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[RP] Taverne " Le Domaine du Loup Noir "

Fobia77
Les bras l'en tombèrent .. enfin pas vraiment, c'est une métaphore hein, sinon ... ben il paniquerai, son frère aussi, ça serais la cohue et le bordel monstre pour les rattacher, car je vous rappelle que le scotch, ça existait pas encore à l'époque ..... quoi que avec du scotch ........Enfin bref.

Et personne n'as retrouver ce pyromane ?
Il faut le pendre par les coui....... *Hem*Hem ... enfin tu voit !?!


Il repris quelques gorgées et enchaina :

Toi ça va, tu n'as pas eu trop de dommage j'ai l'impression .. qu'en est-il des autres ??
Birdinflames
Personne ne l'a trouvé... pour l'instant. Mais je crois que ça va pas tarder, vu tout ce qui a été mis en place...

Léger sourire


Oh oui t'inquiète pas je vois très bien ce que tu veux dire... je pense qu'il adorerait ça !

Reprenant une gorgée... réfléchissant un peu...
Il y a eu quelques dégâts... mais je crois que dans le général ça n'a pas été si terrible... à part l'église...
Les feus du poste de police et de la mairie ont été vite maitrisés... pusi les autres...

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Birdy du Domaine du Loup Noir, Frère de Fobia02, Voyageur et vacancier... Politicien ?? O_o
Fobia77
Fronçant les sourcils, écoutant le récit de son frangin, il se posaient pleins de question, mais surement que Birdy n'avait aucune des réponses.

Au moins ...... personne n'est mort ?!

La mine préoccupé, il insista :

Hein ? personne n'est .... ?!??


Il du reprendre une gorgée ... non finir sa bière d'un trait, tellement il n'imaginait pas que la réponse soit : Si.
Brunhilde
[Mardi matin...]

Passage de la poterne en règle. Ecuries... Kuhlwch renâcle un peu. Il n'aime pas passer la nuit avec des chevaux qui ne lui ont pas été présentés. Gentil le frison, mais toujours un peu collet monté.

Désagréable impression... Désagréable odeur et qui ne sort pas de que de la cuisine de la Crevette... Etrange. Charbon... Cochon grillé... Ouais, ça pourrait être un effet "Crevette" généralisé mais bon ! Ca serait festif alors que là, c'est lugubre, triste... et accablant. Sombre, évidemment, que ça l'est on est en pleine nuit. Ma vieille reprend tes esprits... Ca t'apprendra à lire les
Histoires de Simbad.

Arrivée à l'auberge par derrière, comme d'habitude... Rien à signaler... Odeur de fumée dans la resserre, rien de très singulier, ouverture de la porte de la salle.


Foutrebleu...

C'est tout noir et tout charbonneux ici aussi. La porte aussi... Dommage pour les gravures de Fazzino...

Et de s'agenouiller près de la cheminée... rallumer le foyer... et attendre... Des gens, des explications, des... Qu'est-ce qui s'est passé à Bergerac, nom de nom ?

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Tu n'es pas responsable de la tronche que tu as, juste de la gueule que tu fais...
Fobia77
A force de picoler, parler, picoler, parler, picoler, picoler ..... parler ... (j'ai dit deux fois picoler ?!? ... c'est qu'à la fin il parlaient plus trop en fait ...) Ils avaient finit par aller se coucher, presque ivre mort ... Naannnn j'déconne, il en faut plus pour les coucher ces deux la, ils étaient juste ... Bien.
On peut juste dire qu'ils avaient bien dormi !


[ MARDI MATIN ]

Il se leva de bonne heure et de bonne humeur ... (ARF .... ) BURRRRRP !!!! mauvaise réponse, en fait il se leva vers midi-13 heures, il sait plus trop, la gueule dans le pâté, ou le cul, comme vous voulez, il pris un bain, Ouai fallait au moins ça pour qu'il sente plus trop la tise et la mort, et surtout le sortir du coma matinal.
Frais et dispo, il descendit les marches pour prendre le petit déjeuner, tranquillement et un peu de meilleur humeur qu'au saut du lit.

