.

Comment avait-il fait pour tout faire voler en éclats si vite ? Était-il magicien, m'avait-il envoutée, oui un peu sans doute... Quand il me prends dans ses bras je frissonne, comme si je n'avais pas le droit au bonheur, comme si c'était trop beau, trop simple, trop évident...
Ne sachant que dire, je me hisse sur la pointe des pieds et l'embrasse...

Pourquoi faire compliqué quand on peut faire simple...

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Elendillefin
Profitant du soleil printanier qui faisait s'éveiller la nature, Len alla se promener sur les bords du lac.

De loin, il vit deux personnes en train de se parler


... hoo, mais ouiii .. ils sont en train de s'embrasser!

Souriant, il ne voulut pas les déranger et alla discrètement s'installer un peu plus loin.

Il se défit rapidement de ses vêtements qu'il cacha soigneusement à l'abri des petits farceurs et piqua une tête dans l'eau fraîche, heureux de cette halte pendant son long voyage.
Pattricia
Il y a avait des soirs où tout allait de travers, et nous étions un de ces soirs là. Les enfants avaient été particulièrement indisciplinés, Mélie particulièrement ronchon, si il était pas pris, je lui présenterais bien le maire, ça ferait un joli couple... Mari particulièrement gourmande et moi un peu distraite.

Mon esprit était tourné vers lui, j'étais impatiente et évidemment tout n'avait pas fonctionner au mieux. Après un diner et un début de soirée éprouvant, j'avais ressenti le besoin de me rendre au lac le temps de me détendre un peu avant de le rejoindre et... je m'étais endormie...

Lorsque je me précipitais en taverne, il était évidemment trop tard. J'eus beau regarder par les fenêtres, rien n'y fit, il était parti et je n'étais pas encore sûre de moi au poins de me rendre à sa forge. C'est donc naturellement, profitant de la nuit sans lune, que je me rends à la crique aux saules, laisse mes vêtements sur la branche du noisetier et me laisse glisser dans l'eau.

Je laisse mes pensées errer vers elle, qui souffre et n'a pas fini de souffrir, vers lui qui a dû croire que j'avais mieux à faire ailleurs, vers elle qui contemple la vie solitaire et pense déjà à repartir, vers lui, si proche et si loin, qui souffre et que je sens s'éloigner très loin, trop loin...

Je laisse mon corps flotter immobile, le regard tourné vers le ciel et sa noirceur, personne ne le voit, il fait trop sombre, personne ne me sait là, je ne suis qu'ombre...

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Cerise
Par ce temps tristounet, Cerise était de garde, et en ce dimanche le cœur n'y était pas.. Elle se posait beaucoup de question.. Beaucoup de déceptions qui s'ajoutaient les unes après les autres...

Elle déambulait dans les rues du village, la tête ailleurs, elle arriva enfin devant le lac, celui ou Cerise venait souvent pour se recueillir..Elle soupira devant ce vaste étendu, calme, désert.. Puis elle longea la berge jusqu'à son endroit préféré, les gros rochers..

Arrivée à son ti coin, elle se laissa tomber au sol sur le popotin, puis s'allongea le dos au sol... Elle fixa un moment le ciel, puis ferma les yeux, en étant si pensive....

Cerise était bien là et resta un long moment... Seule ...

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[De retour, doucement...]
Lolodrogba24
Lolodrogba se reveilla avec une gueule de bois que jamais auparavant il n'avait prise, il maugréa les noms de Cerise et de la Comtesse Frah.
Elles avaient réussies à le rendre saoul, jusqu'au point de bisouiller le Crane du Capitaine.

Il se leva en titubant avec un mal de crane, il avait reussi a prévenir Pomps qu'il ne pourrait enseigner dans ces conditions là.
En plus de perdre l'argent des cours , il était très fatigué et en colère, ronchon quoi comme aimait l'appeler sa griotte.

Il prit son petit déjeuner et décida d'aller régler ses comptes avec la Cerisette, il la chercha partout dans les rues de Sarlat mais ne la vit pas, fit même un tour au poste de Police , mais toujours rien, elle devait encore s'être cachée au Lac.

Il partit donc en direction du Lac , vers les gros rochers , son endroit préférée et la vit allongée là , reveuse, sans rien dire , il la souleva et il la jeta à l'eau avec lui.

Le reglement allait commencé.
Cerise
Cerise rêvassait en regardant les nuages dans ce superbe ciel bleu, elle ferma les yeux en moment en soupirant, quand elle les rouvrit elle put voir son aimé se pencher vers elle, il la prit dans ses bras et la jeta à l'eau avec lui..