Il espérait qu'elle soit la, à l'attendre, il savait qu'elle arriverait dans la journée, mais elle n'était pas la, il s'en doutait un peu en fait, elle allait pas l'attendre toute la journée, elle avait des truc à faire elle.
Du coup il déjeuna, Ouai déjeuner, quand il se lève il déjeune et peu importe l'heure.
Gypsie
Les mêmes chevaux qui passaient dans les rues de Bergerac arrivent devant l'auberge. Sourire des deux messieurs qui se réjouissent déjà à l'idée du souper, diner, ou déjeuner en tout genre. La dame sourit en les voyant, et se laisse aider pour descendre de sa monture, se laisse embrasser par son époux qui profite à chaque fois de cette occasion pour déposer délicat baiser sur les lèvres de son épouse.

Une flatterie à sa jument Querida, une caresse à Vandale, avant que l'intendant les emmène à l'écurie. Regard bienveillant sur les chevaux qui s'en vont et seront toujours prêts à repartir avec eux, grâce aux soins qu'on leur apporte chaque jour, grâce à la bienveillance de Jazon et l'intendant Passepoil.

Courte mèche remise en place, jupe défroissée de quelques coups de main, regard à Jazon toujours élégant, et la rectrice en vadrouille pousse la porte de l'auberge. Gypsie entre et se réjouit de la douce chaleur, et surtout de la bonne odeur qui planent ici.
Personne derrière le comptoir, qu'importe, Jazon interpelle.


Ola !!! Il y a quelqu'un ?

Pourvu que oui pense Gypsie derrière lui, sinon elle va devoir repartir et dormir à la belle étoile. Quoique... l'hiver depuis quelques jours a laissé sa place au doux printemps, camper n'est alors plus désagréable.
Regard circulaire, inspection de la pièce bien entretenue, comme doivent l'être les chambres.

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Jazon
L'établissement semblait désert.
Jazon venait d'appeler mais personne ne se présentait.
Il s'avança comme à son habitude vers la cheminée qui crépitait.
Si il y avait du feu c'est que l'endroit vivait. Et la porte n'aurait pas été ouverte.

Il laissa glisser sacs et sacoches au sol et tira une chaise pour Gypsie.
Puis il retira cape et gants qu'il posa sur le bord de la table.
A chaque fois qu'il entrait dans une taverne, il pensait aux Sentinelles. La majeure partie du temps passé en taverne, cela avait été en leur compagnie. Compagnons de cuirs et de fers, toujours prêt à partir sur les routes, pour d'autres aventures.
Mais la tendance s'inversait peu à peu. C'est avec son épouse et son intendant qu'il passait dorénavant du temps en taverne. Depuis que le clan s'était peu à peu éclaté. Ils gardaient toujours le contact mais chacun avait prit sa propre direction.

Jazon fit un tour dans la salle commune, jeta un regard vers la cuisine.
Ne voyant personne, il fit le tour du comptoir et prit un pichet qu'il remplit au tonneau.

*Du vin ! Surement une de ses merveilles locales.* se dit il.
Jazon appréciait de plus en plus cette région, entre autres de par sa nourriture et ses boissons.

Il attrapa trois coupes et revint avec le tout à sa table alors que son ami l'intendant Passepoil entrait à son tour.

En attendant que quelqu'un n'arrive, on va déjà se désaltérer et trinquer à la santé des gens d'ici.

Il posa verres et pichet sur la table et enjamba le banc. Puis il remplit les verres et les distribua.
Gypsie ! Passepoil ! A la santé des Bergeraçois et à la notre !
SANTEEEEEEE !!!!!

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Jazon
Un peu plus tard, les trois voyageurs purent prendre possession de leurs chambres.
Après un bon repas, ils remontèrent à l'étage prendre du repos.

Souhaitant rester quelques jours à Bergerac, ils avaient l'intention de faire connaissance des lieux et des gens.
Jazon ferait l'aller-retour quotidiennement jusqu'en la chancellerie. Mais il espérait prendre le temps d'aller jusqu'à un haras qu'il avait vu en arrivant à Bergerac.
Peut être trouverait il des reproducteurs pour l'élevage qu'il comptait créer en Auvergne ?

Le lendemain, le soleil, une fois de plus, les accueillit à la sortie de leur sommeil.
Jazon ouvrit les yeux et sourit tendrement en voyant le visage de Gypsie endormie, la tête sur son épaule et son bras reposant sur son ventre.
Il l'effleura de sa main dans une douce caresse et l'écarta doucement.
Elle se retourna dans son demi-sommeil.
Il lui donna un léger baiser dans le cou, s'étira longuement et se leva.