Cerise était toute trempée, elle avait fait un sacré vol plané là, la vengeance sera terrible pensa-t-elle? Elle l'attira vers lui passant ses bras autour de son cou afin que ses mains puissent jouer avec ses bouclettes derrière sa tête..

Griotte le fixa tendrement puis l'embrassa amoureusement en fermant les yeux.. Pour une fois qu'il était là avec elle, elle voulait profiter de chaque instants.. Les ti moments aussi proches et tendres étaient si rare... Cela manquait terriblement à Cerisette, elle qui aimait tant cette douceur...

Une fois le doux baiser échangé, Griotte regarda son ti Bichon avec un sourire malicieux, plaça ses mains sur ses épaules, appuya un peu en forçant et lui fit couler la tête la première..

Puis elle nagea un peu plus loin pour pas qu'il ne l'attrape..

- C'était bon de boire la tasse..

Griotte éclata de rire en voyant la tête de son amour..
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[De retour, doucement...]
Pattricia
Le besoin de se détendre, de cuver de ma gueule de bois, de m'éloigner de certains regards inquisiteurs, de le retrouver... les retrouver... Pour le deuxième, le mal était fait, truffe humide collée dans mon cou, pattes boueuses posées sur mes épaules, reniflement de toutes sortes, bref... Pour une fois je n'étais pas au sol, mais je réalisais à quel point il était grand et fort.

Cette gueule d'amour, je lui devais surement ma présence ici, et cette mâchoire au crocs énormes, certains lui devaient surement leur mort... Tout était si flou et pourtant si présent. Cet animal si grand, aurait pu dans un acte de folie m'éliminer d'un coup de gueule et pourtant il était là, quêtant des câlineries et un jeu quelconque.

Drôle de couple...

Je le repousse en riant, faisant fi de mon état boueux et lamentable et entreprends notre rituel, le "courre après moi que je t'attrape". C'est délicieusement essoufflée que j'arrive bonne dernière à la crique et c'est surchauffée que je me déshabille sans réfléchir. Alors je saute dans l'eau, du haut de la pierre plate et j'ai le souffle coupé.

Quelle idiote !

La fraicheur de l'eau me suffoque, je suis devenue plus délicate ces derniers temps, comme si le bonheur fragilisait, laissait la place à quelque coup d'épée ou de dague. Deux yeux sournois avançant à fleur d'eau se dirigent vers moi et c'est en éclatant de rire que je plonge pour arriver juste derrière. Bon d'accord, couler un loup en train de nager c'est pas très glorieux, mais je pourrai jamais le battre à la course, il y a un moment où tricher un peu c'est tout de même jouer...

Sachant que je ne perdais rien pour attendre, je m'éloigne, le laissant retourner à la rive pour se sécher et m'observer, toujours si attentif à mes moindres faits et gestes. Ce matin je devais parler aux filles, ce matin je devais réfléchir à mon avenir, ce matin je devais écrire à une amie enfin bientôt de retour, ce matin je devais commencer à compter les jours qui me rendraient enfin ma liberté.

L'aube irisée était déjà là depuis un moment, mon époque de l'entre chien et loup était révolue, à moins de ne pas dormir la nuit. Désormais, les pêcheurs arrivaient plus tôt, désormais je devais te partager mon lac et ça... Je regarde l'ile, je pense à elle, je sais qu'il faut laisser faire le temps, mais elle me manque. Résolue à ne plus me laisser prendre pas les pensées nocives, je me dirige vers la rive et rejoins ma boule de poils déjà en train de faire sa toilette. Je frissonne, la légère brise ressemblerait presque à une légère bise, mais peu importe ma chaire de poule, je m'allonge sur la pierre plate et laisse les gouttes peu à peu glisser sur ma peau.

Comme une enfant essayant d'imaginer le monde, je guette les nuage et essaie de leur donner une signification. Quelque chose me manquait, ou plutôt quelqu'un, mais la journée ne faisait que commencer...

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Michel_de_cheynac
la soirée en taverne s'était bien passée;on avait bu,on avait ri,j'avais un peu embété le comte...puis nous sommes restés seuls;je lui ai proposé d'aller au lac mais elle ne voulait pas pretextant qu'il faisait trop froid;elle préférait rentrer au moulin...tant pis...nous nous quittons pour ce soir...

Je traîne de taverne en taverne,souvent seul,puis décide de rentrer a la forge..j'active un peu le feu...j'adore travailler de nuit;j'en profite car je n'ai pas de voisins que je pourrais déranger...mais ce soir,je n'y ai pas le coeur...ni l'esprit...je sens poindre une de ces maudites nuits sans sommeil peuplées de peurs anciennes et de pensées indigestes que je voudrais oubliées a tout jamais ...

je regarde dehors...la nuit est belle...je pose mes armes,les laissant a la garde d'Akam,et je pars en courant comme un fou le long de la Dordogne,je passe dans le bois non loin du lac et arrive épuisé pas loin du moulin...je m'agenouille afin de récuperer un peu...tout a l'air calme...ça doit dormir...revenant en arrière en flânant,j'approche du lac...je jette un regard en direction du phare...ça a l'air calme aussi...il y a longtemps que je n'ai pas eu de nouvelles de la grande...

mes pas m'emmenent vers la crique aux saules...comme c'est bizarre...
Arrivé a proximité,j'entends du bruit dans l'eau...je m'approche un peu...il me semble reconnaître ce rire...pour quelqu'un qui ne voulait pas se baigner...un mauvais sentiment m'envahi,mais il s'estompe vite en l'entendant rire...un glapissement...elle est avec...
je me dissimule derrière une talée de saules et attends...l'aube approche...
Le loup sort de l'eau,s'ébroue,hume l'air et regarde dans ma direction...je crois que pour la discrétion,c'est mort...

l'aube s'est levée...elle sort de l'eau a son tour et s'allonge sur la pierre plate...qu'elle est belle...quoi?..voyeurisme?...peut-être...et alors?...moi j'ai l'droit...
décidant de sortir de ma cachette,je m'approche doucement d'elle...je jette un oeil sur ses vétements jetés a terre...une pensée me vient...mais je la regarde a nouveau et la pensée s'en va...le loup a disparu...elle semble dormir...naan,elle a sourit...je la rejoins,m'agenouille a côté d'elle,lui dépose un baiser sur le front...

-coucou toi...
Pattricia
Les nuages se mélangent, comme autant de corps attirés les uns par les autres. Certains s'enfuient, d'autres se rapprochent et parfois se multiplient. Je souris, imaginant tel animal, ou encore telle personne et trouvent que les couples qui se forment dans le bleu azur sont bien incongrus. Je manque d'éclater de rire plus d'une fois, mais seul un léger sourire étire mes lèvres.

Je suis bien... Soudain je le sens aux aguets, le museau qui se lève, le regard qui se fixe et je me maudis d'avoir laissé ma dague près de mes vêtements. Puis il me fixe, son regard intense est tranquille, presque pétillant et je me détends. D'un clignement imperceptible, je lui fais comprendre qu'il peut aller et il s'éloigne. Il était là...

Faisant fi de mon envie de me redresser pour le surprendre dans l'impatience que j'ai de le voir, je reste tranquille, frissonne et souris, les yeux clos il est venu... enfin....
- coucou toi...

Au touché de son baiser, mes yeux s'ouvrent sur le visage de celui qui a changé ma vie de solitaire et mon bras, comme doué d'une vie personnelle, passe derrière sa nuque et l'attire à moi. Je ne parle pas, ça n'est pas utile, juste l'embrasser et commencer cette journée de la meilleure façon qui soit... Le temps s'écoule, le temps se perd, dix secondes, dix minutes, quelle importance. Rien n'existe que ses bras, ses lèvres et notre bonheur.

Ecartant son visage, je le regarde et souris.

- Bonjour toi, tu es bien matinal et tu as le visage fatigué. Encore des insomnies ?

J'hésite...
- Peut-être qu'un bon bain te ferais du bien...
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Cerise
[Quelques jours plus tard... ]

Cerise venait de quitter la taverne ou elle était avec des amis, la Famille de Cognac.. Elle avait pu rire un peu et sourire, chose qu'elle ne faisait plus depuis quelques jours... Cerise déambulait dans les rues de Sarlat, sans but, la tête complètement ailleurs, et on pouvait voir des larmes couler sur ses joues qu'elle tamponnait aussitôt pour les dissimuler...
Elle était si peinée, si triste, si...

Griotte se dirigea vers le lac, le seul endroit ou elle était face à elle même, là ou parfois les réponses à ses questions lui apparaissaient.. Ce lieu était si paisible, elle fixa un long moment le lac ou on pouvait voir la lune se refléter dedans, elle resserra ses bras sur elle même pour se réchauffer car le fond de l'air était glacial.. Les larmes étaient plus présentes...

Elle longea le bord de la rive pour aller se recueillir à son endroit préféré les gros rochers, caché par quelques arbustes, isolé de tout le reste du lac, très peu éclairé par le ciel, personne ne pouvait voir que Griottine était ici, sauf ceux qui la connaissaient bien..