Chemise et braies enfilées, il jeta un regard par la fenêtre et fouilla dans ses sacoches à la recherche de quoi écrire.
Une pensée s'était imposée à lui à son réveil : Gandelin !
Pour il ne sait quel raison, il lui fallait lui écrire, prendre de ses nouvelles.

Le père soucieux s'attabla près de la fenêtre et commença sa correspondance.

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.mahaut.
Comment avait-il osé ? Elle était là, devant lui, éperdue, les larmes aux yeux, et lui, lui ! Il était parti. Revenons un peu sur la discussion.

Mahaut : Birdyyyyyyy !
Birdy : Oui ?
Mahaut : J'ai une mission de confiance pour toi !
Birdy : Oui ?
Mahaut : Il me FAUT une houppelande, c'est une question de vie ou de mort !
Birdy : Arf, mais je pars, là !
Mahaut : NAN ! Une houppelande, rose, avec des broderies dorées, un peu de de tulle, là, là et là aussi. Une traîne aussi, non ? Oh et des poneys cousus sur les manches et...
Birdy : Ouais, ouais, promis mais sois pas pressée, je pars, là.
Mahaut : J'attendraiiiiii... le jour et la nuit... J'attendraiiii toujouuuurs ! Ton retouuuur !
Birdy : Ne finis pas les tonneaux qui restent hein ?
Mahaut : Han quel manque de confiance ! allez, pars, comme ça tu reviens demain et tu me fais ma houppelande.
Birdy : Non mais je pars longtemps hein...
Mahaut : Haaaan ! Naaaaan !

Et vous savez quoi ? Si. Il était parti. La brune avait d'abord commencé par bouder. C'est vrai, à quoi revenir à la vie pour devoir attendre bêtement une commande comme le reste des mortels ? Tsss. Puis, lentement, pernicieusement, l'idée avait fait son chemin.

"les tonneaux qui restent"... Bon sang, il y avait à boire et la taverne était ouverte ! Il lui avait montré l'endroit ! En fait il voulait dire "ils sont tout à toi, sers toi et bois à notre santé", c'était évident !

Aussi, de bon matin, ayant négligé d'aller se coucher puisqu'ayant bu toute la nuit, elle entra dans la taverne et commença à chercher les fûts. Direction l'arrière cuisine. Ah, un tonneau. "Mahaut, n'y touche pas". Quelle délicate attention, il lui avait laissé un petit mot affectueux. Elle ôta le papier et se servit vaillamment.
A côté d'elle, des bols attendaient d'être servis.

Ça alors, y'a du monde ici ?

Elle se leva et monta quelques marches.


Y'a quelqu'un ?

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Gypsie
Le visage de Gypsie n'était que sourire ; elle souriait jusque derrière les oreilles. Derrière elle, Jazon devait sourire autant. Elle le sentait, sentait ses bras vigoureux et fermes, doux et rassurants qui l'entouraient, sentait son souffle dans son cou, et sentait son sourire.

Là ils souriaient tous les deux, car devant eux, s'étalait du bleu, du brun, du vert, du blanc, toutes les couleurs imaginables réunies en un seul lieu. L'endroit était si animé, l'on s'affairait de partout, l'on courait dans tous les sens, l'on criait, répondait encore plus fort. Un endroit plein de vie, débordant d'énergie, comme ils n'en n'avaient jamais vu les Duchesne.

Et... voilà leur rêve qui va se réaliser. Là ! Maintenant ! C'est sûr ! Aujourd'hui ! Enfin ! Tant attendu ! Espéré ! Depuis le jour de leur mariage !

Elle se retourne vers son époux la vicomtesse, l'embrasse de partout, sautille de joie, lui sourit, et rit !


C'est aujourd'hui Jazon ! Aujourd'hui !! Enfin !! Viens !! Là bas !! Le petit brun et blanc !! Juste pour nous !!

Gypsie court, entraîne son époux vers le port, vers le petit bateau à la belle voile blanche, court à en perdre haleine, trébuche, rit, tient toujours la main de Jazon qui la suit et s'amuse, et... voilà le quai...
Le quai... un souffle de vent. Un souffle dans son cou... un baiser... elle est allongée et pas du tout sur un quai... Elle ouvre les yeux pour découvrir un plafond partagé entre le brun des poutres et le blanc des murs... Son bateau et sa voile qui s'en vont soudain... Soupir déçu... Aussi déçu que l'édredon esseulé d'un côté, car Jazon a déserté le lit.

Dur, cruel retour à la réalité. Le bateau ne sera pas pour aujourd'hui, mais un jour... Jazon l'emmènera voguer, il l'a promis, et Jazon tient toujours ses promesses.
Un coup d'oeil circulaire, elle le retrouve son amour. Attablé, tout à son écriture. Sans doute donne-t-il nouvelle à son supérieur, le chancelier du Ba, Sémias. Ou à quelqu'un d'autre... Ou peut être écrit-il simplement un mot d'amour à sa douce... Voilà délicieuse idée...
Soupir, étirement, baillement, qu'elle est belle la vie oisive, mais... il faut toujours se lever, et Gypsie rejette l'édredon si doux, se lève, et retrouve la douce odeur de son amour en arrivant derrière lui, l'enlaçant, l'embrassant tendrement dans la nuque.


Te voilà déjà au travail Jazon... mais... nous avions dit...

Le calme habituel de la taverne est soudain troublé par un appel dans le couloir

Y'a quelqu'un ?

Regard à Jazon, question...

Sommes nous là ? Crois tu ? Sommes nous les seuls vivants ici ?
Et !! Tu n'as pas faim toi ? Je m'habille et on descend ! Cette personne qui crie saura alors qu'il y a quelqu'un, oui !

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Jazon
Délicieux cet instant où Gypsie s'approcha, où elle l'enveloppa de ses bras et déposa un baiser dans sa nuque.
Il aimait le vicomte ses doux instants qui n'appartenaient qu'à eux.


Te voilà déjà au travail Jazon... mais... nous avions dit...

Y'a quelqu'un ?
Gypsie fut interrompu par un appel dans le couloir.

Sommes nous là ? Crois tu ? Sommes nous les seuls vivants ici ?
Et !! Tu n'as pas faim toi ? Je m'habille et on descend ! Cette personne qui crie saura alors qu'il y a quelqu'un, oui !


Jazon releva la tête en souriant aux questions de son épouse et reposa sa plume pour relire.
Oui j'ai faim !
Je relis et nous y allons.


Jazon était curieux de connaitre à qui appartenait la "voix du couloir".
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Gypsie
Hop hop hop ; pas de tenue d'apparat, rien du tout. Juste... une simple jupe, un simple corsage, tout blanc et plein de jours comme elle les aimait Gypsie. Rien d'officiel là dedans, et elle prend le bras de son époux en sortant de la chambre, n'omettant pas de lui déposer délicieux baiser sur sa joue.

Porte qui claque, visages qui se tournent vers le couloir ou une brune à la mine mauvaise rencontre les regards des Duchesne.
Oulà... palote la fille... mauvaise nuit elle a dû passer à allaiter son enfant... ou autre... veiller son grand père-mère mourant, enfin un cas forcément bienveillant, puisque Gypsie ne penserait jamais qu'elle aurait pu boire ou brigander toute la nuit durant.


Or, la rectrice du Ba, toujours méfiante, engagea son époux à aller de l'avant, et faire prime connaissance avec la petite brune devant eux.
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Jazon
Pleine de vie Gypsie ! Souriante et attrapant le bras de son époux, les voilà tous les deux dans le couloir sur le point de prendre l'escalier qui va les mener dans la salle commune.
Et dans l'escalier.... Ils se trouvèrent face à une femme.
La "voix du couloir" ? En l'occurence, plutôt la "voix de l'escalier".... ?

Jazon sentit Gypsie le pousser en avant. Il sourit légèrement.. Courageuse mais pas téméraire sa Gypsie !


Bonjour dame....
Vous cherchez quelqu'un ? L'aubergiste ?


Jazon entreprit de descendre les marches à sa rencontre, Gypsie derrière lui. La femme paraissait.... Comment dire pour rester galant ? Fatiguée ?
Oui, nous dirons cela !

Le vicomte entendit une porte s'ouvrir et se refermer dans le couloir.