Elle se laissa glisser sur l'un des rochers comme à son habitude, se recroquevilla sur elle même, le regard vers les reflets de cette lune étincelante mais il se perdait dans le vide, les yeux toujours humide... Cerise était perdue, elle ne savait que faire, elle souffrait tant... Elle lui avait parlé cette après midi, elle espérait que ca allait le faire réfléchir et agir un peu plus.... Seul l'avenir pourrait le dire...

Mais Griotte l'aimait tant, elle ne voyait pas sa vie sans lui..... Mais lui était ce le cas aussi?? Que ressentait il pour sa Griotte ?? Cerise ferma les yeux et plongea sa tête dans ses genoux que ses bras entouraient...

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[De retour, doucement...]
Phenix50
Le Comte de Cognac aimait la nuit, c'était son domaine, son refuge. Combien de fois au cours de son existence n'avait il pas choisi ces moments là pour réfléchir, loin de tout. Ce soir là cependant Phenix était plutôt d'humeur heureuse, des évènements plaisants avaient eu lieu et il se félicitait de ce qu'il menait sa vie comme il l'entendait.

Ses pas le menèrent aux abords du lac de Sarlat. C'était un endroit qu'il aimait tout particulièrement et où il avait vécu maintes aventures au cours de son existence romanesque. C'était aussi l'endroit favori de son épouse bien aimée, Frah.

La plénitude du lac ... Les clapotis de l'eau ... Le reflet d'une lune pleine que les vaguelette rendait vivant... L'air emplis de cette vie de nuit, des dizaines de créatures qui personnes ne verrait jamais le jour, de la chouette à la chauve souris, des insectes aux batraciens, silencieux ou amoureux, en chasse ou à l'affût, se protégeant des regards inopportuns ...

Il marcha un long moment au bord de ce lac, il ne souffrait ni du froid nocturne, ni de la peur du noir. Une envie irrésistible de nager dans ces eaux calmes au sons de la nature le prit alors qu'il se trouvait sur une grève sableuse.

Les rayons de lune éclairèrent son corps dénudé, sa chevelure corbeau. En pagne il pénétra dans la masse glissant bientôt tel une onde à la surface du lac. Il pouvait ressentir le liquide qui semblait l'épouser tout entier. Sous lui les profondeurs sombres et mystérieuses, au dessus de lui la voûte étoilée formait comme un voile que la belle lune éclairait...

Il se mit sur le dos, ne bougeant guère, il pensa :


Ô belles de nuit, douces caresses, souvenirs évanouis
Ô infimes plaisirs, langueurs insouciantes, infinies

Ne me quittez guère, revenez vers moi, chants et rires
Ne m'oubliez pas, ramenez moi aux cieux, jolie satyres


Et il chantonna, ode lointaine dans la nuit, à la surface du lac :

Parsemé de doutes et de chagrin un jour, transformé et heureux le lendemain
Attire les vasques contenant le bonheur de toute une vie, chargée de
ta main
Ton amour me submerge tel un étang rejoignant l'horizon, et recouvre
mon esprit
Mon aimée, ma douce Frah, soleil d'une vie entière racontée entre nous, pour toujours....


Son regard gris scrutait les cieux, il était à une certaine distance des berges, mais il ne s'en rendait pas compte tant il se sentait en harmonie avec les lieux.
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Phenix Alexandre Richard de Plantagenêt, Comte de Cognac
Lolodrogba24
La discussion de la veille lui avait fait mal, elle n'avait pas confiance en son amour, cela l'avait touché au plus profond de son coeur, lui qui s'était séparé de la fée Hildegarde pour venir vivre avec elle.

Elle ne se doutait pas qu'elle lui avait fait si mal...............

Pourtant, cela l'avait fait réfléchir au sens de son existence , ne fallait il pas tout tenter cette fois ci pour être vraiment heureux ou encore rester sur le passé à attendre l'inattendu.
Les questions fusaient dans son esprit et il mit un long moment avant de comprendre ou était ses priorités.

Il se dirigea vers le Lac car il savait qu'elle serait là bas à l'attendre, il l'aperçut et s'approcha d'elle.


Il lui prit la main et y déposa un tendre baiser puis la regarda dans les yeux.
Ses petits yeux étaient tout humides mais il ne voulut pas lacher son regard dans le sien.


Cerise , j'ai quelques choses d'important à te dire.................

Les mots étaient dans son esprit mais n'arrivaient pas à sortir.
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