*Surement Passepoil * se dit il.
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.mahaut.
Un craquement, elle a entendu un craquement. Et peut-être même un couinement. En tous cas, un truc pas net. Aussi écoute-t-elle la voix de la raison (pour une fois) et redescend t-elle chercher de quoi se défendre en cas d'attaque.
Le choix est cornélien.
Un couteau de cuisine, c'est très aiguisé et tout mais face à une épée, ça ne fait pas le poids. Un billot, oui, pourquoi pas, mais elle va avoir besoin d'ide pour le soulever et on perd toute crédibilité en demandant de l'aide pour attaquer quelqu'un. Vite, vite, trouver quelque chose !
Une cuiller ! Voilà l'arme parfaite ! Tranchante, précise et euh... maniable à l'extrême. En plus si jamais elle se retrouve face à plusieurs agresseurs, elle pourra toujours proposer une ratatouille.

Fière de son choix, elle revient vers le couloir où des voix s'élèvent.


Bonjour dame....
Vous cherchez quelqu'un ? L'aubergiste ?


La cuiller levée, Mahaut reste bouche bée, cherchant quoi répondre. Des fois il vaut mieux dire la vérité, toute la vérité, rien que la vérité.

Bonjour ! Non il n'est pas là l'aubergiste, il est parti alors que je lui ai demandé une houppelande rose, avec des broderies, là, là et là et en plus c'est urgent.

Voilà, toute la vérité, même s'il s'en fout. Derrière l'homme, une femme qu'elle a déjà aperçue en taverne. Ragaillardie, elle baisse son arme.


Bonjour au fait, je suis Mahaut ! Soyez les bienviendus à Bergerac. Bonjour Dame, vous vous souvenez de moi ?


Rapide retour en arrière pour savoir si elle avait bu le soir en question ou pas. Non, elle était restée étonnamment sobre, Dieu merci. Faut dire on parlait diplomatie, et la diplomatie, Mahaut, ça lui plait, même si ça fait beaucoup parler. Oui, bon, d'accord, justement à cause de ça. Mais aussi parce qu'on fait des réceptions avec des petits fours, hein.

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Gypsie
Voilà sans doute une grande première pour Jazon qui se voit soudain menacé par une cuillère brandie bien haut. Gypsie pouffa de rire, imaginant la tête que devait faire son époux ainsi menacé par un simple ustensile de cuisine. Lui toujours sur la défensive, ne porta même pas la main à sa dague, toujours près de sa délicieuse et ferme cuisse.

Encore plus amusée en écoutant celle qui était Mahaut ; elle débita sa phrase, heureusement pas trop longue, d'un seul trait. Ah ? Une houppelande ? Rose ? Avec des broderies là, là et là ? Endroits bien choisis ma foi... Voilà très bonne idée utile à Gypsie qui maniait depuis longtemps l'aiguille. Elle avait habillé tant de personnes à Clermont, et réalisé des centaines de tapisseries, vendues dans tout le royaume par l'intermédiaire de la célèbre Manufacture du Luern, dirigée de main de maître et de poigne de fer, par leur bienaimée mère à tous, Monseigneur Ivrel.
Et après ce bref passage imaginaire à l'atelier, imaginant les petites mains à travailler, Gypsie fit un pas en avant, salua d'un sourire son interlocutrice.


Bonjour Dame, vous vous souvenez de moi ?

Oui oui ! Bien sur que je me souviens de vous et de notre sympathique discussion. Ravie de vous revoir ici.

Et sur un ton taquin, la rectrice rajoute,

Vous pouvez baisser votre arme, et être tout à fait rassurée. Je vous présente mon époux, Jazon, dont je vous ai déjà parlé d'ailleurs.

Puis s'adressant à l'ambassadeur,

Jazon, je te présente Dame Mahaut. Imagine toi qu'elle fait partie du corps diplomatique du PA !

Peut être pourrions nous continuer cette discussion autour d'une table, qu'en pensez vous ? A moins que vous soyez occupée à chercher quelqu'un Dame Mahaut ? Dans ce cas, pouvons nous vous aider ?


Pas de risque, je reste de toute façon derrière Jazon, pensa Gypsie.
Les évènements à Eleusis et ailleurs ne pouvaient que l'encourager à agir ainsi.

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